ADRIAN CALLAGHAN ► douglas booth

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle bourriquet et j'ai 908 ans. Je suis gallifreyenne et j'ai connu le forum grâce à l'impératrice ruby eberhart.  Vos impressions sur le forum alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise douglas booth comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ 1500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ geronimo.
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

«  Mon poussin. » Tu regards ta vielle mère qui réajuste le colle de ta veste, elle semble accablée par le fait que tu pars, mais heureuse que tu prennes ton envole, paradoxe. Elle te caresse la joue, toi tu es un peu gênée par ce geste affectif car tu as l’impression de perdre dix ans. « Maman. » dis-tu en lui attrapant la mains, tes yeux se posent dans les siens. «  Ce n’est pas comme si je partais à l’autre bout du monde. » avais-tu répondus en enlaçant ta mère, Zeus que tu étais tactile. Ta petite amie de l’époque te maudissait de l’être autant, elle savait qu’elle ne pouvait pas te retenir car même ta famille ne pouvait plus retenir cette ambition qui coule dans tes veines.  Tu avais postulé pour cette école new-yorkaise prestigieuse : Harvard, par simple fait de dire que tu avais essayé d’atteindre le meilleur échelon.  Quand tu as reçu ta lettre d’admission tu ne pensais pas être aussi intéressant. Tu ne pensais pas qu’un gamin au revenu moyen, ayant certes obtenu de très bon résultat à l’examen, ayant un QI plus élevé que la moyenne, aurait pu intéresser. Tu as toujours eu envie de partir loin d’ici, de chez toi. . Même si cela allait te manquer tu ne pouvais pas rester là, dans une université sans renommé alors qu’Havard t’attends. Tu as sacrifié ta famille, tes amis, ton amour. Mais tu n’as jamais pu, dû à ton père qui a toujours eu la main leste. Tu en as pris des coups dans la gueule.   Tu t’envoles vers une autre vie, le cœur lourd mais depuis que t’es gosse tu rêvais d’aller à Harvard.

L’hiver est passé, ta peine de cœur semble s’en être allé aux premiers bourgeons du printemps. Merde t’as vécu une sale expérience amoureuse et tu affirmes que maintenant c’est fini. Tu laisses place au plaisir de la vie, tu es un peu jeune pour penser ça. Mais tu t’en contre fou, car tu es bien plus intelligent que la masse de ses gens qui t’entourent. Tu ne le montres pas mais tu as obtenus presque les meilleurs résultats de l’état, tu fais partie de l’élite et tu n’en t’es jamais vanter. Le génie ne t’a pas aidé dans ton histoire d’amour et ne t’aie pas à raisonner. Tu savoures le plaisir charnel un peu trop facilement, tu n’as jamais remarqué jusqu’à là que tu plais aux filles. Tu y a pris légèrement gout mais bien moins que certains, tu te rends comptes que les relations d’un soir ça ne te convient pas forcement. Tu pourrais être un homme à femme mais ce n’est pas ce que tu veux, tu pensais le vouloir mais au fond tu cherches plus. Mais cela ne te dérange pas de coucher avec des inconnues et de ne plus jamais les revoir, cela à ses avantages et c’est tellement plus simples. Pourtant il t’arrives de t’en lasser et il t’arrives de refuser des avances, tu ne fais que flirter. Certaines t’en veulent, te gifles pour ton manque de délicatesse mais tu t’en fous.

A cette pensée tu tires sur ta clope, au même moment une main vient ébouriffer tes cheveux. Tu te retournes et tu la vois elle, souriante et toujours aussi splendide. « Quelle surprise. » dis-tu avec un léger sourire, tu l’enlaces pour la saluer. Ruby est cette fille qui est entrée dans ta vie par hasard, vous êtes proches depuis bien des années. Vous vous connaissiez même avant de vous avoir vu, oui pendant trois ans vous avez entretenu ce genre de relation par sms et mail. Des milliers de kilomètres vous séparaient avant, mais maintenant ce n’est que du passé. Le monde est petit, vous retrouvez dans la même université. Tu as l’impression d’être dans un mauvais film romantique.  Oui ton génie ne t'as jamais aidé à aimer les bonnes personnes, elle est prise et toi à moitié-libre. Pourtant beaucoup dise qu’il se passe quelque chose entre vous, balivernes elle est trop amoureuse pour qu’elle te considère plus qu’un ami.

Il y a cette fille, tu l’amène souvent avec toi dans ses soirées. Tu la traîne,  même si tu sais que tu finiras toujours pas la ramener. Tu es celui qui tient le mieux l’alcool. C’est en rentrant d’une de ses soirées, ivre tous deux. Tu as goutté à ses lèvres pour la première, ça t’as tordu les tripes, et elle à  commencer à déboutonné son chemisier. Cette spontanéité chez cette fille te rend fou, ton regard illuminé par le désir tu viens te coller à elle. Lorsque tu as raconté cette aventure à Ruby, tu as cru y percé de la jalousie dans ses prunelles mais tu pensais vainement que c’était ton imagination. Car tu as longtemps voulus qu’elle soit ta petite amie. Vous voilà tous les deux pris, et pourtant vous ne cessez toujours pas à vous tourner autour. Une seule chose vous retient c’est que vous êtes tous deux pris et à moitié saint d’esprit.  Il y a quelque chose entre vous, c’est une certitude. Car sinon vous cesserez ces messages aguicheurs, ses taquineries, une chance que vous avez de limites. Tu es peut être celui qui la connait le mieux, après toutes ses années d’échanges de sms et de dialogue, puis ton génie te permets de lire en elle comme un livre ouvert, ce qui a toujours eu le don de l’énervé, toi tu en ris.  

Tes lèvres parcourent son corps brûlant de désir, tes mains caressent ses courbes délicates, tu sens ses ongles s'enfoncer dans ta peau. Tu en as tellement attendu pour toucher enfin ce corps, sentir sa peau sous tes mains. Elle est venue se pendre à ton cou et elle a commencé à déposer des baiser sur tes lèvres, tu n'as pas pus t'empêcher de la serrer contre toi. Tu es incapable de la lâcher désormais les dés sont jeter. Tu sais que c'est mal car tu es en couple, tu vois déjà le visage de ta petite amie se déchirer par ta tromperie. Elle t'aime tellement, et toi aussi tu l'aime mais ce que tu ressens pour elle n'est rien par rapport à la façon dont ton coeur s'emballe pour Ruby. Vos corps sont rentrés dans cette danse ardente envahie par ce plaisir ardent. Tant de passion et de désir, vous étiez là à vous dévorer encore une fois. Alors que tu te rhabilles elle vient te morde l'épaule en chuchotant que tu étais un vrai salaud envers ta copine. Elle n'avait pas tort, mais tu ne pouvais pas la quitter car Ruby et toi ce n'était pas officiel, et elle ne voulait pas que ça soit le cas. Tu t'étais habitué à la voir se coller à toi pour venir t'embrasser quand ne t'étais pas avec ta copine. Tu te sentais coupable, mais ton cœur se déchirait entre deux âmes.

« Adrian. » sa voix magnifique te déniche un sourire, elle t'embrasse après avoir plongé ses prunelles de biches dans les tiennes. « Ca ne vas pas. » te dit-elle d'un air inquiet, tu secoues négativement la tête en venant l'embrasser. Tu entremêles tes doigts aux siens, elle commence à raconter sa journée, ses envies. Tu l'écoutes d'une oreille, car ton esprit est ailleurs. Se focalisant sur d'autres courbes féminines. Depuis quand es-tu devenu un bourreau de coeurs ? Tu sais que tu vas la détruire encore plus lorsqu'elle apprendra ton petit secret. Elle ne se doute de rien, trop amoureuse. En la regardant tu sais pourquoi tu es avec elle: sa beauté et sa fraîcheur te donne toujours le sourire. Elle est toujours là blottie contre toi, ne se souciant pas que tu la trompes. Elle te souffle toujours des "je t'aime" auxquels tu réponds, tu ne lui mens pas. Tu l'aime mais pas assez. « Ce soir j'ai une surprise pour toi. » te souffle-t-elle à l'oreille, tu l'embrasses dans le cou. « J'ai hâte de voir ça. » presque premier de ta promo, tu es un génie et pourtant en amour tu joues les bourreau. On t'a toujours traité de prince charmant, cela doit même être un de tes surnoms. Tu as les allures mais pas le coeur, du moins tu ne l'as plus. Une personne a une mauvaise influence sur toi.

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