C'est le 4 Août 1983 à Paris, que les membres de la famille Parker m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Kol Florent. Je suis en instance de divorce et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée mais je suis loin aujourd'hui d'avoir de très gros moyens. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine en majeur pour se spécialiser dans la chirurgie esthétique et en mineur l'histoire depuis cinq ans et travaille en parallèle de mes études en tant que résisdent à l'hopital (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop ou les Eliot.
kol florent parker
Looks alot like nathaniel buzolic
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Boo *-* ( comme le petit chien trop mimi et j'ai 17 ans et oui ça fait plus de deux ans que je suis sur le fo' . Je suis française mais j'ai du sang d'alien et j'ai connu le forum grâce à top site je crois ça fait tellement longtemps que je m'en souviens plus pour le coup . Je le trouve toujours aussi beau alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise célébrité comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 200 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ Je souhaite ▲ non merci je suis déjà bien intégré et tout le tralala :around: ça fait quand même deux ans que je suis sur le forum ( déjà )
APRÈS LA BOMBE Je me souviens quand la bombe à exploser c'était la panique, tout le monde criait, tout le monde était affolé. C'était horrible. J'ai eu peur pour tous mes proches, pour tous les étudiants, ce malade à mes yeux mérite la mort, il a tant détruit, j'ai vu des gens mourir devant mes yeux, j'ai été pendant longtemps choqué par cette tragédie. J'étais avec Keyla pendant ce drame je lui ai sauvé la vie même, et je suis tombé dans le coma pendant plusieurs jours, j'ai de même fait pendant quelques mois de la rééducation, pour me remettre sur pied, pour mes jambes qui avait été écrasées par un arbres broyé par la violence de la détonation de la bombe qui se trouvé prés de nous au parc. Tout à été très dur par la suite les cours on été pendant longtemps annulé, tout simplement parce que le traumatisme était encore bien trop récent. A l’hôpital même après ma remise sur pied il y avait encore des gens entre la vie et la mort. Ce drame est toujours inscrit dans l'histoire d'Harvard, et les noms des disparues sont toujours présents sur les lignes des murs de notre université bien aimé.
WINTHROP HOUSE. Les Winthrop c'est une longue histoire d'amour entre cette maison et moi, depuis mon arrivé à Harvard j'en fais partie, aujourd'hui j'en suis peut être l'un de plus vieux membres étant donné que certains ont finis leurs études, ou sont parties prématurément. Ce sont mes frères, nous sommes tous une famille et dans une famille nous nous soutenons, c'est ça la Wintrhop House. De plus, j'aime les femmes, je ne suis pas du genre à être coincé prés de la gente féminine, et depuis ma séparation avec ma femme, je profite pleinement de mon célibat'. Ma vie ce définit comme ça à présent. Vive la Winthrop House.
ELIOT HOUSE. L'Eliot House, cette maison est l'une des plus prestigieuse d'Harvard, elle abrite en quelque sorte les futures élites de New-York. Les membres de cette maison sont riches, moi aussi je viens d'une famille bourgeoise depuis des siècles, à mon arrivé j'ai failli intégrer cette maison grâce à mon caractère dominateur et à mon argent, cependant j'ai préféré la Winthrop House ce que je ne cache pas encore aujourd'hui.
Je suis né le quatre Août 1983 à Paris, une ville qui pourrait être d'écrit à mes yeux comme plein de parisiens, en même temps c'est un peu normal vu que les habitant de Paris par définition s'appelle les parisiens, bref je vais pas étaler encore plus ma science sinon vous allez finir par exploser tellement que vous avez ingurgité de connaissance, je sais c'est très dur. Ici dans cet hôpital parisien du centre ville, je suis né criant, affolé et me disant « Merde la piscine à disparue ! ». Issus d'une grande famille bourgeoise anglaise d'origine, je ne tardais donc pas à retrouver une piscine digne de ce nom la ou j'allais vivre une bonne partie de ma vie. Comme beaucoup d'enfant dans mon cas , je fus élevé par des bonniches ce mot est peut être dur à employé pour qualifié une personne humaine, mais pour moi c'était bien le mot pour les définir, mon père faisait d'elles des esclaves, travaillant pratiquement jour et nuit pour rendre agréable, cette si grande maison. Ma mère était souvent à la maison malgré son travail, mais elle avait honte ... honte de montrer ses bleues qu'elle camouflait tant bien que mal sous des habits d'une classe inouïe, les seuls moments que je pouvais réellement être avec eux , c'était lors du dîner et encore. Je n'avais même pas envie de voir mon père qui laissait le plus souvent ma mère pleurer toutes les larmes de son corps. Mon père était très vite définissable je pourrais le décrire en deux mots , violent et très colérique. Il battait ma mère et moi par la même occasion, ou parfois c'était bien pire, il m'obligeait à assister aux coups qu'il portait sur ma pauvre mère, qu'il laissé parfois agonisante sur le sol, plusieurs fois, elle a fait des séjours à l’hôpital, racontant toujours quelque chose de différents pour ne pas impliquer mon père, qu'elle semblait toujours aimer d'une certaine manière. « Madame Parker, je peux savoir ce qui vous ai arrivez ? » Cette question revenait à chaque fois, qu'elle se trouvait sur ce lit. « Je suis tombée dans les escaliers. Quelle maladroite, je fais, n'est-ce pas ? » Etant à côté d'elle je voyais bien que le docteur n'était pas dupe, mais qu'est-ce qu'il pouvait faire d'autre que de la croire ? J'avais à peine dix ans que j'ai réalisé que tout cela ne pouvait pas continuer comme ça, s'en était fini, j'en avais marre de rien faire, fallait à tout pris que je réagisse, pour nous, pour ma mère et moi face à ce monstre, qui m'avait dicté durant tout ce temps ma vie. J'ai donc commencé à me révolter face à cet homme qui à mes yeux ne possédé aucun sentiment. C'était mal choisie de ma par car il savait très bien comment m'atteindre , autre que me battre moi , il allait toucher ma mère, il allait l'éloigné de moi, un jour il l'a même menacé si elle ne s'éloignait pas de moi ... et elle s'est éloignée petit à petit, j'étais seul dans cette guerre, mais je savais que je la gagnerai tôt ou tard, j'en été sur, même si cela devait prendre toute une vie. Je voulais qu'elle se rende compte du mal qu'il pouvait lui faire, mais elle était aveuglée, par cette violence et aussi par cet amour maudit. Je n'arrivais plus à la comprendre, c'était fini un gouffre c'était formé définitivement entre nous, pour moi j'étais un intrus dans cette famille, et je n'y avais plus ma place. Je la voyais toujours souffrir, elle souffrait à ma place ... mon père était un monstre, il n'avait aucune pitié, et j'avais souvent des envies de meurtre sur sa personne. Ma mère me disait souvent de ne pas m'en faire , que bientôt cela allé passé et qu'il fallait pas que je m'en fasse. Mais je savais bien que tout ça c'était faux, que rien n'allait s'arranger, bien au contraire. J'avais plusieurs fois proposé à ma mère de partir loin et de ne plus jamais à avoir endurer ça , mais à chaque fois elle refusait en me disant qu'elle n'avait rien , et qu'elle devait tout à mon père. Et elle me laissait seul, comme à chaque fois. Pour moi , il n'était plus mon père , ce mot avait complètement disparu de ma tête , et cela fessait bien des années que je ne l'avais plus prononcé. C'est à l'âge de douze que je finis par faire une rencontre qui allait changé toute ma vie, cette jeune fille de un an ma cadette, s’appelait Elizabeth, cette jeune petite rousse, était totalement craquante. Je ne mis pas longtemps à entretenir une relation vraiment complice avec Liz'. Elle était comme ma petite sœur, et elle n'avait d'ailleurs pas mit longtemps à découvrir que mon père me battait, malgré que je disais le contraire, je n'avais pas forcément envie que cela ce sache. Tout ce passa très vite entre nous, alors que Liz' avait à peine quinze ans nous nous sommes mis à sortir ensemble, j'étais heureux avec elle. A mes yeux elle était la femme idéal. Mais bien sur rien ne ce passe jamais comme prévu, j'ai fais le con après un an de relation merveilleuse. J'avais ramené une fille à la maison ce que je n'aurais pas du je l'admet et je me demande encore aujourd'hui pourquoi j'avais fais ça ? Liz' est arrivée au même moment, elle nous a vu, et elle a mit fin deux heures plus tard à notre idylle, après ça j'ai souvent cherché à la récupérer, mais je savais très bien que rien n'aurait été pareil. Elle était de plus en plus distante avec moi, et je pouvais plus supporter ça, j'ai donc décidé de partir, le plus loin possible enfin, pour quitter toute cette merde, pour essayé de me reconstruire une vie, qui serait un peu mieux ( normalement ). J'ai toujours était extrêmement bon dans mes études , je ne sais même pas à vrai dire si c'était mon réel talent , ou la grande influence de mon père qui me permettais d'avoir de très bonne notes et de pouvoir intégrer un merveilleuse école privée , pour les grosses fortune. Mon père voulais toujours que je réussisse la seule chose qu'il me disait, et qu'il me répétait en boucle c'était cette phrase : « Je veux que tu réussisses dans la vie fils ! Je n'accepterais pas un perdant dans la famille, est-ce que c'est bien clair ? » J'avais un rêve, c'était de devenir chirurgien plastique, quand j'avais enfin eu la force de le dire à mon père, il m'avait sèchement dit non. Je n'avais pas l'intention d'abandonné, et bien sur je ne lui avais pas dit arrivant à Cambridge que je commençais des études de médecine à Harvard, pour par le suite me spécialisé dans la chirurgie esthétique. J'avais à peine dix-huit ans quand je suis arrivé aux Etats-Unis, j'étais seul, pratiquement sans argent, et j'ai du me débrouiller tout seul, j'étais devenu un adulte a présent.
J'ai rencontré à Harvard des gens merveilleux, j'ai découvert que j'avais un demi-frère Romane, que j'ai appris à connaitre petit à petit, et que j'ai appris à aimer, comme si il avait grandit avec moi. Mais j'ai aussi rencontré une personne en particulier que je ne pourrais jamais oublier, des que je l'ai vu, j'ai su que c'était elle, que c'était la femme que j'allais épouser, et avec qui j'allais avoir des enfants, elle était mon âme sœur. Nous avons vécu deux ans à peine ensemble, nous nous sommes mariés comme je l'avais l'imaginé, mais tout à dérapé malheureusement après de multiples tromperies de ma part. Aujourd'hui j'avais tout gâché, je le savais, elle avait avorté de notre enfant, elle aussi avait détruit notre couple, et aujourd'hui il n'existait plus. Je suis revenue dans mon ancienne chambre dans le bâtiment Winthrop après plus de un an de vie commune dans le même appartement. Aujourd'hui nous sommes en instance de divorce et pour tout dire je n'arrive pas à tourner la page. Je ne peux pas, car je l'aime toujours. Et aujourd'hui je suis une loque, sans elle, sans Liz', sans Candice, sans tous les gens que j'aime.
En ce moment j'avais besoin une énième fois de ma meilleure amie mais elle n'était plus la, plus la pour me réconforter plus la pour être prés de moi, comme elle l'avait toujours fais auparavant, elle m'avait sauvé la vie, j'étais encore la et elle elle avait disparue ... pour toujours. J'avais toujours du mal à croire qu'elle ne serait plus jamais prés de moi, c'était dur à avaler, je me souviens de tous ces moments passé avec elle. Elle avait su être la quand il fallait et au bon moment, elle me connaissait aussi bien que je la connaissais elle, elle m'était devenue très vite indispensable, elle était celle qui était la quand rien n'allait plus, celle qui me comprenait et qui ne me juger sous aucun prétexte tout simplement parce qu'elle était mon amie, mon âme sœur et quelque sorte amicale, si ce terme existait réellement ... Son sourire me manquait terriblement, ses yeux, sa voix, son caractère ... tout chez elle, était quelque chose d'inoubliable, et j'étais réellement détruit face à sa disparition prématuré. Pourquoi m'avait-elle quitté alors que j'avais besoin d'elle plus que jamais. Il me manquait et rien n'y personne ne serait capable de la remplacer. Et petit à petit je me consumais comme un feu en train de mourir petit à petit. J'allais la rejoindre bientôt, tout comme tous les proches qui m'avaient quitté tout comme elle.