Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Calypso) that was the worse idea ever !
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(+ Calypso) that was the worse idea ever !

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Thaïs ne savait pas pourquoi elle se payait un tel culot mais qu’importe, puisqu’elle ne pouvait pas joindre Priape au sujet d’une question de la plus haute importance, son dernier recours résidait en sa petite amie, Calypso, qu’elle avait cherchée une bonne partie de la journée avant qu’une âme charitable ne lui ait signalé où elle se trouvait. Cette dernière était tout simplement à son casier, en train d’y ranger ou d’y prendre des livres très probablement mais qu’importe, la jolie irlandaise ne comptait pas la déranger longtemps bien au contraire, et être aussi furtive qu’une brise hivernale en pleine contrée sibérienne. « Bonjour… je suppose que tu es Calypso, je suis désolée de te déranger mais je n’arrive pas à joindre Priape au sujet d’une question médicale relativement importante et je me demandais si tu pouvais simplement lui passer le mot… » Pas de fioritures, pas de salamalecs insupportables, rien de sinistre en somme. Il faut dire qu’elle était bien assez honteuse d’en être réduite à déranger sa copine, inutile en prime de se rendre ridicule en lâchant des paroles ronflantes n’ayant pas lieu d’être ! Restait à savoir si cette demoiselle allait lui offrir cette faveur, ou bien prétexter être occupée et pressée. Mais dans un cas comme dans l’autre, Thaïs était bien loin de s’imaginer la tempête qu’elle allait justement déclencher…
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Une journée comme une autre, monotone comme jamais avec de la biologie partout. Dieu ce que je détestais cette matière, et encore plus le professeur qui me l'enseignait. Je sortais la mine résignée de l'amphithéâtre afin de prendre mes livres pour réviser à la bibliothèque, ma meilleure amie depuis que je suis à Harvard. Je déambulais à travers les couloirs pour me rendre à mon casier qui se trouvait dans un coin de l'établissement éloigné de ma salle de classe malheureusement. J'étais enfin arrivée à destination et j'ouvrais la porte grise du casier, mais avant que je ne puisse repérer les livres en question, j'entendais quelqu'un me parler, une voix féminine que je ne connaissais pas. Je passais la tête derrière la porte, où une jolie blonde m'expliquait qu'elle devait parler à Priape à propos d'un conseil médical. Je fronçais les sourcils, je connaissais cette jeune femme, mais d'où... Et puis j'ai eu une illumination : Ariane, ou plutôt Maëlys, je comprenais alors qu'elle était cette fameuse Thaïs, une personne peu fréquentable tout comme sa meilleure amie. Alors comme ça elle connaissait Priape, il manquait plus que ça. Je fermais violemment la porte de mon casier sans lui répondre, j'étais pas énervée mais rien que sa présence me dérangeait, ce n'était pas que les paroles de ma soeur... je ne la sentais pas, point, j'étais peut-être influencée mais je ne voulais pas y réfléchir. Si c'est si important que ça, tu n'as qu'à appeler un vrai docteur, et éviter de me déranger par la même occasion. J'étais franche, trop même, mais qu'importe.
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Aouch. Cette nénette ou comment l’art et la manière de recevoir façon Mister Freeze puissance mille. Thaïs eut un léger mouvement de recul face à ses propos, ne comprenant guère l’origine d’une telle animosité alors que la demande formulée était polie. « Ça t’aurait tué de feindre d’être au moins un brin aimable ? » répliqua-t-elle sur le même ton, particulièrement froid et distant. Si elle voulait jouer à ça, il n’y avait aucun respect qui tienne, l’irlandaise jouerait de sa fierté ancestrale avec un plaisir non dissimulé. Thaïs s’étonnait presque que Priape, lui si sympathique et avenant, puisse s’entendre avec une vipère de ce genre mais après tout… la beauté ne se mange pas en salade, même celle à l’intérieur. « Tu ne connais pas ma question alors ne m’envoie pas péter sans même savoir, à moins que le fait d’être complètement idiote et de désirer le rester soit ton trip ? Auquel cas mille excuses votre majesté ! » reprit-elle, sourcils froncés, mains serrés contre sa canne d’aveugle, devenant définitivement de plus en plus allergique à la connerie humaine. « Je peux au moins savoir ce qui me vaut le plaisir de ton amabilité légendaire ? Tu ne me connais même pas ! » Du moins, c’est ce que la jolie irlandaise pensait, dans sa grande naïveté. Avec le recul, sûrement aurait-elle mieux fait de fermer sa gueule et museler son inquiétude latente…
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