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Shigeru Kônto fiche; C'est le 13.03.1985 à Osaka au Japan, que la famille Kônto m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Shigeru. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en sciences ; archéologie depuis maintenant neuf ans je travail comme étudiant. Et pour terminer, je fais partie des Students. |
Études « Issu d’une riche famille, chez moi, c’est un peu toujours la même rengaine depuis des générations : Tu seras quelqu’un. C’est ironique hein ? Comme si nous n’étions pas déjà quelqu’un dès que nous poussons notre premier cri. Je déteste cette façon de voir les choses. Parce que tu balais le fossé, tu n’es personne, mais parce que tu préside une entreprise, tu es quelqu’un ? Quand j’étais gosse, je n’en savais même plus qui j’étais. Enfin, tout ça pour dire que c’est par ma famille, que je suis ici. A Harvard. Il fallait que je fasse des études, de grandes études, que je devienne quelqu’un d’important. Mon père est avocat, ma mère dirige un grand magasine de mode, je devais suivre leur pas. Mon père voulait que je prenne sa relève, mais de toute évidence, le droit n’était pas pour moi. Quoi qu’il me servait beaucoup adolescent, quand j’étais entraîné dans les mauvais coups. Quand à l’écriture, n’en parlons pas, il n’était pas question que je devienne ma mère. C’est en regardant les vieux Indiana Jones que j’ai décidés de ma voix. La recherche historique : L’archéologie. L’aventure m’attirait surtout. Mon père n’était pas vraiment d’accord avec mon choix, jusqu’à ce que l’un de mes professeurs du lycée, lui rappelle que l’archéologie était quelque chose de très scientifique, que je serais un jour « professeur Kônto ». Oui, il fallait le « professeur » pour qu’aux yeux de mon père, je devienne quelqu’un. Et c’est ainsi que j’ai commencé mes études. Mes trois premières années d’université, je les ai opéré à Tokyo. Mais mon père ne voulait pas que je devienne « un archéologue nippon parmi tant d’autres », alors il a envoyé ma candidature à Harvard. Je me souviens encore du jour ou j’ai posé le pied sur le sol de cette prestigieuse université. Moi, le petit nippon, et je ne parle pas que de ma taille. Je ne m’y étais pas vraiment sentis à l’aise c’est vrai. J’aime le Japon, l’Amérique était un pays trop inconnu à mes yeux. C’était bizarre de se dire que j’allais peut-être vivre ici. Peut-être, parce qu’il fallait passer une série d’examens pour ça. Examens que j’ai passé ce jour là. Seul à seul, évitant toute fréquentation américaine. Je ne sais pas pourquoi à l’époque, les américains ne me semblaient pas très clean. J’avais presque eu l’envie de truqué mes examens pour être refusé, mais je savais à quel point mon père misait sur ma réussite, et forcément, c’était dans la poche. La rentrée suivante, je commençais ma quatrième année ici, à Harvard. Ma première année n’a pas été très simple, j’évitais de me mêler aux américains, je ne fréquentais que les asiatiques, pour ainsi dire, et principalement les japonais. J’avais l’image du type qui ne parle jamais, un peu froid, voir un peu c*n. C’est vrai que j’envoie chier facilement, mais il faut juste apprendre à me connaître. Et c’est une américaine qui a cassé cette image. J’avais beau l’envoyer balader à chaque fois qu’elle m’adressait la parole, elle n’a jamais baissé les bras. Je crois que ça l’amusait, c’était comme un challenge chez elle. Elle m’a tiré à ses soirées, et je me suis mêlé à la foule américaine sans même m’en rendre compte. Deux ans ont passé, et il serait difficile aujourd’hui, de dire que mon intégration a pourtant été difficile. Côté travail, j’avouerais ne pas être quelqu’un de très ordonné, je m’y prends souvent à la dernière minute, ce qui fait de moi quelqu’un de peu assidu. Mais je m’en sorts vraiment facilement, ce qui écœure pas mal de monde. Peut-être parce que j’aime ce que je fais, ou peut-être juste parce que je suis quelqu’un d’exceptionnel ? 0=D. Ca va c’était une plaisanterie ! » | Caractère « Mon caractère ? Je vous dirais que je suis parfait si je m’écoutais. Bon okay, avec sérieux… C’est vrai, je l’avoue, je ne suis pas quelqu’un de très ouvert. Ce n’est pas que je suis méchant, peut-être juste un peu hautain. J’ai du mal à accepter les gens autour de moi, j’aime choisir mes amis, savoir m’entourer des vraies gens. Et elles sont rares de nos jours. C’est peut-être quelque part, un moyen de me protéger aussi. J’ai ma coquille, qu’il faut simplement percer pour me connaître. Et quand c’est fait, croyez moi, vous ne me lâcherez plus. On ne le dirait pas comme ça, mais quand je suis entouré de proches, je serais presque méconnaissable. J’aime m’amuser, faire le pitre, le clown, attirer l’attention, tout simplement. C’est comme si j’avais deux visages. Celui qui ne me connaît pas, vous dira que je suis quelqu’un de distant, impassible, peu bavard, froid. Alors que mes meilleurs amis vous diront que je suis quelqu’un de barré, hyperactif, toujours à la recherche de nouvelle conneries, beau parleur, dragueur aussi. C’est vrai que j’aime m’amuser sur ce point. Les filles pour moi, c’est un soir, pas pour la vie. Jamais. Mon meilleur pote me répète souvent que c’est ainsi parce que je n’ai jamais connu le grand amour. Que mon cœur n’a jamais fait « boom boom bomm » mais qu’il serait bon pour moi, que le jour ou ça m’arrive, cette fille en question me fasse subir ce que je fais subir à mes conquêtes d’une nuit. J’suis pas trop d’accord… Parce que le grand amour n’existe pas ! Ou alors c’est moi qui ai une malformation dans le cœur. Ouai, j’aime bien cette explication. Bon il n’est pas tout à fait déconnecté non plus, parce qu’il marche plutôt bien en amitié. J’ai beau être un peu c*n, je suis un ami sur qui compter. Je n’hésite jamais à me servir de mes points quand on fait mal aux miens. Je suis très protecteur. Je ne m’attache pas facilement, mais quand c’est le cas, je fais tout pour mes amis. Je suis là pour eux qu’il soit 4h du mat’ ou en plein milieu de l’après midi. J’aime les sentir présent aussi, passer des soirées entières autour des bières, j’adore ça. Pour autant, je n’ai pas besoin de les voir tous les jours, tant que je les sais pas très loin. Je ne suis pas collant par exemple, j’aime juste savoir qu’ils sont là si je les appelle. C’est ça l’amitié. Sinon dans la vie ? Je dirais que je suis quelqu’un de très désordonné. Je n’aime pas les tâches ménagères, alors mon appart’ est un peu un dépotoir. Je le remets en ordre tous les vendredis, pour être apte à y inviter des nanas tout le week-end quand même. Il n’y a qu’une seule chose pour la quelle je suis doué, c’est la cuisine. La cuisine japonaise bien évidemment, mais il suffit de me filer n’importe quelle recette pour que j’y travaille ardemment. On mange toujours bien avec moi. D’ailleurs, je préfère largement invité une fille à dîner chez moi, que d’aller au restaurant. J’ai des tendances paranoïaques en restaurant, j’ai l’impression que tout le monde me fixe pendant que je mange. C’est un toc, je déteste qu’on me regarde pendant que je mange. Je suis quelqu’un de très franc aussi. C’est parfois blessant, au Japon j’ai souvent fait chialer mes potes, parce qu’un japonais ça chiale facilement. Ils sont plus sensibles que les américains qui jouent tout le temps leurs grosses bolosses. Je suis blessant sans trop m’en rendre compte. C’est juste que je déteste mentir ou cacher des choses. Sauf peut-être aux filles que j’espère glisser dans mon lit le soir venu. Mais là c’est différent. Je suis plutôt bon comédien sur ce point là. Assez impassible, c’est peut-être aussi pour ça que je blesse facilement : Les gens n’arrivent jamais à savoir si je plaisante ou si je suis sérieux. Ha oui, et je suis très buté. Mais vraiment. Du genre très lourd. C'est-à-dire que même quand je me rends compte que j’ai tord, je ne reviendrais jamais sur mes dires. De ce fait, je ne m’excuse aussi que très rarement. Je crois que les fois ou dans ma vie, j’ai osé dire « je suis désolé » se comptent sur les doigts de la mains. Je finirais par dire que je suis quelqu’un d’assez perfectionniste. Sur mon apparence je veux dire. Je soigne toujours beaucoup mon look, j’aime sortir mon petit sourire plissé en coin des lèvres. C’est assez contradictoire avec mon habitude du mec qui ne cause pas. C’est peut-être aussi une façon de jouer sur le mystère. Qui saurait me cerner hein ? » « Je pourrais rajouter une chose ? - Malgré que j’adore cuisiner, je surkiffe la mal bouffe. Le McDo, le Mister Burger, les Chips, et les bonbons. - Quand j’étais plus jeune, ma petite sœur, qui l’était encore plus que moi, collectionnait les cartes Pokémon. Après son décès, j’ai continué sa collection, et je la continue encore aujourd’hui. - A Havard, on me surnomme « Pikachu » ou le « pokémon » parce que je viens du pays inventeur des Pokémons. Pourquoi moi et pas les autres bridés de la fac ?! J’ai jamais compris. - Je joue souvent aux sims, mais ça je ne l’avouerais jamais. - Je n’ai jamais jeté la vielle Game-Boy color, et je joue encore souvent aux vieux jeux qu’on trouvait dessus. Je préfère les vielles consoles aux nouvelles. - J’ai toujours une photo de ma petite sœur dans mon porte feuille. » |
Everyone Has Their Own Story
Mon histoire a commencé en 1980, à la rencontre de mes parents. Mon père avait déjà une trentaine d’année, et ma mère entrait dans la vingtaine. Elle était étudiante en journalisme, et lui était avocat, déjà de renommée. Ils se sont aimés au premier regard, et ce sont marié en 1982. Je suis arrivé en 1985. Ma mère a arrêté ses études pour s’occuper du bambin que j’étais. Elle était très protectrice, mais aussi très stricte. Elle voulait faire de moi un enfant modèle. A son grand désespoir, j’étais un peu l’inverse. Hautain, mesquin, pitre. Et j’avais le don pour m’attirer les ennuis. Mais elle a toujours crus que je m’étais assagi à l’école. Bon comédien, j’ai toujours adoré jouer sur l’image de l’enfant parfait, le petit ange de service, lèche cul avec les professeurs, capable de faire passer n’importe qui comme coupable de ma connerie. Les adultes voyaient en moi un rejeton honorable, promis à un bel avenir, alors que j’étais bien l’inverse. Il aura fallut attendre 1992 pour que ça change, avec la naissance de ma petite sœur, Sayumi-chan. Un petit ange comme jamais je n’en avais croisé, même moi en mode faux cul je ne lui arrivais pas à la cheville. J’avais huit ans, et déjà, je me promettais de toujours prendre soin d’elle. Elle était le centre de mon monde. Elle m’a fait mûrir. Je suis devenue responsable grâce à elle. Parce que ma mère avait déjà reprit le travail, et dirigeant un magasine, elle n’était que très peu présente pour nous. Mon père, n’en parlons pas, un avocat c’est comme l’homme invisible. En fait, il n’était là que pour me rappeler que j’avais mes devoirs à faire. Il est comme ça mon père, je crois qu’il n’a aucun sentiment pour moi, je ne lui sers qu’à l’étiquette de la famille. Il faut que je devienne quelqu’un. Comme si je ne l’étais pas déjà…
Ma vie était très tranquille, bien qu’elle rimait avec conneries et surcharge de devoirs imposée par mon père. Le tournant, c’est en 1999. Les médecins ont découvert un sérieux cancer des os chez ma petite sœur. Elle n’a jamais répondu aux traitements, et elle est décédée l’année suivante. J’en ai vraiment voulu à nos parents. Parce qu’ils travaillaient beaucoup, ils n’étaient pas souvent là au pied de son lit d’hôpital. Moi toujours. J’allais la voir le matin avant les cours. Je sautais les déjeuners pour passer la pause de midi avec elle. Et dès que les cours prenaient fin le soir, j’allais faire mes devoirs avec elle. J’aimais la faire rire, pour qu’elle oublie qu’elle était si malade. Je n’ai jamais rien montré devant elle, mais quand je rentrais chez moi très tard, après qu’elle se soit endormie, je prenais conscience qu’elle s’éteignait petit à petit, et je passais le reste de la nuit à chialer. Je me sentais si inutile. Je perdais la seule personne que j’aimais vraiment. Et j’en voulais vraiment au ciel, de me l’enlever. Je me souviens encore du jour ou elle est vraiment partie. J’étais en cours d’anglais, quand l’une des surveillantes est entrée dans la classe en demandant à me voir. Elle m’a entraîné dans un bureau vide pour m’apprendre la tragédie. Enfin, je l’ai compris avant qu’elle ne me le dise, parce qu’elle ne trouvait pas les mots. Comme ci ça la touchait, c’était hypocrite ! J’ai simplement baissé la tête, impassible physiquement, mais intérieurement, j’étais comme mort. Mes parents sont passés me prendre au collège quelques minutes après. Je ne leur ai pas adressé un seul mot. En fait, j’ai mit beaucoup de temps avant de leur parler. Bien un mois après l’enterrement de Sayumi. Du jour ou elle est partie, je me suis sentie très seul, et cette solitude n’est jamais partie, elle est toujours là. Mes parents n’ont aussi jamais touché à sa chambre, qui encore aujourd’hui, est restée intacte, comme le jour ou elle est partie. Souvent, je m’y rends. Le jour de sa mort, je m’y suis recueillie, et c’est là que j’ai trouvé son classeur préféré. Elle y rangeait toutes les cartes des jeux Pokémons qu’elle trouvait. Je lui en offrais plein quand elle était à l’hôpital. C’est un peu bête, mais cette collection, je l’ai continué, comme pour être sûr de ne pas l’oublier, de faire comme ci elle était encore là. Il traîne toujours des cartes de ce jeux dans mon sac, parce qu’il faut que je les embarque quand j’en trouve. Pour elle. C’était son passe temps favori. Pourtant aujourd’hui, j’ai tellement peur de l’oublier quand même. Parce que j’ai du mal à me souvenir de son sourire, de sa voix. Quand j’y pense trop, je regarde nos vieux films de famille. Mes amis m’ont souvent dit que je m’enfermais trop dans le passé, et qu’il faut aller de l’avant. Mais l’avant sans elle est bien amer. Mais j’avance. Pour elle. J’ai brillé dans les études, malgré un mauvais comportement. Mes professeurs me le répètent aussi souvent. Trop hautain, irrespectueux, mesquin. Ils ne sont peut-être pas à la hauteur, c’est une manie chez les profs de ne jamais se remettre en question. Malgré tout, je n’ai pas vraiment eu de débordement. Sauf peut-être une fois… Une fête étudiante à l’université d’Osaka. On avait tous trop bu, moi le premier, et j’ai quand même prit le volant. J’ai perdu le contrôle de la voiture, et l’accident fut bien violent. L’un des passagers s’est retrouvé gravement blessé, et j’ai dû être entraîné en justice pour conduite en état d’ivresse et tout ce qui va avec. J’aurais risqué gros si mon père n’avait pas été un grand avocat du tribunal. Il a joué de ses relations pour que je m’en sorte indemne, ce qui m’a valut de perdre pas mal de potes à l’époque. J’ai néanmoins sentis que j’avais vraiment remonté mon géniteur. Je crois que c’est pour ça qu’il a envoyé ma candidature à Harvard. Il dit que c’est pour que j’ai une éducation plus brillante, mais je sais bien que c’était pour faire oublier cette histoire. Harvard, je n’en voulais pas. L’Amérique, sa socialisation, c’est si loin du japon. Je savais que je serais paumé là bas. Et puis il avait ma popularité. A Osaka j’étais quand même quelqu’un, par mon argent surtout, mais au moins, j’avais de quoi m’amuser. A Harvard, je serais quoi ? Rien… Ma première année, je l’ai passé en ne me mêlant qu’aux asiatiques. J’ai gagné l’étiquette du mec un peu froid, qui ne parle jamais. Il aura fallut attendre la fin de l’année, pour qu’une simple nana change la donne. Maggie. Non son nom ne sonne pas comme une love story, rassurez-vous. Love story et Shigeru dans une même phrase, ça ne s’accorde pas. Non Maggie c’était bien autre chose. C’était un après midi, chaud et ensoleillé. J’étais assis à une table dehors, en train de réviser, quand elle s’est installée à mes côtés, et à commencer à me parler comme si l’on se connaissait depuis toujours. Relevant la tête de mes bouquins, j’ai bien scruté à droite et à gauche pour vérifier qu’elle s’adresser bien à moi, et j’ai passé bien une heure à l’écouter sans jamais dire un mot. Qu’est-ce qu’elle me soulait ! J’en avais rien à foutre moi de sa taille de sous tif. Ouai parce que c’était son sujet de discussion. Bon peut-être que j’ai eu un ou deux regard dans son décolleté pour m’en assuré. Mais l’air impassible, j’ai finalement roulé des yeux pour m’éloigner, sans un mot, sans prévenir, sans m’excuser. Et le lendemain elle recommençait. Et les jours suivants aussi. Mon premier mot envers elle a dû être… Quelque chose comme… « Fous le camp » ou « put*** tu pollues mon atmosphère là », mais rien à faire, j’avais beau trouver la meilleure cachette du monde sur le campus, elle trouvait toujours une heure de sa journée pour m’abattre à coup de taille de soutiens gorge. Et je ne sais pas trop comment, un jour, elle m’a parlé de ma sœur. Comment elle savait pour Sayumi, je ne sais pas. Mais elle a attiré mon attention, nos regards se sont enfin croisés, et elle m’a sourit comme jamais on ne l’avait fait. L’espace d’un instant, je m’étais senti beaucoup moins seul. Plus tard, j’ai apprit qu’elle avait traversé la même période que moi, en perdant sa sœur jumelle. C’est comme ça qu’elle est entrée dans ma vie. Elle m’a fait connaître les soirées américaines, elle m’a présenté à ses potes américains. J’en ai gagné des surnoms un peu c*n, comme « Pikachu » ou « le Pokémon ». Parce que je suis japonais bien évidemment. Je crois qu’il n’y en a jamais un qui m’a appelé Shigeru. A force je m’y suis fait. Et grâce à Maggie, je me suis ouvert au monde. Mon étiquette à quelque peu changée, et je peux le dire, je me mêle parfaitement au campus aujourd’hui. Et le comble, c’est certainement d’avouer que mes amis les plus proches sont américains et non nippon. Maggie, elle est ma meilleure amie depuis. Je lui dit tout, elle me dit tout. Elle a comblé le vide que j’avais à la disparition de Sayumi, et moi, j’ai comblé celui qu’elle avait en perdant sa sœur jumelle. Quelque part, on est complémentaire.
Côté vie sentimentale ? Ca plane. Je suis ce genre d’homme qui ne pense pas que l’amour existe vraiment. Alors les femmes, je les fréquente du vendredi au dimanche, puis le week-end suivant, je passe à une autre. Je proclame haut et fort que l’amour c’est pour les faibles, mais je sais bien qu’une partie de moi-même, espère secrètement qu’un jour, je rencontrerais celle qui réveillera cette pierre que j’ai à la place du cœur. C’est pas humain de ne jamais avoir le cœur qui a battu à 27 piges… »
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↬ PSEUDO/PRÉNOM - Tail ↬ ÂGE - 23 y.o jusqu'à nouvel ordre. ↬ PAYS/RÉGIONS - France ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Sur forum actif. ↬ TES IMPRESSIONS - Si j'en avais une mauvaise, je ne serais pas là. ↬ CRÉDIT(S) - L'icône et le gif proviennent de Tumblr, l'avatar est de moi même. ↬ AVATAR - Ryo (de son prénom) Nishikido (De son nom.) ↬ SCÉNA' OU PI ? - Personnage Inventé ↬ LE MOT DE LA FIN - ="3 |
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