Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJaspée - Je te hais de t'aimer autant....
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Jaspée - Je te hais de t'aimer autant....

Anonymous

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Je te hais de t'aimer autant....
w/ Jasper O. Ellington & Salomée Aaron-Merkel
Tu es belle,... aujourd'hui, tes cheveux sont raides, les boucles s'étouffent et tes prunelles brunes sont vides et fragiles, mais tu es belle, tu l'es toujours. Ironie ? Non, c'est vrai ! Tu marches lentement. C'est juste que les médicaments; ça te fatigue, c'est juste que ton père veut que tu reviennes, il préfère s'occuper de toi au Danemark. Souffle fragile. Froid. Sueur froide. Tu te demandes si Théo va bien, tu avais appris qu'il était lui aussi hospitalisé, tu as envie de le voir. Mais, bizarrement ce n'est pas à cause de lui que tu as demandé d'être accompagnée au cinquième étage, c'est pour quelqu'un d'autre. Ton cœur bat la chamade, le sait-il ? Ce stress qui t'environne chaque fois que tu essayes de la contredire, quand il te fait pleurer et que t'as envie de le haïr. Le sait-il encore...que tu l'aimes ? Pourquoi avoir besoin de le voir, sinon ?  Pourquoi se rassurer qu'il aille bien quand on est tout aussi fatiguée, se voir aussi fragile, touchée par une épidémie qu'on ne connait pas et rester enfermée dans cet enfer que l'on nomme l'hôpital'. Pourquoi avoir besoin qu'il te serre dans ses bras ? Pourquoi se dire...est-si je mourrais pourrait-il enfin me l'avouer ? Et si je retournes au Danemark. Cela voudrait dire qu'on ne se reverra plus. Tu as mal partout, mais tu avances nonchalante, tu ne regardes pas l'infirmière qui t'attrape doucement l'épaule pour te diriger. Celle-ci prolonge tes pas et son odeur médicale te chatouille le nez. Elle est équipée d'une combinaison et tu dégages tes épaules de son emprise, elle t'agace, t'as l'impression d'être un spécimen...quelque chose qu'on ne touche pas sans protection. Tu t'arrêtes en face de la vitre de cette grande chambre cherchant du regard celui que tu aimes...c'est idiot de dire ça...mais t'as besoin de le voir. Ton coeur te pince et avant même que tu ne réalises, elle a ouvert légèrement la porte pour te laisser passer...une heure pas plus...elle reviendra te chercher, tu acquiesces légèrement avant de pénétrer dans la chambre, il y a beaucoup de gens. Tu ne sais pas comment tu feras pour le retrouver, mais ça vient surement avec le coeur, on trouve toujours les personnes auxquelles on tient.
(Invité)
Jasper O. Ellington

Âge : 35
Lieu de naissance : Chicago.
Quartier d'habitation / Colocation : boston, dans un appartement sans âme mais avec jacuzzi (et avec Théa)
Situation sentimentale : l'éternel célibataire, qui s'est trop planté pour se lancer à nouveau
Études / Métier : directeur de la société Ellington, et expert en cybercriminalité
Date d'inscription : 14/05/2012
Pseudo & Pronom(s) IRL : GLEEK!
Icon : Jaspée - Je te hais de t'aimer autant.... 9b6b368b21641dd8170120f74e61c3248477cdf9
Faceclaim : Milo Ventimiglia
Crédits : fakementine avatar), lumos solem (gif profil)
Multicomptes : Billie & Horace
Description (1) :
Jaspée - Je te hais de t'aimer autant.... QIkbezwN_o
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Infos ancien étudiant, ancien président de la Dunster House ● a implanté une succursale de son entreprise à Boston ● a fait des études d'informatique & mathématiques appliquées ● petit génie en technologie & hackeur doué ● n'a pas toujours été riche, et ne l'oublie pas ● né à Chicago, a habité ensuite à N-Y lorsqu'ils ont élevé leur niveau de vie ● élevé par son père, sa mère étant morte dans un accident de voiture quand il était jeune, mais semble l'avoir oubliée ● il s'est avéré que sa mère était finalement morte en donnant la vie à Leyna, sa soeur ● voit la vie comme « marche ou crève » ● son père et lui possèdent une entreprise à N-Y, c'est là sa plus grande fierté ● croit à la réussite au mérite, et à la loi du Talion ● travailleur acharné, passionné, quasi maladif ● cherche à prouver sa valeur par tous les moyens ● sa seule crainte est d'être un fardeau ● doué en amitié, moins en amour, ayant une sévère tendance à se protéger de tout ce qui pourrait l'atteindre et le diminuer ● plutôt fêtard, malgré les apparences ● éternel optimiste ● ses vengeances sont glacées, et à couvert de l'anonymat derrière un ordinateur ● d'ailleurs, frôle parfois l'illégalité ● a hérité de quelques cicatrices et une perte de sensibilité dans les doigts à la suite de la bombe ●

Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

TRUE LOVE:

Warnings : addiction médicamenteuse, mensonge, ambition démesurée, relations amoureuses indécises et toxiques
RPS : 77
Messages : 24937
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Jasper O. Ellington
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Fiche de présentation : https://www.i-love-harvard.com/t8346-jasper-o-ellington-ian-hardingRépertoire rps : https://www.i-love-harvard.com/t133102-repertoire-de-jasper-co#5337312Fiche de liens : https://www.i-love-harvard.com/t57600-jasper-bang-bang-i-shot-you-down
Je te hais de t'aimer autant....
w/ Salomée Aaron-Merkel & Jasper O. Ellington
Son corps l'abandonne, il le sait, il le sent. Pourtant il est solide. Vraiment. Il a survécu à une bombe vous savez ? A une bibliothèque qui veut l'ensevelir, et des vitres qui éclatent. Des bouts de verres qui marquent à vie ce précieux corps, tatouent de minces cicatrices ses mains, ses bras et une partie de son torse. Jasper a eu de la chance, il le sait. Mais tout se paye un jour, et lorsque la mort vous laisse tranquille une fois, vous pouvez être sur qu'elle vous attends au prochain virage. On y est arrivé là, au moment des regrets, des « et si ? ». Qu'est-ce que tu aurais changé dans ta vie, si tu avais su que la fin était ici ? Sûrement que tu aurais été voir Salomée, dès que ton téléphone a vibré. Comme tu l'as fait pour Blaise, guettant de loin la silhouette assoupie de la belle. Mais non, il a fallut que tu attendes, attendes d'être malade, de ne rien pouvoir faire. Ca t'arrange au fond. Bien sur que ca l'arrange le lâche, lui qui craint de briser le peu de choses qui restent entre eux. Elle avait fermé le livre en claquant la porte de sa chambre, mais semblait en avoir re-feuilleté quelques pages en le choisissant comme personne à contacter. Lui ? Pourquoi lui ? Ne le savait-elle pas décevant ? Il avait des questions se bousculant derrière ses lèvres, mais tenait bien trop à elle pour lui imposer. Risquer une parole maladroite. Non, elle devait se battre contre ce virus, pas contre lui, pour eux.. peut-être un peu. Tandis que l'Homme faisait sa rétrospective, la Femme franchit la porte de sa bulle aseptisée. Ils pouvaient se mêler aux autres malades désormais, ce qui n'était selon lui, pas franchement bon signe. Enfin qu'importe, elle était là certes, mais sûrement pas pour lui. Qui qu'il soit, Jasper le déteste d'avoir le droit à un peu de sa présence, alors que lui doit se contenter de la suivre du regard. La fatigue a entamé sa démarche princière, mais elle reste la plus belle fille de la pièce. Dans un parallèle parfait et sans vraiment s'en rendre compte, il quitte son lit et sa conversation avec Leyna, restant dans les pas de la visiteuse. Et puis.. Jasper la voit perdre l'équilibre, chanceler, ou peut-être l'imagine-t-il seulement, quoiqu'il en soit, le malade supprime rapidement la distance entre eux. Son bras enserre sa taille, la maintenant contre lui, le dos féminin solidement plaqué contre son torse. Il y a quelques secondes, quelques secondes pour ressentir son cœur battant, de ceux assez solide pour sortir de cet enfer. Et il s'écarte, un peu maladroitement. « Hum.. désolé, je croyais que tu.. » Qu'elle allait quoi ? S’effondrer sans que personne n'intervienne ? Allons.. Se mordant l'intérieur de la joue, passablement mal à l'aise, il cède dans un souffle. « Bref, peu importe.. Vas-y, t'as qu'une heure. » Un vague sourire prend place sur ses lèvres, simple héritage de la politesse qu'on lui a apprit. Mais il sait qu'il n'a plus le droit de lui demander quelque-chose désormais, pas même quelques secondes de son temps.


(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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w/ Jasper O. Ellington & Salomée Aaron-Merkel
Tes yeux se fixent sur lui, embués de larmes...diront-nous. Ça te fait mal, ...c'est toi que j'ai envie de voir !as-tu envie de crier...c'est toi. Mais, les mots ne sortent pas, tu es tellement faible. Tu te penches contre son torse en respirant difficilement, quelques reniflements entre chaque larmes qui tentent de s'échapper de tes globes oculaires. Il a passé une main derrière ton dos en disant 'je crois que...'. Il croyait quoi...que tu chancellerais ? Même forte d'esprit...c'est ce que tu fais là pourtant, devant lui. Tu te reposes sur sa personne. Tu es tellement faible, tu ne peux plus lutter. Tu souris légèrement, c'est plus pour ne pas montrer cette vague d'émotion qui te surprend...même la mort peut te rendre moins impassible envers moi...Et si demain, je ne reviens pas ? ...tu feras quoi ?...vais-je un peu te manquer ?...Questions qu'elle se pose, questions dont elle n'attend pas forcément une réponse. Elle se détache de son torse, elle le toise, un regard accusateur, le sourire qui tremble. Un regard plus que fatigué. Salomée passe une main dans sa chevelure brune et puis son sourire se feint en quelque chose de différent, la petite courbe vers le haut devient une courbe vers le bas...Jasper,...elle est faible,...c'est toi...que...elle a faim et elle a surtout besoin de lui, d'eux. Salomée passe ses bras autour de sa taille et elle reste comme ça...parce que ça lui donne de l'énergie...c'est toi que j'ai envie de voir...elle se sent rougir. Rougir de honte, parce que même dans le pire des états, elle pense à lui. Salomée ne sait pas pourquoi, elle l'a choisie, pourquoi, il hante ses pensées. Mais, pour elle c'est le bon. Elle le sent, quand sa peau palpite d'excitation, cette joie à son contact, elle ne la ressent que très rarement. Mais, en sa présence, c'est tout autre...Ses doigts picotent lorsqu'elle prend ses mains, ...non, réellement, elle se sent amoureuse. Ça lui fait peur ! Elle ne sait plus quoi faire. Salomée a envie de voir son sourire, ses yeux qui brillent, elle a envie de l'entendre lui parler encore et encore. Elle a besoin. Avec ses maux de têtes qui n'en finissent pas, elle a besoin d'un arrêt sur image. Et ce doit être lui ! D'une toute petite voix, en retirant précipitamment ses bras autour de sa taille, elle marmonne...je n'ai qu'une heure après tout, peut-être est-il préférable que je rendes visite à quelqu'un d'autre ?.... Elle pense à Théo. Elia. Haytam. Puis, elle baisse d'un ton, tout calmement, elle dit : ...peut-être n'as-tu plus envie de me voir... Elle pense au baiser qu'elle lui a volé, un mois plus tôt.
(Invité)
Jasper O. Ellington

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Présent : ses services sont utilisés par la police dans des affaires de cybercriminalité, en échange d'un casier vierge ● il a apprit l'existence de Junon, son fils, avec le retour de Lomée dans sa vie ● Leandra était enceinte de lui, mais a perdu l’enfant lors de l’accident de métro ● ils ont rompu juste après, suite à la révélation de l’infidélité de celle-ci ● il a été en couple avec Alaska pendant quelques mois, jusqu’à ce qu’elle décide de partir à Londres.

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w/ Salomée Aaron-Merkel & Jasper O. Ellington
Allez, appuie-toi sur moi. Voit comme j'offre le repos entre mes bras qui jamais ne fléchissent. Salomée est fébrile, et même si cette défaillance avait été imaginé par un esprit trop inquiet, elle se réalisait maintenant. Et lui, pauvre hypocrite, avait un sursaut aux portes d'Hadès. Il essaye de calmer lui-même sa respiration, pour que celle féminine se cale dessus. Oh, il savait qu'il n'avait que trop rarement été signe d'apaisement pour elle. Pire, l'investigateur de perturbations. Mais là.. là, on ne joue plus. Parce qu'il n'y a pas de demain à penser, on oublie cette exigence de distance. Même, il veut qu'elle prenne ce qu'elle peut de force, tout ce qu'elle veut si ça lui permet de lutter encore. « Qui je vais pouvoir fuir si tu me laisses tomber ? » Tu comprends ce que je veux dire ? Je fais partie de cette putain d'équation. Tu existes, tu comptes. Me laisse pas tomber, j'ai besoin que tu restes dans mon paysage. « ..Jasper,...c'est toi...que... » Il inspire profondément. Les secondes sont longues, il s'accroche à ses lèvres. Allez, dit que tu vas pas me quitter maintenant. La voir tenir la main d'un autre, là, il supporterait pas. On dira que c'est la faute du virus, ça le rends chancelant. Enfin, disons que son humanité prends le dessus sur sa rationalité. Son crane est tellement martelé qu'il met de côté toute tentative de réflexion. Et sans réflexion.. ne restaient que les sentiments, cette faiblesse qui l'accroche à Salomée, qui reste un peu ballant quand la promise l'entoure de ses bras. Sous la chair, le cœur tambourine lourdement à un rythme irrégulier. A croire que la brune est plus rapide que la peste pour disloquer cet organe. « ...c'est toi que j'ai envie de voir... » Qu'il a l'air idiot le Dunster, à tenter de camoufler un sourire qui s'impose sur ses lèvres. Bien sur que ça le rend heureux, c'est tout ce qu'il voulait entendre. Sauf qu'elle se ravise, se séparant de lui brusquement et les joues encore rosées. Le front masculin se plisse un peu tandis qu'elle se dérobe, mais il la retient en saisissant sa main, liant ses doigts aux siens. Comme un signe qu'il n'est pas question qu'elle aille ailleurs. Son geste est vite suivit de mots : « Si c'est moi que t'as envie de voir.. reste. » Jasper comprends bien les raisons de son hésitation, lui-même s'obstine à ne pas y penser. A ne pas penser tout court. Et surtout pas à ce qu'il a ressentit au contact des lèvres de l'héritière, ni à la colère qui a suivit, qui le suis toujours. « On peut laisser les sujets qui fâchent pour l'extérieur.. J'ai pas envie de me battre.. » Admet-il dans un souffle, à voix basse. Sincèrement, Jasper était assez pessimiste sur la situation, et à ce stade, il n'imaginait plus tellement la sortie. Ne pouvaient-ils pas simplement faire comme s'ils étaient quelques années en arrière ? « S'il te plait.. » Allez, juste prendre le nécessaire pour se donner du courage, prendre le meilleur.

(Jasper O. Ellington)



deux verres vides et le bruit dehors, on habite dans un corridor, tu t'abrites dans ce faux décor. prends moi la tête tant qu'on peut encore, et dis-moi que c'est trop tard, je serais d'accord. deux pièces vides qui résonnent trop fort ; on habite dans un désaccord. - mentissa
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w/ Jasper O. Ellington & Salomée Aaron-Merkel

On peut laisser les sujets qui fâchent pour l'extérieur...Tu baisses ton regard en resserrant tes doigts entre les siens. Sans doute pour ne pas pleurer. Qu'est-ce qu'il veut dire par là ? Ce sujet l'énerve ? Il ne lui fait pas plus d'effet. N'a t-il pas ressenti ses papillons dans le ventre, cette excitation nouvelle, cette chaleur qui vous environnait ou même vos lèvres fébriles qui se laissèrent aller dans cet engouement nouveau...? Ça ne lui a rien fait ?! Pourtant, ça a un nom, pour toi... ce fut l'amour, pour lui... tout autre chose. J'ai pas envie de me battre...Mais, toi tu y penses toujours, ce baiser t'imprègne toujours...tu ressens encore ses effets. Tu as un air boudeur, il doit sans doute l'avoir remarqué parce qu'il murmure... S'il te plait...Ta gorge se noue et tu resserres encore plus ses doigts. Tu te retiens, mais c'est dur...tu renifles un peu. Mais les larmes, elles coulent toutes seules...c'est idiot, idiot ! Ça fait mal...non, en vérité, ce sujet, j'y tiens...tu es têtue, il le sait très bien. Mais, vous êtes sans doute sur le point de mourir ou peut-être même que tu devras retourner au Danemark, alors pourquoi hésiter. Tes yeux le toise un instant, ce genre de regard qui cherche encore un peu d'humanité en lui. Mais, tu es aussi fatiguée alors tu appuies ta tête contre son torse en passant tes mains derrière son dos...tu pleures doucement, puis maintenant, tu engloutis sans doute son pull ou son tee-shirt d'innombrables larmes chaudes qui ne s'arrêtent plus...je te déteste murmures-tu, ...je vous déteste Ellington...tu pleures encore en tentant de vivre ses mots, tu veux les croire, mais tu tousses. Puis. Tu te rabats sur lui en tapant fortement sur son torse. chaque coup représente ceux de ton âme, chaque coup est l'impact de ses anciennes paroles méchantes sur ton intériorité. Tu les extériorises, c'est ce dont tu as besoin, tu as besoin que ça sorte...j'ai envie que ça parte, murmures-tu...j'ai jamais demandé à t'aimer, ni rien...On n'aurait jamais du se parler, c'est ce que t'as envie de dire, on n'aurait jamais dû se rencontrer....j'aurai eu moins mal, t'aurai eu la paix...si ce n'était pas aussi fort pas...Tu es nerveuse, tout t'énerve et c'est sans doute les médicaments ou tes règles, mais certainement la frustration de se retrouver dans une cellule. Tu te calmes, ta respiration est haletante...tu ravales ta salive et tu le fixes du regard en remontant ton peignoir qui s'était glissé le long de tes épaules avec toute la grâce d'une princesse, la tête haute. Tu ne fais pas attention aux larmes qui coulent le long de tes yeux, tu t'éloignes de lui et tu dis...c'est bon, maintenant on peut parler de sujet moins fâcheux...c'est presque ironique...Mais, jamais...tu ne t'étais sentie aussi peu, aussi mal. Tant de frustration que tu lui avais fait ressentir.
(Invité)

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