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João Vitor Ribeiro Da Silva fiche; en cours - terminée C'est le 24 Février à Rio de Janeiro, que la famille Ribeiro Da Silva m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) João Vitor. Je suis célibatard et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en théâtre & sport, je suis maintenant en cinquième année. Et pour terminer, je fais partie des Winthrop. |
Études Premièrement, Thor étudie le théâtre. Il baigne dans ce monde depuis toujours étant donné que sa mère est actrice et jouer un rôle, c'est une tâche très facile pour lui, puisqu'il fait ça au quotidien. Etant manipulateur, c'est un jeu d'enfants pour lui de se faire passer pour quelqu'un d'autre ou pour faire croire n'importe quoi aux spectateurs. Viens le sport en deuxième, et, vu son physique, on voit qu'il passe beaucoup de temps à s’entraîner. Il fait partie de l'équipe de football de l'université et est devenu indispensable au groupe pour aller jusqu'à la victoire. A la fac, tout le monde le connait. Il organise des grosses soirées, il boit comme un trou, il finit souvent super mal, mais à ce moment de la soirée, il n'y a déjà plus grand monde debout. Il ne s'arrête jamais et pour lui, la fac, c'est juste une manière de faire constamment la fête et de rencontrer des nouvelles filles chaque jour ! | Caractère Thor est un des plus grands escrocs que la Terre puisse compter. Parfait menteur, manipulateur hors pair, il fait ce qu'il veut de qui il veut, et arrive toujours à ses fins. Les gens qui se mettent en travers de son chemin n'ont pas peur de finir à terre car quand on s'oppose à lui, il est prêt à tout pour rester en haut de l'échelle. Il est capable des pires coups bas et se mesurer à lui revient à vouloir se suicider. C'est un grand fêtard qui se retrouve à chaque soirée. Il anime les soirées, vide toutes les bouteilles et vous retourne la baraque. Il n'a honte de rien, n'est pas du tout pudique et il arrive très souvent qu'on le voit torse nu, en boxer, et même sans vêtements. Il est infidèle, il ne sait pas garder une copine et pourtant, les filles courent vers lui. Impulsif, il ne faut pas le chercher : en effet, il fait de la boxe depuis toujours et s'entraine à l'Ultimate Fight depuis plusieurs années déjà. Autant dire que quand il vous en met une, vous la sentez passer. Sinon, c'est un ami fidèle qui est prêt à tout pour ses proches, et vous pouvez l'appeler à n'importe quelle heure de la journée ou de la nuit qu'il viendra. Mais attention, il n'est comme ça qu'avec ses vrais amis, qu'il compte sur les doigts de sa main. |
Everyone Has Their Own Story
- VITOR : « Nous y voilà. »
J’affichai aussitôt un grand sourire sur mon visage, tout en m’arrêtant de monter les marches qui menaient à la grande bâtisse familiale. Une seconde plus tard, la jolie blonde qui m’avait ramené se plaçait en face de moi, son air gaga planté sur sa gueule. Elle était exaspérante, rien qu’à son attitude. Mais bonne. Cheveux blonds, yeux bleus, taille fine. Et une paire de nibards à étouffer un môme si on le place entre ses seins. Sérieux, c’est pas croyable comment ses machins sont imposants ! J’en avais même du mal à la regarder dans les yeux tellement ses nichons prenaient tout mon champ de vision. Et pourtant, je m’efforçais d’avoir mes yeux rivés dans les siens pour ne pas me faire griller. Surtout que je me pelais les couilles à l’extérieur, et que j’aurais préféré me réchauffer avec elle que d’attendre patiemment devant cette porte.
- VITOR : « Merci de m’avoir ramené, je sais pas ce que j’aurais fait sans toi. », dis-je, mon sourire toujours planté sur mon visage tel une marque indélébile.
JENNA : « C’était avec plaisir, tu n’allais pas rester toute la nuit à côté de ta voiture juste parce qu’elle est tombée en panne. »
What the fuck ? Ca a pas de sens ta phrase ma grande, va apprendre à parler l’anglais sérieux. T’as de la chance d’être baisable, sinon, t’aurais rien eu pour toi. Non mais, il fallait le dire, cette nana, c’était des formes sans cerveau. Elle n’avait pas deux trous, mais trois, le troisième étant l’espace vide à la place de la cervelle qu’elle devait avoir perdu depuis un bail.
- VITOR : « Hey, t’as l’air de grelotter, tu veux rentrer pour boire un truc chaud ? »
JENNA : « Haaaaaaan. C’est troooooop mignon.»
Qu’est-ce qu’elle pouvait être conne sérieux. Je pouvais presque lui dire que j’étais le fils de Britney Spears qu’elle m’aurait demandé un autographe. Ca, c’est les américaines. Vraiment. Au Brésil, elles sont connes et manipulables, mais là, à l’université, c’est vraiment le summum. Quand je regardais les films, genre American Pie et tout, je me disais que c’était parodié, obligatoirement. C’était scientifiquement impossible qu’une fille soit aussi débile que ça. Et pourtant, l’université me prouvait le contraire. Et je peux vous l’avouer, c’est bien plaisant, et beaucoup moins galère à jouer les Fornicators. Quoi que, le challenge européen me manquait un peu, à vrai dire, même si je le retrouve les étés.
Pour en revenir à l’abrutie, je lui lançai un clin d’œil, alors que j’ouvrais la porte de la maison. Mes parents étaient encore absents. Cela devait faire bien une semaine et demie que je ne les avais pas vu, et ça ne me déplaisait guère. Bien au contraire, ça me permettait de ramener qui je veux : que ce soit des jambes écartables ou des penses à bières ambulantes, tout dépend ce que je voulais faire de ma soirée. Le must restait quand même de mélanger les deux pour faire une soirée énorme ! Quant à mon demi-frère Eduardo, il devait être dehors, je n’sais où.
Le chemin étant libre, je l’attrapai doucement par la main, l’amenant petit à petit vers ma chambre. Celle-ci atteinte, je la fis entrer la première, tel un vrai gentleman que je ne suis pas du tout. Heureusement pour moi, la femme de ménage avait fait son boulot, et je passais pour le gars soigneux. Et comme une vraie gonzesse, elle s’aventurait à faire le tour de la pièce, avant de tomber sur une photo de mon frère et moi posée sur le bureau. Et merde, il manquait plus que ça.
- JENNA : « La personne sur la photo te ressemble troooooooooop ! »
VITOR : « Hein ? »
Seriously ? Peut être parce que c’est moi sur la photo, tout simplement, non ?
- JENNA : « AAAAAH ! Zut, je suis bête ! Vraiment. C’est toi ! C’est ton frère à côté ? »
VITOR : « Euh … ouais. », dis-je doucement en me tournant directement, m’approchant de mon lit pour m’y asseoir.
JENNA : « J’ai dit quelque chose de mal ? »
VITOR : « Il … il est mort. »
Je baissais la tête, alors qu’elle s’approchait précipitamment de moi pour s’asseoir juste à côté. Très vite, une larme coula sur ma joue, je fixais toujours le sol. Oui, je fais du théâtre depuis que je suis gamin, et je sais pleurer sur commande et raconter un tas de conneries en étant crédible, et alors ? Tant que je peux m’introduire dans sa petite culotte, j’m’en fou royalement sérieux. De toute manière, c’est pas comme si j’allais la revoir un jour. Je l’attendris, je la baise, et je la vire, point. Ça marche toujours, de toute manière. Je fais ça depuis que je suis adolescent, et mon frère ne m’en a jamais voulu. De toute manière, les coups de gueule entre lui et moi sont rares. On peut toujours compter l’un sur l’autre, et on avait fait un pacte là-dessus. Mes parents, eux, sont trop occupés avec leur vie personnelle, ou leur boulot. Mon père possède financièrement la moitié de la ville et on ne le voit jamais. Il est toujours en déplacement. C’est pareil pour ma mère, qui elle, est actrice. Du coup, je suis habitué à vivre seul depuis tout petit, et à en profiter pour faire des méchantes soirées tout le temps. Et pour combler l’absence de mes parents, j’ai Eduardo, un peu comme un jumeau quoi. Puis j’ai le sport à l’université. Ou mon jeu sur scène, adorant être sur les planches à jouer des rôles, comme dans la vraie vie.
- JENNA : « Excuse moi, je suis désolée, je voulais pas te faire de la peine... »
Elle était gênée, mais aussi attendrit par un homme qui pleure sans se cacher. Au même moment, elle posait sa main sur ma cuisse, la caressant doucement, tout en continuant à s’excuser. Moi, je continuais à la feinter, les larmes coulant toujours sur mon visage de façon très naturelle. J’entrepris de relever ma tête vers elle, lui lançant un sourire plutôt rassurant.
- VITOR : « Ne t’inquiète pas, ça va, j’ai juste un peu de mal à parler de tout ça, c’est assez récent. On peut changer de sujet ? Je peux aller te faire ton chocolat chaud si tu veux, il fait pas chaud. »
J’essayais de me lever, mais sa main força sur ma cuisse, m’indiquant qu’elle ne voulait pas que je bouge. Un air complètement innocent sur le visage, imitant au plus un coincé et son air de débile quand il ne sait pas quoi faire avec les gonzesses. Pour le coup, ça allait marcher. Disons que depuis le temps, je savais comment y faire avec les femmes, et là, c’était l’attitude à avoir, maintenant que j’avais cerné la gonzesse. Et là, je savais exactement ce qu’elle voulait.
- JENNA : « Et si tu me réchauffais d’une autre manière ? »
Un grand sourire plutôt coquin sur le visage, elle voulait que je la prenne ici, maintenant, et c’était le signal qu’elle m’envoyait pour me le faire comprendre. Ca, et sa main qui était remontée de ma cuisse à mon entre-jambe. Ni une, ni deux, j’allais exaucer son souhait.
Enfin, j’aurais pu. En tout cas, j’avais commencé. Tous les deux nus sur le lit, moi derrière elle, mes mains lui massant la poitrine pendant que ma langue parcourait son cou et que je lui donnais quelques coups de reins, ses cris furent coupés quand la porte de la chambre s’ouvrit. Deux personnes entrèrent, et à partir de cet instant, ce ne fût plus les mêmes cris qui résonnèrent dans la pièce. La gonzesse criait parce qu’on s’était fait surprendre, mon frère était dégouté de me voir dans une telle position, même si ce n’était pas la première fois qu’il me surprenait en pleine baise. Sa pote, elle, se cachait les yeux.
- JENNA : « Espèce de salaud ! »
Ouais, bah, maintenant que mon abruti de frère était dans la pièce, j’étais complètement grillé, et elle avait compris que je m’étais royalement foutu de sa gueule. Elle rassembla ses affaires avant de quitter la pièce, en marmonnant contre moi. Eduardo, lui, m’envoya un drap dessus, histoire de cacher mon entre-jambe.
- EDUARDO : « Préviens la prochaine fois s’il te plait, ça me rend vraiment mal à l’aise ce genre de situation. »
VITOR : « Oh, arrête, tu devrais prendre exemple. Si vous étiez pas arrivés, je l’aurais baisé, deux fois. Et toi, tu fais toujours ton timide. »
LIBBY : « Peut être parce qu’il a plus de respect envers les filles, et que c’est pas un demeuré. »
VITOR : « Hey Libby, ça faisait longtemps. Et d’ailleurs, j’me disais, vu que tu viens d’me casser mon coup, et que je bande toujours comme un chien, tu pourrais prendre sa place ! »
LIBBY : « Dans tes rêves Vitor ! »
VITOR : « Coincés du cul … »
Mon frère attrapa ce qu’il avait à prendre, puis partit, me laissant en rut dans la chambre, sans rien à lever. Enfin, pour l’instant. Je me frayai un chemin vers mon portable, et après quelques secondes à chercher un numéro, je posai mon portable à mon oreille.
- VITOR : « Ouais Heaven, c’est Thor. Tu fais quelque chose ? |…| Tu sors avec ce tocard ? Lâche le, j’suis chez moi, j’t’attends. |…| Mais nan, c’est pas pour la baise, ça fait longtemps que j’t’ai pas vu. |…| 10 minutes ? Ok. A tout de suite. »
Ce soir là ? Je l’ai baisé. Deux fois. Aucune conviction, aucune retenue, les femmes de nos jours. Tant mieux pour moi.
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- PSYCHOLOGUE : « Tu comptes dire quelque chose ? »
S’il pensait ça, il y croyait dur comme fer. J’avais vraiment pas envie de dire quoi que ce soit là. Déjà que je lui avais fait le plaisir de me déplacer jusqu’à son bureau, qu’il ne s’attende pas à ce que j’ouvre la bouche. C’était une histoire bidon, encore ! S’il devait me faire venir à chaque fois que j’envoyais un coup de poing, on en finirait plus ! Ou alors, c’était l’accumulation, peut-être. Néanmoins, j’étais assis sur le gros fauteuil rouge du bureau, les bras croisés contre ma poitrine, et les pieds sur le bois froid dans lequel la table était bâtie. Je ne lui offrais même pas un regard. A mon goût, il n’en méritait pas un, de toute manière, et la fenêtre était bien plus intéressante, étant donné qu’elle me donnait une vue sur ce qu’il se passait à l’extérieur. Les élèves se baladaient en riant, discutaient, mangeaient, lisaient, s’amusaient, s’embrassaient. Et moi, j’étais coincé dans ce trou à écouter le silence se faire couper par la voix abominable du vieux psy. Génial, hein ?
- PSYCHOLOGUE : « Tu sais, Vitor, que si … »
Je le coupai, instinctivement. Sa voix s’était complètement arrêtée quand je pris la parole, comme si quelqu’un de très important, ou un muet, venait de prononcer un mot. Ce fût magique. Il ferma son clapet, il s’arrêta brusquement, et une fois ma phrase finit, je me sentais mieux de retrouver le silence paisible qui régnait dans cet endroit avant qu’il commence toutes ses questions débiles.
- VITOR : « C’est M. Ribeiro Da Silva ! »
Le ton que j’avais utilisé était très froid, un timbre de voix que j’affectionnais quand j’avais envie qu’on m’écoute. Et là, ça avait marché. Il avait enfin fermé son clapet. Portant rapidement mon regard sur lui, on aurait dit qu’il était constipé, et à la fois, qu’il avait vu un fantôme. Sûrement parce qu’il n’était pas habitué à ce que je parle quand j’étais coincé dans son bureau. Enfin, je reportai mon regard vers l’extérieur, alors que l’autre abruti sortait de ses pensées et se levait de son siège. Il fit quelques pas vers moi, et poussa mes pieds vers le sol, ceux-ci retombant contre le carrelage en un grand bruit sourd. Manquant de me faire tomber de la chaise, je regardais une nouvelle fois vers lui, mais cette fois-ci, d’une manière plus noire que tout à l’heure. Pour qui il se prenait, celui-là ? J’étais prêt à me lever pour lui en coller une, avant de réfléchir et de me dire que là, ça allait être une autre affaire. Ce n’était pas juste un poing à un simple élève, mais bien à un membre du staff de l’école, et je risquais bien plus qu’un petit séjour dans le bureau du psy. Alors, je renouvelais un coup d’œil dehors, tentant de me calmer.
- PSYCHOLOGUE : « Ecoutez, va falloir que ça cesse, toute cette violence à l’intérieur de l’univ… »
VITOR : « Sinon quoi ? », dis-je en le coupant.
PSYCHOLOGUE : « On sera obligé de vous renvoyer. »
VITOR : « LOL ! »
Je ne pus m’empêcher de m’esclaffer, avant de me lever de ma chaise pour me diriger vers la porte. Je n’avais rien à faire ici, je ne comptais ni lui expliquer pourquoi j’avais mis mon poing dans la gueule d’un trou du cul, ni m’éterniser dans ce trou à rats alors que j’avais bien d’autres choses à faire bien plus intéressantes. Lui me regardait d’un air interrogateur, se demandant ce que je faisais.
- VITOR : « J’vais vous expliquer un truc Mr … Mr Jepourraismerappelerdevotrenommaisjeportetellementpasd’importanceàvotrepersonnequejemefousdesavoirvotrenom. Je vais pas être renvoyé. Et vous savez pourquoi ? Parce que mon père possède aujourd’hui ce qui sert de logement à ce qui me sert de proviseur. Ainsi que le sale bâtiment miteux où vous habitez, sans compter le nombre de personnel ici qui est logé par mon père. Vous avez qu’à me renvoyer. Mais attendez-vous à devoir vivre dans la rue ou dans une ville complètement à chier qui entoure la ville, parce que vous trouverez nulle part où habiter en ville. Sur ce, je vous souhaite une bonne journée, et vous passerez le bonjour à Karen, votre femme. Super mignonne la photo sur le bureau. »
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↬ PSEUDO/PRÉNOM - Tino ↬ ÂGE - 20 ans ↬ PAYS/RÉGIONS - France/PACA ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Elo ↬ TES IMPRESSIONS - toujours pareil ↬ CRÉDIT(S) - Bloody.Mary & Tumblr. ↬ AVATAR - Arthur Sales ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI ↬ LE MOT DE LA FIN - Rapide, le DC, je sais. Mais je me sentais mal sans mon connard donc voila, c'est bon mdr |
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