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(+ James Willliam) Allo docteur...

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Voilà une semaine que je m’étais blessée au genou lors d’un entrainement en vue d’intégrer l’équipe de natation des Etats-Unis pour les prochains mondiaux. La blessure n’était pas très importante mais surtout gênante car je devais laisser mon genou au repos le plus possible –et pour une personne aussi hyperactive comme moi, autant dire que c’était presque me demander la lune. Pourtant, j’avais réellement fait un effort mais je crois que le médecin qui m’avait examiné aurait pu me demander de faire le poirier que je l’aurais fait. Il avait un de ces charismes mais aussi une voix… Bordel, je me serais prostituée dans une autre époque rien que pour pouvoir passer cinq minutes avec lui. Je devais me reprendre où mes anciens démons allaient se réveiller et je m’étais juré d’arrêter d’être aussi faible devant le sexe opposé. Des fois, je me demandais si mon ancienne « moi » n’avait pas été nymphomane mais j’aimais l’idée de me dire que j’avais choisi mes amants tout de même. Penser ainsi me donner toujours l’impression d’être un peu schizo sur les bords mais non, j’étais juste une pauvre amnésique qui devait faire face à son ancienne réputation de Marie couche-toi là. J’en déprimais toujours autant même un an après l’avoir découvert. « Bonjour… on avait convenu d’un rendez-vous pour mon genou » m’adressais-je à l’homme en question après avoir passé la tête par l’entrebâillement de son bureau. Sa secrétaire était absente de son bureau alors je m’étais permise de frapper directement. « Je peux repasser si vous êtes occupé ! » ajoutais-je néanmoins avec un charmant sourire.



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William était confortablement assis à son bureau. Il revenait de l'hôpital après avoir fait une opération sur une petite fillette de 7 ans toute la matinée. Il adorait comment il jouait avec son horaire. La matiné était réservée pour les chirurgies, la journée pour l'enseignement, et entre tout cela, il avait ses consultatations dans son bureau à l'hôpital aussi. C'est vrai qu'il avait très peu de temps pour lui-même, pour se reposer, mais c'était son choix. Il adorait travailler, garder son cerveau toujours fonctionnel, se donner des défis, être sous le stresse. C'était sa raison de vivre. Enfin, ça, ainsi que sa famille. Il regrettait de ne pas pouvoir passer plus de temps avec son petit Maxim qui venait d'avoir 1 an, mais la vie d'un père monoparental n'était pas si facile que cela, et Maxim allait l'apprendre de la manière forte. Il fit un appel à la maison, demandant à sa mère comment allait sa journée avec Maxim. Ses parents étaient à la retraite et dédiaient à présent leur temps à garder Maxim. Il venait à peine de raccrocher qu'on cogna à sa porte. Il fut surpris de voir la jolie tête de Wilhelmina entrer. Il avait complètement oublié qu'elle allait passer cette semaine pour faire un suivit de sa blessure. Il se leva. « Ah! Miss Frost, non ça va, je peux m'occuper de vous. » dit-il, l'invitant à entrer dans son bureau puis refermant la porte derrière elle. Mentalement, il rigola à sa phrase car il avait des sous-entendus en tête lorsqu'il disait "s'occuper" d'elle. Il l'invita à prendre place sur une chaise face à son bureau et il s'assit sur sa grande chaise en cuir. « Ce ne sera pas bien long, laissez-moi ouvrir un dossier rapidement. » Il sortit un dossier vite et des papiers qu'il rempli légèrement avant de lui tendre. « Vous n'avez qu'à remplir les informations générales, pendant que je vous pose quelques questions. Prenez votre temps, rien ne presse. » dit-il avant de prendre une autre feuille pour noter. « Alors, comment va votre genou depuis? Vous ressentez une amélioration ou non? » Il l'observa de son regard bleu perçant, ses yeux parcourant chaque détails de son visage. Il avait flirté avec elle la semaine passée, et ce n'était qu'une question de temps avant qu'il ne recommence aujourd'hui aussi. Cependant, il resta professionnel pour commencer afin de ne pas détruire non plus sa réputation de médecin.
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Arrivée devant le bureau de ce médecin à la voix profonde et captivante, je restais un peu interdite en voyant le bureau de son assistante vide. Que devais-je faire ? Attendre qu’elle revienne ou toquer à la porte ? C’est que je ne voulais pas non plus poireauter durant des heures et des heures. Aussi pris-je le pli de frapper à la porte du docteur Thomas. Ce dernier vint m’ouvrir. Il semblait avoir oublié notre entretien mais m’assura qu’il allait quand même s’occuper de moi. Aussitôt des imagines interdites me passèrent devant les yeux mais je les réprimais rapidement. Bon sang, ne pouvais-je pas réussir à me contenir cinq minutes devant un homme ? J’allais réellement finir par croire que j’étais nymphomane enfin l’ancienne Mina… Personnellement, je me sentais dotée d’une conscience mais aussi d’une certaine volonté –du moins aimais-je me faire croire à ce mensonge. « Pas de souci, j’ai tout mon temps docteur » murmurais-je en observant les yeux, essayant avant toute chose de ne pas le regarder. Voilà, si je le gardais éloigné de mon champ de vision, ces affreux titillements se calmeraient. Je m’asseyais donc sur un des fauteuils en face de lui, croisant les jambes avant de me pencher pour attraper le dossier qu’il me tendit. « Euh je vais essayer… » marmonnais-je car j’étais toujours aussi amnésique bien que j’avais appris par cœur mon passé médical en cas de besoin. C’était Trevor, mon beau-père qui m’avait donné ce conseil juste au cas où. « Il me tiraille toujours un peu quand j’insiste dessus comme lorsque je monte des escaliers ou que je fais des flexions mais sinon, il me fait beaucoup moins mal qu’il y a une semaine » lui répondis-je tandis que je poursuivais le remplissage de son fameux dossier. Je me détendais davantage à son contact, prenant un peu d’assurance bien que je restais sur mes gardes. Je devais absolument me contrôler à la fois pour mon estime personnelle mais aussi car je ne voulais pas non plus le mettre mal à l’aise.

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William l'écouta parler, et prit quelques notes. Évidemment, les gribouillages des médecins étaient toujours illisibles, et ça l'amusait quand quelques patients se forçaient à essayer de lire ce qu'il écrivait. Ce n'était pas des codes secrets pour leur cacher des trucs, même si quelques personnes pensaient cela. En générale, à l'hôpital, il prenait ses notes à l'ordinateur, directement dans le fichier du patient. Ainsi, le dossier se transmettait d'ordinateur en ordinateur, plutôt que d'attendre que le médecin dans telle salle finisse d'écrire son rapport puis traverse pleins de couloirs pour l'apporter à un autre médecin. Bref, il nota quelques trucs, puis se leva. Il fit le tour et tourna le fauteuil sur lequel était assise Wilhelmina. Il s'agenouilla face à elle sans un mot. « Je vais juste vérifier quelques petites choses. Pouvez-vous décroiser les jambes? » demanda-t-il en relevant son regard vers elle, un petit sourire en coin. Il déposa une main sur sa jambe blessée. Il glissa sa main le long de sa jambe. Il déposa son autre main sur le genou avant de soulever sa jambe quelques fois en touchant ici et là pour sentir comment sa jambe réagissait. « Est-ce que ça fait mal lorsque je fais ça? » demanda-t-il en baissant sa jambe tout en appuyant sur le côté de son genou. Il leva son regard vers Wilhelmina, passant inconsciemment une langue sur ses lèvres en admirant son joli visage.
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Assise bien sagement sur le fauteuil, je ne me doutais pas que quelques instants plus tard, j’allais connaitre la pire des tortures qui soit mais pour l’heure, j’étais en train de remplir le formulaire qu’il m’avait tendu. Les questions étaient précises et ne me posèrent pas trop de problème même si je remplissais par automatisme et non sans vraiment vivre ces détails. La seule chose que je pus dire sans me tromper et sans l’avoir oublié fut ma grossesse et mon fils de sept mois. Au moins, je l’avais vécu dans ma nouvelle vie. Mon responsable de maison –oui, je venais de faire le rapprochement dans ma tête ; se leva et s’approcha de moi jusqu’à s’agenouiller en face de ma petite personne. Je déglutis difficilement lorsqu’il me demanda de décroiser les jambes, le faisant presque machinalement avant qu’il ne commence son examen. Malheureusement pour moi, aujourd’hui, j’avais eu la connerie d’adopter la jupe si bien que je sentais concrètement ses mains sur ma peau ce qui m’arracha de longs frissons tandis que j’essayais de paraitre normale. « Un… un peu » bafouillais-je en le regardant droit dans les yeux, mon regard suivant cette langue qui se passa sur ses lèvres. Bordel, penser à quelque chose de gore pour faire passer l’envie… grand-mère en string dansant le twerk… euuurk songeais-je en mordillant la lèvre, les mains crispées sur ce fichu dossier que j’avais totalement oublié. « Est-ce que vous pouvez faire quelque chose pour me soulager ? » lui demandais-je avant que la connotation perverse ne me frappe, me faisant rajouter rapidement « pour mon genou »

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La soulager? Will eut un flash d'un sourire pervers aux lèvres qui se transforma rapidement en sourire professionnel. Il était amusé de la voir bafouiller une correction de sa phrase, gênée du premier double-sens. Il hocha de la tête, maintenant le regard de la jeune femme, puis dit d'une voix basse et grave: « Biensûr que je peux vous "soulager.." » Il allongea la jambe de Wilhelmina tout droit, et déposa son pied sur le 2e fauteuil face à elle. Il glissa sa main le long de sa jambe, remontant jusqu'à sa mit cuisse. Son regard se brisa de celui à la Dunsters, se posant sur sa jambe. Il massa doucement le haut de sa cuisse en maintenant une petite pression sur son genou, puis massa en descendant vers le haut du genou. Ses deux mains se baladèrent sur sa belle et longue jambe, et il n'avait qu'envie de la recouvrir de baiser. Il passa une de ses mains sur son mollet et et de l'autre main massa doucement les côtés de son genou, descendant vers le mollet. « Comment vous sentez-vous? » demanda-t-il en reportant son regard vers elle. Il continua de masser distraitement, remontant jusqu'à sa cuisse à nouveau, sous la limite de sa jupe.
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Pourquoi avais-je l’impression qu’il y avait un double sens à ses propos ? Je n’en pouvais plus, j’allais finir par exploser s’il continuait à me masser de la sorte surtout que je peinais à refreiner mes ardeurs. Le docteur Thomas ne pouvait pas savoir que j’étais ainsi faible face aux hommes sinon peut-être n’en aurait-il pas profité ou alors bien au contraire, se serait-il joué de ma faiblesse. Je perdais l’esprit, voilà, c’était tout simplement ça seulement comment pourrait-il en être autrement alors que ses mains n’avaient de cesse de parcourir ma jambe, s’attardant à nouveau sur ma cuisse qu’il me fallait me mordre fortement la joue pour ne pas gémir à la fois de plaisir mais également de frustration. Je désirais tellement plus que ces simples attouchements mais pourquoi bordel ne pouvais-je pas simplement être normale ? Y-avait-il ne serait-ce un seul petit bout de normalité en moi ? J’en doutais fortement. « B…Bien ! » bafouillais-je à nouveau tandis que je ne pouvais m’empêcher de gesticuler légèrement sur mon fauteuil tant j’étais en proie à un furieux et profond désir. Désir de ses mains, de sa voix, de son corps… J’étais totalement intoxiquée par ce désir. « Je… Vous me faites du bien » murmurais-je en rougissant furieusement tandis que je détournais le regard afin de ne pas craquer. « Est-ce que… hum.. mon genou va s’en remettre ? » demandais-je connement mais dans le but de parler, d’essayer de penser à autre chose qu’à cet homme si proche de moi.

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Il pouvait la voir fondre dans le fauteuil. Il sentait bien l'effet qu'il avait sur elle, et cela l'amusait plus que tout. Une si innocente et charmante étudiante de sa propre maison qui frémissait sous son toucher. Lorsqu'elle lui dit qu'il lui faisait du bien, il était partagé entre 3 réactions. La première était d'éclater de rire. La deuxième était de rouler des yeux. Et la troisième était de la soulever, la déposer sur son bureau et la prendre ici, maintenant. Il choisit de ne pas réagir et plutôt, il hocha de la tête distraitement. Est-ce que son genou allait s'en remettre? La main de William dépassa la limite de sa jupe, effleurant beaucou plus haut sur sa cuisse, et glisse à l'intérieur de ses jambes avant de redescendre. Prenant une voix grave et suave, il lui répondit dans un murmure: « Ça dépend, êtes-vous prudente? Ou bien.. » Il remonta sa main sur sa cuisse, poussant plus haut sa jupe. « .. êtes-vous insouciante? » demanda-t-il en se penchant près de son visage, son pousse caressant sa cuisse en traçant des petits cercles. Évidement, il ne faisait jamais le premier mouvement sur les femmes. C'était à prendre ou à laisser, sinon il pouvait très bien continuer sa vie. Cependant, il espérait qu'elle abandonne son petit masque bientôt car il n'allait pas continuer longtemps encore.
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J’étais peut-être trop portée sur le sexe mais une chose était certaine, il me faisait un appel du pied comme ce n’était pas permis et le pire dans cette histoire, c’est que mon corps lui criait de me prendre contre son bureau. Pourquoi n’avais-je aucune volonté propre ? Pourquoi ne pouvais-je tout simplement pas résister à un homme ? Charlie, un ami Dunster m’avait dit que mon célibat n’arrangeait en rien mes affaires mais comment trouver un homme qui accepterait ma condition ?! Oh sûrement ferais-je le bonheur d’un homme les premiers temps mais une fois crevé, il me jetterait pour une autre bien plus sage. J’en avais fait l’amère expérience surtout que mon statut de mère célibataire ne jouait pas en ma faveur. Enfin, je savais également que cet homme ne voyait en moi, rien d’autre qu’un plaisir éphémère et dans toute cette histoire, cette vision était partagée au combien même. « La prudence n’a jamais été mon fort » murmurais-je en le regardant cette fois-ci droit dans les yeux. Je savais que si je voulais calmer ce feu qu’il avait allumé en moi, deux choix s’offraient à moi : succomber ou fuir sous une douche froide. Et comment dire, je n’avais jamais aimé les douches froides ! « Je suis même plus qu’insouciante docteur » ajoutais-je avant de me glisser à genoux face à lui pour mieux lui ravir ses lèvres dans un baiser passionné. « Si je n’ai pas bien saisi les signaux, vaut-il mieux me le faire savoir maintenant sinon… » laissais-je planer la fin de ma phrase.

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