Katherine L. C.-Blackburn ► Sara Paxton

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Hazelnut et j'ai 15 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Roxanna.  Le design est simplement magnifique encore une fois alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Sara Paxton comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Dreamy. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Regarder :D J'ai trouvé comment faire avec checked
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

MON HISTOIRE :
C'est ma mère qui a eu l'idée de mon prénom. Mon père voulait m'appeler Fériel. Ce prénom ne me déplaît pas aujourd'hui, mais beaucoup pense que c'est juste un mélange de « férié » et de « trimestriel ». Ma mère a donc jugé bon de ne pas m'appeler ainsi et c'est elle qui choisie donc mon père n'avait pas le choix. Elle voulait un prénom proche du sien pour moi ; et Katherine était ce qui lui semblait le plus beau après Christina, donc son prénom. Je ne voit pas vraiment de rapport entre les deux mais bon ! Elle avait déjà même tracé mon avenir avant même que je fasse mes premiers pas. J'allais devenir la deuxième danseuse la plus connue au monde, après elle bien entendu ! Je devais être la meilleure en tout car j'étais SA fille. Elle a d'ailleurs toujours été comme ça : superficielle, égoïste, prétentieuse. Bref, tout sauf modeste ! Je n'ai jamais vraiment été proche d'elle mais je l'étais beaucoup plus de mon père et, alors que l'on s'attend à ce que ce soit ma mère qui m’a décidé à faire de la danse, c'est mon père qui m'a convaincue !
Mon père était tout le contraire de ma mère, mais je crois qu'ils se complétaient , d'où le fait qu'ils étaient ensemble. Mon père était issu d'une famille de 5 enfants ; 3 filles et 2 garçons. Il était gentil, attentionné avec moi, (encore une fois tout l'inverse de ma mère) et l'a toujours été. C'était un brillant pharmacien de Paris, connu et respecté de tous. Il a quitté sa famille à 19 ans et s'est disputé avec pour se construire une vie et est donc partit de rien. Il a fait ce qu'il pouvait et s'est construit seul la vie qu'il mène aujourd'hui et pour ça ; il a tout mon respect. Ma mère était déjà riche, donc c'était facile pour elle d'obtenir tout ce qu'elle voulait. Lui, m'a toujours encouragé à faire ce que je voulait, même si je suis passé par cuisinière, avocate, styliste ou encore mannequin : à chaque fois, chaque moment de ma vie, il m'encourageait à faire ce que je voulais avec ce qu'il pouvait.
Ma mère m'avait inscrite très jeune à des cours de danse, en réalité plusieurs différents : du classique, du modern-jazz et de la salsa. Elle me faisait prendre des cours à domicile et dès que j'avais du temps libre elle me faisait travailler ma souplesse. C'est ainsi qu'à 6 ans je savais déjà dansé mieux la salsa que certains adultes. Malgré tous ses efforts, la danse n'a commencé à m'intéresser que bien plus tard. J'avais des bonnes notes dans toutes les matières et j'étais presque bilingue : j'avais un bon anglais mais il n'étais pas parfait.
La passion m'est revenu alors que mes parents allaient divorcés. Je vivait avec mon père et c'est en allant voir un ballet que ça m'est venu. Je décida donc ,avec mon père, d'aller vivre aux États-Unis à l'âge de 11 ans pour perfectionner mon anglais et essayer d'intégrer une école où la danse était en apprentissage. Dès que je pu, j’entra dans la plus grande école de danse de New-York. Mais, quelques années plus tard, je reçu une lettre d'Harvard. Aux vues des notes que j'avais, je pouvais intégré leur école. Mon père avait fait (dans mon dos) une lettre de motivation et l'avait envoyé à Harvard pour que j'y entre. Entre temps, il appris que l'une de mes cousines y était, et il voulait que j'aille à sa rencontre pour prendre des nouvelles de la famille. Discrètement car ça ne s'était pas très bien passé lors de son départ. Quant à ma mère, je ne l'ai pas revu depuis mes 15 ans, le jour de ma compétition de danse où je suis arrivée à la seconde place. Déçue, elle ne veut pas me « pardonner » et je ne peut que bien m'en porter, je ne vais pas mentir elle ne me manque pas ! J’intégrai donc finalement Harvard avec comme domaines d'études la danse et le français, espérant intégrée la Lowell House.