Noah Xander Viktor Petrov-Blackstone ✱ 25 Décembre 1984 ✱ Professeur de Psychologie et Sociologie depuis maintenant 3 ans et demi bientôt 4 ans en septembre 2014. A fait d'abord un travail de professeur suppléant deux ans à Oxford avant de venir ici pour être professeur titulaire. ✱ Parle couramment 3 langues ; l'Anglais, Le Russe et le Bulgare. Parle d'un niveau moyen 3 autres langues ; Le Français, L'espagnol et le serbe. ✱ Est né en Bulgarie et y a vécut avec son père jusqu'à la mort de celui-ci lors de ses 6 ans avant de partir rejoindre à Londres, résidence familiale Blackstone puis bouger partout en faisant ses études à domicile jusqu'à ses 16 ans ✱ Passionnée d'informatique et d'histoire. ✱ Aime étudier les gens sous toutes les coutures. ✱ Déteste faire comme tout le monde malgré sa passion des gens. ✱ Fumeur ✱ A fait de l'escrime. ✱ A 19 ans, il a été marié sur les conseils de sa bourgeoise de mère, presque de force, à une riche héritière Française. Il a apprit à la connaitre mais n'a jamais réussi à l'aimer de cette façon mais elle est devenue sa meilleure amie. Il a beaucoup souffert à son décès même si inconsciemment, il a connu sa délivrance en même temps. il s'est juré de ne plus se faire manipuler ou se faire dicter sa vie par sa mère. ✱ Il a des gros soucis de violence et ne sait pas d’où ils viennent du tout, c’est juste qu’il fait des crises de panique depuis petit et reste aussi un homme très violent bien qu’il n’est pour l’instant jamais frapper sa femme ou une de ses copines. ✱ Il est : Anticonformiste, Intelligent, Mystérieux, très sauvage, méfiant à l’extrême, Maniaque, Type gros nounours qui ne veut pas s’avouer, Perturbé, parfois méga Cynique, totalement stricte à ses instants, Bipolaire, … ✱ Il est aussi perturbé depuis le décès de son père qui est en fait mort assassiné par les agents de la mafia bulgare sous ses yeux et entendant la conversation, il a découvert des choses sur son père et sa mère qui l’ont traumatisé. Depuis il a occulté et c’est comme si il avait oublié par où tout a commencé ; le choc qui la fait devenir ainsi. (...)
CHAPITRE I : « Never forget, Mama love you and i love you too son »Tu regardes les images de ton livre avec une certaine nostalgie attendant patiemment que la femme qui te garde tout le temps dans l’espèce de manoir de ta famille, la famille Petrov, s’en aille. Tu ne la supportes pas ? Non, ce n’est pas le cas, mais ton unique but est qu’elle s’en aille et que ton père soit là. Tu ne lui en veux pas particulièrement, tu ne veux juste pas d’elle car elle ne te suffit pas, toi, tu veux Papa, tu veux Maman. Pourtant, ta mère est comme éphémère : Jamais là parce que son travail, ses voyages sont plus importants. Papa rentre tard et tente sans cesse de guérir tes maux, t’empêcher d’avoir mal parce qu’elle n’est pas là pourtant tu vois dans son regard grisâtre que son cœur est malheureux aussi. Deux riches à la mentalité complètement différente, deux Hommes complètement différent ; Maman est un bourreau de travail, obsédée par son argent ; Papa travaille pour s’occuper l’esprit, par respect pour ceux qui trime chaque jour et éviter l’injustice, pourtant ils aiment, d’une manière spéciale mais ils s’aiment et sans cesse, Papa te dit qu’elle t’aime, qu’il t’aime mais toi, tu ne sais pas quoi penser … A vrai dire, tu ne penses plus, tu ne penses pas … tu ne comprends pas, rien de plus …
CHAPITRE II : « Now, we are together and I will learn you what be a rich and wonderful man is»Tes yeux se ferment se collant légèrement par les larmes qui coulent. Tu ne veux pas éprouver ça alors tu essuie tes larmes et ne causent plus. Tu vides ton esprit, tu cherches comment oublier pourtant tu as toujours cru qu’à ton âge, on ne voyait rien, on ne comprenait pas les choses d’adulte et on ne s’inquiétait de rien. Pourtant, quand ton père t’a caché dans l’armoire après avoir entendu la sonnette du manoir retentir, tu as eu peur puis sans bruit, tu as senti tes membres se raidir d’effroi et ta gorge se serrait comme cherchant à poussant un bruit mais tu l’as tue. Ton regard s’est porté sur la porte et les hommes sont entrés, menaçant. Ton père a tout de suite eu un air sérieux, un air fier mais quelques coups d’œil vers l’armoire comme pour te rassurer ; mais tu ne l’étais pas, tu ne l’étais plus… Ils ont parlés d’une envie de prendre la direction du groupe de mafieux, ils ont parlés de dettes, ils ont parlés de tout et toi, tu as vu toutes tes idées sur ton père détruit en un quart de seconde mais tu ne voulais pas y croire tout de suite. Là, ils ont tirés et sont parti… Tu as compris que c’était la fin, tu as compris que le monde était affreux, que des choses étranges et immondes pouvaient arriver et tu as pleuré… A présent, tu sèches tes larmes et t’efforces de trouver la force de ne pas pleurer mais ce n’est pas le boulot d’un enfant de 6 ans de réussir ce genre de chose. Pourtant, choqué, tu sens qu’un truc se passe comme si à l’instant même, tu étais spectateur des mouvements de corps, des commandes de ton cerveau, des actions que Xander fait, tu n’es plus que conscience … Tu ne te vois plus pleurer, tu te vois silencieux et ça, pendant des jours et des nuits ! Oui, tu restes ainsi un long moment dans le foyer puis ta mère vient enfin te chercher dans cet immonde foyer que tu n’as pas aimé … Ton choix aurait surement été de rester seul dans le noir au manoir mais impossible, on t’avait dit sans même que tu prononces un mot. Maman te dit qu’elle va s’occuper de toi, que tu vas voyager et qu’elle va devoir tout refaire parce que Papa a tout mal fait, ne fait pas de toi un homme en voit de réussite … Maman ne te comprend pas et elle cherche à te brusquer si bien que tu reprend possession de ton corps, créant ta première crise sans vraiment t’en rendre compte … Tes bras partent tout seul, tu cris, te bascule d’avant en arrière et sur ton visage, on croirait voir la haine et la peur se mélanger. Tu frappes contre un mur car ta mère s’est reculée à temps ! Tu te sens toi même choqué de ce que tu fais mais tu ne peux arrêter ; une force contrôle ton corps mais au moins, tu ne touches personne.
CHAPITRE III : « You will be a good guy, you should be as i want baby … believe me ! »Ta mère ne comprenait pas, elle ne te comprenait pas mais tu ne cherchais pas non plus à la comprendre et tu n’en avais pas besoin. Tu l’aimais et elle t’aimait à sa façon ; c’était ainsi. Brillant, tu montrais toujours l’envie d’en apprendre plus mais ta mère, bien heureuse, ne comprenait pas ce manque d’envie d’argent comme si tu en étais dégouté. Elle ne comprenait pas, c’est tout. Elle voulait dicter ta vie, cherchait à te la dicter mais au final, elle comprenait sauf pour une chose : cette femme qui devait être riche a tout prix, être celle qu’elle choisirait parce que c’était comme ça dans sa famille et puis, c’est tout ; elle voulait pas de ton père donc ouais, t’avais rien pigé ; il s’aimait pas non plus ? Apparemment. Tu comprenais que les gens étaient des choses étranges, dotés d’histoires étranges mais chacun différent d’un autre et ça t’intriguait. Ton adolescence fut banale mais chargé. Tu ne vivais pas dans les mêmes endroits, tu changeais tout le temps et suivait les cours par correspondance. Jamais un ami de fixe ou très peu que tu gardais dans une relation plus épistolaire qu’autre chose.
Tu connus ensuite la possibilité de vivre quand même normalement en t’intéressant à l’informatique et ces petits sites tout neuf qui arrivait pour correspondre simplement ; c’était déjà mieux. Tu devins un génie parce que ouais, tu avais ce temps de libre toi au moins mais c’était sans compter sur ta mère qui te bourrait le crane de différentes langues qu’elle rêvait que tu parles parce que c’était son truc à elle mais peu à peu, ce fut ton truc. Rien de plus banal comme adolescence, non ? Peut-être pas totalement d’accord. A 18 ans, tu fis comprendre à ta mère que tu voulais suivre une scolarité normale, que c’était ton choix et étant en France, tu jouais le malin, le fourbe sortant – comme celle-ci se sentait internationale – que tu étais majeure et tu partis à Londres pendant les vacances d’été précèdent ton entrée là où tu avais si secrètement postulé ; Oxford. Les autres universités ; tu les avais demandé pour la forme. Tu n’en avais pas parlé avant à ta mère car ouais, tu ne voulais pas de traitement de faveur juste qu’elle te laisse y aller et te débrouiller seul. Tu ne voulais pas mêler les noms de tes parents ou bien, leur argent. En plus, héritant de celui de ton père, tu pouvais te débrouiller seul. Oui, il avait de l’argent et tu ne comprendrais donc jamais pourquoi il avait des dettes ; chose étrange ! Mais ça, tu te l’étais demandé avant parce que ouais, tu avais tout occulté, comme balayé tout les évènements de ton enfance avec ton père mais surtout, le jour de sa mort remplaçant cette tristesse par la froideur de ton cœur qu’on découvrait en apparence et des crises de panique constantes, rapides mais constantes. Oxford t’accepta et tu débutas tes études, ravi pouvant enfin vivre entouré non pas d’une seule personne mais de plusieurs, comprendre ce monde et l’étudier d’où ton choix d’étude. Tu trouvas une vie, ta vie, la tienne mais déjà, Maman revenait au galop pour ces diners et t’y faire venir, trouvant dérogations et excuses pour t’empêcher de dire non et t’y sentir obliger. Elle te fit rencontrer celle qui deviendrait quelques mois plus tard ta femme …
CHAPITRE IV : « Would you marry me ? »Et Angelina devait devenir ta femme, ta mère t’en parlé sans cesse, parlant du bon parti qu’elle était, parlant de sa beauté, son talent, de votre amour naissant mais quel amour ? Elle se foutait de toi ou quoi. Elle semblait si heureuse de pouvoir voir son fils avec la belle Angelina, ouais, tu pigeais strictement rien là. Tu ne voulais pas mais pourtant, elle réussissait toujours à t’attendrir. Tu cherchais à l’aimer mais dans ton cœur, rien n’arrivait après tout, t’avais jamais eu envie et dès ta première fois, tu avais cherché à tout renier, à ne rien ressentir, à ne rien comprendre alors que pourtant, tu étais plus intelligent que la moyenne. Tu l’embrassas, tu la baisas et tu l’épousa et puis, c’était fait ! Tu étais un homme apparemment ; ta mère semblait persuadée. Y’avait rien à ressentir juste à subir et vous connaissiez que ça avec Angie comme tu l’appelais. Oh la première année vous firent semblant de ne pas vouloir aller voir ailleurs puis tu brisas la glace et lui annonça que de toute manière, vous ne vous aimiez pas et que c’était une alliance ; « Alors baisons ce monde de merde ! » Lui avais-tu dit … Et la contrainte ne devint pas plaisir mais créa au moins une belle amitié … Ouais, tu restais toujours froid, mais elle, elle te prenait ainsi comme si elle avait lu en toi. Ce n’était peut-être pas l’amour que ta mère aurait voulu mais y’en avait surement d’une autre manière. De toute manière, elle ne voulait pas de l’amour, elle voulait du beau pour ces galas, elle voulait du grand, elle voulait une alliance et ces bandes de cons, vos parents avaient gagnés ! Trois ans passèrent, tes études continuaient simplement, tu te montrais toujours brillant ; c’était comme ça … Mais le reste n’allait pas car vous n’étiez pas heureux comme ça, toi comme ta belle femme et tu pétais souvent ton câble car la colère était ta seule émotion, l’unique. On t’envoya un signe, mauvais, mais on te l’envoyait à l’instant meme où ta femme décéda, te rendant veuf … Morte dans un accident de voiture, celle d’un homme, dans une position dans laquelle elle n’aurait pas du se trouver et ta mère mis tout sur elle, tu lui en voulais et tu décidas qu’il fallait arrêter les conneries, que maintenant Xander P.-Blackstone ferait sa vie à sa façon. Tu l’envoyas valser simplement, comme si tout restait évident à faire pour toi …
CHAPITRE V : « Mister Blackstone, what does ‘introspective spychology’ means ? »Les années ont passés et après tes études à Oxford, tu as pu passer ton examen pour devenir Professeur. Ta mère est revenue vers toi comme ayant compris qu’elle te perdait réellement d’années en années mais tu as pas pardonné tout le mal, mais tu l’aimes, tu le sais ; faut-il encore trouvé tes sentiments ! Après une année et demi a jouer les remplaçants et assistants scolaires à Oxford auprès de ton cher professeur, tuteur favoris, la fabuleuse et tant réputé école d’Harvard t’appelle en renfort à ton plus grand enthousiasme. Partagé par tes innombrables passions, tu vis chaque jour à cent à l’heure … entre écriture d’essai sur les choses étranges que nous sommes, informatiques qui te passionnent, des langues que tu pratiques encore on ne sait comment, des cours que tu donnes avec plaisir et originalité, mais aussi… séduisant femmes qui t’attirent : courses contre la montre à travers ta vie ; on cherche encore à te comprendre, à comprendre ce rythme de vie que tu semble mener à fond. Une vie que tu ne changerais pour rien puisque tu l’as construite et que déjà, tu as eu deux vies à zapper, deux vies que tu sembles avoir si bien oublié avec tant de facilité comme si tu avais un broyeur dans la tête, dans le cœur … Mais le mal, tu ne le veux pas … Tu ne le veux pas inconsciemment et nous, on l’a comprit ; depuis que ton cœur a prit la gélée…