ISA H. CONWAY ► James Franco

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Crossfire et j'ai 22 ans. Je suis Slave à penchant ouzbéquistannais et j'ai connu le forum grâce à moi.  Ca m'a fait bander, alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise James Franco comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Bazzart. Je fais environ 250-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ SLAVE SLAVE SLAVE
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

La rédemption

J'avais 19 ans, jeune étudiant en langue à l'université d'Harvard, j'avais rejoins les rangs de la Eliot House. J'm'y sentait bien, j'avais l'impression d'être enfin chez moi, c'était un endroit où je pouvais me reposer et y travailler pour réussir. J'ai pas toujours été cet homme sûr de lui, toujours prêt à baisser son froc pour fourrer le premier trou qui lui passerait sous les yeux. J'avais 19 ans, elle en avais 19 aussi. Elle s'appelait Maria, c'était une héritière espagnole, je l'aimais, putain, jamais je n'avais autant aimé quelqu'un. C'était elle, la perfection, la jolie brune au yeux clair qui faisait battre ton cœur. J'étais amoureux, pire qu'un petit canard. Tous ces mots rentraient dans mes oreilles tels de douces notes de mélodies, tout ce qu'elle pouvait faire était parfait pour moi. J'me suis laissé faire, marcher sur les pieds, la croyant sincère, je pensais qu'elle était cette jeune femme avec qui je pourrais me marier, avoir des enfants, faire ma vie tout simplement. J'avais tout préparer, une belle alliance, des pétales de roses de partout, et, poussant la porte de sa chambre d'étudiante, tout mon monde s'écroula. Elle était là, à cheval sur un autre gars bougeant son cul d'une façon qu'elle l'avait jamais fait avec moi. Je cris, je lui demande de m'expliquer, je vois le gars sourire, comme si il trouvait ça drôle, et, c'est à ce moment-là que ma vie changea. Je lâcha ces pétales de roses ainsi que l'alliance et je sauta sur le lit, poussant la jeune femme qui chuta par terre, regardant la scène de ces grands et beaux yeux vert. Mon poing heurta le visage du jeune homme, une fois, deux fois, trois fois... J'y trouvais un certain plaisir que je ne pourrais expliquer. La violence, la haine, ces sensations incontrôlables qui m'habitaient et qui allait faire de moi un homme, un vrai. Plus jamais je ne me laisserais marcher sur les pieds par une femme, plus jamais je les laisserais jouer avec moi, c'était à mon tour d'être l'enculé de l'histoire...


"Monsieur Conway, vous êtes viré ! Prennez vos affaire et sortez d'ici avant que je prévienne la police" Je remonte ma braguette et reprends les billets que je venais de poser sur le bureau du Doyen. Il me vire ? Sérieusement ? Tout ça parceque j'me suis fait filmer à une soirée étudiante en train de coucher avec une jeune femme, une étudiante pour le coup, et un peu plus tard sur la vidéo, on me voit me battre avec un jeune homme... Un étudiant aussi, pour le coup. C'est ce qu'on appel faire un combo non ? Comme quoi la réputation de l'université n'allait pas être glorieuse s'il tolérait un prof qui couchais et tappait sur ces élèves. "Bah allez vous faire enculez, le gamin l'avait cherché, j'étais obligé de lui en coller une ! Et la fille... C'était une chaudasse putain ! T'aurais fait la même chose à ma place mec, t'aurais senti sa langue sur ta queue t'aurais giclé direct ! Alors me reproche pas d'avoir assouvis mes tentations de mâle merde !" Je lève bien mon majeur face à son visage et je me casse de son bureau, claquant la porte derrière moi. Putain, j'ai plus de taf, j'vais surement me faire poursuivre par des parents pour agressions et baise sur mineur... Bordel, j'ai pas envie de finir en taule, faut que je trouve une solution. Alors j'suis rentré chez moi, et j'ai fais mes valises, un billet d'avion commandé sur un site de réservation, un appel passé à Harvard, et j'me retrouve dans le bureau du Doyen, que je connaissais bien vu le nombre de fois où il m'avait convoqué lorsque j'étudiais ici. C'était comme un retour au source, j'avais passé une dizaine d'année de ma vie dans cette université, et voilà que désormais, j'y postulais pour un poste de professeur. Job qui m'avait été donné après plusieurs minutes de discussion...

"Salut tout le monde ! J'me présente, Isa Conway, je serais votre prof de littérature cette année..." Je m'arrête un instant de parler, et je commence à marcher dans la salle, tournant entre les tables et les chaises. "C'est pas parceque je suis jeune que vous allez pouvoir me marcher dessus, compter pas là dessus... J'me suis fait virer de mon ancienne université parceque j'avais cassé la gueule d'un étudiant, alors n'essayez pas d'avoir le dessus." Je les mettais tout de suite dans l'ambiance, au moins, c'était clair et net, j'étais pas là pour rigoler avec eux et leurs faire rater leurs années. "J'suis là pour vous apprendre des choses, pour qu'on puisse débattre, partager ensemble ! Alors si vous me montrez que vous en voulez, j'ferais en sorte de vous aidez, j'peux être très cool, mais j'peux aussi être votre pire cauchemard..." Présentation faites, je retourne à ma place, j'vais pouvoir distribuer mes fiches et tout ça...

J'impose ma façon de voir la chose, j'me laisse pas faire, j'me laisse plus faire. J'ai mes méthodes d'enseignements, mes cours sont là d'être long et ennuyant, j'fais en sorte de les rendrent vivant, j'veux pas tomber dans une routine ou chaque année je répèterais mes cours des années précédentes, alors chaque jours, quelque chose de nouveau s'y ajoute, chaque jour, ma façon de faire et la tournure de mes phrases changes. Artiste raté tu es, artiste raté tu seras.

On peu facilement pardonné un enfant qui a peur du noir. La vrai tragédie de la vie, c'est lorsqu'un homme à peur de la lumière. Platon