J-E. ADRIEL LIGHTMAN ► ben barnès

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle mélissa, métisse d'ibiza et j'ai vingt-un an. Je suis française/paca et j'ai connu le forum grâce à plusieurs partenariat . Le forum est magnifique il l'a toujours été d'ailleurs, il attire beaucoup l’œil  alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise ben barnès comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par @soapflaws et @becausebarnes/tumblr. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé crée par mes soins..

 Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
 Je souhaite ▲ être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
  participer à la roulette RP (?)

Né de l'union d'un américain ayant fait fortune dans l'immobilier et d'une australienne, ayant hérité du quart d'une entreprise familiale et très grande fan de musique. Du coup, dans un foyer qui ne manquait pas d'argent. Sa mère adoptive décida donc de lui donner des prénoms étant peu commun, Jax, Ezeckiel, Adriel, Cobain en espérant secrètement qu'il deviendrait musicien, ou chanteur. L'arrivée du bébé dans le ménage fut l'élément déclencheur de tous les problèmes. En sachant, que Mme Lightman a fait les démarches pour une adoption sans consulter son mari. Plus les années passaient, plus les disputes se multipliaient, sous les yeux impuissants du bambin, voyant ses parents se déchirer. « Pourquoi maman pleure ? » - « C'est de ta faute. » Il portait, à quatre ans, tout le poids de l'échec de leur mariage. Puis, le jour de son anniversaire, pour ses cinq ans, sa mère prépara un gâteau mais, préféra attendre que son père rentre pour y toucher. Mais, il ne revint pas, durant quatre mois, il ne revint pas. Lorsqu'il disait travailler tard, il allait voir une autre femme. Lorsqu'il retourna à la maison, c'était seulement pour déposer les papiers du divorce qu'était censé signer la mère du bambin mais, il fut chassé par un lancer d'assiettes. « Tu sais, Adri, maintenant, c'est juste toi et moi. Ton père ne désire pas notre bonheur alors, montrons-lui qu'on n'a pas besoin de lui. »

« Ce 'est pas si mal que ça, en fait. Je sens qu'on va s'y plaire, qu'est-ce que tu en penses ? » Voilà les paroles de Mme Lightman envers son unique fils sauf, que de son côté il vint à souffler, prêt à lui cracher tout un amas d'horreurs au visage mais, une nouvelle fois encore il se retenait pour éviter de la blesser. « Ouais, pour les psychopathes je suis sûre, que c'est parfait. » Annota-t-il en jetant un bref coup d'oeil au reste de la pièce, forcé de constater que cet endroit n'était pas à son gout. Adriel n'avait qu'une seule envie, prendre mes jambes à son cou et déguerpir aussi vite que possible. « Ne sois pas aussi mauvais tu veux. » Il se retourna. Il n'avait absolument rien d'autre à rajouter. Une fois encore, il n'allait pas au bout de ce qu'il avançait. En réalité, peu importe ses propos, c'était bien trop tard. Il ne pourrait aucunement remonter le temps. Les problèmes familiaux venait entièrement de sa faute, du moins, ce qu'Adriel pensait depuis qu'il été né. En même temps, c'est son père qui lui avait mis ses âneries en tête. Et, à force de les entendre chaque jour avant le départ de son père, il le pensait réellement. Voilà pourquoi aujourd'hui, il se retrouvait à l'opposer de sa ville natale, dans une maison qui n'a jamais été la sienne et, qui ne le saura jamais. « Tu crois sincèrement que ça, me fait plaisir de te voir réagir ainsi ? » Il haussa les épaules, accompagnant d'un bref mouvement de tête. Adriel ne souhaitait pas la vexer ni même la pousser dans ses derniers retranchements mais, s'était-elle seulement posée la question de savoir si oui ou non, cet endroit allait correspondre à son fils ? Quelle importance, après tout.

Voilà deux mois qu'il ne donne plus de nouvelle a personne dans son entourage hormis sa mère et, n'en voyait même pas l'intérêt. Il était détruit et, son coeur aussi. D'ailleurs après cette trahison, il a sombré dans la drogue. Il venait de se faire un rail de cocaïne quand il entendit une voix, qu'il connaissait à la perfection. Une voix qui venait de la porte d'entrée de l'appartement. C'était la voix de son ex petite amie qui l'avait trahie ! « Ouvre moi je sais que tu es là. Ton courrier déborde et ton chien doit mourir de faim ... » il soupirait seulement en entendant sa voix et finit par répliquer d'un ton fort. « Va te faire voir Hastings ... » Et, il se fit un deuxième rail de cocaïne. Y a que la drogue qui lui faisait du bien fou en ce moment ... bon d'accord ce n'est pas la meilleure solution mais c'est la seul qu'il avait trouvé. Mais bizarrement, il s'approcha de la porte de l'appartement et, ouvre la porte pour laisser passer seulement sa tête. Il finit par lui demandé « Qu'est-ce que tu me veux ? » Le seul problème c'est qu'elle ne répondait pas mais, qu'elle l'observait de la tête au pied, donc il finit par répliquer aussitôt « Ok, je vois qu'on n'a plus rien à se dire ... » C'est à ce moment-là qu'il allait refermer la porte, mais elle fut plus rapide que lui et mit son pied pour bloquer la porte. Elle finit par dire enfin. « Tu sais très bien ce que je voulais te dire, tu ne réponds même plus à mes messages. J'ai dû te laisser une cinquantaine de messages sur ton répondeur. Je ne savais pas si tu les avais reçus, si tu les as écoutés. J'ai fait une erreur, je sais ? Tu m'en veux je le sais aussi. » Il soupire de désespoir mais, il restait tout de même indifférent face à elle. Il savait parfaitement qu'elle n'aimait pas ça, le silence avait regagné leur bref conversation. Adriel aurait pu la détester ou encore même l'engueulé mais, resté indifférente à-elle lui paraissait la meilleure solution. Après dix bonnes minutes de silence, le damoiseau finit par la regarder dans les yeux et répliqua méchamment. « Et alors ? Les messages sur mon répondeur je m'en contre-fiche. Tu n'as pas encore compris que je n'ai plus aucune envie d'avoir affaire à-toi ... Que tu t'en veuilles je m'en fiche Lunabhee ! Tu aurais dû penser aux conséquences bien avant de me tromper avec cet idiot ! » Adriel continue de rester indifférent à-elle pendant une bonne dizaine de minutes, pour ensuite retirer le pied que la demoiselle avait posé devant la porte. Le damoiseau fixer du regard la jeune femme mais, pas un regard compatissant. Plutôt un regard froid, distant et de haine à la fois. « Bon ben, on n'a plus rien à se dire je crois. » Ce fut les derniers mots que Lunabhee et Adriel s'adressèrent avant de couper les ponts définitivement.

Assis au bar, une bière à la main, il n'était clairement pas dans l'esprit de la fête, en cette soirée et, les minutes qu'il lui restait dans cet établissement se compterait surement sur les doigts d'une main, le temps qu'il termine sa commande. Déposant un billet sur le comptoir, après un clin d'oeil à la serveuse, il sortait du bar mais, fut alerté par des cris, de femme. S'approchant de ces bruits, il vus trois hommes en train d'agresser une jeune femme blonde. Cela le répugnait au plus haut point et, lui donnait presque envie de vomir. Il s'approcha de cet endroit et, avant qu'un d'entre eux ne le voit, il envoya valser un des trois hommes. S'il avait peur ? Non, trois contre un, cela ne changeait rien. Le premier touché parti en courant, en plus de cela, il lui facilitait la tâche. Attrapant la demoiselle, tant bien que mal, il échangea des coups avec l'un d'entre eux, qui ne tarda pas à prendre ses jambes à son cou, à son tour. Le dernier sortait un couteau, mais le natif de Cambridge n'eut pas de mal à désarmer celui-ci, même s'il eut en prime une belle taillade sur le bras, ensanglanté. Un, deux, trois coups de poing. Il avait une crise, au pire des moments et, il ne fut calmé qu'après un très grand nombre de coups. Il s'assoit à terre et, ne put que contempler l'ampleur des dégâts. Cela ne faisait aucun doute, il était mort. La demoiselle se précipita vers lui et, le prend dans ses bras, le remerciant de tout son coeur. Il avait sauvé sa vie, mais au prix de celle de cet homme. Adossé contre un mur, quelques instants plus tard, la blonde tentait de le calmer, passant ses mains dans les cheveux de l'américain, qui ne savait pas quoi faire. Mais c'était sans compter sur le patron du bar, qui vit le désastre et, appela la police.

Il faisait à peine jour que le jeune homme avait déjà les yeux ouverts, dormant seulement deux à trois heures par nuit, ce n’était pas étonnant pour sa part. Ses traits étaient tirés, son teint pâle, presque livide et ses yeux mélangeaient la désespoir avec l’espoir que lui offrait son avocat, surpayé pour ce à quoi il avait servi. On lui avait déjà fait plusieurs examens psychologiques et médicaux depuis qu’il était arrivé en prison, il y a de ça trois mois et douze jours, exactement. Il était seul dans une cellule, et la procédure en cours dans son jugement, lui permettait d’avoir le droit à une feuille et un crayon, pour pouvoir exprimer tout ce qui lui passait par la tête, en le dessinant. Il chantait très bien, ne savait pas jouer d’instrument, mais il appréciait aussi beaucoup d’avoir plusieurs cordes à son arc. La musique et l‘art. Son temps, il le passait entre le dessin, l’écriture de quelques chansons de sa composition, à écrire des lettres à sa mère, qui lui racontait ses folles aventures et à ses quelques rares visites, pour la plupart de Persia. Jetant un brouillon chiffonné par son énervement, il entreprit de réécrire sa lettre destinée à sa mère. Je pense acquis, le fait que l’imagination se perd dans un endroit aussi neutre que la prison. Les murs gris m’étouffent, et je ne puis que regretter ma liberté, mais pas mon acte. Je n’ai jamais voulu qu’il meurt, mais je ne pouvais la laisser.. Alors que la mine de son crayon se cassait, passablement énervé, un garde lui demande de le suivre. Son avocat était là, il y avait des vêtements d'Adriel à ses côtés. « Habilles-toi, tu sors aujourd’hui. » Il relâcha un soupir de soulagement, et ne tarda pas à enfiler ses vêtements. La lumière l’aveugla une fois sorti. Le soleil était-il plus éclatant ou était-ce simplement, la lumière de la liberté qui rayonnait sur sa peau ? Il n’en savait rien. La seule chose qu’il savait, c’était qu’il désirait reprendre ses études à Cambridge dans l'université d'Harvard, dans le Massachusetts.

Si l’on fait le bilan de la vie du jeune homme jusqu’à maintenant, c’est un parcours tumultueux, avec le divorce de ses parents, l'abandon de son paternel, la rencontre avec son beau-père, la briseuse de cœur Lunàbhee, sa condamnation. On peut dire que c’est ce qui fait du jeune homme ce qu'il est aujourd’hui, ce nouveau étudiant d'Harvard, au pouvoir attractif sur la gente féminine. Adriel après sa sortie de prison grâce à son avocat surpayé, décida de reprendre sa vie en main. Mais, surtout ses études qui tient une place importante pour lui et, son nouvel avenir. Désirant plus que tout devenir psychologue pour aider son prochain. Adriel décide d'intégrer Harvard si le directeur l'accepte malgré son passé assez douteux. Il veut tirer un trait définitif sur son passé qui constitue la personne qu'il est devenu aujourd'hui. Ayant changer, du tout au tout, grâce à son emprisonnement Adriel veut réparer ses torts et, aider les personnes en difficultés. Mais avant toute chose, si Adriel décide de venir étudié ici à Harvard ce n'est pas une coïncidence. C'est surtout qu'Adriel vient d'apprendre, qu'il avait un jumeau sauf, qu'ils ont étaient séparer à la naissance en cause de l'hôpital qui trafiquait des choses pas très légales.