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Si j'avais su Pv MAXYM ♥

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→ JACKIE AND MAXYM


 " Un SMS m'avait levée tôt ce matin. Mes yeux ne semblaient pas vouloir s'ouvrir, la soirée avait été arrosée et finalement j'avais un mal de chien à lire le SMS qu'on venait de m'envoyer. Mes yeux se froncèrent : Maxym, Hopital, quarantaine. Je me levais précipitamment pour finalement courir dans ma salle de bain. Je relus le message qui finalement m'annonçait une terrible nouvelle. Je me surpris à avoir peur, ma main tremblait. Je ne devais pas avoir peur surtout pas. Je filais dans la douche et partis direction l'hôpital pour voir comment allait Maxym. J’espérais que son état ne soit pas si grave que ce que laissait prétendre le message. J’espérais m'inquiété pour un rien. Je m'installais sur une chaise en attendant l'arrivée de Maxym. Une immense vitre nous séparait. J'avais l'impression de rendre visite à une prisonnière. J'avais pris soin de prendre avec moi quelque gâteau et sucrerie. Ce n'était peut être pas grand chose mais du sucre allait lui faire du bien. Lorsque je vis Maxym. Je fus surprise. Elle semblait si fatigué, si amaigrie et si faible. Un frisson me parcourut le corps. Je finis par afficher un petit sourire loin du sourire de d'habitude. Je fis : " Alors ma belle, tu n'as toujours tuer personne ? comment tu vas ? " dis-je bêtement.
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Jackie & Maxym

« Ma belle », vraiment ? Le combat de son corps contre le virus marquait ses traits, creusait des sillons sous ses yeux ternes. L'épuisement, la douleur. Heureusement il n'y avait pas de miroir, Maxym n'aurait jamais supporté de montrer cette face au monde. Elle croisait seulement son reflet dans la vitre parfois, le fuyant. Déjà les symptômes s'amusaient à empirer, la demoiselle pouvant voir sur les autres personnes enfermées avec elle ce qui l'attendait. D'abord résignée, combative, elle s'était peu à peu fait grignotée par la peur. Voir les proches s'agglutiner contre la barrière en verre avec leurs airs paniqués n'arrangeait rien. Elle n'avait vu encore personne et ne savait pas si ce moment arriverait. Quand on lui avait demandé une personne à appeler, le prénom de Jackie lui était venue naturellement. Allongée sur son lit spartiate, elle ne leva la tête que lorsqu'on lui souffla qu'il y avait quelqu'un pour elle. Une once de joie la secoua, la première depuis son arrivée ici. Ses billes se posèrent sur sa meilleure amie, et l'Eliot se hâta de la rejoindre. Enfin, hâta.. c'est vite dit. Disons qu'elle se traîna jusqu'à la vitre. Le sourire qu'arborait la malade n'était pas éclatant, mais il avait le mérite d'exister. Bordel, ça faisait tellement de bien de la voir.  « Non j'suis sympa, je laisse le virus s'en charger. » Humour noir, ahah. Max ne voulait pas se montrer défaitiste, même face à Jackie.  « J'ai connu des jours meilleurs.. mais ça va. » Inutile de fabuler, si elle était là c'est que ça n'allait pas.  « Ca me fait du bien de te voir, tu peux pas savoir.. » Oh, elle espérait que la Cabot vienne, mais c'était toujours touchant de voir quelqu'un se déplacer pour nous.

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→ JACKIE AND MAXYM


L’inquiétude se lisait sur mon visage. J’avais beau faire des sourires lorsque je vis Maxym devant moi. Mes craintes prirent une ampleur encore plus grande. Pour faire claire, j’étais inquiète. Maxym était pale, amaigri et faible. Son visage était minée par la douleur et la fatigue. Cette situation était difficile à supporter. Je ne laissais rien paraitre parce que je n’avais pas le droit. « Non j’suis sympa, je laisse le virus s’en charger. » j’avais la salive. Cette vitre, tout ça m’emmerdait royalement. Je fis une petite grimace et lui dis : « Le plus important c’est que tu te reposes ! » dis-je en essayant d’être de bon conseille. En bafouillant. « Ils vont bien trouver un remède quelques choses ! Ils ont pas le choix ! ». Il fallait qu’il trouve quelque chose, il le fallait ! « Ca me fait du bien de te voir, tu peux pas savoir.. » j’affichais un sourire. J’étais contente de la voir même si son état allait maintenant me hanter jour et nuit. « Toi aussi… mon appartement est tout vide sans toi. Leyna et moi ont tourne en rond. Tu nous manque » tu me manques… elle me manquait s’était incroyable de voir ça. Je l’appréciais, c’était une amie extraordinaire et une allier parfaite. Je finis par afficher un sourire et lui dis : « Je t’ai apporter du chocolat et puis des magasines… le chocolat c’est pour le sourire » dis-je avec un sourire. Je l’examinais. Elle semblait fébrile. « On s’occupe de vous ?! » dis-je douteuse des soins que l’on apportait au malade de la zone de quarantaine.
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« T'inquiète je fais que de dormir.. en même temps y a que ça a faire. Ils nous ont même pas mit le cable ces radins. » Plaisanter, toujours. C'est pas le moment de baisser les bras, et de devenir une de ces patientes chiantes. Une malade. Maxym ne veut pas devenir une malade qui se plaint. Jackie l'aide dans cette direction. « Ils vont bien trouver un remède quelques choses ! Ils ont pas le choix ! »La voir ainsi fait sourire la brune. Elle savait que sa meilleure amie se battrait pour elle, et les médecins n'avaient qu'à bien se tenir. La cabot lui donnait de la force comme d'habitude. Elle se sentait toujours invincible à ses côtés. C'est tout ce dont elle avait besoin là, maintenant. Juste un peu de courage pour ne pas céder à la facilité d'abandonner la partie. « Dès que je rentre on invite tout le monde, et on retourne ton appart' ! » Un rire tente de sortir d'entre ses lèvres, mais s'interromps par une grimace. Se projeter en dehors de cette cage lui faisait du bien, et elle allait se retenir de toutes ses forces à cette idée. Les petits cadeaux de la belle l'y aiderait surement. « C'est trop gentil.. J'les cacherais sous mon oreiller. » Qu'elle s'amuse. Hors de question qu'on lui pique ses seuls moyens de distraction, surtout quand ils viennent de Jackie. « Vite fait.. ils nous donnent des anti-douleurs, nous font des analyses.. » Sa voix est un murmure rauque, et Maxym s'appuie contre la vitre pour ne pas s'épuiser à rester debout. « Mais ils sont pas foutus de trouver ce qu'on a. » Ce qui veut dire pas de traitement. Des incompétents, voilà ce qu'ils sont tous. « Vous avez des infos à l'extérieur ? » Y avaient-ils des diagnostiques qui filtrent ? Parlaient-ils de cette vague de malades ? Cet enfermement la rendait un peu paranoïaque.

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Au fond, je vivais très mal la séparation. J’affichais de grand sourire mais au fond j’étais complètement perturbée par l’état actuelle de ma meilleure amie. « T’inquiète je fais que de dormir… en même temps y a que ça à faire. Ils nous ont même pas mit le cable ces radins. » Je me mis à souffler, en plus d’être coincée les malades semblaient être livrer à l’ennuie le plus total. Je lui fis : « Je vais allez en toucher deux mots au responsable tu vas voir ! » dis-je déterminé. Namého, fallait pas abusé. En plus d’être malade, ils devaient se regarder dans le blanc des yeux. Super.

Maxym me manquait, j’étais inquiète de la savoir ici et inquiète de savoir qui allait être le prochain. J’espérais que la liste ne s’agrandissent pas. Les informations n’étaient pas bonne voir même mauvaise. Aucun traitement n’avait été traiter. « Dès que je rentre on invite tout le monde, et on retourne ton appart » j’affichais un sourire, ravie par cette idée. Je lui fis : « Je t’attends ! Je vais tout te mettre à disposition » dis-je en rigolant. Elle m’explica ensuite les soins qu’elle recevait : « Vite fait. Ils nous donnent des anti-douleurs, nous font des analyses » l’envie de poussée un scandale était de plus en plus grand. Je grimaçais sachant pertinemment qu’elle était dans la situation la moins délicate. « Mais ils sont pas foutus de trouver ce qu’on a » je la regardais et lui fis : « Ils vont trouver ! Il le faut sinon Stevensen s’occupe d’eux » dis-je en souriant. Il avait plutôt intérêt effectivement. Impossible pour moi d’imaginer Maxym finir ces jours ici. « On parle d’une grippe… mais les infos sont vraiment minimale ici. Mais les gens parlent que de ça, c’est la vrai pagaille dehors ! » dis-je inquiète.
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Jackie & Maxym

Jackie et Maxym se ressemblaient beaucoup. Du moins, Maxym se plaisait à le croire. Elles avaient toutes deux ce caractère flamboyant, ce côté pile et ce côté face. Prêtes à tout pour leurs amis, mais redoutables comme ennemies. Entières, voilà. Ce qui rendait leur duo particulièrement efficace. Si on y ajoutait Leyna, elles étaient imbattables. Genre, Totally spies en remplaçant la rousse par une typée, voyez. Sauf que là, derrière cette vitre, la demoiselle n'avait plus rien d'impressionnant. « Réclame aussi du maquillage. Y a tout Harvard qui passe nous voir comme si on était des animaux de cirque... » En fait elle ne poussa pas plus l'explication, elle savait que Jackie comprendrait. Max était une fille naturelle, mais elle refusait qu'on la voit dans cet état. « Déjà que je dois me coltiner cette tenue. » Attrapant du bout des doigts sa robe de malade d'un air dégoûté, elle releva ensuite son regard vers sa meilleure amie. « T'as jamais pensé à créer une ligne de vêtement pour mis en quarantaine ? » S'amuse l'Eliot, essayant de ne pas aborder le sujet de façon trop grave, comme si tout ceci n'était qu'une plaisanterie. Enfin, bref, pensons à autre chose. A Stevensen entrain de botter le cul des médecins qui ne bossent pas assez vite par exemple. Du temps, Maxym sentait qu'elle en manquait. Chaque minute son corps laissait un peu plus de terrain à la maladie. Cette saloperie était bien plus forte qu'eux tous. « Faut continuer à en parler, faut pas nous laisser tomber.. » Son ton était presque suppliant. La pression sociale obligerait les médecins à les sauver, à pas les laisser crever ici. « Y a eu d'autres vagues de malades ? » Elle, elle savait rien ici. Les infirmières lâchaient rien. Peut-être que certains de ses amis étaient dans la même situation qu'elle, juste à quelques mètres.

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Cette vitre devenait irritable, elle provoquait en moi un profond malaise. Maxym était coupée de toute liberté, emprisonné et dans un état alarmant. J’avais conscience d’être sa seul source de distraction. « Réclame aussi du maquillage. Y a tout Harvard qui passe nous voir comme si on était des animaux de cirque… » j’affichais une petite grimace. La situation était critique et je m’en rendais de plus en plus compte. Je finis par afficher un sourire parmi toute cette agitation. Je sortis de mon sac ma petite trousse de maquillage. « Tient prends là… y a pas grand-chose mais assez pour te refaire une petite beauté » dis-je en lui faisant un clin d’œil. Nous partagions les mêmes valeurs et s’étaient ça que j’aimais chez elle. Au final, nous nous ressemblions tellement. « Déjà que je dois me coltiner cette tenue ». J’affichais une nouvelle grimace en voyant la tenue, bien loin de l’élégance habituelle. « T’as jamais pensé à créer une ligne de vêtement pour mis en quarantaine ? » j’affichais un sourire. L’humour et le bon caractère de la Eliot était toujours là. Ce qui me soulageait. Je lui fis : « Maintenant que tu le dis.. Je crois que je devrais m’y mettre. Y a du boulot pour redresser la barre ».

Il était clair et évident que les médecins allaient passer un mauvais quart d’heure à la fin de cette rencontre. L’état des malades semblaient s’aggravés. Les soins semblaient manquer. Beaucoup trop de chose n’allait pas ici. « Faut continuer à en parler, faut pas nous laisser tomber ». Ma tête se pencha sur le coté. Impossible. Je lui fis : « Bien sûr que non… je vais te laisser ici ! Et Leyna non plus… on veut te voir revenir. » dis-je en la regardant dans les yeux. Elle n’avait pas de quoi s’inquiété. J’avais beau être derrière la vitre, j’allais prendre soin d’elle et m’occuper des détailles. « Y a eu d’autres vagues de malades ? » j’affichais une petite grimace. J’aurais pu lui mentir en évitant de lui parler des autres malade mais je ne voulais pas. Je lui fis : « Ouii, il vienne tout juste d‘ouvrir une troisième mis en quarantaine…».
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