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Midnight MemoriesCharlie & Kendallfiche par ©century sex
J'étais sur le dos de Mike et on traversais la rue en entendant les basses résonantes qui commençait à se faire de plus en plus criarde. Je me marrais comme une perdue alors qu'il se mettais à courir jusqu'à la file d'attente me faisant sautiller sur son échine et on se décomposais en voyant les centaines de personnes qui patientais dehors frigorifiée. « Putain... On rentrera jamais. » je posais mon menton sur son épaule alors que sa voix rauque résonnait à travers son corps.
On avait passé la soirée à l'appartement de Cameron – un mec douteux qui à priori fournissait Mike – et on avait clairement pas vu le temps passer.. Je me défis de son étreinte et tentais de rejoindre le sol sur mes talons en remettant ma jupe correctement en place sur mes cuisses. Je grimaçais en me passant une main dans les cheveux. On était là tout le week-end, et les videurs avaient pour habitude de bosser au Lord Hobo pour les soirée étudiante, je les connaissait donc plutôt bien. Tout le monde se retourna alors vers moi. « J'sais pas les gars... J'ai trois gramme, j'pense pas que ça passe... » Je les regardais avec dépit lorsque Jeno me proposa d'offrir mes fesses contre notre soirée. Je souris en lui assénant un gentils coup de poing sur l'épaule et me sortit une clope que je glissais entre mes lèvres. Il fallait qu'on rentre, on avait pas le choix, mais il fallait aussi que j'use de mon imagination pour trouver quelque chose sinon on était bon pour retourner fumer chez Cameron et bien que la soirée c'était plutôt bien déroulée, j'avais une envie vitale d'aller remuer mon postérieur sur les pistes du People's Republik. Après avoir demandé un briquet à Swan qui nous accompagnais, je tirais sur ma blonde doucement et me baladant sur le trottoir adjacent, je jaugeais les personnes déjà présente pour voir si je ne reconnaissait pas quelqu'un quand je tombais sur Charlie. Je m’immobilisais soudainement. Charlie et moi c'était plutôt compliqué. On avait eu un semblant d'histoire l'été dernier, je m'étais bien trop vite attaché à lui pour souffrir une fois encore. Je l'avais détester, je l'avais détester si fort...
Je me mordillais la lèvre tiraillé de l’intérieur alors que je sentais le regard de mes camarades sur moi, impatient. Je soufflais et regardant ma droite et ma gauche traversais la rue jonché sur mes Louboutin avant de m'introduire dans la fille pour arriver jusqu'à lui. « Hé Charlie ! » balançais-je arborant un sourire qui se voulait décontracté. Je posais ma main sur son bras pour me glisser entre les deux dernier corps qui nous séparait et me retrouvais écrasé contre lui.
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