DANYKA JEAN ROSSDALE ►Cailin Russo

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Soreal et j'ai 20 ans. Je suis parisien et j'ai connu le forum grâce à une pub sur tf1.  Somptueux alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Caillin Russo comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ I'm back bitches
   Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
    être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
    participer à la roulette RP (?)

Il fut une période ou j'étais une enfant heureuse, et pleinement épanouie. J'avais un papa, et une maman, rien de plus normal me direz-vous, pourtant à l'heure actuelle, ce n'est plus du tout le cas. Je repense souvent à mon passé, à tous ces souvenirs qui me pousse à me questionner sur le pourquoi du comment. Comment en sommes nous arrivés là ? C'est une question dont je pense au fond avoir toujours su la réponse, seulement j'étais bien trop lâche et égoïste pour l'admettre.

Je suis née dans l'une de ces typiques familles conservatrices de Dallas. Nous étions une famille plutôt atypique comparé au autres du pays, mais cela ne m'avait jamais posé problème. Je suis la deuxième de la famille, j'ai un un grand frère.

Malgré le petit écart d'âge, on partageait tout ensemble, une relation presque fusionelle. J'étais si jeune et innocente. Pourtant ma jeunesse fait partie des plus beau souvenirs de mon existence, une famille aimante et soudée, tout ce dont un enfant peux rêver. Malheureusement comme on dit, les bonnes choses ne durent jamais.

C'est l'annonce du divorce de mes parents qui marqua une rupture entre ces si beau souvenirs, je me souviens avoir été dévastée par le divorce de mes parents. Pourtant avec le recul, je me dis que cette nouvelle n'avait été que inévitable, depuis mes 16 ans, nos parents ne faisaient que de se disputer à longueur de journée, des moments très difficiles pour nous, mais qui ne m’empêchait cependant pas de penser et espérer qu'ils resteraient ensemble. La réalité finit par me frapper en plein visage et ce fut très dur. Je me souviens encore avoir vu mon frère s'enfuir de la maison en courant ce soir là, moi en revanche j'avais lâchement simulé une compréhension, puis étais tout de suite retournée dans ma chambre. C'est à ce moment là que j'ai commencé à me plonger dans l'écriture, c'était pour moi un moyen de me couper du monde réel et de me plonger dans les rêves que décrivaient mes fictions.

C'est durant ce temps que là que lui et moi commençâmes à nous éloigner, il était extraverti, et moi beaucoup plus renfermée sur moi même, cela finit par créer une distance entre nous. Une distance d'autant plus grande quand notre mère rencontra un nouvel homme, William. Contrairement à lui j'étais heureuse de cette nouvelle, je voyais en ce beau-père un nouvel espoir heureux pour notre famille, tout allait enfin revenir comme avant. Malheureusement mon frère n'était pas de cet avis, et cela m'énervait. J'étais si obsédée par nous, que tout redevienne comme avant, que je ne mesurais pas les conséquences de mes actes. Cela eut pour effet de rompre définitivement tout lien entre nous, et cela à cause de moi.

Les années passèrent, et les choses ne s'arrangeaient toujours pas, mon beau-père s'était transformé en un homme agressif, il portait de plus en plus main sur ma mère, et peureuse comme j'étais, je n'osais parler. C'est le soir de mes 19 éme anniversaire, en pensant à mon frère ,que je me souvenu de ses dernières paroles, avant qu'il ne nous abandonne « Plus rien ne redeviendra comme avant, et tu diras pas que je t'avais pas prévenu ». Il avait eut raison, tout avait d'ailleurs empiré. C'est cela qui me donna le déclic de m'affirmer, j'avais laisser cette boule de rage en moi éteinte trop longtemps, et je savais qu'elle allait exploser. Je réussi à tenir tête à mon beau-père, en parvenant même à le clouer au sol, au passage. L'alcool le rendait si faible, que même un gamin de 8 ans était capable d'en finir avec lui. Quant à ma mère, elle prit la décision de rester à ses cotés, une volonté que j'eus du mal à comprendre, et dont je ne comprends toujours pas, mais qu'avec le temps j'ai finis par accepter.

Dorénavant, je vis ma vie comme je l'entends, je n'ai plus peur de dire ce que j'ai à dire, et plus rien ne m’effraie. C'est la raison pour laquelle j'ai prit la décision de poursuivre mes études en journalisme à Harvard, dans l'espoir de retrouver mon grand frère, qu'il me pardonne, et qu'il soit fière de la femme que je suis à présent.