Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCe soir c'est le grand soir...(PV N. Joffroy Gilmore)
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


Ce soir c'est le grand soir...(PV N. Joffroy Gilmore)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce soir c'est le grand soir...(PV N. Joffroy Gilmore) Klaus11Ce soir c'est le grand soir...(PV N. Joffroy Gilmore) Iconcamillabellenb11

    Pour préparer ma tenue de ce soir, j’avais retourné toute mon armoire et avait du passer près de deux heures au bas mot devant la glace. Certes je suis une fille soucieuse de son apparence et je ne nie pas passer du temps dans la salle de bain le matin afin d’être toujours impeccable avant de sortir. Mais ce soir là, je battais tous mes records. Et pourquoi ? Pour un rendez-vous, une rencontre avec un jeune homme que je ne connaissais ni d’Eve ni d’Adam. Mais il était membre des Mather House, ma future –du moins je l’espérais ardemment-« maison » et j’avais décidé de prendre contact avec mes futurs « frères et sœurs » de maison. Et j’avais décidé de commencer par Joffory Gilmore. Pourquoi lui et pas un autre ? Tout simplement parce que je l’avais croisé plusieurs fois dans les couloirs et tant qu’à faire, autant faire connaissance avec un type plutôt pas mal. ET puis il avait de ces yeux ce mec ! Impossible de passer à côté. Donc, liant le plaisir et l’utile, j’avais décidé de l’aborder au détour d’un couloir pour lui proposer ce « rendez-vous » qu’il avait, à ma grande surprise, accepté !

    C’est donc pourquoi je me trouvais devant ma glace, examinant d’un œil critique tenue et maquillage. Un regard à ma montre m’appris que je ne devais pas m’attarder plus, sous peine d’être en retard, chose que je déteste par-dessus tout ! Bon, va pour la robe noire, un grand classique qi avait fait ses preuves, les cheveux relever en chignon, un maquillage léger et me voilà parti. Je devais me rendre à la résidence mather house et j’vais bien fait de partir un peu en avance car avec mon sens de l’orientation si faible, bon d’accord inexistant, je réussis à me perdre et me retrouver à l’opposé de mon but. Un simple soupir m’échappa alors que je retrouvais la bonne route, j’avais malheureusement l’habitude de me perdre et c’est pourquoi je m’arrangeais toujours pour partir en avance. Bref, toujours est-il que je finis par arriver à destination.

    Je me tenais devant la maison et laissait mon regard vagabonder sur son architecture et n sourire s’épanouit sur mes lèvres à la pensée que d’ici quelques temps ce serait aussi MA maison. Enfin j’espère.
    Bon, on ne va pas s’attarder toute la nuit ici, il commençait à faire frisquette dans le coin. Je poussais la porte d’entrée et pénétrais dans le hall. Il semblerait qu’une fête avait eu lieu dans le coin récemment car à peine je fis trois pas que je butais dans une cannette. Et si je regardais bien, c’était un cimetière de cannettes qui se tenait devant moi et…euh…un truc qui ressemblait à un humain en train de cuver sur le canapé. Mais c’est que y’avais de l’ambiance ici ! J’avais hâte d’en faire partie. J’étais même légèrement intimidée. Mais ma mission du moment était de trouver Joffroy.

    Y’a quelqu’un ?

    Hum…seul le ronflement du truc sur le canapé me répondit. Tout le monde était dans le même état ? J’hésitais entre me balader dans les pièces du rez-de-chaussée et monter. J’optais pour la deuxième idée et posais un pied sur les marches.

    Hum…Joffroy ?

    J’avoue que j’hésitais à aller plus loin. Je n’étais pas –encore- chez moi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Tout le monde était revenu de Cancùn et de la semaine de vacances et je n'avais plus vu Rio depuis un bon bout de temps. La jeune femme avait disparu de la surface de la planète et je ne savais pas comment je devais prendre cela. M'avait fuis, quitté, oublié ? Je n'en savais et je me sentais bête, plus que cela même. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'elle ne me manquait pas, absolument pas. La seule chose qui me chagrinait était de ne pas avoir de partenaire de soirée et de coucherie ponctuel. Le couple que je formais avec la jeune femme était loin d'être conventionnel mais il fallait s'y faire. Je ne rentrais dans aucune case préconçu, j'étais un peu un cas et je trouvais cela plutôt bénéfique et positif. Bien entendu, j'aimais ma vie comme elle était même si je savais qu'un peu de retenu et de calme ne serait pas de refus pour mon petit corps qui commençait doucement à souffrir de mes excès. L'alcool et la drogue étaient deux substances devenues quotidiennes dans ma sombre existence. Pourquoi ? Je n'en savais trop rien. Ma vie était toujours mon combat, mon champ de bataille et pourtant... pourtant, je ne pouvais pas me passer de ma bouteille de vodka et dès quelques milligrammes que j'aimais renifler sur une table ou bien sur le corps d'une partenaire Mather. Il ne fallait pas se voiler la face, il n'y avait pas que les verts qui aimaient faire la fête, boire, se droguer mais pourtant tout le monde – ou presque – nous méprisez pour cela. J'avais franchement du mal à comprendre pourquoi tout le monde vivait dans ce bain de préjugés. Sobre, j'étais un grand rêveur et cela pouvait être aussi bien positif que négatif. La vie n'est sûrement pas un bon compte de fée ou alors la princesse se baigne dans une piscine de poudre blanche qui me coûtait un bras. Sortant de ma chambre, code civil sous le bras, je me dirigea vers la salle commune des Mather. Une soirée semblait se préparer et, comme à mon habitude, j'en ferais parti. Une soirée sans Joffroy c'est comme Roméo sans Juliette, ça n'existe pas. Me posant sur une table, je tournais les pages de ce qui était ma bible. La musique résonnait dans la maison des Mathers et j'avais l'habitude de travailler avec autant de bruit, heureusement pour moi d'ailleurs. Levant la tête de mes articles parlant de l'adoption, j'écoutais quelqu'un me parler de Rio. « Pas vu pas pris, c'est l'heure de poster un avis de recherche. Si quelqu'un la retrouve, qu'il me tienne au courant, vivante si possible » Je commençais même à douter de la vie de ma petite amie. C'était morbide et pourtant... Avec tout ce qu'elle ingurgitait et les mélanges qu'elle s'infligeait, il y avait une chance sur deux qu'elle fasse une overdose un jour ou l'autre. Retournant dans mes bouquins, je ne faisais pas honneur aux Mathers et je comptais bien me rattraper dès ce soir.

Il était vingt heures et j'avais rendez vous avec une certaine Cassidy, future recrue Mather. En temps normal, c'était Jude qui s'occupait de ce genre de choses mais j'étais persuadée qu'il était trop occupé avec Roxanna pour accueillir une nouvelle jeune femme. J'avais donc sagement accepté de prendre les reines pour cette nouvelle soirée. Chez nous, les soirées commençaient à dix sept heures et finissaient au beau milieu de la nuit, ou au lever du soleil. J'entendais des pas résonner dans le hall de la maison. Je devais déjà avoir un gramme d'alcool dans chaque bras lorsque la jeune femme prononça mon prénom. Je passa une main dans mes cheveux et me leva pour lui faire face. Bourré ou non, je marchais toujours aussi droit, avait un vocabulaire toujours aussi limpide. L'alcool et la drogue avait leur marque sur ma vie mais je jouais bien avec, j'étais maître de mon destin après tout. « Cassidy je présume ? Bienvenue chez les Mathers. Ne fais pas attention au bordel qu'il y a ici, on a commencé à faire la fête il y a deux bonnes heures de cela, les autres Mathers sont entrain de manger ce qu'ils trouvent dans la cuisine. » Je regardais la tenue de la jeune femme et souris. Dieu qu'elle était belle et bien fichue mais je commençais à me demander si je n'avais pas l'air d'un plouc en jeans et chemise froissée. Passant un coup de main sur ma chemise, je dis « J'te fais faire un tour de la maison, j'me change et on va... je ne sais pas où ? J'ai faim, la cocaïne ça donne soif » Un léger sourire aux lèvres, je sortis ma consommation personnelle de drogue de la poche arrière de mon jeans et dis « Tu en veux ou pas ? » Autant la tester tout de suite, au moins je serais fixé. Je passais devant la jeune femme et montais les escaliers deux à deux qui nous menaient aux chambres. Chaque chambre avait sa salle de bain à elle, ce qui était agréable à souhait. Poussant la porte de ma chambre je dis « C'est une chambre lambda hein, après t'en fais ce que tu veux. En l’occurrence, j'ai pas fais le ménage depuis trois jours et quelques soirées plus tard, ça ressemble à rien. Y a salle de bain, chiotte et voilà quoi. » sourire aux lèvres, j'attrapais un jeans propre, une chemise blanche comme la neige et déboutonna l'ancienne que je jeta sur le lit. Bah quoi, elle n'était pas prude, non ? J'étais très nature et il ne fallait pas me prier pour que l'on me regarde. Je disparus quelques secondes et reviens tout beau, tout propre : habillé, coiffé, porte feuille dans la poche arrière avec ma petite dose. Ouvrant la porte, je fis un signe à la jeune Hepburn et dis « Après vous mademoiselle » J'étais presque galant. Oui, presque. Une fois en bas, je lança « On zappe l'étape cuisine et tout ce qui va avec ? J'ai faim en plus d'avoir soif » Mers yeux glissèrent le long du corps de la jeune femme et un sourire naquit sur mes lèvres. J'étais un pervers et un chasseur, je ne le niais pas, loin de là même.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ce soir c'est le grand soir...(PV N. Joffroy Gilmore) Klaus11Ce soir c'est le grand soir...(PV N. Joffroy Gilmore) Iconcamillabellenb11

    Bon alors, à gauche ou à droite ? Ou en haut ? Maaah~elle était immense c’te baraque ! Si personne ne venait me chercher dans les 30 secondes qui suit, je vais explorer cette maison et vu mon sens de l’orientation, je ne suis pas prête d’en sortir ! Ah ? Ahah ! De bruits dans l’escalier suivit de la prononciation de mon prénom m’appris que quelqu’un était venu me chercher. En me retournant, mon regard tomba sur un grand gaillard qui descendait les escaliers. Pour quelqu’un qui avait commencé à faire la fête (sous-entendu à boire) il y a déjà deux heures, il semblait plutôt bien, juste un peu fripé au niveau des vêtements mais ça donnait un certain genre. Je lui offris mon plus beau sourire (le numéro 5 dans ma collection)

    « C’est exact, Cassy Hepburn, enchantée. ET tu dois être Joffroy Gilmore ? »

    C’est pas comme si je posais une question à 10 millions de dollars. Déjà, je l’avais déjà croisé sur le campus et deuxièmement, on m’avait prévenu que celui qui m’accueillerait serait un certain Joffroy Gilmore. Musique, alcool, nourriture et cocaïne, eh bien, on ne s’ennuyait pas ici ! Et j’étais partante pour la visite du propriétaire, c’est pourquoi je le suivis sans u n mot, courant presque derrière lui. Eh chéri, j’ai des petites jambes moi et je suis en talons, alors les marches deux à deux ça va pas l’faire ! Et sa proposition de poudre blanche ? Pour tout dire, je n’avais jamais testé. Autant l’alcool m’étais familier, autant la cocaïne était une inconnue mais après tout…pourquoi pas ! On est jeune qu’une fois !

    En tout cas, je me sentais déjà comme chez moi et j’espérais vraiment pouvoir entrer dans cette maison, pas seulement pour les chambres, mais un peu quand même ! Et en parlant de chambre, j’eu l’honneur ( ?) de visiter celle de mon hôte du moment. Enfin, je pense. Sous le bordel, il y avait quelque chose qui ressemblait à une chambre. D’après ce qu’il me dit, ça avait l’air agité ici. Et, je l’avoue sans honte aucune, je ne détournais pas le regard quand il se changea. Il aurait été dommage que je me prive d’un tel spectacle ! Joli spectacle, je reviendrais !
    Deux minutes plus tard, je me retrouvais de nouveau au rez-de-chaussée sans passer par la case cuisine. Entre temps je croisais deux ou trois trucs qui ressemblaient à des humains et montrais d’un geste de la main des traces de poudre blanche qui se trouvait encore sur une table.

    Tu me fais découvrir ?

    Il paraît que c’était….planant, alors je comptais bien tenter l’expérience et en compagnie d’un si beau specimen de la race humaine, c’était encore mieux.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Faire la fête était une habitude avec moi, une très mauvaise habitude je devais bien l'avouer parce qu'à cette allure, j'allais finir avec un cancer du foie, des problèmes de poumons ou une overdose, au choix. Trois morts bien douloureuses qui me rappelleraient que j'étais comme tout le monde, un être humain et que la mort était au bout du chemin. Seulement, être un Mather, c'était quelque chose et je n'avais jamais à refuser une soirée de temps à autre, ou tous les soirs. Les apéros qui duraient des heures, les repas à ne plus finir, les parties de jambes en l'air. Un homme comme un autre, un vert comme un autre, seulement aujourd'hui, je devais être quelque peu correct. Quelque peu oui parce que le contrôle et moi, on faisait deux, voire trois. Quittant mon canapé moelleux, je descendis deux à trois marches qui me séparaient du hall d'entrée et accueillais la nouvelle recrue comme il se devait, ou presque. Je n'étais pas bon pour jouer à l'homme sociable et je devais remercier mon cher vice président pour être avec sa petite amie à ce moment même. Enfin, il fallait bien que j'y mette du mien sinon, un jour ou l'autre, on me dégagerait de la confrérie et plus vite qu'il ne le fallait pour dire « ouf ». Souriant à la jeune brune je dis « Tout à fait, c'est bien moi. Bienvenue parmi nous » Et voilà que j'étais presque galant, que m'arrivait il ? Cela ne me ressemblait guère, rien de ce que j'étais entrain de faire ne me ressemblait et c'était presque désolant. Oh Gilmore, tu deviens la lopette de la confrérie ou bien ? Je me voyais déjà, totalement ridiculisé par mes camarades mais je n'avais pas de soucis à me faire d'eux, pour le moment du moins. Ils étaient tous entrain de s'enfiler une pizza ou deux et ils étaient dans un état seconde, cocaïne à l'appui. J'étais un consommateur plutôt régulier de cette fine poudre blanche mais je ne dealais plus. Cela avait été plutôt difficile pour mes refourgeur mais c'était ainsi. Une jeune femme était morte avec quelques grammes de ma came sous le sang, je ne ferais plus deux fois la même erreur. Alors bien entendu, je proposais de la poudre blanche à Cassidy pour voir ses limites et ce n'était pas sur moi qu'elle allait devoir compter pour lui en refiler des tonnes et des tonnes. Descendant les escaliers après une très légère visite, mon estomac commençait à me rappeler que boire c'est boire, manger c'est mieux et je proposais donc à ma chère et tendre ''invitée'' de la soirée d'aller manger seulement elle avait d'autres plans en vue. Souriant, je me dirigea vers la table basse et d'un coup de main, je poussa tout ce qu'il y avait sur la table par terre. Bestial le Joffroy. M'asseyant sur le sol – bah quoi c'est toujours mieux quand la table est basse – et je regarda la jeune femme « Première fois ? » Je ne voulais pas de problèmes, avec personne alors autant savoir où je m'aventurais. Elle me répondait que c'était la première fois et je fis un léger sourire. Bon Gilmore, c'est toi qui contrôle les doses ce soir. « Je préviens, c'est moi qui guide et je ne te proposerai pas de raille de Coke à tire larigot, je tiens à ma vie libre et toi aussi, j'en suis persuadé. Y a deux façons de prendre de la drogue. Enfin, y'en a plus mais là, on en a deux. Sniffer ou la prendre avec le doigt » humidifiant mon index, je le plongea dans mon petit sachet de poudre blanche et, une fois quelque peu blanchi, je le plongea dans ma bouche. C'était sans goût, bien dommage. Voyant la jeune femme un peu désarmée, je dis « A toi de voir comment tu veux en prendre, si tu veux toujours, je ne te force pas et personne ne t'en voudra si tu ne franchis pas le pas maintenant, ou jamais. On a bien un vice président en sevrage » Au sons de mes mots, j'entendais quelques voix jurer après notre vice président. Merci, je n'étais pas le seul à penser que c'était un crétin. La jeune femme me paraissait totalement stressée, dieu que je n'aimais pas cela mais alors absolument pas. « On peut toujours aller manger quelque part en ville, boire un coup et revenir à nos occupations après. À toi de voir, je suis pas douée pour organiser des soirées, dîners et tout ce qui va avec Cass'. Tu permets que je t'appelle Cass ? » Ce n'était pas le moment de la froisser ou je ne sais pas quoi. Allez brunette, réponds moi parce que c'est pas tout, mais je commence presque à m'endormir là...
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)