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Bonnie regardait la pendule dans le salon de l'appartement où elle se trouvait : 03h12
Le temps passait si vite! Cela faisait déjà plusieurs heures qu'elle se trouvait chez cette personne dont elle avait oublié le nom et qui fêtait elle ne sait plus trop quoi. D'ailleurs elle s'en fichait royalement. Si elle était venue à cette soirée, c'est parce que ses potes qui étaient invités lui avaient avertis qu'ils y aurait de quoi faire là bas. Et ils ne lui avaient pas mentis: Les bouteilles vides éparpillées sur la table collante, les mégots abandonnés, cette odeur de weed qui embaumait l'air, tout était propice à la fête!
Elle n'était pas venue gratter l'amitié à quiconque et s'en foutait éperdument de tous ces friqués qui se saoulaient au champagne ou se défoncaient le nez à la coke dans la salle de bain marbrée. Elle venait pour s'amuser et consommer gratos. Elle en était déjà à son énième verre, et n'éprouva aucun remords à éteindre sa clope contre le canapé en cuir blanc.
Son ivresse commencait à partir peu à peu et elle commencait à s'ennuyer. Elle s'assit à la table. Des téléphones derniers cris étaient posés sur la table. Quand Bonnie s'ennuyait en soirée, elle était agacée. Pauvres gosses de riches! On ne vous a jamais appris à ne pas laisser traîner vos affaires ? Elle prit deux portables et les mis dans les poches de sa blouse en cuir. Elle les vendrait pour se payer sa futur conso, étant donné qu'elle était toujours un peu à la dèche.
Elle se leva et s'affala sur le canapé, cherchant en vain de quoi s'occuper. Ouais mais non, elle s'emmerdait à cette soirée de bourges. Elle vit une fille vomir son vin blanc sur sa robe en velours noir, et soupira. "Bon dans 5 minutes, je me tire d'ici..." se dit-elle.
Le temps passait si vite! Cela faisait déjà plusieurs heures qu'elle se trouvait chez cette personne dont elle avait oublié le nom et qui fêtait elle ne sait plus trop quoi. D'ailleurs elle s'en fichait royalement. Si elle était venue à cette soirée, c'est parce que ses potes qui étaient invités lui avaient avertis qu'ils y aurait de quoi faire là bas. Et ils ne lui avaient pas mentis: Les bouteilles vides éparpillées sur la table collante, les mégots abandonnés, cette odeur de weed qui embaumait l'air, tout était propice à la fête!
Elle n'était pas venue gratter l'amitié à quiconque et s'en foutait éperdument de tous ces friqués qui se saoulaient au champagne ou se défoncaient le nez à la coke dans la salle de bain marbrée. Elle venait pour s'amuser et consommer gratos. Elle en était déjà à son énième verre, et n'éprouva aucun remords à éteindre sa clope contre le canapé en cuir blanc.
Son ivresse commencait à partir peu à peu et elle commencait à s'ennuyer. Elle s'assit à la table. Des téléphones derniers cris étaient posés sur la table. Quand Bonnie s'ennuyait en soirée, elle était agacée. Pauvres gosses de riches! On ne vous a jamais appris à ne pas laisser traîner vos affaires ? Elle prit deux portables et les mis dans les poches de sa blouse en cuir. Elle les vendrait pour se payer sa futur conso, étant donné qu'elle était toujours un peu à la dèche.
Elle se leva et s'affala sur le canapé, cherchant en vain de quoi s'occuper. Ouais mais non, elle s'emmerdait à cette soirée de bourges. Elle vit une fille vomir son vin blanc sur sa robe en velours noir, et soupira. "Bon dans 5 minutes, je me tire d'ici..." se dit-elle.
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