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C'est toujours bien d'avoir un allié dans la course pv WALTER (a)

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Mes maux de ventre et de tête m’obligèrent à m’allonger une nouvelle fois sur mon lit. Ma main agrippait fermement ma couverture. J’avais dû quitter le couloir des visites précipitamment laissant ma pauvre mère devant son reflet. Elle était venue ! Elle avait osé venir ici. J’en étais dégoûtée et affolée de la voir ici après plusieurs années d’absence. Tout cela ne lui ressemblait pas. Je ne voulais pas la voir et encore moins lui parler. Nos échanges avaient été houleux. Je n’avais pas été tendre avec elle, je m’étais montrée désagréable voire même méchante. Cette visite m’avait clairement épuisée et affaiblie. Une infirmière malade m’injecta une dose se calme. Un calme qui ne tarda pas à faire son effet. J’avais la tête dans les nuages et pour une fois je me sentais bien depuis mon arrivée dans la zone de quarantaine. Je me redressais lourdement et je regardais autour de moi. Milena semblait avoir trouvé le sommeil, Emma parlait avec je ne sais pas qui est Walter était assis sur son lit pensif. Je fis une petite moue pour me diriger finalement vers le lit du cher Eliot. Sans lui demander son avis, je m’invitais dans son lit et me blotti dans ses bras. « Ça craint de rester ici ! » dis-je en soufflant. Je n'en pouvais plus d’être ici. Le manque d’information et surtout le manque de nouvelle commençait à être inquiétant. Je finis par relever la tête et lui dit : « Ca va toi ? »
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Le début d’année s’annonçait difficile et éprouvant. Le visage de ma mère hantait encore mes pensées. J’affichais une légère grimace en me rappelant son visage. Maxym était une des rares à savoir que je détestais ma mère. Je ne m’étalais jamais bien longtemps sur ce sujet sensible. Je n’aimais pas raconter ma vie, s’était comme ça et ça l’avait toujours été. Nous étions enfermés ici depuis déjà cinq longs jours. Il’ennuie et les douleurs avaient fini par me consumer. J’avais besoin de réconfort et Walter était l’homme de la situation. « Je préfèrerais me couper les deux pieds plutôt que de passer une journée de plus ici ». Je le comprenais parfaite, nous vivions la même chose. C’était agaçant d’être ici, voire même déstabilisant pour des gens comme nous. J’aimais ma liberté et ici j’en étais privée. « Si tu veux je t’aide . On m'a toujours dit que je découpais bien » dis-je en affichant un petit sourire. L’humour était peut-être bien la seule chose qui me restait d’utile ici et qui arrivait finalement à masquer mon inquiétude grandissante. Il m’attira contre son torse et m’enlaça. J’étais contente de pouvoir le compter parmi les malades. Je mis une de mes mains sur son torse et fermai mes yeux. « J’espère que ça va s’arranger, ça m’inquiète un peu tout ce remue-ménage ». J’affichais une petite grimace, moi aussi inquiète du sort qu’allait nous réserver ce virus étranger. « Ça m’inquiète aussi… » dis-je pour la première fois. « Le chocolat me dégoûte, je n'ai pas faim, le sexe ne me manque pas… » dis-je en soufflant.
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Les lieux étaient morbides et effrayants. Je n’avais jamais aimé les hôpitaux, qui les aimaient en même temps ? C’était l’endroit parfait pour vous affaiblir. Ici, je me sentais plus vulnérable. Pour faire plus simple, je ne me sentais pas à mon aise. J’étais préoccupée par la venue de ma mère, par mes amis et par ce virus étranger. Il’ennuie me permettait de clarifier certaines choses. J’avais envie de sortir, sentir l’air frais sur mon visage. « Je me disais bien qu’au fond de toi, t’étais tordue ma pauvre Jackie » j’affichais un joli sourire sur mes lèvres avant de le regarder et de lui dire : « Si tu savais Kovalevski ». Le mystère était quelque chose que je cultivais et que j’admirais beaucoup. J’affichais une petite grimace, la douleur semblait refaire surface. Je resserrais doucement l’étreinte que j’avais avec Walker tout en écoutant ces paroles. Je ne me plaignais pas, ce n’était pas mon genre. « J’aime pas être ici, j’ai envie de partir, quitte à passer par la fenêtre tu sais » je le croyais. Notre liberté nous avais été prise. « Mais je me demande si à l’extérieur c’est pas pire en fait, si on n'est pas plus en danger dehors. On croirait à un mauvais remake de The Walking Dead » j’affichais un autre sourire. La ville devait être terrifiée, les habitants devaient sans doute être repliés dans leurs maisons. Je finis par me mettre à souffler et lui dis : « Tu sais je préfère être ici… » dis-je sincèrement tout en me livrant à lui. « Dehors y ont trop de choses que je redoute ! » dis-je en le regardant avec une petite grimace. « Même si je serais pas contre une virée shopping »
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Cette mise à l’écart allait être compliquée, je le sentais. Les lieux ne m’aspiraient pas confiance. J’avais beau être malade, je n’étais pas stupide. Nous étions tous malades. Nos visages étaient marqués. Nos corps endoloris. Être malade n’était franchement pas une partie de plaisir. Les plaisirs du quotidien étaient loin. Je ne souhaitais rien d’autre qu’une bonne nuit de sommeil. « Je t’avoue que je ne sais pas trop où je préférai me trouver à ce moment précis ». Je levais mon visage pour le regarder. « Je m’inquiète un peu pour ma sœur et mon frère, je n’ai aucune nouvelle. J’ai demandé que quelqu’un les prévienne mais je n’ai pas de retour, pas de visite, que dalle ». Walter était anxieux et inquiet. Je le comprenais. Ce virus n’avait rien de normal. Je me redressais un peu et lui fis : « On a réussi à prendre un téléphone, tout à l’heure. Il y a plus beaucoup de batterie mais tu pourrais au moins appeler ton père ou ta sœur. » dis-je en essayant de le réconforter. Les règles étaient faites pour être transgressées. Je n’aimais pas être tenu en captivité. La liberté me manquait, l’air frais aussi. Je remis ma tête contre le torse du jeune Éliot. « Au moins pour te remercier de ne pas me laisser crever au milieu de tous les autres bastringues de l’université » j’affichais un sourire. Walter avait les mots pour parler. Je me mis à rire avant de tousser un peu. « Tu m’aides à ne pas péter un câble Kovalevski, je t’assure » dis-je sincèrement. Walter me canalisait même s’il ne s’en rendait pas compte. Il posa ensuite sa tête près de la mienne. Le réconfort était rare ici. Il prit ma main et la serra. Je fermais les yeux doucement. Ça faisait du bien. « Donc c’est ça la première chose que tu feras en sortant d’ici . Tu iras faire du shopping ? » non, le shopping me manquait bien évidemment. Je redressais ma tête : « non pas vraiment en fait… le parc me manque. Et je crois bien que ce sera le premier endroit où j’irais quand je sortirais d’ici ». Le parc était mon lieu préféré, plein de surprise il regorgeait de mystère. Je lui fis : « Et toi la première chose que tu feras à ton retour ? Sa sera quoi ? »
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