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(+ emrys) give me a ticket to an airplane, I ain't got time for a fast train.

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Charys


Tu toussais à t'époumoner. C'était terrible. Toi qui n'avait pas l'habitude d'être malade, voilà que tu te retrouvais en quarantaine. C'était complètement débile, presque absurde. Seulement, tu ne pouvais pas revenir en arrière et même s'il y avait eu quelque chose à faire pour empêcher cette épidémie de t'atteindre, il était déjà trop tard. Ce qui te faisait le plus suer dans tout cela c'était que ton homme, ton charmant et si aimé Emrys était aussi cloitré dans cet hôpital maudit et tu n'avais aucun moyen pour aller le rejoindre. Et s'il ne savait pas que tu y es aussi ? S'il se demandait pourquoi tu n'étais pas venu le voir depuis quelques jours déjà ? Et s'il pensait au pire ? Rien qu'à penser à cela, ça te faisait si mal au coeur. Ça te faisait rager, même. Toi qui avait l'habitude d'être en contrôle de tout - ça on le sait - tu te retrouvais alors dans une situation carrément impossible à vivre. Alors que tu commençais à te remettre difficilement de ta toux, tu entendis une infirmière parler à un patient. Curieux, tu tendis l'oreille pour entendre ce qui se disait. Quoi ? Vous pouviez rendre visite aux autres malades ? Pas convaincu de l'exactitude de ce que tu venais entendre, tu l'abordas lorsqu'elle eut finit de parler à la jeune femme malade près de toi. Eh bien oui. Tu avais bien compris ! Tu pouvais désormais rendre visite à Emrys. Et le plus beau dans tout ça, c'est que tu pouvais le faire du même côté de la vitrine que lui. Une lueur d'espérance éclaira alors tes yeux lorsqu'on t'expliqua la marche à suivre pour aller le voir. Après quelques minutes, tu fus déjà devant la porte de la chambre de quarantaine du deuxième étage. Tu pris une grande inspiration avant que l'on ouvre la porte et te fasse rentrer. Aussitôt, tu reconnus ton amoureux, au loin. Tu t'approchas de lui et lorsqu'il releva la tête, il te reconnut à son tour. « Hé. » dis-tu simplement, doucement, une fois près de lui.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Le silence d'une salle endormie entre maladie et médicament de fou prescris, je ne savais plus quoi faire de ma vie. Je restais assis sur mon lit en tailleur, incapable de savoir quoi faire de moi. La vie semblait maussade, ni Charlie, ni Priape ne semblait revenir me voir et ma dernière visite remontait donc à celle de Némésis récemment mais moi, ce que je voulais par dessus tout : revoir mon frère, revoir mon homme mais ça semblait impossible. Peut-être était-il malade mais je n'en savais rien et ça me rongeait de l'intérieur : je n'espérais rien en tout cas. Je vagabondais par instant dans la salle avant de me rassoir puis m'allonger comme un masse et regarder le plafond blanc maussade de la grande chambre d'isolation d’hôpital.Un sourire en pensant à lui, un sourire en imaginant ses lèvres sur les miennes, ses mains sur mon corps, de me foutre en lui, de l'avoir simplement à mes cotés, de vivre à ses cotés. Plaisir d'imaginer mon frère dans ma vie de nouveau pouvant alors me serrer dans ses bras. Je rêvais de trop de chose et ça me rendait toute chose : une larme coula sur mon visage signe d'une profonde nostalgie, d'une profonde tristesse et je fis alors surpris, mon cœur se mit à battre à l'écoute d'une simple salutation. Je me relevais avec difficulté ouvrant les yeux et tombant face à un homme de bout, mon homme. Je le sentais s'approcher. J'étais assis et mes jambes se trouvaient de chaque coté de lui si il avançait un peu plus. Je ne savais plus si on avait le droit de s'embrasser et la peur de lui faire du mal en l'embrassant me poussa à me forcer à ne rien faire et à dire avec un sourire et les yeux pleins de larmes qui semblaient briser le cœur de l'homme de ma vie : Salut toi ... Je comprenais aussi, en me rappelant des dires des medecins ; que les seuls pouvant rentrer étaient aussi des malades, d'autres vagues et je grimaçais en me disant que cela voulait dire qu'il était malade. Je portais ma main à ma bouche et pleurais plus réellement : lui ne m'avait jamais réellement vu pleurer. J'étais un peu l'homme dans notre histoire, je crois et là, je passais clairement pour la bonne femme. Tu es contaminé ... j'suis sur que c'est de m faute, Charlie ... je t'ai ... je t'ai porté la poissé ; Putain ! J'avais gueulé le dernier mot et frappais le poing sur mon lit où je restais encore assis.
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Tu pris une très grande inspiration lorsque ses yeux se posèrent finalement sur toi. Ça te faisait tellement plaisir de le revoir. De pouvoir être aussi près de lui sans qu'une vitre immense se mettre entre vous deux. Oui, d'accord... Vous étiez à présent tous les deux malades, mais tu t'en moquais. Tu t'en moquais parce que là tu avais envie l'opportunité d'être près de lui. Près de l'homme qui, quelques jours plus tôt, t'avais fait une sublime déclaration d'amour empreinte de tant d'émotions. « Salut toi ... » dit-il doucement en réponse à ton simple « hé ». Ton regard valsait sur son corps. Ça faisait tellement plaisir d'être là. Et jamais tu n'aurais cru dire une telle chose. Tu te trouvais dans un hôpital, après tout. Pourtant, en sa présence, tu semblais tout oublier. Tu semblais oublier tous ces mois passés à essayer de le rattraper, à essayer de le faire parler... Tu oubliais aussi tous ces baisers volés qui ne voulaient rien dire en apparence... Vraiment, en sa présence, tu perdais tout repère. Sauf un : celui qu'est l'amour. Puis son expression faciale changea. Il commença à pleurer. Ça te chamboula au plus haut point. Mais pourquoi avait-il tant de peine ? Il porta ensuite sa main à sa bouche, comme pour se retenir. Bon sang, Emrys. Pourquoi se met-il dans de tels états ? « Tu es contaminé ... j'suis sur que c'est de m faute, Charlie ... je t'ai ... je t'ai porté la poissé ; Putain ! » Son dernier mot fut marqué par un coup de point sur le matelas de son lit. Tu secoua légèrement la tête en t'approchant de lui. Tu vins même prendre sa main pour l'enrouler de la tienne, tandis que l'autre se posa doucement sur sa joue. « Emrys. T'y es pour rien, arrête. » Tu pouvais facilement comprendre que depuis le temps, Emrys avait apprit à tout mettre ce qui arrive aux autres sur sa faute. Prenons juste Eliah. Il n'avait pas voulu la laisser parce qu'il ne voulait pas lui faire de la peine... C'était la preuve qu'il avait un énorme coeur. Peut-être bien trop énorme, aussi... « Je t'aime. C'est pas grave. On va s'en sortir. » dis-tu en flattant délicatement sa joue pour le consoler.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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