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You're always in my mind - Emrys & Némésis

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«You're always in my mind»

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    Elle n’avait pas cru d’abord que cela était vrai. Un rire avait percé à travers sa voix, puis elle s’était figée dans une expression d’inquiétude intense, ses lèvres pincées et rougies par l’émotion. Enfin, une fois arrivée, elle n’avait pas voulu rester plus longtemps, sans le voir. Juste le voir. Bien entendu, elle aurait préféré le toucher, l’effleurer, le serrer contre elle. Mais elle savait que cela serait impossible. Qu’elle ne pouvait pas céder à cette envie. Elle s’était excusée auprès de Priape, qui avait compris son inclinaison intense à vouloir le voir. Elle avait juste pris le temps de déposer ses affaires et était partie le rejoindre. Les couloirs étaient passablement effrayants, la maladie suintant de chaque mur. Elle réprima son envie de s’enfuir, l’endroit ressemblant à s’y m’éprendre au dépositoire où le corps de ses deux parents avaient été entreposés dans la salle de recueillement, afin qu’elle puisse leur offrir l’adieu qu’elle n’avait pu prononcer de leur vivant. « M. Zacharias. Emrys Zacharias. » On lui indiqua le chemin et elle s’éloigna promptement vers l’endroit. Et enfin, elle le vit. Blanc, maigre, affaibli. Il ne semblait pas la voir, ses paupières à demi-clauses. Elle continua donc à le contempler, à se remémorer chacun de leurs souvenirs communs, de leur amour, de leur attachement. A se rappeler combien son absence avait pesé…et  laisser ses larmes coulées d’émotions. Emrys…Elle toqua à la vitre, son cœur écrasé par la peur, par ses sentiments controversés et par l’horreur de cette situation. Puis elle déclara d’une voix tremblante, même si son ton se voulait humoristique : « Bah alors, chéri, tu te portes mal pour pas affronter ta cousine ? » Elle laissa échapper un rire qui se voulait vrai, mais qui sonnait faux à ses oreilles, assourdies par le choc de cette maladie, par les souvenirs qu’elle représentait. « Putain Em’… » De nouveau un silence. « Tu m’as manqué. » Elle ne dit plus rien, la situation se passant de mots. Il suffisait qu’ils se voient, qu’ils se regardent. Il suffisait qu’ils s’aiment.

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Des médicaments, enfin ! Je ne supportais plus l'enfermement et je pétais clairement un plomb ; oh certainement pas comme plus jeune quand je faisais limite des crises de panique à cause de mon père mais plutôt parce que là, j'étais clairement perturbé de ne pas voir la vrai lumière, celle du jour. Je tournais et virais comme un loup en cage sous le regard parfois médusé et énervé de mon meilleur ami Wyatt présent ici aussi parce que lui aussi voulait sortir : Nous étions comme des loups, clairement. Je ne savais plus quoi faire pour qu'il comprenne que les médicaments faisaient effet et qu'on commençait à aller mieux; qu'on devait rentrer chez nous. Non, apparemment, impossible ! Fallait tout gâcher dans nos vies jusqu'au bout du bout. Je pestais sans cesse, ne cessant jamais de jouer à mon manège infernal dans la salle nous regroupant tous comme dans une cage qui n'était meme pas doré comme le dirait l'expression. Je partais parfois faire quelques aller-retour au couloir des visites imaginant que je verrais mieux les gens pour les insulter et les forcer à nous faire sortir. Au bout d'un temps et d'un cinquantième aller-retour de cette simple journée, les yeux globuleux, on m'interpella d'une drôle de manière : « Bah alors, chéri, tu te portes mal pour pas affronter ta cousine ? » J'eus tout de suite le sourire, n'y croyant aucunement mes oreilles ! C'était impossible : elle était bien là et je me rappelais qu'elle devait venir, je me rappelais mais avec tout ça, la fatigue, la maladie et les nombreuses péripéties, ça n'avait pu que sortir de ma tete. Je fis volte-face et je fonçais vers la vitre montrant un sourire des plus radieux à la belle blonde qui était là pour moi, tentant de faire la joviale alors que très vite, je m’aperçus de sa tristesse surement de me voir ainsi. Trop de silence, elle coupait tout surement pleine d'émotions : « Putain Em’… » Un silence incroyable que je ne pus brisé trop occupé à la détailler et elle reprenait déjà, me rendant tout émotionné : « Tu m’as manqué. » Je laissais cette fois un sourire en coin s'installer sur mon visage encore fatiguait mais déjà animé d'une joie immense qui avait pris un coup en découvrant sa tristesse mais ne voulant plus ressentir de mal. Je posais ma main sur la vitre comme imaginant la toucher pour lui sauter dans les bras. C'était quand meme Nemesis que je voyais quoi ! Je pris enfin la parole, inspirant bien fort ayant une periode où j'avais si mal à la gorge que je ne parlais plus et j'en avais presque perdu l'habitude ; J'suis tellement heureux de te voir là ... Je laissais un silence s'intallait, grimaçant en pensant au lieu de nos retrouvailles. Oh surement pas ici que j'aurai voulu, c'est clair mais j'suis heureux, t'peux pas savoir ... Je la regardais toujours, la détaillant comme ayant peur de trouver un indice sur le fait qu'elle n'était pas là, qu'un hologramme se trouvait face à moi ; une mauvaise blague et que ma joie n'était pas fondée ; clairement, je n'espérais pas. Je riais lègèrement ; simplement expression d'une joie que je n'avais pas eu depuis la visite de mon homme. Dis-moi que tu restes, dis-moi que tu vas rester, nem' ? Avais-je dit en faisant les yeux de chiens battus.
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    Sa main se posa sur la vitre, et elle y mit la sienne, récréant un toucher qui ne pouvait persister à travers les barrières. Elle soupira, fixa son regard dans le sien et analysa ses moindres détails. Nota les évolutions de ses traits. Les stigmates de sa maladie mais aussi du passé. Emrys avait dû affronter tellement d’horreurs, que son enfermement en quarantaine sonnait comme une ultime injustice. Il avait le droit à plus, à mieux. Il devait atteindre le bonheur absolu. Atteindre l’explosion de joie. Ne plus jamais souffrir. Voilà, ce qu’elle souhaitait pour lui. « J'suis tellement heureux de te voir là ... » Elle sourit, ne pouvant plus rien prononcer, tellement l’émotion serrait sa gorge. Tellement sa voix se brisait à l’idée d’être là, en face de lui. Il grimaça et elle ferma sa main, crochetant la vitre comme dans l’espoir de l’effleurer juste une fois. « Oh surement pas ici que j'aurai voulu, c'est clair mais j'suis heureux, t'peux pas savoir ... » Oh si, elle savait parfaitement. Elle n’avait pas besoin d’explications, elle comprenait les sentiments qu’il pouvait avoir. Mieux encore, elle les partageait. Elle laissa échapper un sanglot, dévoilant les fragilités qu’elle s’efforçait à cacher, puis elle replongea son regard dans le sien.

    « Dis-moi que tu restes, dis-moi que tu vas rester, Nem' ? » Elle hocha la tête, les larmes coulant abondamment sur sa peau nacrée. Elle n’était pas une pleureuse, elle ne se plaignait rarement. Mais, elle n’arrivait plus à résister aux assauts diverses que lui faisait la vie. Et même si, aujourd’hui, elle était heureuse à en crever, il y avait tout le reste qui remontait à la surface et lui indiquait la perte, la souffrance, la douleur qu’elle avait connu. En voyant Emrys, elle voyait aussi Thalya, Artémis, Denys. Elle voyait aussi ceux dont la présence formait un trou béant dans ses entrailles. Ceux qu’elle ne pourrait jamais oublier. « Je reste Emrys. Je ne veux plus être loin de vous. Plus jamais. Vous êtes ma seule famille et cela fait déjà bien trop longtemps que nous vivons séparés. Tu comprends hein ? Plus jamais. » Elle sourit. « Mais, avant tout, je veux tout savoir mon Emrys. Tout savoir sur ta vie, sur tes amitiés ici, sur tes amours aussi hein ! » Il faut dire que Némésis n’avait pas eu véritablement l’occasion de se renseigner sur la vie sentimentale de son cousin. Prise dans le tourbillon des événements, elle en avait perdu les questions les plus élémentaires, se concentrant sur d’autres choses. « Je veux tout savoir mon chaton… ! »

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Oh elle hochait la tete : voulait-elle me répondre oui à ma dernière question ? Je t'en supplie Nem' dis moi oui, je souriais en imaginant sa réponse positive mais je sentais aussi son émotion qui l’empêchait de faire beaucoup de chose en réalité. Je détestais la voir pleurer si bien que je ne pus m’empêcher de rajouter tout de suite en la regardant, attendri : ne pleure pas, s'il te plait ... d'un air tout à fait désespéré tandis qu'elle semblait réaliser qu'elle me voyait là, les larmes ruisselantes sur ses joues blanches. Je ne savais pas si elle allait bien, si elle pleurait de joie face à nos retrouvailles ou de tristesse face à l'enfermement que je subissais ou bien les deux peut-être. Je restais choqué devant elle et réellement attristé. « Je reste Emrys. Je ne veux plus être loin de vous. Plus jamais. Vous êtes ma seule famille et cela fait déjà bien trop longtemps que nous vivons séparés. Tu comprends hein ? Plus jamais. » Mon coeur s'emballa ravi de cette superbe nouvelle et je ne savais quoi dire de plus que la regarder simplement pour ce moment tant elle me réjouissait par ces dires mais j'étais faible, fatigué encore si bien que je ne voulais pas faire entrave à ma guérison en faisant la cinglée. « Mais, avant tout, je veux tout savoir mon Emrys. Tout savoir sur ta vie, sur tes amitiés ici, sur tes amours aussi hein ! » Ouais, je n'avais pas le temps de parler qu'elle recommençait déjà me dire tout ce qu'elle souhaitait, à s'intéresser à moi comme je la connaissais si bien. Elle était presque à mes yeux une hyperactive alors qu'on la considérait pas comme cela mais moi, je la voyais comme ça par rapport à moi car elle était toujours sur mon dos à vouloir tout savoir ; magnifiquement drôle ! Je me contentais de bouger la tête, surpris en touchant la vitre, ne semblant réaliser que je l'avais en face de moi. Elle me répéta qu'elle voulait tout savoir et je souriais clairement avant de reprendre, fatigué mais tellement heureux qu'on l'entendait dans ma voix parfois presque brisée ; Je ne sais pas quoi te dire ... Avais-je dit irrévocablement géné de devoir parler comme ça simplement de moi et ça elle le savait. Un sourire, mes joues qui s'empourprent d'un rouge vif et je reprend doucement : J'ai eu tellement de chose ... J'suis sorti avec Eliah mon ex copine, on est allé jusqu'à se fiancer puis je l'ai quitté pour mon ex Charlie que j'ai a vrai dire toujours aimé mais que je voulais toujours renié, tu m'connais ? Je passais ma main dans mes cheveux avant de reculer doucement pour m'appuyer contre le mur du couloir des visites et simplement la regarder en disant : Je sais pas quoi te dire, c'est seulement y'a peu de temps qu'on s'est mis ensemble puis sinon ... je ... la vie est dure mais je ne veux pas plus épiloguer moi ça me déprime alors que toi, je pense aimer que tu me racontes tes histoires ! Un sourire, je lui montrais dans la lueur de mes yeux mes attentes folles de récits de sa vie, ma chère jumelle, je voulais qu'elle me dise tout.
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