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LILLY-JADE & DEXTER ♕ jalousie mal placée

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L’endroit était plein à craquer, l’air était dense, à peine respirable. La chaleur était tel qu’on en devenait un seul et même soupire. La lumière tamisée faisait de tous les visages une ombre sans cesse renouvelée. La musique, forte et rythmée, semblait contrôler les esprits à se mouvoir de la même manière. J’étais venu seul, mais maintenant je ne faisais plus qu’un avec l’ambiance, mon t-shirt, lui, me collait à la peau. D’ordinaire je ne fréquentais pas ce genre d’endroit, je n’en voyais pas l’intérêt comme je repartais toujours chez moi les bras vide, le coeur solitaire. J’aimais me faire croire par contre qu’un jour je deviendrais comme eux, légers et libres, ne craignant aucune opinion. Un plaisir sans risque, une chose que je n’avais jamais connu. L’illusion ne durait pas longtemps cependant, comme à chaque essaie, je finissais pas trouver une ombre dans le lot qui me rappelait trop mes désastres amoureux passés et j’en devenais complètement mélancolique. Ce soir c’était un peu la même chose, sauf qu’ici, l’ombre possédait une identité qui m’était bien familière, si près de mon coeur qu’il en mourra juste un peu. C’était ses cheveux d’abord qui avait éveillés ce souvenir, puis son visage que j’avais entrevu, son corps coincé entre deux idiots. Il s’agissait bien de Lilly-Jade, une amie qui avait tout d’une âme soeur, un trésor que je me gardais en réserve personnel. Que faisait-elle là? Pourquoi ne m’avait-elle pas invité? Ma mâchoire se serra en voyant ses hanches frôler celles d’un autre... un homme qui n’était, ni ne serait jamais moi. J’en grognais mon désaccord. J’attendais qu’elle relève les yeux, qu’elle pressente ma présence d’une manière ou d’une autre, mais jamais elle ne pensa à moi. Elle semblait tellement perdu dans sa transe, rien au monde n’aurait pu la faire sentir moins libre... si ce n’était de moi qui vint lui couper les ailes. Je me faufiler jusqu’à elle, poussant tout ceux qui se trouvait dans mon chemin, recevant coudes et genoux avec fracas, grimaçant ma misère pour enfin l’atteindre. Je me glissai entre elle et cet homme que je n’avais jamais rencontré, qu’elle ne m’avait jamais présenté, c’était au tours de mon bassin de trouver le sien, et il le fit en une éclaire de délice. Une de mes mains glissa dans son cou, mes doigts se frayant un chemin parmi ses cheveux, s'agrippant à ceux-ci avec une certaine violence. Ma mâchoire était tellement serrée, bloquée par ma jalousie et mon désir de la posséder que j’eus du mal à lui dire ce que j’avais à lui grogner. Mes doigts tirèrent sa crinière vers le bas, l’obligeant à relever le menton pour m’apercevoir. Je n’avais pas le temps de décortiquer l’émotion dans son regard, juste assez pour porter mes lèvres à son oreille et lui souffler. «Ne me parle plus, ne m’appelle plus, ne m’écris plus, je ne veux plus rien savoir de toi. C’est terminé.» Son parfum intoxiquant embauma mon odorat une ultime fois avant que je ne lui tourne les talons. Je ne pris pas le temps de la regarder encore avant de sortir du club, la colère dans les veines. Je soufflai un grand coup en trouvant l’air frais. Fuck. Mais que venais-je de faire? Je connaissais cette rage, que trop bien, il n’y avait rien à faire pour l’arrêter une fois qu’elle était enclenchée. En un dernier élan, je perdis la tête, mes jointures s’éclatèrent contre la surface du mur et j’en criai ma douleur. Quel idiot! Je me repliai sur moi même, calant ma main blessé au creux de mon ventre, mon t-shirt se tâchant de rouge. Bravo Dexter, fier de toi.
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Il fallait que je sorte de chez moi où ma tête allait finir par exploser. Je détestais ce genre de journée à rester enfermée, la tête plongée dans les cours dans l'espoir d'y parvenir. Je ne comptais pas passer ma soirée à me griller le cerveau jusqu'au dernier neurone. Je devais prendre l'air, me changer les idées, m'amuser un peu. Après cette journée plus que gâchée, j'avais droit à une récompense. Le club. On m'avait envoyé un message-texte m'invitant à passer la soirée là-bas. Je devais aller au club, j'en avais envie, un bon moyen pour décompresser, pour oublier, s'amuser. Je n'y réfléchissais pas à deux fois, que je m'étais empressée à me préparer pour m'y rendre sans plus attendre. Il y avait du monde, comme toujours. Il était presque impossible de se frayer un chemin parmi toute cette foule en y ressortant indemne. J'avais rejoins mon ami, qui lui était accompagné de ses amis. Je ne connaissais que lui, les autres m'étaient inconnus mais suffisamment gentils pour m'offrir à boire. Les verres s'étaient enchaînés, les uns à la suite des autres, mais j'avais été raisonnable. Je n'étais pas non plus venue ici pour me bourrer la gueule, mais bien juste pour décompresser. J'étais à présent entrain de me déhancher sur la piste de danse. Je me fondais aux autres, bougeant au rythme de la musique, motivée plus que jamais à faire la fête. L'un deux s'était collé à moi, tentant un rapprochement dont je me méfiais. Pourtant je me laissais entrainée par la danse qu'il menait au corps à corps, laissant mes hanches se synchroniser aux siennes. Ces frottements se répétaient, s'accordaient en fonction de la musique qui défilait. Autant dire que je m'éclatais et que ça se voyait dans ce sourire que j'affichais. Je fixais le sol, observais ses pas alors que quelqu'un venait littéralement s'interposer, prenant sa place. Je n'avais pas eu le temps de relever la tête et voir qui était cette personne que je sentais qu'on tirait sur mes cheveux pour m'obliger à lever le regard. J'étais étonnée de le voir là, mais m'en réjouissais. Mon sourire ne pouvait que s'agrandir, jusqu'à ce qu'il porte ses lèvres à mon oreille. « Ne me parle plus, ne m’appelle plus, ne m’écris plus, je ne veux plus rien savoir de toi. C’est terminé. » Ses mots raisonnaient dans ma tête, provoquant une immense incompréhension. Il m'avait aussi vite tourner le dos, se frayant un chemin parmi tous ces gens pour quitter le club. Je n'étais plus en mouvement, j'étais devenue immobile, écarquillant mes yeux. Il venait de me gâcher la soirée. Je le suivais de regard, me laissant porter par mes jambes, abandonnant ce pauvre homme qui ne demandait qu'à reprendre là où on s'était arrêté. Dexter venait de passer la porte de l'établissement alors que je tentais tant bien que mal de le rattraper. « Tu peux m'expliquer Dexter? » avais-je crier suffisamment fort pour lui faire comprendre que je n'acceptais pas ce qu'il venait de me dire. Il m'avait mise hors de moi. « Tu peux m'expliquer ce que j'ai fait de mal pour que tu me dises ça? » Je m'avançais vers lui, d'un pas rapide. Il était recroquevillé sur lui même. Mon regard se posa directement sur ses mains en sang. « Mais qu'est-ce qui te prend bordel? » Je portais une main à ma tête, tirant mes cheveux en arrière, ne comprenant pas sa réaction, ce qui l'avait mit tant en colère pour en venir à se blesser lui-même.


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J'étais déjà assaillit de regrets, le corps tordu d'une douleur plus mentale que physique. Je n'avais aucune envie de dire adieu à Lilly, elle avait été d'un grand secours ces dernières semaines et elle possédait déjà sa part de mon cœur. C'était ça, c'était ma condamnation, ma pathologie qui ne me quittait réellement jamais. Dès que j'avais peur d'être remplacé je pliais bagage, malgré mes désirs. « Tu peux m'expliquer Dexter? » Sa voix m'avait fouetté en plein visage, je relevai les yeux pour l'entrevoir. Je pouvais sentir mon cœur battre sous ma peau écorchée, le flot du sang emplis de rage. « Tu peux m'expliquer ce que j'ai fait de mal pour que tu me dises ça? » Tout, absolument tout. J'écarquillai les yeux, surpris qu'elle ne voit pas l'évidence, qu'elle ne comprenne pas son erreur. Son parfum à nouveau trouve mes sens, ah comme j'en resterai nostalgique si les choses continuaient à se désagréger de la sorte. Je brandis le bras vers elle, lui conseillant de ne pas s'approcher davantage. « Mais qu'est-ce qui te prend bordel? » Je serrai les dents, elle n'avait aucun droit d'être en colère, absolument aucun, c'était moi la victime dans cette histoire. «Qu'est-ce que t'en as à foutre Lilly?» Grognais-je en redressant le dos. Je pris le temps d'observer ma blessure une seconde ou deux, la sensation de l'air frais sur ma chair me fis grimacer de nouveau. Je ne m'étais pas raté et pour une fois, la sensation de la douleur ne suffisait pas à me faire oublier le reste du monde. «Retourne à l'intérieure, je crois que tu fais attendre ta nouvelle connaissance!» Du moins je l'estimais, je ne l'avais jamais vu avec lui auparavant, c'était bien le plus insultant. Je lui pointai la porte vivement, espérant la voir disparaître au plus vite alors que les larmes me montaient rapidement aux yeux. Mais juste avant je devais savoir. Je me précipitai vers la porte, lui bloquant le chemin. Elle devrait me marcher dessus avant de pouvoir retourner danser. «T'as l'intention de le ramener dans ta chambre ce soir?» Je n'arrivais pas à ravaler ce ton de colère dans ma voix, les mots avaient peine à être entendu à travers mes dents serrées. «Hum? Tu vas le laisser voir tous tes trésors, poser ces lèvres partout sur toi? C'est ce qui te ferais plaisir Lilly?» Je penchai la tête sur le côté, prêt à éclater de rire dans ma folie... alors que je m'émiettais de l'intérieur. Je me déteste quand je suis comme ça, quand je détruis tout sans pouvoir m'arrêter. J'avais une insulte au bord des lèvres, mais la reteins à temps, sauvé par mon humanité qui sommeillait toujours en ce monstre auto-destructeur que je devenais quand on s'en prenait à mon coeur.
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La soirée avait prit une toute autre tournure, et ce en même pas deux minutes. Juste assez de temps pour entendre ses paroles qui m'avaient alerter. Il n'avait pas le droit de me rayer de cette manière et surtout pas sans raison valable. J'étais en colère. En colère de son comportement, de sa réaction. Je l'étais tellement que je m'étais faufilée dans la foule dans l'espoir de le rattraper. J'avais abandonné cet homme en plein milieu de la piste, sans même lui glisser un mot. Mais ce n'était pas ça qui me préoccupait sur le moment présent, mais bien de savoir ce qui se passait. Je pouvais voir ses mains, ces grimaces qu'il laissaient apparaitre sur son beau visage. Il s'était fait du mal à lui-même, sans doute en les tapants sur une surface suffisamment solides pour les écorcher. « Qu'est-ce que t'en as à foutre Lilly? » Tout ça n'avait aucun sens. Ses paroles, ses poings en sang, ses yeux qui brillaient à présent. Je ne comprenais rien à tout ça. Il refusait que je m'approche plus de lui, son bras faisait barrière. « Retourne à l'intérieure, je crois que tu fais attendre ta nouvelle connaissance! » Je serrais les dents, comme pour retenir cette colère que j'avais en moi. J'étais dans l'incompréhension la plus totale, ne voyant pas clair à son comportement. Je restais figée devant lui, sans un mot de plus, laissant mon regard aller à droite et à gauche laissant ce blanc entre nous. Je tournais alors les talons, marchant en direction de la porte d'entrée comme il me l'avait ordonné. Mais il s'était aussi vite glissé entre l'entrée et moi, m'empêchant tout accès à la salle. « T'as l'intention de le ramener dans ta chambre ce soir? Hum? Tu vas le laisser voir tous tes trésors, poser ces lèvres partout sur toi? C'est ce qui te ferait plaisir Lilly? » Mes yeux se grossissaient. J'en revenais pas de ce qu'il venait de dire. Je soupirais à ses dires, secouant légèrement la tête. « Non mais je rêve! Tu es vraiment sérieux là? » Je levais mes sourcils, choquée de ce qu'il venait de dire. Voilà pourquoi il s'était mit dans cet état. A cause de cet homme avec qui j'avais partagé ma soirée, et que je venais lamentablement d'abandonner. « Parce que je danse avec un gars ça signifie directement que je vais le ramener chez moi? Que je vais tout bêtement m'offrir à lui? Tu m'as prise pour qui franchement? » Je n'en revenais pas de ce qu'il venait de me demander. Je ne savais pas pour qui il me prenait. J'étais limite vexée par ces propos. « Je ne suis pas une fille comme ça... Et je pensais que tu le savais autant que moi. » dis-je avant de me pincer les lèvres comme déçue. Mais sourcils étaient retombés, j'avais désormais le visage plus attristé qu'en colère.


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La voir me tourner les talons m’avaient profondément heurté. Bien que l’ordre était venu de moi, un peut de désobéissance aurait été la preuve qu’il me manquait toujours. Elle n’en avait réellement rien à foutre. Peut-être? Je ne sais plus. Je laissai ma folie m’emporter en terrain inconnu. Nous étions amis, de grands confidents, mais quand il en venait à parler de nos histoires de coeur nous avions défaillance. Sa timidité n’était qu’un visage qu’elle portait temporairement, le temps de se laisser apprivoiser... mais ce soir elle m’en avait montré un tout nouveau, un que je n’aurais jamais voulu connaître. Elle soupira devant mes suppositions, comme si elles étaient à ce point loin de la vérité qu’elles en devenaient absurdes. « Non mais je rêve! Tu es vraiment sérieux là? » Ses sourcils ponctuèrent sa surprise, elle n’arrivait cependant pas à me faire regretter mon audace. Pas encore du moins. « Parce que je danse avec un gars ça signifie directement que je vais le ramener chez moi? Que je vais tout bêtement m'offrir à lui? Tu m'as prise pour qui franchement? » Ça, je n’en savais fichtrement rien. «Pour quelqu’un que je croyais connaitre.» Réussis-je à glisser entres mes dents toujours serrés solidement de rage. Tous mes fondements c’étaient effondrés d’un seul coup, j’ignorais avant aujourd’hui que je passais mes nuits à partager sa compagnie avec d’autres hommes. Son célibat m’avait plu instantanément. « Je ne suis pas une fille comme ça... Et je pensais que tu le savais autant que moi. » Sa voix tomba d’un octave et je m’en mordis les lèvres. Il fallait maintenant qu’elle s’attriste, qu’elle me heurte droit au coeur, là où je ne saurais lui résister. Je secouai la tête avant de me laisser faiblir. Ordinairement j’aurais été le premier à venir lui porter réconfort, mais aujourd’hui c’était différent, nous avions des choses à régler avant que je ne redevienne son ami. «Qu’est-ce que ça te ferais si je faisais la même chose, dis moi?» Je m’approchai doucement de son visage, plongeant mes yeux bien profondément dans les siens, mes lèvres se tenaient si prêt des siennes que mon nez en reconnu le parfum fruité. J’avais complètement perdu la tête, c’était ce que la jalousie nous coûtait à tous. Je passai ma langue contre ma lèvres inférieur, rencontrant une fraction de seconde la texture des siennes. Pas suffisant pour en retenir la saveur cependant. Je lâchai ma main ensanglanté et glissai celle qui n’avait aucun dommage dans son dos. Mon ventre se serra contre le tien, respira son essence, ses courbes, tout ce qu’elle possédait que je n’avais pas encore touché. Ce n’avait jamais été ainsi entres nous, rien d'ambigu, rien qui ne se rapproche de ce genre d’amour qui fait fondre les vêtements. Mais en cette seconde c’était comme si ça avait toujours été présent, insoupçonné, dans un coin de mon esprit, si bien caché qu’il avait convaincu mon corps qu’il ne désirait pas le sien. Outre, je la dévorerais vivante d’être si belle sous cette lumière de soir, si seulement je ne la détestais pas autant... D’un mouvement brusque de la fis pivoter sur elle même, un bruit sévère et sec brouilla le silence alors que son dos rencontrer la surface métallique de la porte du bar. Pour la seconde fois aujourd’hui je glissai ma tête dans son cou, inspirant ce parfum singulier et soupirant cette ultime provocation. «Ne me dis pas maintenant, je veux le voir sur ton visage...» Son oreille tentait mes dents à la morsure, mais je n’en fis rien, pas maintenant. En un coup de vent j’étais déjà repartis dans le club, me fondant à la masse comme si j’en avais toujours fait partie intégrante, me choisissant la plus belle, la plus inconnue des femmes et me collant à elle comme à son ombre. Je me fis tactile, comme je ne l’avais jamais été, évitant soigneusement de la regarder directement dans les yeux, le bout de ses cheveux dorés entres les doigts, cette chaleur montant en moi comme un volcan en éruption. Je ne pensais pas à elle, je pensait à... mais qu’est-ce qui me prend? Elle n’en serait pas jalouse, elle n’en ferait aucun cas, je le savais déjà et pourtant je continuais de danser, y oubliant ma colère, en oubliant ma douleur.

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Je voyais de la rage, de la colère en lui. Son visage était crispé, ses dents serrés et ne parlons pas des regards qu'il me jetait. J'ignorais pourquoi il s'était mis dans un état pareil. Il n'avait aucune raison valable pour être furieux au point se d'ouvrir les points. Je ne l'avais jamais vu dans cet état, me parler avec tant de haine. J'étais complètement déstabilisée, ne sachant pas comment réagir. Mais à mon tour, la colère m'envahissait. Celle de le voir comme ça vis à vis de moi. Il n'avait pas le droit. Mon visage changea littéralement en entendant ses propos. Il me voyait comme ces filles qui s'offraient au premier venu. Je ne savais pas qu'il pensait ça de moi. Lui qui me connaissait si bien, même mieux que personne et qui arrivait à me stigmatise juste parce que j'ai partager une danse avec cet homme. « Pour quelqu’un que je croyais connaitre. » Cette parole n'arrangeait rien à la situation. J'en restais bouche bée, impuissante à sortir une parole de plus. Il venait de me décevoir, lui qui m'avait toujours apporter que le meilleur avant ce soir. J'espérais qu'il avait bu, qu'il ne contrôlait plus ses paroles, ni ses gestes. Mais ce n'était surement pas son genre. Je ne savais pas où me mettre. La seule chose que j'avais envie de faire, c'était de lui tourner le dos, et retourner à mes occupations. Il venait de toucher un point sensible, un peu trop à mon goût. « Qu’est-ce que ça te ferait si je faisais la même chose, dis moi? » me demanda-t-il alors qu'il s'approchait de moi, nos visages assez prêts de l'un de l'autre que je pouvais sentir sa respiration s'écraser sur ma joue. Je fronçais les sourcils, me demandant ce qui lui prenait d'agir de la sorte avec moi. Je sentais sa langue frôler mes lèvres une fraction de seconde alors que son torse se magnétisait au mien. « Qu'est-ce que tu fais? » J'étais entrain de perdre tout mes moyens, étonnée de ce rapprochement si soudain qu'il venait de faire entre nous. J'étais un peu perdue, ne reconnaissant pas son comportement vis-à-vis de moi. C'est fou ce qu'il peut être séduisant et charismatique. Et pourtant jamais l'idée de me l'approprier m'avait traversé l'esprit. Ou peut-être que si finalement, je n'étais pas indifférente face à lui, mais je gardais cette information dans la plus grande des confidentialités intérieures. Je tourna sur moi-même, me retrouvant dos contre la porte alors que sa bouche se glissait à mon oreille. « Ne me dis pas maintenant, je veux le voir sur ton visage... » Je n'avais même pas eu le temps de rétorquer qu'il avait déjà disparu de mon champ de vision, passant la porte d'entrée pour de nouveau pénétrer dans le club. Il avait le don de s'enfuir en un rien de temps. Je rentrais à mon tour dans le bâtiment, le cherchant de regard parmi toute cette foule déchainée. Il ne me fallut pas bien longtemps pour le repérer non loin, entrain d'improviser une danse sensuelle avec une demoiselle aux cheveux blonds. Je restais immobile dans mon coin, ne le lâchant pas du regard alors qu'il faisait resurgir en moi cette jalousie et cette possessivité qui me trahissaient tant. Je me posais alors au bar, cherchant à ne plus le voir danser avec cette blondie. Il avait gagné. Il m'avait rendue jalouse. Sauf que la différence entre lui et moi est que je ne comptais pas le freiner dans ses projets. Je gardais ça au fond de moi, tentant du mieux que je pouvais de dissiper cette jalousie qui s'affichait sur mon visage. Je me pinçais les lèvres, lançant discrètement un regard vers lui, puis un autre avant de finalement soupirer et de commander un verre au barmaid. Je ne savais pas qu'il pouvait avoir le don de me mettre en rogne. J'aurais voulu m'avancer vers lui, et lui demander d'arrêter ce supplice, mais ça aurait été trop facile et une trop belle victoire pour lui. Lui tourner le dos était la meilleure solution pour faire comme si j'étais indifférente alors qu'en réalité je ressentais ce pincement au coeur. Il me provoquait, un peu trop à mon goût. Mais je prenais sur moi, comme d'habitude.


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Je m’ennuyais déjà de son parfum, et de cette saveur au bout de ma langue. Je ne pouvais en vouloir qu’à moi-même, qu’à ma manière plus qu’égocentrique de percevoir l’amitié. Je ne pouvais simplement être heureux de la voir heureuse, je devais absolument être coupable de tous ses sourires. Sinon, à quoi servais-je? Je ne pouvais être qu’une ombre passagère, qu’un ami qu’on appel quand il n’y a plus personne, je voulais être le centre de son univers, sa première pensée quand elle s’éveillait le matin et la dernière le soir. Dans ma vie je n’avais jamais connu d’amitié platonique, un tel cas serait trop rare et mon coeur aimait toujours trop fort. Je me retrouvais coincé entres deux corps mouvants, transpirant mon desespoir d’avoir ainsi perdu la tête. Je bougeais sans réellement danser, je ne contrôlais, ni mes jambes, ni mes bras, cette femme ne savait même pas que j’existais. Je l’avais choisi par simple ressemblance, la couleur de ses cheveux me rappelait ceux de Lilly-Jade. Elle devrait être avec moi, à sa place, contre moi, complétant ce nous. Mes yeux restaient sur le sol, je n’avais aucun intérêt à découvrir les beautés du visage de la femme que j’avais face à moi. Je paniquais en fait. Je ne m’étais jamais senti aussi seul, ironiquement. Je me sentais observé, brûlé, je me sentais alien dans un monde où je ne pourrais jamais m’intégrer, c’était l’inconvénient d’être moi. Ma tête tournait sa xénophobie, ma gorge se resserra tel un étau, empêchant mon souffle de se prendre et de se perdre. Bientôt mes pieds m’emportèrent bien loin, cherchant la sortie du regard, mes épaules sans cesse poussé vers l’arrière, vers le bar. Non, non, je veux m’enfuir. Personne n’entendis mon supplice silencieux. Je glissai une main dans mes cheveux, soudain trop conscient du manque d’espace, du manque d’amour qui plombait l’ambiance. La musique était trop forte, mes pieds étaient trop lourds. Rapidement, sans le vouloir, je me résignai à attendre qu’un chemin se trace, de moi à la porte, qu’un miracle survienne. Je fis volte-face, apercevant soudain la silhouette de cette fois que mon coeur adorait toujours passionnément. Je ravalai ma panique une seconde, le temps de m’approcher et de lui voler ce verre qu’elle semblait regarder avec fascination. J’en but une gorgée, désillusionné rapidement par son contenu… de l’alcool qui imitait la couleur d’eau fraîche. Je grimaçai mon dégoût en lui rendant ce qui lui appartenait. «Comment fais-tu pour avaler cette horreur?» Soufflais-je plus à moi-même qu’à elle. Je ne buvait jamais, en fait je n’avais jamais bu… c’était fortement déconseillé par ma prescription médicale. Je m’assis sur le banc conséquent du sien avant de perdre l’équilibre, la gorge en feu. Je glissai de nouveau nerveusement mes doigts dans mes cheveux. Il faut que je sorte d’ici au plus vite. Le destin semblait nous avoir réunie de nouveau, vu son expression il n’y avait aucun doute dans mon esprit, elle n’était ni jalouse, ni possessive à mon égard… J’entrais dans cette case, celle de l’ami de remplacement qui ne séduisait en rien les lèvres. Pas de miracle aujourd’hui, encore. «Que fais-tu seule? » Demandais-je en cherchant du regard l’homme qu’elle avait dû quitter plus tôt. J’évitai soigneusement de revenir sur les évènements passés, je n’avais pas la force de me faire briser l’orgueil deux fois dans une même soirée. «Ne me laisse pas gâcher ta soirée je t’en prie, je serai hors de ta vue dans quelques minutes… juste le temps de… de…» Le souffle me manqua de nouveau, je calai ma tête entre mes mains, collant mes coudes à la surface du bar, et fermai les yeux pour reprendre mon calme. Elle avait le don d’influencer mon coeur, de le posséder sans savoir et surtout sans le vouloir. Je n’arrivais même plus à la regarder en face. «Tu vas vraiment me manquer...» Lui confiais-je en espérant trouver en moi le courage de me relever et de m’enfuir avant qu’elle n’ait le temps de me répondre. Je restai statique, cependant, contre toutes volontés.  
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Je posais mon regard partout. Partout sauf sur lui. Je ne voulais pas le voir danser avec cette femme, cet acte révélait ma jalousie et tel était son but. Je m'étais mis dos à la piste de danse, je faisais tout pour détourner le regard et un verre d'alcool ne pouvait que m'aider. J'avais pris le premier truc qui me passait par la tête. Je ne supportais pas l'alcool. A vrai dire, je n'en buvais que très rarement et j'étais même contre ce genre de chose. Ça me rappelait beaucoup trop les problèmes d'alcool de ma mère qui l'avaient fait devenir une autre femme au point de me mettre à la porte de mon propre domicile. J'aurais très bien pu utiliser une autre méthode, le provoquer moi aussi comme lui le faisait si bien en retournant vers l'homme de tout à l'heure, mais je n'en avais même plus l'envie. Il m'avait gâché ma soirée. Je n'avais plus envie de rien faire, juste terminer ce verre d'alcool que je laissais traîner sur le comptoir, ayant du mal à l'achever. « Comment fais-tu pour avaler cette horreur? » Il avait refait surface, s'emparant de mon verre et grimaçant de son contenu. Sans doute s'attendait-il à un soft, sauf que je n'avais pas la tête à n'en rester qu'à un verre d'eau sans influence. « Tu as déjà terminer de danser? » lui dis-je d'un ton ferme. Mes yeux s'étaient posés sur lui alors qu'il semblait vouloir fuir mon regard. Il prenait place à mes côtés. Je connaissais ce geste: celui de se passer une main dans les cheveux nerveusement. « Que fais-tu seule? » Je savais pertinemment ce que sous-entendait sa question. Il faisait référence au gars avec qui je dansais gentiment jusqu'à ce qu'il ne commence son numéro. Son regard cherchait d'ailleurs après lui parmi toute cette foule. Je ne répondais même pas à sa question. Je ne voyais pas l’intérêt de lui donner une réponse, et encore moins lui dire que je préférais passer le reste de la soirée seule par sa faute. « Ne me laisse pas gâcher ta soirée je t’en prie, je serai hors de ta vue dans quelques minutes… juste le temps de… de… » Il ne continua pas sa phrase tout de suite. Il enfuyait sa tête entre ses mains, presque culpabilisé par ce qu'il venait de se passer. Mon regard fixait le verre que je tenais en main. A vrai dire, je ne faisais que le tenir, alors que j'étais plutôt censée le vider. « Tu vas vraiment me manquer... » Ces mots me serrèrent la gorge. Je m'attendais de nouveau à une éclipse de sa part, qu'en un rien de temps il disparaisse des alentours et me plante de nouveau sur ses dernières paroles. Pourtant cette fois il ne bougeait pas. Pour une fois j'avais enfin l'occasion de lui répondre sans devoir lui courir après. « Tu comptes aller où? Danser avec la première venue pour de nouveau me rendre jalouse? » Ma jalousie parlait à travers ces propos. Elle avait pris le dessus alors que je tentais depuis tout à l'heure de la dissiper. « Tu m'énerves. » dis-je plus en soupirant qu'en m'énervant. « Arrêtes de dire des conneries comme ça. Tu n'as pas à te mettre dans un état pareil, et encore moins le droit de décider de rompre tout contact avec moi à cause d'une danse insignifiante pour moi. » Je ne voulais pas prendre le risque de le voir partir définitivement. Je savais qu'il en était capable, pour se protéger, alors autant le rassurer. Il n'avait jamais été question d’ambiguïté à travers notre amitié. Pourtant ce soir, la situation révélait certaines choses, dont la jalousie extrême de Dexter et vraisemblablement la mienne.


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LILLY-JADE & DEXTER ♕ jalousie mal placée Tumblr_m5qdcehC981rt7c04o3_250
Je n’aimais pas la voir ainsi, malgré tout ce que j’avais pu dire, son bien-être me tenait toujours bien à coeur. Je ne me sentis pas en droit de la faire sourire, alors je ne fis rien, quel lâche.  « Tu as déjà terminer de danser? » Son ton était plus sévère que ceux que je lui avais auparavant connu, elle ne se réjouissait pas de ma venu et quelque part je pouvais la comprendre, tout en m’en désolant. «Ça devenait trop sérieux, j’ai eu peur qu’elle s’attache.» Finis-je par mentir. C’était ce que les hommes qui avaient peur de l’attachement auraient dit, il me semble, un effroie qui m’était entièrement étranger. J’arrivais à l’imiter sans le comprendre. La tête commençait à tourner, à m’étourdir alors que j’essayais plus que tout de lui montrer qu’elle ne m’affectait pas. Je me penchai vers l’avant, enfouissant ma tête entres mes paumes pour oublier le monde quelques secondes. Cela ne servait à rien, mon coeur était brisé et j’en souffrait maintenant les symptômes dépressifs qui s’étendront sans doute sur plusieurs jours, le temps de me convaincre que je n’avais pas besoin de la blonde dans ma vie. « Tu comptes aller où? Danser avec la première venue pour me rendre jalouse? » Je relevai la tête, les sourcils froncés, c’était un crime à demi-avouée, pourquoi en parlait-elle si elle n’y pensait pas déjà? Mademoiselle Sparcks serait-elle jalouse? Un fin sourire naquit sur mes lèvres, j’ouvrai la bouche pour lui faire part de mes hypothèses, mais elle me devança de peu. « Tu m'énerves. » Ses épaules étaient arqués vers le bas, un soupire corporel si puissant qu’il pourrait se voir de quelques mètres. Au fond j’aimais presque ça, enfin j’arrivais à influencer ces émotions, dans mon langage pathologique c’était plutôt un compliment. « Arrêtes de dire des conneries comme ça. Tu n'as pas à te mettre dans un état pareil, et encore moins le droit de décider de rompre tout contact avec moi à cause d'une danse insignifiante pour moi. »  Insignifiante? Elle n’avait toujours rien compris. « Ce n’est pas la danse, mais bien ce qu’elle représente, c’est l’idée que ce soir cet homme s’endormira en fantasmant sur toi. Ça me tue Lilly!» Je serrai les dents pour me retenir de gueuler, la musique était déjà assez forte. «Et tu serais vraiment naïve de croire que ce que je dis est une pure fiction, tu savais ce que tu faisais.» Le souvenir de son bassin se frottant à celui de l’autre me hantait toujours. Pourquoi lui et pas moi? Voilà une question que je n’oserait jamais poser. «Ose me dire que tu n’étais pas jalouse tout à l’heure, ose et tout ce que j’ai dis pourra être oublié et j’avouerai que j’ai eus tord de réagir comme je l’ai fait.» Je prenais ce risque par simple confiance. Elle ressentait ce que je ressentais, je pouvais le voir au fond de ses yeux, cette amitié qui c’était soudain transformé en une possibilité. Je ne lui demandais pas d’être amoureuse, simplement de consentir à rester mienne. Le partage est une horreur. Je tendis une main vers elle, glissant quelques doigts dans son cou, quelques cheveux chatouillant ma peau. Mon pouce servit à retenir son menton de fuire, ses yeux resteraient dans les miens le temps de mentir ou de se confier, mais je saurais en tous les cas ce qu’elle espèrait tant pouvoir me cacher. Prise au piège.
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Il m'était difficile de ne pas prêter attention au petit jeu qu'il avait décidé de me lancer. Il était revenu à moi, abandonnant sa partenaire de danse. « Ça devenait trop sérieux, j’ai eu peur qu’elle s’attache. » Je l'écoutais dire. Le genre de réaction typique d'un homme qui cherche à fuir l'attachement. Pourtant dans ma tête, c'était le rôle inverse avec lui. C'était plutôt lui qui était du genre à s'attacher. La même faiblesse que moi. On était misérable face à ça, et difficile de tout faire pour ne pas se faire voler le coeur trop facilement. « La pauvre, tu la laisses seule dans son désespoir. » finis-je par répondre sans grand intérêt. D'un bref regard je tentais de la trouver parmi cette foule. Je l’aperçu alors déjà avec un autre homme. « Quoi que... » enchainais-je aussi vite en la voyant, comprenant que son "excuse" était faussée par ses propres soins. Je soupirais de défaite. J'étais incapable de dissiper ma jalousie plus longtemps. Je n'étais pas bonne comédienne, et à tout moment en une parole ou une expression, je n'étais plus crédible. Je ne voulais pas le voir partir de cette manière, le laissant penser que j'étais indifférente à lui. Je ne mentais pas qu'à lui, mais me mentais à moi-même en faisant ça. « Ce n’est pas la danse, mais bien ce qu’elle représente, c’est l’idée que ce soir cet homme s’endormira en fantasmant sur toi. Ça me tue Lilly! Et tu serais vraiment naïve de croire que ce que je dis est une pure fiction, tu savais ce que tu faisais. » J'écoutais ses propos, baissant mon regard vers mon verre encore plein. Je ne répondais pas tout de suite, le temps de me poser cette question à moi-même. « Ca ne restera qu'un fantasme. Je ne comptais pas retourner avec lui ce soir, ni même un autre soir d'ailleurs. Je voulais juste m'amuser, juste danser. » Au fond, peut-être qu'il avait raison. Quoi qu'il en soit, en acceptant de danser avec lui, je n'avais pas dans l'optique de m'offrir à lui. Je n'étais pas comme ça, et je ne le serais jamais. Mais parfois les choses peuvent prendre une toute autre tournure sous un élan de folie. Sans dote que lui avait dans la tête des projets de ce genre. « Ose me dire que tu n’étais pas jalouse tout à l’heure, ose et tout ce que j’ai dis pourra être oublié et j’avouerai que j’ai eus tord de réagir comme je l’ai fait. » Je sentais ses doigts se glisser le long de mon coup, tenant mon menton pour que j'évite de le fuir du regard. Il avait tout prévu, et s'assurait que je ne mentirai pas en fixant l'expression de mon regard. J'étais prise au piège, et je ne pouvais plus dissiper ma jalousie. J'hésitais à l'avouer, mais je ne pouvais plus lui mentir. Si je pouvais le cacher du mieux que je pouvais, je n'avais jamais été une bonne menteuse. Pourtant j'essayais quand même, à contre-coeur, comme pour me protéger. « Je n'étais pas jalouse. » J'avais fui son regard lors de ces paroles. Si ma tête restait immobile, mes yeux pouvaient encore bouger et tout faire pour éviter son regard. Mais pourtant l'image de le voir me tourner le dos par ce mensonge me fit très vite réfléchir. Je m'avouais vaincue. J'avais plus à perdre en lui mentant qu'en lui disant la vérité. « C'est bon t'as gagné... Je l'avoue... J'étais jalouse, un peu trop même. » Cette fois mon regard avait osé se plonger dans le sien. J'avais limite honte de cet avoeux, et pourtant je me sentais plus à l'aise. Comme si je venais de me débarrasser d'un poids en moins en cette soirée.


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