SKYLER Z. I. BOROWSKI ► gabriella wilde.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle tash et j'ai 16 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à ma mémoire, je le connaissais déjà.  Il me tentait depuis un moment alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Gabriella Wilde comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr/bazzart. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲  :bruno: 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

► THIS IS ME.
Mon prénom c'est Skyler mais mon père et toute ma famille d'ailleurs, m'appelle Zenia. C'est mon deuxième prénom, et ils l'adorent. En plus, ils disent que comme ça, ils se démarquent, ils ne me nomment pas comme tout le monde. "Parce que quand on t'appelle Zénia, tu es rien qu'à nous" qu'ils aiment dire chez moi, à Varsovie, où je suis née. Oui c'est bien cela, je suis polonaise. C'est mon pays natal, mais j'ai du sang américain du côté de ma mère.  Je suis née avec une cuillère en or dans la bouche et je l'assume. J'assume de faire parti d'un monde de luxe, d'argent. Je n'ai pas peur de le dire, ou de le montrer. Mon père m'a toujours habitué au luxe, à avoir les plus belles choses, les plus chères, à côtoyer des personnes du même milieu.. J'y suis née, j'y est vécu toute ma vie et j'aime ce monde où l'argent n'est pas à compter, où je peux avoir tout ce que je veux. Car oui, mon père m'a toujours tout donné, tout ce que je demandais. Faites moi passer pour une capricieuse, je le suis. Je le sais. Et je l'assume, encore une fois.

► TURN AROUND, EVERY NOW AND THEN I GET A LITTLE BIT LONELY.
Allez-y, allez dire à une jeune fille de 11 ans à peine, que sa maman est morte. Allez lui dire, qu'elle n'aura plus de figure maternelle pour l'élever, que celle qui l'a mise au monde n'est plus. Dites-lui et dites moi comment elle réagira. Moi je vais vous le dire. D'abord elle ne va pas comprendre, elle va être triste car elle va voir les gens pleurer pour sa mère autour d'elle, sans savoir pourquoi. Puis sa mère va commencer à lui manquer, elle va se demander pourquoi elle n'est plus là, quand est-ce qu'elle rentrera à la maison, quand est-ce qu'elle la reprendra dans ses bras ? Puis au fil du temps, elle s'habituera à cette absence, à ce manque, à cette souffrance. Et là, ce sera trop tard. J'ai perdu ma mère à l'âge de 11 ans, elle avait un cancer. C'était une battante, elle se battait contre sa maladie depuis un an, mais cette connerie aura été plus forte qu'elle. J'étais beaucoup trop jeune pour perdre un parent. Mais c'est comme ça, c'était écrit. Et il faut faire avec. C'est toujours la première chose que j'évoque lorsque je parle de moi, je parle de ma mère. Je lui dois la force que j'ai aujourd'hui, probablement. Ce caractère de battante qui me couvre, me protège, je l'ai eu grâce à elle.

► I CAN'T REMEMBER TO FORGET YOU.
Une fille n'oubliera jamais son premier amour, jamais. Il s'appelait Klemens. Il était le fils des meilleurs amis de mes parents, ou plutôt de ma mère. Je le connaissais depuis toujours. Je suis tombée folle amoureuse de ses mots, de son odeur, de sa beauté, de sa façon de pensée, de sa manière de me regarder. J'aurais tout donné pour lui, tout. Il est le seul homme que j'ai jamais aimé, il avait tout. C'était mon idéal masculin, le seul capable de me faire sentir d'une manière dont seul lui avait le secret. Avec lui c'était magique, je vivais pleinement. Seulement voilà, après plus d'un an de relation, l'amitié qui liait ses parents à mon père s'est brisée, pour une histoire d'argent. Les parents de Klemens ne lui ont pas laissés le choix, il devait me laisser. Et comme un lâche, il ne s'est pas obstiner. Il a obéit. Evidemment que j'aurais tout fait, tout donné pour lui, pour le garder avec moi mais il ne s'est même pas battu, pas une seconde pour nous. Et le pire, c'était que je ne pouvais pas me résoudre à l'oublier. Je le voyais chaque jour, chaque jour il passait devant moi, sans me regarder. Comme si il n'y avait jamais rien eu.. J'ai eu tellement mal, il m'avait brisé le coeur. Et depuis ce jours là, je me suis promis de ne plus jamais aimé un homme comme j'ai aimé Klem. J'ai juré de ne plus jamais être faible face à un homme.