Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityIDYLLE ∞ oh non, toi aussi tu es malade.. mais je suis heureuse de te voir, tu sais. ♥
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IDYLLE ∞ oh non, toi aussi tu es malade.. mais je suis heureuse de te voir, tu sais. ♥

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A peine avais-je entendu que nous pouvions sortir voir les autres que j'avais bondi de mon lit pour aller dans une des autres quarantaines. Évidemment, j'aurais pu aller voir la quatrième ou la cinquième vague pour voir si mon ancien meilleur ami s'y trouvait.. mais je n'avais pas encore digérer le nouveau an que nous avions passé ensemble et mon tatouage me rappelait sans cesse. Le regardant un instant, alors que je me trouvais dans le couloir avec une infirmière, je soupirais longuement. Peut-être devrais-je me le faire enlever une fois sorti d'ici ? Aucune idée.. mais il faudrait que je vois Austin, avant d'agir impulsivement. Soufflant doucement, j'avais décidé de me rendre au second étage, toujours accompagnée. Pourquoi ? Aucune idée, mais j'avais comme une intuition qu'il fallait que j'y aille. Mes pas m'y menaient rapidement, alors que je croisais énormément d'étudiants dans les couloirs. Personne que je connaissais et c'était peut-être mieux.. surtout dans la survie d'un certain bouclé. N'empêche que même si je lui en voulais pour la nouvelle année, je ne voulais pas qu'il chope cette merde et j'espérais qu'il soit assez résistant. Espoir ? Oui, mais il le faut bien, même si avec le temps que nous avions passé, je doute qu'il est pu y échapper. Allez, positive Madisson ! Petit à petit, j'approchais enfin de la chambre de quarantaine du deuxième étage et curieuse, je passais la tête pour scruter un peu qui se trouvait dans la chambre. Apparemment, pas mal de monde avait décidé d'aller faire un tour.. alors la chambre faisait un peu vide. Regardant discrètement partout, une tête rose apparut et je me retenais de hurler de joie. Même si je me sentais pas top, voir Idylle me rendait folle de joie et j'oubliais pour un moment que j'étais malade. L'infirmière m'avait dit « doucement et une heure maximum » mais je m'en fichais. Elle devrait m'arracher à mon amie si elle voulait que je parte de là. Avançant vers mon amie, je souriais un peu. « Coucou toi » dis-je en la prenant contre moi. Un câlin qui me faisait beaucoup de bien. Pendant quelques minutes, je voulais oublier Noël, Nouvel An, Austin, la maladie, tout quoi. Je voulais juste être avec elle, sourire et penser à autre chose. J'en avais besoin et j'espérais qu'elle était assez en forme pour me supporter. Je ne voulais déjà plus me décoller d'elle, mais je dé-serrais l'étreinte pour la laisser respirer. Je m'en voudrais de la tuer ! Ce serait la poisse. Pour le moment, je me contentais de la regarder en souriant, tellement heureuse de la voir que je ne savais même pas quoi lui dire. J'étais juste, ouais, super contente et je ne comptais pas laisser quoique ce soit couper ce moment de joie. Même si un coup d'œil sur mon avant bras gauche - mon tatouage - me ramenait toujours violemment à la réalité. Vraiment, 2014, tu veux me tuer ou quoi ?
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Madison & Idylle

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Le truc horrible avec la maladie, c'est que déjà c'était pas drôle d'être malade, mais en plus ils nous parquaient comme du bétail dans des cages, entasser les uns sur les autres. Bref pour le respect de la vie privé et de l'intimité on pourrait repasser. Pas que Dydylle ait des besoins intimes, pas vraiment avec cette maladie hein, mais le fait est que c'était juste horriblement imprivé comme façon de vivre. La bonne chose c'est que maintenant ils avaient le droit d'aller à droite ou à gauche pour parler entre eux, entre nouveaux groupe de malade condamnées à souffrir. C'était sympathique... ou pas en fait, voir des amis aller pire que soit, c'est pas forcément ce qu'il y a de mieux pour le moral.
Mais comme toujours, il y a ce qu'on pense, et ce qui se passe. Et ce qui se passait à ce moment là c'était une voix que Idylle reconnut parmi tant d'autre, celle de son amie Madisson ♥. Elle n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit que la brunette la serrait dans ses bras, étreinte qu'Idylle lui rendait bien contente de voir une tête amicale dans cet enfer qu'elles partageaient. Madisson la serrait fort, peut être un peu trop, et d'ailleurs la rose appréciait que la pression du câlin de son amie baisse un peu. Elle était déjà pas bien épaisse la Rosette faudrait pas qu'elle tombe dans les chou non plus... xD Une fois que Madisson la lâcha, Dydylle elle aussi lâcha avant de sourire de ses petites dents.
«Hey toi, ça fais du bien de te voir!  »
Dydylle vu quelques chose gribouillé sur le bras de son amie, et curieuse comme pas deux elle lui balança.
«Oh c'est un tatouage? Un vrai de vrai? »
Oui la petite rosette et les tatouages c'était un truc dingue pour elle, dans le sens que si on ne la retenais pas, une fois bourré elle serait capable de se faire écrire n'importe quoi dessus... C'est pas beau d'être une blondinette comme elle. Elle était toute contente de voir Madisson, même elle devait être plus pâle qu'on habitude, et beaucoup plus fatigué. Mais ça ne serait l'affaire que de quelques jours avant que tout ne retourne à son état originel, espérons-le!


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Retrouver son amie et pouvoir la serrer dans ses bras, rien ne pouvait me prendre plus heureuse que cela. Alors je l'avais sûrement un peu étouffée dans mon étreinte, alors j'avais fait en sorte de ne pas la tuer. Son sourire me faisait très plaisir, même si elle avait une sale tête, comme moi, quoi. Me frottant les yeux avant de bailler en mettant ma main devant ma bouche, non, ce n'était vraiment pas sexy, mais je fatiguais de plus en plus. Hochant la tête, je lui souriais de plus belle. « Je suis bien d'accord, ça fait du bien de voir d'autres personnes que les relous de sa chambre » riais-je doucement. La rose posa son regard sur mon bras, me faisait rougir avec sa question. Posant mes yeux dessus, je soupirais un peu avant de la regarder avec un très léger sourire. « Ouais, un vrai de vrai » lui dis-je en lui tendant mon bras. « C'est la moitié du signe de l'éternié.. » murmurais-je en soupirant. « Tu sais.. une fois.. je t'ai parlé d'Austin, mon ancien meilleur ami ? » Penser à lui m'agaçait, mais soit, j'avais envie de lui dire, comme ça c'était fait et nous pourrions passer à autre chose. « Bah lui il a l'autre moitié » Ne voulant pas en dire plus, je préférais m'arrêter là pour le moment. Si elle avait des questions par rapport à ça, je lui répondrais, mais tout lui raconter en détail de moi-même.. Non, je ne voulais pas vraiment quoi.. Soupirant doucement, c'est alors qu'une annonce passait à la radio. Apparemment, un vaccin a été découvert. « Ah bah enfin ! » râlais-je avant de sourire. Oui, je souhaitais quand même être chiante. Après nous avoir dit qu'on pouvait mourir, on pouvait enfin savoir qu'on serait tous guérit. J'espérais juste que ce n'était pas une blague pour nous donner espoir et surtout, que personne n'était mort.. La peste, quoi, le truc impensable au XXIe siècle..
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Madison & Idylle

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La blonde était aussi heureuse de retrouver son amie, et de pouvoir l'avoir dans ses bras quelques instants. De se sentir lier à quelqu'un, et pour deux secondes, ne pas entendre les autres gémir sur leurs bobo dû à la maladie, parce que ça ne faisait que renforcer l'état peu glorieux dans lequel Idylle se sentait. Elle sourit doucement.
«Tu m'étonnes. Ils ne savent que se plaindre les miens, se plaindre et puis faire du bruit, pas moyen de dormir cinq minutes..»
Elle avait vu le tatouage de son amie, et trouvais ça trop adorable, avec ses yeux brillants comme pas possible. Elle sautillait presque en lui répondant.
«C'est trop la classe! J'en veux aussi... Enfin pas le tiens, hein je te le pique pas, mais un tatouage, raaah, j'en veux, j'en veux plein pleiiiin, partout, partout!»
Idylle qui perd un peu la boule ça donnait ça. M'enfin c'était pas si grave, en temps normale elle avait déjà un grain dans le cerveau, pas vraiment de quoi s'inquiéter, elle devait être normal là. Elle écoutait soigneusement ce que Madisson lui disait, et vu la façon dont elle en parlait, elle se décida à ne pas poser plus de questions, et se concentra sur la bonne nouvelle. Elle souriait en disant à son amie.
«Enfin! On va pouvoir foutre les pieds dehors et vivre aux grands airs! Ah ça sera parfait, on se fera un truc toutes les deux, n'importe quoi, mais un truc pour fêter cette fin d'enfermement! Je finissais pas me croire un rat de labo!»


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Pouvoir prendre celle que je considérais comme ma meilleure amie dans mes bras me faisait un bien fou. Certes, la situation n’était pas géniale, mais je ferais avec. Cela faisait un petit moment que je ne l’avais pas vu et je devais bien avouer que c’était un peu de ma faute. Mais bon, pas le temps de s’y attarder ! Apparemment, elle avait les mêmes gens chiants que chez moi. Super, à croire que tout le monde n’est bon qu’à se plaindre ici.. « On a les mêmes relous à ce que tu me dis » soupirais-je. « Vivement que l’on sorte de là » Toussant un peu en mettant ma main devant ma bouche, je souriais en l’entendant parler de tatouages. Je la remerciais intérieurement de ne pas aborder le sujet délicat – Austin, encore et toujours – et juste de parler du fait qu’elle en voulait. « Je veux bien t’accompagner » lui proposais-je doucement avant d’hésiter. « J’aimerais bien en faire d’autres, peut-être.. » Autant y aller avec elle et en profiter, si elle était d’accord. Je ne me souvenais pas si ça faisait mal, donc autant y retourner et retenter l’expérience lucide ! Evidemment, je le cacherais à Austin. Juste parce.. parce que je ne savais pas trop comment il réagirait, en fait. Après l’annonce, je ne pouvais que sourire. Nous allions pouvoir enfin sortir et j’en étais complètement heureuse. « Dès que l’on sort, on fait la fête dans mon appartement, ok ? Musique à fond, alcool, cigarette et.. chips ! » riais-je doucement avant de tousser à nouveau. Bordel, vivement que cette saloperie s’en aille. Une partie de moi n’oubliait pas mon cher et tendre bouclé que j’avais toujours autant envie de massacrer. Qu’il meurt de mes mains, ok, mais pas d’une maladie, ce serait trop facile pour lui..
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