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The Harvard Crimson
Trois ans que tu n‘es plus là.
On avait seize ans la première fois que nous nous sommes rencontrés, je m’en souviens parce que j’ai l’impression que c’était hier. Tu n’as jamais vraiment oser m’avouer tes sentiments, car tu sortais avec ma meilleure amie dans ce temps-là. J’étais jalouse, oh que oui … même un peu de trop, mais je n’ai jamais rien dit, car pour moi, ma meilleure amie est sacrée, je ne peux pas lui faire du mal. Seulement, je ne pouvais plus me mentir à moi-même, c’est pour ça que j’ai accepter de sortir avec toi en cachette jusqu’à ce que tu te décides à lui dire. Tu n’as pas eu besoin de le faire, elle la découvert toute seule et je pense qu’elle s’en doutait au fond d’elle. Sa remonte à plus de douze ans cette histoire. Et donc on a commencer à vivre notre histoire au jour le jour sans se soucier de ce qu’il y avait autour de nous. Puis un jour, tu m’as annoncé que tu quittais Hollywood pour t’installer à Harvard, car tu comptais y faire des études de droit. C’est avec le consentement de mes parents que j’ai décider de te suivre. Notre histoire est faire pour durer je le sais.
Nous avons surmonter toutes les épreuves qu’il fallait, beaucoup de haut et de bas, mais ont a toujours fait qu’un. Ici à Harvard, tout le monde nous connait et la plupart connaissent notre histoire, j’ai bien dis la plupart. Certains ne savent pas ce qui nous est arrivés et puis … TOI … ton enlèvement. J’ai remarquer que tu ne rentrais plus à la maison, je m’inquiétais … et puis, j’ai commencer à signaler ta disparition à la police. Et pour eux, ça avait tout l’air d’un enlèvement. J’ai pleurer, je ne me suis jamais arrêter de pleurer, même aujourd’hui j’en pleure encore. On nous as retiré notre vie, notre histoire d’amour, nos rêves … on m’as tout enlever à moi. Ce que je souhaite le plus au monde à l’heure actuelle c’est pouvoir te retrouver et te serrer fort dans mes bras et ne plus jamais te lâcher.
Cela fait maintenant trois ans que tu es partis, au fond de moi j’ai la forte impression que tu n’es pas loin, que tu n’es pas mort … Ton cœur, c’est mon cœur aussi … je sais que tu es vivant, je le sens. Je t’aime à la folie mon amour, j’aimerais tant te retrouvé et construire cette famille qu’on voulait tant. Je ne cesse de penser à toi, s’il vous plaît rendez-le moi !Linda Khaléanne Everly.
© Mise en page par Honney-Floop.
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