« the legacy of a family, a dynasty. »La Grèce, pays des mythologies grecques, résidence des dieux, une forme de connaissance qui ne s'expose pas dans cette réalité, les seuls dieux grecques sont ceux de la dynastie d'Oldenbourg. Je suis né à Athènes, dans cette immense empire qui a su régné de générations en générations jusqu'à arrivé à celle de mon grand-père, Michel de Grèce, prince de Grèce, une vie compliqué qui le mène à être déshérité en 1965 de cette place au trône qui lui était destiné mais deux générations plus tard, l'héritage de la dynastie se poursuit, un héritage qui m'est propre. Propre à moi comme à mes deux frères ainés mais de part leurs choix et de la voie qu'ils ont suivit, il ne reste plus que moi comme digne successeur au trône, un héritage qui me rend fier et qui me rend digne. J'ai toujours été bercé dans ce monde de la plus haute bourgeoisie, de la plus grande richesse, une famille aux valeurs et aux principes qui ont fondés une image de cette société et de cette politique des plus importantes. Je ne manquais de rien, j'avais tout ce que je désirais, j'avais une éducation parfaite, cette éducation qui se veut représentative de la puissante famille Mirzayantz, respectant les règles, les valeurs et les principes de cette famille, je pouvais me considérer comme possesseur d'une enfance parfaite et heureuse. Plus les années passaient, plus je ressentais le fardeau continuel qui reposait sur mes épaules, me préparer un jour à accéder au trône. Une voie déjà toute tracée par mes parents, de ce fait, une obligation à être présent lors des soirées mondaines organisées par ma famille tout comme d'autres familles de ce même milieu social, une idée fixe de projeter cette image non seulement dans tout le pays mais également ailleurs, à l'étranger, sur la majeure partie des autres continent donc autant dire que j'en ai vu du pays, je passais beaucoup plus d'heures à prendre l'avion pour voyager que passer des heures à profiter d'Athènes, je ressentais par là un manque de liberté, ce ressentis de liberté que j'avais plus jeune, où je n'avais pas à m'en faire, où je pouvais profiter de ce qu'on m'offrait mais maintenant, cette époque s'éloigne et ce sentiment reste son ombre.
« a legacy challenged, clean to a rebellion. »
Je n'étais plus un enfant chouchouté qui obtenait tout ce qu'il voulait de la part de sa famille, des autres, elle est maintenant loin cette époque, je suis arrivé à ce stade où je me rend compte de beaucoup de choses, où je ressens vraiment sur mes épaules, le poids de cet héritage, où je me pose des questions sur le fait d'en être vraiment digne ou non, je doutais encore plus avec ce ressentis de manque de mes parents, toujours occupés à droite et à gauche à régler les affaires du pays, à parler politique , économie et j'en passe, j'avais vraiment cette impression de passer en second, j'ai toujours été le centre de leur attention plus jeune, leur priorité et maintenant je dois attendre, faire avec cette idée que je ne suis pas né dans n'importe quelle famille, la famille la plus puissante de Grèce et me rendre compte que c'est un privilège comme un inconvénient, diriger un pays est une lourde tâche pleine d'obstacles mineurs comme majeurs qui entraine des conséquences capable de rendre plus compliqué une vie, comme là, s'occuper plus du pays que moi, et au fond je l'accepte pas. C'est peut-être pour ça que je suis entré dans cette période d'adolescence où ce sentiment de liberté veut revenir, où ce sentiment de rébellion apparait, où nous voulons tout faire sans que personne ne nous dise rien, j'ai traversé cette période tout comme mes parents, et c'était eux les plus touchés, je me vengeais sur eux en allant à l'encontre de leurs règles et de leurs principes, une chose qui en soit était assez dérangeante, connaissant l'image de notre famille, ce n'était pas fait au hasard, je voulais reprendre ma place à leurs yeux, la première place et non la seconde, redevenir le centre de leur attention. J'ai réussis, je suis redevenus leur centre d'attention, toutes ces absences en cours qu'ils remarquaient, ce lycée qu'ils payaient une fortune pour que mon éducation soit excellente, j'en étais conscient et je pouvais être considéré comme chanceux, avoir autant de résultats excellents et passer le plus clair de son temps en dehors du lycée, peu comprenaient, mes parents également lorsqu'ils recevaient mon bulletin et j'en profitais, rajoutant des couches, ne respectant plus leur couvre-feu, leur répondant lorsque je devais me taire, toutes sorte de choses rebelles qui m'ont forgées un caractère beaucoup plus trempé qu'avant mais rien ne dure, je suis revenu bien vite à la raison, et à l'importance de ce rôle dans cette famille dont j'ai hériter.
« it is time to be worthy of the legacy, to accept the significance. »
Après les études dans le secondaire, je devais me concentrer sur cette voie qui me fut tracé de toute pièce par mes parents, particulièrement mon grand-père, clairement je n'avais guère le choix, oui je pourrais l'avoir, étudier dans l'université que je veux, étudier dans le domaine d'études que je souhaite, c'est ce que j'aurais fais dans cette période d’insouciance qu'était l'adolescence, j'ai dix-huit ans maintenant, je sais que je veux être sincèrement digne de cet héritage et donc accepter malgré moi de partir à Harvard, l'université la plus populaire et réputée du monde. Des études uniquement ciblées sur la politique, le meilleur domaine d'études selon ma famille et le seul que je peux accepter, je ne veux plus aller à l'encontre de tous ces principes avec lesquels je vis et même si au fond, quelque part, je ne me sentais pas à ma place dans mes premiers pas en tant que politicien d'Harvard, j'ai su y prendre goût, m'y intéresser et accepter ce choix d'études qui, au final, je ne regrette vraiment pas. Si je me suis vite intégré au sein du campus non pas seulement grâce à mon nom de famille ou mon compte en banque mais bien parce que j'avais envie qu'on me connaisse dans cette université, qu'on sache qui je suis et de quoi je suis capable, qu'à travers moi, se transcrive toute l'image de ma famille qui plus est puissante, influente, riche, respectable et j'en passe, j'apporte les valeurs et les principes qui lui sont propres et je fais tout pour faire en sorte que cette famille soit fière de moi.
« hard times, a legacy more complicated that it looks. »
Maintenant sept ans que je suis ici, toujours dans ce seul domaine de politique, toujours à garder l'image propre de ma famille avec ses valeurs et ses principes, certaines choses ont changées, d'autres non, d'autres sont survenues comme cet affreux attentat à la bombe, une période où je n'avais pas été là, une période où en Grèce, un aide plus qu'urgente fut nécessaire à ma famille pour gérer les affaires d’État en particulier une crise économique touchant la totalité du pays, une absence de quatre mois, impossible de gérer ça d'ici, et lorsque je suis revenus, je fus mis aux nouvelles et à la connaissance de cet attentat, je me sentais blessé, blessé de n'avoir rien pu faire, blessé psychologiquement bien que physiquement tout soit intact, je connaissais la plupart des victimes, je fais quelque part en moi le deuil de toutes ces pertes désastreuses mais comme toujours je garde pour moi, je me tais et j'avance, je sais que jamais je n'oublierais cette période de ma vie, aussi bien pour avoir aider à gérer cette crise en Grèce, qu'à revenir en Amérique et se prendre une balle en pleine tête. Je n'ai pu donner qu'une importante partie de ma fortune personnelle pour les fonds à la reconstruction des dégâts matériels tout autant désastreux, en particulier les bâtiments majeurs du campus, l'argent ne fait pas le bonheur, elle y contribue et j'ai voulus y contribuer pour montrer que moi aussi bien qu'absent je sois en deuil sur les conséquences de l'explosion de cette bombe ici et que ce ne soit pas que personnel, et j'ai mis les quelques mois qui suivirent à remonter la pente avant de continuer à avancer comme toujours. Maintenant une année vient de débuter, ma huitième, j'ai encore du mal avec cette crise économique qui ne cesse de briser à petits feux mon pays, essayer de la gérer un minimum les premiers mois ici ont étés faciles mais plus ces mois défilaient et plus l'urgence de revenir au pays était nécessaire. Deux nouveaux mois à régler les affaires du pays, à rassurer ceux qui désespèrent, à gérer les frustrations et j'en passe, un boulot de monstre que ma famille n'aura jamais pu apaiser sans mon aide et je suis touché d'entendre à chaque fois qu'ils sont fiers, les motivations ne manquent pas pour qu'à Harvard, je surpasse l'excellence et ainsi deviennent vraiment digne de l'héritage que la dynastie d'Oldenbourg m'offre. Je viens de revenir, deux jours tout au plus, un nouveau mal s'est rependu dans ce mois de janvier, une épidémie à surpassé bon nombres d'étudiants comme de citoyens et maintenant qu'elle est terminée, je dois de nouveau faire face aux conséquences et justement avancer et continuer dans ce chemin qui me rapproche toujours plus du trône de Grèce.