(+ Charlie, Charlie) tous pour un et un pour... trois.

Tu courais d'un bord et de l'autre, dans ta chambre étudiante. Tu avais perdu tes clefs. Eh oui. Sans clefs de bagnole, tu allais devoir prendre le transport en commun pour te rendre à ton rendez-vous de treize heure. Et il était déjà midi et demi. Aucune chance que tu arrives à temps en prenant le bus. Tu n'avais pas envie de faire attendre Charlie ! Depuis le temps où tu remettais toujours vos sorties parce que tu étais trop débordé ou parce que la maladie t'avait amenée en quarantaine. Après avoir cherché dans tous les recoins de votre petit logis, tu finis par trouver lesdites clefs dans une craque du sofa. Oui, oui. Le classique. Tu enfilas donc ton manteau et tes bottes puis te dirigea vers la sortie. Une fois en voiture, tu arrivas au Luna Caffe et constata que ta petite rouquine préférée n'était pas encore arrivée. En consultant ta montre, tu te rendis compte qu'il n'était que treize heure moins dix. Waoh ! Toi qui croyais arriver en retard. Tu pris donc place à une table tranquille. Tu l'attendrais avant de commander.

(Invité)

Charlie, éternelle retardataire. Dans la chambre de la Lowell House où elle vivait, des éclairs roux se déplaçaient vivement : l’Irlandaise courait d’un bout à l’autre pour se préparer. Clefs. Porte-monnaie. Carte de métro. Sac – et tout ce qu’il pouvait contenir. Elle était prête, enfin ! La jeune femme quitta le campus et s’engouffra dans le métro. Pour une fois, ses cheveux étaient attachés en un rapide chignon : ça lui évitait de se les faire tirer dans la foule serrée du métro. Une quinzaine de minutes plus tard, la rousse se dirigeait vers le café où elle avait rendez-vous avec Charlie. Cela faisait des lustres qu’ils ne s’étaient pas vus ! Leurs emplois du temps chargés avaient eu raison d’eux un temps, mais les deux Charlie avaient finalement réussi à se voir. Elle regarda sa montre : miracle ! Elle était à l’heure ! Et elle voyait même la silhouette du Dunster se dessiner dans le café.

« Charliiiiiiiie ! » cria-t-elle en se précipitant vers le jeune homme. « Il ne faut plus qu’on attende aussi longtemps pour se voir ! » protesta-t-elle en s’asseyant en face de lui.

Ajustant son chemisier et sa jupe après sa course pour être à l’heure, elle releva sa tête vers son ami :

« Alors ! Comment tu vas ? » s’exclama-t-elle avec un grand sourire.

(Invité)

Ayant sorti ton téléphone pour consulter tes mails en attendant l'arrivée de la belle Charlie, tu relevas très rapidement la tête lorsque tu aperçus une tête rousse entrer dans le café. En moins de deux secondes, ce fut confirmé : il s'agissait bien de ta douce Charlie. C'est fous parce que ça faisait déjà un an que vous vous connaissiez et tu l'adorais énormément. Le temps passe vite. Encore plus lorsqu'on est en bonne compagnie. « Charliiiiiiiie ! » s'écria-t-elle en arrivant près de votre table. « Il ne faut plus qu’on attende aussi longtemps pour se voir ! » grogna-t-elle alors. Elle avait amplement raison. « J'avoue que c'est pas normal que deux potes comme nous ne se voyons pas plus souvent ! » rigolas-tu, tout en étant bien sérieux dans ce que tu disais. La belle rousse replaça ses habits et releva la tête vers toi. « Alors ! Comment tu vas ? ». Tu souris. Comment ça ne pouvait pas aller auprès d'elle ? « Ça va tellement bien, si tu savais ! » dis-tu, le souris fendu jusqu'aux oreilles. Vraiment, t'étais heureux là. Et rien ni personne ne pourrait te piquer ton bonheur.

(Invité)

Tout en s'installant, elle écoutait Charlie. La joie du Dunster rayonna sur l'Irlandaise qui sourit à son ami, heureuse d'entendre qu'il allait aussi bien.

« Ohhh, ça ça cache plein de belles aventures ! » répondit-elle. « Raconte-moi tout, je veux savoir ! » intima-t-elle, déjà impatiente à l'idée de savoir ce qui pouvait rendre son ami d'aussi bonne humeur.

Les gens heureux suffisaient à Charlie pour la rendre elle-même heureuse. Elle avait toujours fonctionné ainsi. Elle cherchait à faire sourire et rire les autres pour que, alors contents, ils lui transmettent leur joie. Elle n'était jamais plus contente qu'en face de quelqu'un qui exprimait son bonheur, comme en cet instant - sauf peut-être sur des planches de théâtre.

(Je savais pas si je devais répondre ou laisser Charlie W. répondre mais c'est fait. *PAN*)

(Invité)

Charlie's.

Aujourd'hui, le jeune Wilcox n'avait pas eut cours. Enfin, un jour de repos bien mérité qui lui permettait de faire ce qu'il souhaitait. Et étant inscrit dans un club de photographie, il avait donc passé sa matinée à prendre des photos dehors, bien que la météo soit capricieuse ce jour-là. Il était donc rentré à la Winthrop House en prenant soin de les trier. En ce moment, un thème était posé, et il comptait bien y participer. Il avait finit par manger au alentours de midi, avant de s'y remettre mais cette fois-ci sur l'ordinateur. Il n'avait pas réellement prévus quelque chose et c'est pour cette raison qu'il avait finit par sortir de nouveau, afin de prendre l'air et prendre son temps dans cette ville. Après tout, il n'avait pas encore visité les moindres recoins, il était temps de remédier à ce problème. Se mettant en route, en prenant soin de prendre son téléphone portable, il commença son chemin à pied. N'étant pas très loin du centre-ville, il préférait utiliser ses pieds. De plus, ce n'était pas le temps qu'il lui manquait. Après plusieurs minutes de marche, il arriva dans le centre ville. C'est là que commença ses découvertes au niveau des magasins ou bien des coins sympas comme des cafés. C'est d'ailleurs dans l'une d'entre elle qu'il s'y aventura en ayant dans l'optique de prendre une bonne boisson chaude. Une fois à l'intérieur, il ne prit pas la peine de regarder dans le magasin, bien trop occupé à faire la queue afin d'atteindre la caisse. Une fois son chocolat chaud dans une main, ainsi qu'un beignet dans l'autre, il s'apprêtait à repartir, quand son regard tomba sur une personne qui ne lui était pas méconnue. Si il s'en souvenais bien, c'était le copain d'Emrys. Enfin, le terme exacte, était petit copain. Il se souviens du jour, ou son mentor lui avait apprit, c'était à l’hôpital, il était en quarantaine et cela ne l'avait pas plus choqué que ça. Restant sur place dans un premier temps, il se mit à réagir seulement quelques minutes plus tard. « Héé. Charlie ? »

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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« Ohhh, ça ça cache plein de belles aventures ! » Bon Dieu que tu l'aimais ta petite Charlie rouquine ! Elle était si expressive, si drôle. Tu souris. « Raconte-moi tout, je veux savoir ! » Tu passas une main dans tes cheveux, ce sourire satisfait toujours collé aux lèvres. Tu pris une grande inspiration avant de dire, doucement... « Eh bien, figure-toi donc que Charlie est maintenant en couple ! » Pour certain, être en couple était une chose banale, ordinaire. Mais pour toi, c'était tellement formidable. Ça avait tellement pris de temps avant qu'Emrys et toi vous mettiez officiellement ensemble... Tu as longtemps pensé que vous deux, ça ne pourrait plus marcher... Et pourtant. Tu ricanas doucement, heureux d'avoir pu mettre au courant la violette. La connaissant, elle serait tellement heureuse pour toi. Alors que tu t'apprêtais à lui demander si elle, elle avait du neuf, tu entendis une voix s'adresser à toi. « Héé. Charlie ? » Tu souris à l'attention de l'interlocuteur. « Oui ? » Tu ne le reconnaissais pas... Était-ce normal ?

(Invité)

Quand Charlie lui annonça qu’il était officiellement en couple, la rousse ne put retenir un cri de contentement. Parce que ça ne pouvait désigner qu’une seule personne : il était en couple avec Emrys ! Son petit écrivain préféré et le fantastique Dunster ensemble, l’Irlandaise était inévitablement heureuse pour eux. « Mais c’est fantastiquue ! Enfin ! Je suis super contente pour vous deux ! Pourquoi je l’ai pas su avant, hein ? » s’enthousiasme-t-elle tout en donnant un coup sur l’épaule de Charlie pour ne pas l’en avoir informée plus tôt. « T’avais peur que je sois trop insupportable à te crier de joie dans les oreilles ? » glissa-t-il finalement avec un sourire plus doux. Sen enthousiasme était souvent débordant et excessif, elle-même finissait par s’en rendre compte. Alors qu’ils parlaient, un garçon les interpella. Charlie, par réflexe, se tourna vers le jeune homme et lui répondit, bien qu'interloquée : « Euh... Oui ? » alors même qu’elle ne le connaissait pas puis, voyant que le Dunster avait répondu elle se rendit compte que ce n’était pas à elle mais à l’étudiant qu’il s’adressait.

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Charlie's.

A sa question, le Dunster lui répondit, suivit de la jolie rousse qui se tenait en face de lui. Sur le coup, le jeune Wilcox pensait à une mauvaise blague de la part de celle-ci, mais il ne s'y attarda pas, reprenant très vite la conversation qu'il avait engagé avec le Charlie qu'il connaissait pour le moment de vue. Voyant qu'il ne le regardait d'une manière intrigué, Charlie se mit à émettre un léger rire avant de se présenter. « Je m'appelle Charlie, tout comme toi. Tu ne dois certainement pas me connaître, mais je suis le bizut de ton copain, Emrys. Je ne pensais pas te rencontrer un jour. » Affirma-t-il ravit de sa trouvaille du jour. « Mais, je ne vais pas m'attarder, je ne veux pas vous déranger. » Affirma-t-il en se retournant cette fois-ci vers la jolie jeune femme, toujours là, attentive à ses paroles. Il avait cette impression à présent, d'être tombé comme un cheveux dans une soupe. Il venait de couper une conversation et cela le gênait réellement, de toute manière, il pensait bien le rencontrer un jour, en compagnie d'Emrys, si possible. Dire qu'il leur avait avoué cela, lors de sa quarantaine, un endroit plutôt bizarre pour exposer son homosexualité. Mais cela lui allait. Charlie n'était pas un conservateur, loin de la, il était principalement pour que les temps changent, et que les gens qui s'aiment, puisse l'être sans contrainte.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

(Invité)

La belle rouquine n'arrivait plus à contenir sa joie lorsque tu lui avouas être enfin en couple. « Mais c’est fantastiquue ! Enfin ! Je suis super contente pour vous deux ! Pourquoi je l’ai pas su avant, hein ? » Tu ne pouvais plus t'empêcher de rire. C'était digne d'elle, ça. « T’avais peur que je sois trop insupportable à te crier de joie dans les oreilles ? » Tu riais encore puis soudain, un jeune homme vint vers vous en ne disant rien d'autre que [color:b6ee=b40a0a]« Héé. Charlie ? ». La Lowell et toi aviez tous les deux manifesté un signe d'intérêt. L'homme sembla visiblement... perturbé ? Oui, on peut dire ça ainsi. « Je m'appelle Charlie, tout comme toi. Tu ne dois certainement pas me connaître, mais je suis le bizut de ton copain, Emrys. Je ne pensais pas te rencontrer un jour. » Alors là, c'était le comble ! Tu ne pus t'empêcher de rire, quitte à passer pour un gros impoli. « Mais, je ne vais pas m'attarder, je ne veux pas vous déranger. ». Oh mais non ! Il n'était pas obligé de partir. « Attends, Charlie ! » dis-tu, toujours en riant, pour le retenir de partir pour de bon. « C'est juste ultra cocasse parce que Mademoiselle ci-présente s'appelle aussi Charlie ! » dis-tu pour expliquer la raison de ton fou rire incontrôlable. « Et je suis ravie de te voir. Toujours heureux de rencontrer les amis d'Emrys... Et encore plus heureux de savoir que je ne suis pas que son " ami ". » dis-tu en souriant, ayant ravalé ton rire. Ça te faisait vraiment plaisir de voir comment ton copain te présentait maintenant aux siens. Tu n'étais pas son ami, ni son... ex. Tu étais son petit-ami. Ça te faisait vraiment une fleur sur le coeur.

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