TATOOUINE CHEWIE ERSKINE • samaha sam (from Shaka Ponk)

C'est le 29 janvier 1988 à Papeete, Tahiti, que les membres de la famille Erskine m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Tatoouine Chewie Mahena. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis ouverte d'esprit sexuellement parlant, sauf les animaux, bien entendu et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Langues étrangères et design depuis 6 ans et travaille en parallèle de mes études en tant que danseuse (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Students ou les groupe2.

Tatoouine C. Erskine

Looks alot like Samaha Sam

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas et j'ai 1200 ans. Je suis un alien et j'ai connu le forum grâce à aux ondes intergalactiques. C'est tellement moche et peu accueillant alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Samaha Sam comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par moi, puisqu'on m'appelle pas. Je fais environ 2 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé par mon chef de vaisseau
Mot de la fin ? ▲ ESK TU BEZ ?.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
Lors de la bombe, je me trouvais dans la bibliothèque et je me suis retrouvée enfermée, avec tous ceux présents. Au départ, j'pensais vraiment pas que le mec allait faire sauter sa bombe, alors j'restais zen. Puis ca a pété et j'me suis retrouvée à l'hosto, sans souvenir de quoi que ce soit. Je suis devenue sourde de l'oreille droite et semi aveugle de l'oeil droit, du fait que je me tenais près d'une fenêtre dont les éclats furent logés à ces endroits là. Depuis, je porte un appareil auditif pour mieux entendre ce qu'on me dit.

STUDENTS
Je n'aime pas entrer dans les moules de la conformité. Je suis comme je suis, de ce fait, un simple mélange de toutes les confréries représentées.

(Invité)

• Qu'est-ce que la vie, sinon qu'un instant qu'on vit sans savoir pourquoi nous sommes qui nous sommes ? •

Cher journal,
Je me présente à toi, comme si c'était la première fois que je t'ouvrais. Mais c'est loin d'être la première fois que je t'ouvre. Je m'appelle Tatoouine Chewie Mahena Erskine, je suis tahitienne et je vais te déblatérer ma vie, dans ses moindres détails, au plus loin que je me souvienne. Je sais que je suis née un vingt-neuf janvier, à Papeete, sur l'île de Tahiti, de l'archipel de la Polynésie Française. Mon père était un afro-américain en voyage avec ses potes, ma mère une pure native tahitienne depuis des générations. A ce qu'il parait, certains de ses ancêtres étaient blancs comme la neige, au temps des colonisations. Après, j'm'en tape un peu, de mon patrimoine. Mon père, j'l'ai jamais vraiment connu, je sais qu'il vivait vers Miami ou une connerie du genre et que je tiens mon teint trop halé de lui, ainsi que la choucroute quasiment incoiiffable que j'ai sur la tête. J'ai ensuite passé les dix premières années de ma vie sur l'île, avant que ma mère ne décide de m'embarquer à Paris, puis Marseille et Nice, en France, pendant trois ans. Puis je suis partie aux Etats-Unis pour vivre plus près de mon père, qui voulait me connaître un peu mieux. Entre temps, ma mère a eu un mari et deux autres enfants, mais j'ai jamais accroché avec eux, puis elle a divorcé, alors on s'en fout un peu de leurs gueules. Arrivée à Miami, j'ai vécu une semaine sur deux avec mon père, un basketteur peu connu dans la NBA. Il a prit sa retraite de joueur deux ans plus tard, j'avais donc quatorze ans. Ou quinze. J'ai un sérieux problème de repère temporel. Mais si je t'écris aujourd'hui, ce n'est pas pour parler de mon passé. Tu es donc au courant que je parle le français, l'anglais et le dialecte de mon île. Que dans ma vie, j'ai galéré pour réussir, que la danse était ma seule issue pour me défouler. Et si je t'écris aujourd'hui, c'est pour marquer un tournant dans ma vie. J'ai perdu l'usage d'un oeil il y a un an, ainsi que ma capacité auditif totale. Je suis appareillée pour pouvoir entendre ce qu'on me dit, et je m'accepte enfin telle que je suis. L'amour, dans tout ca ? Il est loin, très loin. Je ne veux pas en parler. Parce que l'amour est une absurdité, une incitation à la douleur, je préfère le garder très loin de moi, pour m'éviter des souffrances inutiles. L'amour c'est pas pour moi, c'est pour les autres. Moi, je veux jouer, jouir de la vie, telle qu'elle se présentera désormais à moi. Que Cupidon aille se faire foutre. Cordialement.

The End

(Invité)