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Il devait être 14 h, un peu plus ou un peu moins, je n’étais plus à quelque minutes prêt. J’avais une fois de plus révisé toute la nuit jusqu’à me péter le crâne, rattraper ces cours n’était pas chose facile mais je commençais à me faire à ce nouveau rythme, et puis après tout c’est moi qui avais choisi médecine, plutôt l’ancien moi, c’était donc ma faute si j’étais à la ramasse, du moins c’est ce que je ne cessais de me dire, comme si j’avais eu l’agréable envie de me faire casser la gueule, n’importe quoi. Jetant un énième livre sur une pile en contenant déjà pas mal, je me mettais à souffler, encore un de plus terminé, il ne m’en restait que… J’essayais de compter mais il faut croire que mon cerveau avait décidé de se débrancher étant donné que je n’arrivais plus à ne serait-ce que penser à quelque chose de sensé. Je passais alors mes mains dans mes cheveux pour sûr mon visage comme si cela pouvait enlever toute la fatigue que je venais d’accumuler, puis je me laissais tomber sur mon lit telle une masse. Je fermais alors les yeux, pris soudainement d’un gros coup de fatigue et commençais à me faire bercer par les bras de Morphée, seulement un coup sur ma porte me réveilla en sursaut. Je me levais d’un bond et renversais ma pile de libre par inadvertance, puis j’allais ouvrir à un visage que je connaissais bien.
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Comment dire qu'en ce moment ma vie n'était nullement celle que je désirais, tout l'inverse de ce que j'envisageais pour ce début de nouvelle année. Peut être être que si je souhaitais le contraire de ce que je voulais alors j'aurais enfin le droit à mes moments de bonheur. Je ne savais plus où donner de la tête en ce moment, comme Alek était en quarantaine, j'étais seule à devoir m'occuper de Quincy, en plus de mon poste de bénévole à l'hôpital à cause de cette maladie. Les cours n'étaient plus la priorité pour moi, je me consacrais davantage à ma vie personnelle bien bancale. Et là en ce moment ce qui me tracassais plus était la santé de Quincy, depuis deux jours, ce n'était plus comme avant, il était capricieux et il était difficile de le faire arrêter de pleurer. Il y avait donc probablement deux causes à cela, soit cette foutue maladie et j'espère que non, soit l'absence de son père dont lui aussi souffrait. Pour être sûre qu'il ne s'agissait pas de la première hypothèse, je décidais de me renseigner auprès d'Haytam, je n'avais pas très envie de passer par la case hôpital et de ce fait il me paraissait être la personne la plus à même de me renseigner à propos de mes doutes. Je me rendais donc à la résidence Dunster où le jeune homme résidait, avec mon fils dans les bras Arrivée à hauteur de sa porte, je frappais tant bien que mal. J'entendis des bruits derrière la porte et le jeune homme ne tarda pas à ouvrir." Haytam, je ne te dérange pas ? " Non parce que avouez que cela est surprenant de débarquer devant la porte d'un ami, avec un air plutôt inquiet et son enfant.
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Depuis ma sortie de l’hôpital, depuis mon coma et cette foutue amnésie, ma vie avait totalement changé, oh ce n’était pas rose pour autant, non tout était parti en live, tout était foutu en l’air, et ce n’était qu’un doux euphémisme. Alors que je tentais de remettre de l’ordre dans ma vie, de me faire pardonner auprès des gens avec qui j’avais été plus que désagréable, voilà qu’un groupe de stupide gossip ou autre chose du genre m’accusait de meurtre. Les études me rattrapaient, les personnes qui me détestaient également, de plus cette épidémie décimait la population ce qui me supprimait des heures si essentielles. Je soufflais alors longuement, le sommeil me manquait, d’énormes cernes se dessinaient sur mon visage et j’avais parfois des moments d’absence. Je m’étais donc levé d’un bond, très surpris d’avoir de la visite, je m’attendais à ce que ça soit Dayana, à part elle, qui pourrait bien passer ? En ouvrant la porte, un sourire s’était dessiné sur mon visage, ce n’était pas une blonde qui était là mais bel et bien une brune pour qui j’avais de l’affection. « Non bien sûr, je t’en prie entre. » Le temps que je ferme la porte derrière elle et que je me retourne, j’admirais le bordel que j’avais foutu en faisant tomber ma pile de livres. Je me précipitais donc vers celle-ci pour à nouveau les entasser et les bouger un peu plus loin de mon lit. « Excuse-moi pour le bordel, je t’en prie, assieds-toi. » Je mettais en ordre quelques petites choses. Ma chambre n’était que rarement en bordel, seuls quelques bouquins dépassaient par-ci par-là, un peu trop à mon goût, tout ça pour dire que je n’avais rien de personnel. « Je peux faire quelque chose pour toi ? » Je me plantais alors devant elle tout en croisant les bras contre mon poitrail.

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La peur au ventre me tiraillait depuis des jours. Et pour ne pas arranger les choses, je suis une personne qui stresse assez facilement et encore plus depuis que je suis mère. Aujourd'hui, je me préoccupe plus de lui que de moi dans la vie de tous les jours et fait passer son bonheur avant le mien et en retour le voir si heureux m'apaise. Or en ce moment ce n'est pas tellement le cas. L'instinct maternel avait pris le dessus. Je refusais tout bonnement qu'il lui arrive malheur. Cette peur de le perdre me hantait tous les soirs et je n'en dormais pas déjà que je n'avais plus mon mari à mes côtés. Je n'arrivais tout bonnement pas à tout gérer, d'ici peu j'allais craquer, je le sens au fond de moi, je ne peux pas endurer encore une autre souffrance. Je ne suis pas aussi forte qu'il n'y paraît, on a tous nos faiblesses après tout. J'avais ce besoin d'être rassurée, c'est pourquoi je m'étais dirigée vers Haytam, ej savais que je pouvais compter sur lui à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit, même si je ne me permettrais jamais de le faire. J'entrais comme il me le proposait." T'inquiètes pas c'est pas grave, je te rassure que c'est pas mieux chez moi! " Je prenais place sur son lit, berçant mon fils dans mes bras. Visiblement à voir les livres partout autour de lui, il devait être en pleine révision. Bon dans mon malheure, j'avais un peu de chance car le jeune homme n'était visiblement pas encore touché par la maladie sinon je ne l'aurais pas retrouver ici." A vrai dire oui, je suis un epu angoissée à cause de cette épidémie vois tu mon mari est en quarantaine et maintenant j'ai peur pour mon fils, je me demande s'il l'a pas attrapé ? Mais j'ai pas envie qu'on me l'enlève. Est ce que tu penses pouvoir me dire si j'ai des raisons de m'inquiéter ou pas ? " lui demandai-je le regard quelque peu triste et le visage tendu comme si ma vie dépendait de ce qu'il allait m'apprendre.
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L’épidémie qui faisait rage aurait pu m’inquiéter, non elle aurait dû, tout simplement. J’étais un étudiant de médecine, par conséquent un peu hypocondriaque, et je voyais chaque jour des personnes disparaitre pour la quarantaine, m’enfermer dans ma chambre à double tour et condamner les portes aurait été une réaction tout à fait… normale ? Non peut-être pas, mais au moins elle aurait été plus normale que celle que j’avais en ce moment : continuer à vivre comme si de rien n’était. En fait j’étais presque persuadé que j’allais passer à côté, après tout 2014 était une nouvelle année, puis avec l’année précédente pourrie que j’avais eu, inconsciemment, en tant qu’homme un peu trop innocent je me disais que rien d’autre n’allait m’arriver, si j’avais su… Je souriais faiblement à Nevada et j’en profitais pour regarder ma chambre tout à fait froide et impersonnelle, j’avais beau l’avoir rejoint après le summer camp, elle était encore moins décorée que ma chambre d’hôtel, voire même d’hôpital. Elle était sans âme, un peu comme moi depuis mon accident à vrai dire. Je passais une main dans mes cheveux en la toisant tour à tour avec son bébé. Déglutissant je l’écoutais patiemment, elle avait donc peur pour Quincy. C’était normal après tout, il était en bas âge et son mari n’était plus à ses côtés. Je laissais alors mes bras ballants le long du corps, je ne savais pas trop comment réagir, j’avais beau connaître le petit, la pédiatrie n’était pas vraiment ma spécialité et j’avais par conséquent peur de le brusquer ou de lui faire mal. Je m’approchais alors de quelques pas puis me ravisais, restant à ma place, croisant les bras à nouveau. « Hum est-ce qu’il a des symptômes ? Du genre fièvre, souffle rauque, surplus de sécrétions ? Enfin tu vois le genre quoi… » La médecine n’était pas vraiment glamour mais personnellement j’étais habitué. J’observais alors chaque réaction du bébé qui semblait être tranquille pour l’instant.

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J'ai été naïve de croire que le malheur ne frapperait pas bientôt à ma porte. Mon bonheur avait atteint son paroxysme à la naissance de mon fils et il était certainement trop facile que cela reste ainsi depuis des années. Comme tout être humain ma vie est faite de heuts et de bas même si je refusais d'affronter ces mauvais moments qui ne servent qu'à nous enterrer petit à petit. Mais le pire dans tout ça, c'est de voir les personnes auxquelles je tiens le plus touché de plein fouet, cette sensation de perdre tout ce qui importe dans ma vie me consume peu à peu comme un lent brasier. Je refuse encore d'imaginer ma vie sans ces personnes essentielles dans mon existence et sans qui je ne pourrais pas avancer. Ce n'est pas à cause d'une foutue maladie que les médecins n'arrivent pas à gérer que ma vie va s'arrêter, je ne veux pas y croire. J'ai rien fait pour mériter cela et j'aurais jamais pensé qu'on me remercierait de cette manière alors que j'aide du mieux que je peux le monde qui m'entoure. Mon rythme cardiaque ne cessait d'augementer de jours en jours, l'angoisse prenait part dans tous mes muscles. J'avais peur de ne pas m'en sortir et pourtant ce n'était pas moi qui été touché de plein fouet par cette maladie. J'essayais de cacher cette peur en ne montrant aucun signe sur mon visage mais la peur devait se lire dans ma voix, tellement que je devais m'emmêler les pinceaux. Je regardais Haytam, un brin soucieux, décontenancé peut être car j'avoue que me voir ainsi est plutôt un fait rare. Je me mordillais la lèvre inférieur avant de décliner pourquoi l'inquiétude s'était emparé de moi." Depuis quelques nuits, il dort très peu, il mange moins. Après je n'ai vu aucun autre signe. Désolé je suis pas encore experte  dans ce domaine et j'avoue qu'être seule en ce moment n'est pas facile. " Je déposais un baiser sur le front de mon fils pour me donner un peu de courage mais bon c'était presque peine perdue.

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Cette maladie, enfin épidémie, était en train de tout ravager sur son passage. Chaque jour de nombreux élèves et professeurs se faisaient absents, des boutiques fermaient en ville, des gens restaient cloitrer chez eux, je n’avais jamais vu ça de ma vie, et pourtant cela ne voulait pas dire qu’ils n’avaient pas tort. A vrai dire, intrigué par ce virus, j’avais décidé de l’étudier un peu plus, connaissant quelques personnes en quarantaine, j’avais dû me renseigner sur le virus, je n’étais pas dupe, ce n’est pas un étudiant en médecine, aussi intelligent soit-il qui allait trouver un remède, seulement l’étudier me faisait passer du temps, m’aidait à comprendre ce qui se passait et surtout me préparait peut-être, car je n’étais pas dupe, un jour ou l’autre je serai sûrement touché. Je ne voulais pas en être victime, seulement je savais qu’avec mon système immunitaire encore fragile et mes séquelles dues à l’accident, j’étais désigné pour ne pas y échapper. « Okay je vois… » Je me mettais alors à réfléchir quelques secondes, observant Nevada totalement paniquée, des cernes sur son doux visage trahissaient son angoisse qu’elle cachait bien, je devais l’avouer. « Depuis quand Alek est en quarantaine ? » Elle ne m’avait pas informé de ce détail mais en même temps c’était évident, j’observais alors longuement sa réaction et le laissais vider son sac, elle savait qu’elle pouvait se confier si besoin, après tout j’étais une bonne épaule pour ça. Je m’approchais alors doucement et m’asseyais à côté d’elle, puis je me raclais la gorge. « Tu me le confies deux minutes ? Je veux être sûr qu’il n’a rien. » Je tentais déjà de me préparer psychologiquement, moi et les bébés c’était une affaire compliquée, moi les autres en général après tout, seulement là ce petit être était tellement… petit justement, que j’avais peur de lui faire mal ou de lui froisser quelques choses. Je posais alors mon regard dans celui de Nevada, je la suppliais presque de rester à côté de moi au cas où.

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C'était le chaos complet, rien n'était fait pour rassurer les gens au contraire, on ne cessait de nous répéter que cet épisode épidémique était un vrai mystère difficile à résoudre dont on ne connaissait pas les conséquences. Tout laissait donc penser que la pire des fins était possible. Je ne voulais pas imaginer ce destin où tous mes proches ne seraient plus là, je suis loin d'être résistante face à la perte d'un être cher, la dernière fois, cela m'avait valu un mois entier de dépression tellement que je n'avais pas calculé être enceinte. Il était impossible pour moi que l'histoire se répète, je ne voulais même pas me préparer à l'éventualité de devoir élever seule mon fils. J'avais besoin de réconfort en cet instant et surtout d'être rassuré que je n'avais pas non plus à m'inquiéter pour mon fils en plus de mon mari. Je savais qu'Haytam était l'un des rares à pouvoir m'aider avec son calme légendaire. " Cela doit faire à peu près une semaine qu'il y est. Milena également a été mise en quarantaine aujourd'hui. Bref c'est la poisse totale. La quasi totalité des personnes que je connais est coincée là-bas. " Dis comme cela, il y avait de quoi angoissée. Et si j'étais la prochaine ? Et si Quincy se retrouvait seul ? Mon coeur s'emballa et je pensais bien qu'il allait me lacher. Les paroles du jeune homme me réveillèrent. J'hochais de la tête, déposant mon fils dans ses bras quand bien même je ne le voyais pas très rassuré mais j'avais confiance en lui. Et puis c'était le seul moyen pour m'enlever une épine du pied." T'as de la chance il s'est calmé, et puis t'inquiètes pas il est adorable même avec les inconnus. " Mon fils est une pépite à mes yeux, alors oui le perdre était la pire des choses qui puisse m'arriver.

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Cette épidémie avait fait un ravage détonant, elle avait décimé, enfin façon de parler, toute la population ou presque en l’espace de quelques semaines. Elle était devenue contrôlable, avait muté, mais tout ceci ne faisait pas partie des informations diffusées à la radio ou à la télévision, non ça aurait empêché tous les gens de vivre, cela les aurait obligé à vivre confinés, plus aucun commerce n’aurait tourné, de plus tout le monde se serait inquiété, serait angoissé comme Nevada à ce moment même. La maladie mutait très vite, c’est cela qui effrayait les scientifiques et médecins, elle était devenue comme incontrôlable, impossible à cerner et donc à soigner, à l’heure d’aujourd’hui on ignore encore ce qu’elle est censée être. Fou que je suis, je trouvais la souche totalement fascinante, bien sûr cela n’incluait pas le fait que des personnes qui m’étaient proches étaient en danger. « Je vois… » Je tournais en rond comme un lion en cage, je tentais de réfléchir à une solution, comme d’habitude. Je m’arrêtais soudainement et me tournais vers elle. « Attends quoi… Milena est là-bas ?! » Mon cœur s’était arrêté de battre pendant des secondes interminables, je n’en revenais toujours pas. Mes mains étaient venues se percher sur ma tête et j’avais été obligé de m’asseoir pour encaisser la nouvelle. Je n’avais pas été mis au courant… C’était dingue. Je décidais alors d’aller voir la blonde dès que je pourrais, même si cela allait certainement être compliqué à cause de la nouvelle vague de personnes à mettre en quarantaine. « Okay… » Lâchais-je pas vraiment rassuré en prenant son fils. Je l’examinais pendant de longues minutes et soufflais longuement avant de lui rendre, il avait même réussi à me décrocher un sourire. « Il va bien, il ressent juste tes émotions, son père lui manque et il sait que tu es paniqué, c’est juste sa façon à lui de te faire comprendre qu’il est dans le même état quoi… »

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J'étais démunie et me sentais totalement inutile, je n'aimais pas cette sensation qui m'enveloppait de toute part depuis quelques jours. En général, j'ai toujours réussi à avoir un faux sourire sur mon visage même dans les pires des situations car je déteste me plaindre. Hélas en ce moment j'encaissais beaucoup trop de coups durs pour faire semblant et puis ma vie avait changé avec l'arrivée de mon fils, ce n'était plus forcément comme auparavant. Je m'occupais pus de ma propre chair que de moi même et encore plus étant donné que ces jours-ci je suis seule, épuisée car je ne dors quasiment plus. Si ça se trouve moi aussi j'irai faire un séjour à l'hôpital mais pas à cause de cette foutue maladie mais plutôt pour une syncope. Je devrais songer à me mettre au yoga ou autre sport pour retrouver un peu de calme autant dans mon esprit que dans mon corps. En mentionnant Milena, je voyais que j'avais décontenancée le jeune homme et je pouvais comprendre sa réaction, j'étais passé par là à chaque fois que l'on m'avait annoncé quelle autre proche on m'avait enlevé. Lui confiant mon fils, je martelais le sol des pieds, anxieuse, à l'idée qu'il m'énonce une mauvaise nouvelle alors qu'en réalité c'était tout autre chose. J'étais un peu interloquée par ce qu'il venait de me dire." Oh c'est donc de ma faute. Je suis vraiment une mauvaise mère de filer mon stress à mon fils. " Je me mordiallais la lèvre, me trouvant totalement idiote pour le coup. Jamais je ne voulais faire du mal à monf ils, enfin mal est un bien grand mot mais tout de même ça reflétait assez bien que je n'étais pas fière de moi." Hum hélas, je sais pas trop comment faire pour retrouver un peu de quiétude. Les dernières informations sont guère rassurantes. J'ai l'impression qu'ils cherchent à nous faire peur de plus en plus. " Je détestais les scientifiques pour le coup, les trouvant incapables mais bon j'étais pas mieux qu'eux vu ce que je faisais vivre à mon fils.

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