Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityI kept saying how much I needed you, but you needed me more ~ salomée
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I kept saying how much I needed you, but you needed me more ~ salomée

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Après avoir rendue visite à Tamara, Joan traversa les couloirs à la recherche de la chambre de Salomée. Au début de cette épidémie, personne de proche n'était atteint, alors, la jeune femme avait pris des précautions, mais surtout, elle ne s'était pas sentie visée par ce virus inconnu. Maintenant que les deux filles qu'elles adoraient été touchées, elle avait légèrement peur. En réalité, elle était descendue chercher un menu best of au mc donald pas loin, et était remontée. Elle regarda à travers la vitre pour apercevoir la brunette. « Hého ! Regarde ce que je te ramène ! Tu vas m'adorer. Sérieusement je me trouve géniale ! Je crois que j'ai raté ma vocation, j'aurais fait une super femme de chevet. » Lindley secoua le sachet marron avec le grand 'm' jaune. « Dis comment je te fais passer les nuggets au juste ? Faut que je mette une tenue de cosmonaute tu crois ? » Joan se laissa glisser contre la vitre, et s'assit par terre. Elle commença à siffloter en tapant du pied par terre. « Tu sais je songe sérieusement à tomber malade, vous êtes tous ici, je m'ennuie moi. » La jeune femme plia ses jambes contre elle en continuant de siffloter. « Tu es vraiment très très mal ? »
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Tu étais allongée dans ton lit en te tortillant légèrement, tu avais faim, mais tellement mal que tu avais peine à manger. Tu ne savais que faire sauf regarde le plafond, à l'attendant que les infirmières finissent leur prise de sang. Elles sortirent doucement de la chambre en faisant glisser un rideau qui la divisait en deux. Ce rideau cachait quelques appareils techniques qui analysent quelques traitements. Mais, tu passais le plus clair de ton temps à regarder à travers une grande vitre qui donnait sur le couloir centrale. Tu te retrouvais donc allongé là, les cheveux en pétard ayant trouvé une position agréable pour t'endormir. C'est quelques coups de porte qui te fit resurgir de ton rêve, tu ouvris légèrement les yeux pour observer les alentours...Tu souriais en regardant Joan se triballant avec quelques bonnes choses à manger, elle n'avait pas oublié, tu l'avais envoyé un message et elle avait accouru. Elle secoua un sachet jaune à travers une vitre brune...T'es la meilleure, sincèrement, si je reste là quelques jours de plus, je crois mourir,...vraiment, ils me servent du bio, mais c'est plus un carnage qu'autre chose...Tu tentas de te relever tout doucement puis tu vins coller tes mains sur la vitre...c'est bon, ça va hein, te moque pas de moi...tu penses que j'devrais ouvrir la porte pour que je t'empeste de ma maladie, peut-être mortelle ? te plains pas après, si ton lit se retrouve à côté du mien et qu'on pleurent nos vies misérables à deux...La maladie que tu ne connaissais pas te fatiguait, tu ne mangeais pas beaucoup...J'suis très mal, Jo...j'ai maigris...dis-tu en passant tes mains contre ta robe de chambre, tu la serra contre ton ventre...sauve-moi, mimas-tu derrière cette fenêtre en faisant une mine de chien abattu.
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L'état de sa soulmate Tamara l'avait inquiété, mais celui de Salomée était tout aussi impressionnant si ce n'est plus. Elle paraissait en effet bien maigrichonne et pâle. Il fallait en effet trouver un moyen de faire passer la nourriture à l'intérieur sans attraper un le virus inconnu tout droit débarqué de l'espace intersidéral. Et il n'y avait qu'une seule façon de faire entrer tout ça : la porte. « Attends j'ai une idée ! » Joan vida son sac à la recherche de sa paire de gants en laine, elle les sortit. Puis elle défit son gilet et l'attacha au niveau du nez et de la bouche. Elle enfila ses gants, tira les manches de sa chemise sur ses bras et enroula les manches de son gilet autour de son cou. Elle était plutôt flippante comme ça, mais la santé de Salomée passait en première. Elle n'avait que très peu de peau à l'air libre – que son front – et regarda la porte. Évidemment quand elle ouvrit la porte de la chambre, une petite alarme se déclencha. Elle jeta le sachet McDonald à l'intérieur, referma la porte, enleva tout son attirail anti-bactérien, et mit tout ça dans son sac. Puis quand elle vit arriver un médecin et des infirmières en courant, Lindley désigna le bout du couloir. « Il y a un espèce de tapé qui a ouvert une porte au fond ! Il est parti là-bas ! » Ils repartirent dans l'autre sens, et Joan compta jusqu'à dix avant de rire. Enfin elle allait moins rire dans une semaine. « J'ai plus qu'à brûler mon sac et ce qu'il y a dedans ! » Elle ria doucement, mais en tout cas, parole de Joan, jamais on ne l'enfermerait dans une cage!
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Souvent quand Joan avait une idée, ça pouvait être, un truc comme "kidnapper le chat du voisin qui nous toise de haut et l'abandonner dans une ruelle sans fin..." Non, j'exagère, mais tout ça pour vous dire que Salomée qui connait vraiment bien sa cousine, avait eu, comment dire, elle appréhendait son idée...Mets pas le feu, si possible, dis-tu en posant ton visage contre la vitre...la grimace terrifiante. Elle te faisait rire cette Joan, le gilet sur le nez, les gants aux mains, elle te fit pouffer de rire, limite si tu n'arrivais plus à respirer, car tu n'en pouvais plus, mais qu'est-ce qu'elle pouvait être adorable à défier les règles pour t'offrir quelque chose de comestible en te jetant la nourriture à l'entrebâillement de la porte d'entrée. Le sac MacDo , tu l'attrapas au passage, attend, le MacDo, c'est sacré hein ! Puis tu vis Joan refermer la porte, ni vu ni connu, en désignant un autre secteur au médecin légiste qui s'empressa de courir vers le lieu d'alerte. Les portes se devaient de rester fermées et closes, mais vous n'étiez pas vraiment du genre à obéir quand  il s'agissait de nourriture, chose primordiale ! ... Tu déposas ton plat sur une petite table facile à ajuster, tu ne pouvais pas attendre et tes babines réclamaient leur dû...Hmm, fais surtout attention à toi et ne recommence plus ça, faut pas que tu me rejoignes...Tu mordus l'hamburger, tes pupilles se dilatèrent et tu voulus savourer chaque petite graine de sésame tellement, le tout était bon...Alors ?...dis-tu pour casser un peu l'ambiance morbide de toi en train de savourer du pain et de la viande...J'veux dire avec Joshua...La fin de la phrase se fit presque inaudible...tu l'aimes ?... Cela faisait plusieurs jours que tu étais en hospitalisation, tu avais besoin de te dégourdir et d'entendre parler des histoires extérieures.
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Bon maintenant elle frissonnait. Non en fait elle tremblait. Pour être plus exacte, la jeune femme avait les dents qui claquaient, et la brunette était prise de semi-convulsions. Pas parce qu'elle était malade, ah ça non, elle avait mis au point une telle barrière de défense, que là, le virus, même dans le corps de Salomée, même derrière une vitre, il devait avoir peur. Il devait sentir les ondes négatives qui se dégageaient du corps de la Quincy et qui boutaient les ennemis or du royaume. Non elle tremblait de tout son corps parce qu'elle avait fait une connerie. Elle se mit à rire, non en faite, elle eut un véritable fou rire. Elle avait adoré ça, la petite montée d'adrénaline. D'ailleurs c'est probablement pour ça qu'ils allaient ouvrir une cinquième cellule de quarantaine. Elle était l'ennemi public numéro 2 (derrière le virus en lui-même ça va de soi). Tremblez pauvres petites gens, Joan est de sortie. Bon évidemment, les questions – tout à fait légitimes – de Salomée la calmèrent d'un coup. Joshua ? Quel Joshua ? Ah oui... LE Joshua. Elle était d'un coup sur la défensive. Puis sa cousine ne pouvait PAS être au courant, c'est pas comme si elle avait parlé de lui... En fait si, c'était rare qu'elle n'en parle pas. C'était l'un de ses sujets préférés en fait. « Et bien... Je sais pas... Je crois que... Enfin c'est... Oui... NON ! Je sais plus... » On repasserait. Pourtant @LeVraiHoroscope avait dit que les #Bélier parlaient facilement de leurs sentiments, connerie oui !
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Avec tes yeux de merlan frit, la regardant quelques instants dans son monologue externe, tu laissas échappé un...M'ouais...peu rassuré. Avant de laisser s'installer quelques frites salées entre tes lèvres, comme une gosse de douze ans, tu les dégustais, une à une. Et bien que ça n'ait jamais été l'une de tes nourritures favorites - à cause de toute la graisse qu'elle renferme -, tu savouras...arrêtes, tu parles de lui H24, puis, si c'est pas le cas, tu me dis toujours une phrase qu'il a sorti...et si c'est pas le cas, t'es toujours en train de rêvasser, alors, si ça c'est pas de l amour, dis-moi quoi... Tu riais derrière la vitre de ta prison. Tu avais l'impression d'être un poisson dans l'eau d'un aquarium... c'est pas que j'ai pas envie de jouer l'agence matrimoniale,mais une chose est sûre, c'est que tu le supportes plus que Léo...Le paquet McDo finit, tu fis une mine désespérée...ah, dans ce genre de moment, manger comme un obèse, ça doit être le paradis...Tu jetas le paquet dans une petite poubelle, les infirmières la videront demain matin...pourquoi t'hésites ?
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Salomée faisait partie des personnes qui n'avaient pas besoin que Frances parle pour savoir exactement ce à quoi elle pensait et surtout ce que la jeune femme pouvait ressentir pour telle ou telle personne. Mais si les choses étaient simples ça se saurait. Et sa cousine était bien placée pour le savoir. Elle avait des antécédents. Parce qu'elle pouvait bien jouer les ados et faire l'amoureuse avec Joshua, deux de ses ruptures lui étaient restées en travers de la gorge. Aussi la brunette avait plutôt du mal à se projeter dans le futur avec le Quincy. Tout ça lui semblait si naturel pour le moment qu'elle imaginait mal que ça puisse continuer longtemps comme ça. « Bon d'accord, je plaide coupable. Mais c'est... je veux pas que ça finisse comme les autres fois, à part Aidan, toutes mes ruptures ont été totalement désastreuses, or pour éviter que ça finisse, autant ne pas commencer non ? » Miss Lindley vous êtes d'une logique imparable. Une grimace tordit le visage de Joan à l'évocation du fiancé de Salomée. « Hum c'est pas difficile d'être plus supportable que lui c'est sur ! » Elle rit, et oui, dans tous les cas elle allait devoir le supporter celui-là d'ailleurs. La jeune femme en avait la nausée d'avance.
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Ton fiancé aussi désagréable soit-il, tu t'inquiètes pour lui, disons qu'il a disparu ses derniers temps, ce n'est pas que tu ais envie de le voir, mais qui sait qui se rebrousse les manches à essayer de conquérir sa sorcière blonde, Jackie par ci, Jackie par là...c'est toi qui finit par jacasser de haine. Tu ne l'avais jamais supporter, ô ça non ! Ses yeux globuleux qui vous fixe et son petit air...ah ça oui ! Cet air que tu détestes. Tu reprenais tes esprits, ton cerveau avait mis en fonctionnement le détonateur...attend... Ah, mais si tu pouvais sortir de là, lui puncher quelque chose sue la tête...es-pè-ce de folle ! ...comment ça ne rien faire ?... Tu t'approchais déjà de la vitre avec un cousin dur en frappant sur celle-ci, peu importe si les docteurs se ramènent. Qui ne tente rien n'a rien !...T'avais les gongs au vif...hé, mais attend, je n'arrive pas à croire que Lindley, tu te dégonfles...viens pas pleurer si ton étalon, il se barre...Tu savais qu'elle n'aimait pas ça, mais tu avais toujours eu tendance à la provoquer, c'était plus pour lui rendre service, elle était têtue, alors pour lui faire changer d'avis fallait y aller de mains fortes. J'arriverai plus à te regarder dans les yeux...c'était Jo qui donnait des conseils à Salomée, ouai, donc en outre, entendre qu'elle se déroge à la règle et qu'elle ne fasse rien pour améliorer son futur, ça t'énerver. En plus, avec Jasper, tu n'avais pas abandonné, tu l'aimais toujours autant, mais tu adoptais une autre tactique d'approche.
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Si elle savait comment faire, la jeune femme aurait bien aidé Salomée à se sortir de ces foutues fiançailles à deux balles. La Dunster avait le droit à sa part de bonheur et Lindley n'en démordrait pas : elle ne serait jamais heureuse avec ce Léo. Peut-être avec le temps leurs relations deviendraient plus complices, mais soyons sérieux, c'était impossible, non, non et re-non. Puis de toute façon, Joan s'arrangerait pour faire s'enfuir la princesse Salomée avec le bon prince. On était pas dans l'Europe de l'Ancien Régime, la brunette avait le droit de choisir non ? Même Blanche-Neige avait eu le choix. Enfin retournons à nos moutons, agneaux et autres brebis, puisque apparemment, sa cousine n'allait pas la lâcher avec cette histoire de garçon, Joshua, amour, fleurs déposées dans les casiers et chocolats pour la Saint-Valentin. Puis la remarque de l'étudiante piqua au vif Joan. « On parle de Joshua, c'est pas comme si... Puis on est pas marié, il fait ce qu'il veut, et si ça se trouve, je me fais des idées. » Avant de se perdre dans ses suppositions débiles, la Quincy éclata de rire et dit à Salomée. « Je vais virer barge si ça continue, promis la première occasion qui se présente je lui saute dessus ! »
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Rire ça te fit du bien. Ouai...et fais-lui de tes charmes ! Tu fis une mine de dragueuse en montrant ton décolleté avant d'éclater de rire...on n'est pas un peu pitoyable comme ça, non ?...A penser garçons, ça faisait longtemps, d'habitude s'étaient plus bouffes et compagnies, ragots en tout genres, films et les conneries dans lesquelles vous étiez impliquées...Si c'est le bon ma puce, tu le sentiras, fin, ça va sauter clair aux yeux...te presse pas trop n'en plus, j'ai pas envie que tu disparaisses parce que t'es trop occupé avec lui, on aura plus de bêtises à faire ensemble...marmonnas-tu d'une toute petite voix fiévreuse. Parce que c'était toujours comme ça en amour et tu le savais, dès qu'on tombait amoureuse on changeait, puis parfois on oubliait les autres. Parce que dans les yeux de Celui, on voulait paraître Unique.Tu passas une main dans tes cheveux avant de coller ton dos contre la vitre. Tu fermas les yeux. Pensif, tu étais. Mal de tête, tu avais...Et toi, sinon, ça va ?...Tu voulais t'assurer qu'elle parte toujours en cours, qu'elle ne s'inquiète pas trop pour toi ou d'autres personnes, parce qu'elle était comme une Aaron-Merkel, t'avais parlé d'elle à plusieurs membres de ta famille, ils avaient kiffés sa personnalité. Joan, Joan. Un cas parmi mille, une fille plus que d'ordinaire. Original....Et protège-toi bien, j'veux pas que tu te retrouves avec moi, j'ai entendu dire qu'il y avait d'autres vagues de personnes atteintes...Tu passas une main sur ton front en sueur, tu commençais sérieusement à avoir mal.
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