Ellena L. Sutherland -> Elle Finning

Par une belle nuit, du 20 septembre 1993, un homme emmène sa femme jusque-là voiture, la faisant montait en vitesse, il la contourne, saute sur le siège du conducteur et à peine sa porte fermer qu'il démarre au quart de tour. Dans cette rue ni trop grand et ni trop petite, où une dizaine de maison tous plus étonnante les unes que les autres. Lorsque la voiture arrive devant ce grand bâtiment blanc, qui s'élève noblement dans le ciel sombre de la nuit. Des médecins s'empressent d'aider la jeune femme à descendre de la voiture et à s'asseoir sur un fauteuil roulant qui l'emmène tous droit vers la salle où elle va mettre au monde son enfant. Le jeune père, reste pourtant dans le couloir, sur l'ordre du médecin un ami de la famille.
 
Marchant de long en large dans le couloir, l'homme qui sera notre père dans quelques minutes, regarde la porte les yeux remplis d'anxiété. Après un temps qu'il trouva long, son ami sorti de la pièce et mon père compris d'un simple regard que rien ne pourrait ramener son enfant, lorsqu'il entra dans la pièce sa femme ne tenait pas un, mais deux petits bambins morts-nés. Les larmes coulaient sur son beau visage fatigué. Il essaya de la réconfortait, elle n'arrêtait pas de dire que tous était de sa faute, le jeune père lui dit que ce n'était pas de sa faute, qu'ils trouveraient un moyen, mais qu'un jour ils élèveraient leur enfant chez eux.
 
Une infirmière entra dans la salle suivie d'une autre, elle pris le jeune garçon des bras de sa mère et s'éloigna vers la porte. Un miracle se produisit, les deux enfants respirèrent dans un même mouvement et leurs cris résonnèrent dans la salle silencieuse. Les infirmières les portèrent dans une salle d'examen, où ils furent mis sous des branchements, car leurs respirations étaient hachées et difficiles.
 
Plusieurs années plus tard les jumeaux jouent sous le regard protecteur de leurs parents, notre frère commença à montrer des talents remarquables pour l'apprentissage de la musique, dès l'âge de 9 ans, il jouait dans des concerts. Nous l'avions suivi pour apprendre le solfège et le violon, mais nous étions moins douées que lui. Notre mère, une violoinste de rennomé, Arianna Bella Di Luca de son nom de jeune fille ou Arianna B. Sutherland et notre père, un grand juge lui aussi reconnue de tous pour avoir classer des affaires des plus complexe, Ethan G. Sutherland veillaient sur nous et nous encourageaient dans toute nos entreprise.
 
Mais nous étions tous les deux très doués dans tout ce que nous entreprenions. Nous étions complètement identiques dans notre physique comme dans notre caractère, vous me direz que c'est normal comme nous sommes des jumeaux, pourtant ils existent des jumeaux, de vrais jumeaux n'étant pas du tout pareille.
 
De la même taille, une silhouette élancée, des cheveux aux boucles d'or, entourant un visage au paraissait de l'innocence à chaque instant. Un visage fin, un petit nez aquilin, une bouche fine et rose et de grands yeux bleus cristal qui révèlent nos âmes gentilles.
 
Les années ont encore passée, le primaire, puis le collège, pour aller jusqu'au lycée. C'est vers ces années-là, qu'un terrible événement avait frappé notre famille. Pour la première fois dans notre courte vie notre père et notre frère s'étaient disputés, notre frère s'était alors enfui de la maison. Les heures avaient tourné, puis une journée, suivi d'une deuxième sans nouvelle de notre frère. Nous avons vu la colère de notre père retombait soudaine et son visage ravagé par l'inquiétude.
 
S'enfermant dans son bureau, il appela la police qui se mit à la recherche de notre jumeau. Les recherches durèrent un mois avant qu'on ne découvre vraiment ce qui était arrivé à Liam H. Sutherland, mon frère. Par un beau matin, mon père ouvrit une enveloppe, alors qu'il sortait la lettre des photos s'étalèrent sur le sol, nous les ramassâmes les yeux s'écarquillant à mesure que l'on comprenait les choses. Notre paternel lui avait les yeux rivé sur ces quelques mots:
 
" Si vous voulez revoir votre fils vivant, Livrait nous Marco Di Caprio, vous suivrez nos recommandations pour revoir votre fils vivant. "
 
L'enquête commença, la maison fut mise sur écoute, des policiers stationnaires devant la maison dans des voitures de civile pour notre protection et tout le tralala qui s'ensuit dans les films policiers. Ce n'est qu'une semaine plus tard que la police découvrit où était notre frangin.
 
Nous étions là lorsque qu'ils ouvrirent enfin la cabane ou devrions nous dire cette pièce exiguë. Ils ressortirent pour apprendre aux officiers rester dehors, la victime était seule. Les ravisseurs avaient pris le large. Nous réussîmes à passer entre les barrières et à entrer dans la pièce, ce que nous vîmes nous retourna le coeur. Notre jumeau était mort, son visage était crispé par la douleur, il était gonflé et porté diverses blessures venant dont ne sait où. Il était méconnaissable, mais nous l'avions reconnu par ses yeux aussi bleu que nos propres yeux et ses cheveux blonds, mais aussi à ce collier significatif en forme de clé de sol sertie d'une petite pierre bleue, le même que nous portions nous-mêmes. Notre regard se posa sur ses mains puis sur ses jambes, des doigts lui manquaient et l'une de ses jambes semblait avoir disparu. Mais ce n'est pas tous, des blessures bien plus horribles s'ancrèrent dans notre esprit. Des policiers nous poussèrent sans ménagement hors de la pièce cachant du mieux qu'ils pouvaient le corps. Ce fut la dernière image que nous avions de notre frère jumeau. Des cauchemars remplirent nos nuits depuis.
 
D'autres années se sont écoulé depuis cet événement qui détruisit notre famille. Nous avons passé le stade du lycée et somme partie à l'université plus précisément à Havard pour y étudier les langues et la littérature, mais aussi le journalisme. Notre but étant d'aider le plus de monde possible en utilisant nos qualités. Depuis un moment déjà nous travaillons dans différentes associations qui viennent en aide aux démunis, en créant des actions pour récolter des dons, nous avions même fait notre propre petit journal que nous vendions pour remettre ensuite l'argent aux associations. La main sur le coeur nous nous étions promis de continuer à aider les autres et à apprendre à jouer du violon toujours pour dépasser notre frère.