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If we ever meet again ft. JULIA ♥

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Julia & Norah

© Kaiji

« Norah, pourquoi tu fais ça ? Tu sais bien que tu n’es pas obligée de travailler, on peut subvenir à tes besoins avec ton père. Je ne comprends vraiment pas ton choix. Surtout pour faire serveuse dans un BAR. Non, vraiment, je ne te reconnais plus. »

Ma mère continua son monologue pendant quelques minutes sans que je ne l’écoute. Ce n’était pas la première fois qu’elle me faisait le coup. Quand elle avait appris que je m’étais trouver un travail dans un bar, j’ai cru l’achever. C’est en quelque sorte la cerise sur le gâteau après tout ce que je leur avais fait subir depuis notre arrivée en terre maudite. Elle avait couru vers mon père, qui s’était empressé d’appeler mon prétendu chaperon, qui lui avait fait semblant de ne pas être au courant. Ce qui n’était pas plus mal, car je n’aurais plus eu le droit de le voir. Et m’interdire de voir la seule tête me rappelant la France n’aurait pas été la meilleure des choses.

« C’est bon, t’as fini ton petit discours moralisateur ? Parfait. Si tu permets, faut que j’aille bosser. Ne m’attendez pas demain midi, j’ai des examens qui arrivent, je resterais réviser chez moi. »

Sans attendre de réponse, je quittai les lieux et conduisis jusqu’à mon appartement. Après avoir posé mes affaires, j’enfilai mon tailleur et ma chemise blanche, tenue de serveuse par excellence. Il ne me restait plus qu’à attacher mes cheveux en une queue de cheval haute et de mettre une pointe de liner et de rouge à lèvre. Talons aux pieds, j’étais fin prête pour aller servir cette masse de débauchés transpirants l’alcool et l’orgueil. Certes, il y avait mieux à faire un samedi soir, mais ce mieux ne m’intéressait pas. Je ne me voyais pas rejoindre cette foule d’étudiants en chaleur qui ne pense qu’à faire remplacer le sang dans leurs veines par de l’alcool afin d’oublier quelques instants la dure réalité de la vie, si possible dans les bras d’un autre étudiant du genre opposé, tout aussi perdu dans ce grand tourbillon de l’existence. Non, vraiment, cela ne me tentait pas le moins du monde. Je préférais encore rester observatrice de cette grande comédie dramatique. En soi, j’avais de la chance. Je pouvais assister à ma pièce préférée tous les soirs, et en plus, j’étais payée pour ça ! Que demander de plus ?
Je me laissais bercer avec enchantement par le claquement de mes talons sur le macadam, douce mélodie sentant la féminité, qui suffisait à me combler de joie pour la soirée. Je me revoyais à Paris, jouant cette symphonie dans les rues pavées de Montmartre, seule ou au bras de Siméon, ce cher Siméon… Je me demandai ce qu’il pouvait bien faire aujourd’hui, était-il encore en France, pensait-il encore à moi parfois. Puis son image disparue de mon esprit aussi vite qu’elle était venue, repartant dans les limbes de mes souvenirs français, ces souvenirs que je m’efforçais d’oublier.

« Punaise, Norah, c’est fou ce que tu es ponctuelle ! Va falloir que tu me donnes ton truc, parce que moi je suis toujours en retard ! »
« Commence par t’acheter une montre, ça peut être utile. »

Cette chère Cindy. Certains jours, je me demandais où elle avait bien pu cacher son cerveau. Enfin, pour être serveuse, tant qu’elle savait tenir sur ses pieds et ne pas renverser les verres, on ne lui en demandait pas plus. Je prenais mon service en salle, évitant tant que je le pouvais de me retrouver derrière le comptoir. Apporter les verres aux clients sur un plateau en courant dans toute la salle, aucun problème, les contacts restant limités. Mais rester au bar, et écouter les lamentations de jeunes dépressifs imbibés de vodka, non merci. Je n’avais pas la patience pour ça, et encore moins la fibre sympathique.
Après une heure de service et quelques Casablanca du dimanche persuadés que les serveuses, c’est tellement facile à draguer, il me sembla apercevoir un visage familier à une table. Je chassai d’abord cette idée car c’était fort peu probable. Ce devait être quelqu’un que j’avais croisé en cours, ou bien un autre rat de bibliothèque. Mais mon regard retomba sur ce visage, et je sentis que c’était plus que ça. Je connaissais cette fille, mais impossible de me rappeler d’où. Puis ce fut la révélation. Ce visage s’accompagnait de quai de Seine et de jardin des Tuileries. Julia. Sa présence ici, à Harvard, me semblait si incongrue que j’attendis d’être sûre de mon coup avant de l’aborder. Après cinq bonne minutes de réflexion, je m’approchai de sa table avant de lui demander en Français, sans m’en rendre compte :

« Julia ? Julia Delcroix ? C’est bien toi ? »

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Norah & Julia

Ce soir avant mon départ au ski avec Caleb et après avoir étudié un peu mes cours car j'avais des partiels à la rentrée, je décida de sortir un peu dans un bar de la ville que je ne connaissais pas encore pour réfléchir à toutes ses retrouvailles qui venaient de se produire dans ma vie actuelle. J'étais bien loin de me douter que j'allais encore faire une retrouvaille et pas des moindres quand j'entendis une voix m'appeler par mon prénom puis mon nom de famille. Alors que je me trouvais au comptoir avec ma consommation, j'aperçus une jeune femme châtains me rappelant une amie d'enfance de Paris, de mes années d'école parisienne. Alors je lui répondit, l'air surprise mais heureuse.

Oui, c'est bien moi Julia. Ne serait tu pas Norah ? Quelle excellente surprise, j'ignorais que tu étais ici ma puce. Cela fait tellement d'années qu'on s'est perdues de vue, que deviens tu la miss ?

Je lui souria car j'étais surprise mais heureuse de la voir ici et ce malgré ces années d'absence, je ne doutais pas que notre amitié revienne aussi vite qu'elle était partie.

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Je ne pus retenir une exclamation de joie. Un immense sourire s’afficha sur mes lèvres, mes yeux s’arrondirent de surprise. C’était bien elle, Julia, ma meilleure amie d’enfance. C’était incroyable de la retrouver ici, à Harvard. Mon cerveau fut noyé sous une vague de souvenirs. La petite Norah, Norah la parisienne, celle qui transpirait la joie de vivre, fut ramenée à la surface par cette apparition. Je n’en croyais pas mes yeux, je ne savais comment réagir. Elle m’avait connue bien avant mon départ pour les USA, alors que j’étais encore remplie de rêves, que je n’en voulais pas à mes parents, que tout allait bien. J’avais tellement changé entre temps, pendant toutes ces années. Je ne souriais plus, je ne riais plus, je ne m’amusais plus. J’étais si différente. Mais de la voir, là, ici, dans ce bar, de l’entendre me parler, cela chassa mes heures sombres quelques instants, tandis que je me laissai envahir par la Norah de mon enfance.

« Je ne savais pas que tu étudiais à Harvard aussi ! C’est fou, ça fait tellement longtemps… Je suis ici depuis le bac, mes parents ont déménagé l’été juste après les épreuves. Du coup ils m’ont inscrite à Harvard pour que je puisse quand même suivre un cursus d’histoire de l’art, sans aller à l’école du Louvre… Et je travaille ici tous les soirs, tu sais, pour prendre un peu mon indépendance par rapport à mes parents. Mais quand même, c’est fou, je n’en reviens pas de te croiser ici ! Qu’est-ce que tu fais là ? Depuis quand tu es dans le coin ? Le hasard, c’est incroyable. »

J’essayai de me souvenir depuis combien de temps nous ne nous étions pas vu, et comment nous avions pu nous perdre de vue, alors que nous étions si proche. Puis tout me revînt en mémoire. Après le collège, nous n’avions pas été dans le même lycée. On avait continué à se voir de temps en temps le week-end, ou après les cours. Puis avec ma préparation au concours, elle avait progressivement subi le même sort que les autres. Je n’avais plus répondu aux messages, ni aux appels, jusqu’à ce que ceux-ci cessent.

« Au fait, je viens de repenser, je suis vraiment désolée d’avoir coupé les ponts au lycée, ce n’était vraiment pas contre toi. J’ai arrêté de voir tout le monde pour me concentrer sur mon concours, tu sais, pour l’école du Louvres. Il fallait vraiment que je me concentre. J’espère que tu ne m’en veux pas ?... Mais au fait, raconte-moi tout ! Comment es-tu arrivée aux Etats-Unis ? »
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Norah & Julia

Cela fait des années maintenant que je n'avais pas revu Norah, depuis le lycée en somme alors je crois qu'autant elle que moi nous étions surprises de ces retrouvailles surprises. Je me trouvais dans ce bas juste pour me détendre mais là revoir mon ancienne meilleure amie me surprenait mais faisait plaisir. Elle me confia qu'elle était là depuis le bac car ses parents ont déménagés ici. Elle s'excusa aussi de m'avoir délaissée au lycée car elle potassait son concours de l'école du Louvre, son rêve depuis petite. Avant de me demander ce que je devenais. Alors je lui répondit.

Ne t'excuse pas miss, on a toutes les deux faits notre vie chacune de notre côté mais c'est bien si tu as pu faire ce que tu aimes, même si ce n'est pas l'école du Louvre comme tu le rêvais depuis petite. Et bien moi je suis ici depuis quelques mois en 7e année de droit, j'ai retrouvée des meilleurs amis comme toi du passé ou encore des ex ou anciens flirts aussi. En France, après le lycée, je suis partie en fac de droit, tu sais que cela a toujours été mon rêve depuis que je suis enfant.

Puis elle me demanda si je lui en voulais d'avoir couper les ponts au lycée mais aujourd’hui, je la retrouvais alors le passé, je m'en moque bien. Avant de me demander comment j'étais arrivée ici. Alors je lui répondit.

Oh mais je ne t'en veux de rien du tout ma puce, je suis juste ultra contente de te retrouver, on va pas tout gâcher pour un coupage de pont qui date de plusieurs années, je sus par dessus, t'en fais pas. Et sinon j'ai connu Harvard grâce à une amie rencontrée à la fac de Paris qui y est aussi et donc me voilà. Mais sinon moi j'ai une question beaucoup plus intéressante, et tes amours ma belle, dis moi tout comme à l'époque du lycée ?

Je savais qu'elle allait me poser la même question mais j'avais envie de lui parler des hommes que j'avais revu récemment et que j'avais connu par le passé. Alors je lui souria.

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C'était vraiment un sacré surprise. Elle me raconta comment elle était arrivée ici, à Harvard. C'est vrai qu'elle avait toujours rêvé de faire du droit. Au moins il y en avait une ici qui avait réalisé ses rêves. Elle semblait se réjouir pour moi du fait que j'avais pu quand même suivre des études d'Histoire de l'Art sans aller à l'école du Louvres. Je ne lui fis pas part de la grande déception que j'avais subit, et surtout que je subissais encore jour après jour. En effet, malgré le fait que cela faisait maintenant cinq ans que je vivais ici, je ne m'étais toujours pas faite à l'idée, et je regrettais toujours ma vie de l'autre côté de l'Atlantique. Certes, Harvard était un campus sympathique, et plutôt jolie, mais je ne pouvais m'empêcher de penser à l'école du Louvres, dans ces bâtiments remplis d'histoire, juste à côté du Jardin des Tuileries, soit le plus beau jardin du monde. J'avais passé des heures et des heures là bas, à flaner, à lire, à réviser. Et qui dit jardin des Tuileries dit également Pont des Arts, et quais de Seine. Non, vraiment, la vie de petite Parisienne me manquait terriblement. Mais ce n'était pas le moment, je ne voulais pas gâcher ces retrouvailles inattendues par des regrets.Au moins, elle ne m'en voulait pas d'avoir couper les ponts, c'était déjà ça.

« Ah mais oui, c'est vrai qu'il y a des programmes d'échanges entre les universités, j'avais oublié. C'est génial alors, ça va t'apporter beaucoup de choses comme expérience je pense. Et puis, ça fait toujours son petit effet quand on voit noté Harvard sur un CV. »

Je lui fis un petit clin d'oeil. Puis elle me posa la question que j'avais espéré éviter. Les amours. Je ne comprendrai jamais pourquoi ce sujet intéressait tant les filles. Pourquoi fallait-il toujours que cette questions reviennent à chaque discussion entre deux filles ? Je n'avais rien à dire en plus. A quoi cela aurait-il servit ? A rien. Rien, si ce n'est faire ressurgir mes vieux démons et autres fantômes. Je n'avais décidément pas envie de ramener Siméon sur le tapis. Et rien ne s'était passé dans ma vie depuis lui, même pas quelques coups d'un soir pour oublier. Heureusement, mon patron me sauva de cette situation. Et oui, certes je venais de retrouver une très vieille amies, mais ce n'était pas une raison pour arrêter de travailler. Et ça, il me le fit comprendre très bien en m'incendiant du regard.

« Oh tu sais, niveau amour, c'est plutôt la traversée du désert. Mais attends, ne bouge pas. Tu sais, à la base je suis serveuse ici, et donc je suis quand même censée travailler, sinon mon patron ne va pas être très content, si tu vois ce que je veux dire. Je reviens tout de suite ! »

J'allais servir quelques verres à une dizaine de table, et une fois mon patron repartit dans son bureau, je retournai vers Julia.

« Me revoilà ! Alors, dis moi tout ! Et toi alors, comment ça va côté coeur ? Je suis sûre que tu as énormément de choses à me raconter ! »

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Je venais de retrouver ma meilleure amie d'enfance, elle et moi on étaient toujours fourrées ensemble en primaire, au collège et au lycée jusqu'à ce fameux jour où je n'ai plus eu de nouvelles mais maintenant je connais la raison, elle faisait tout pour réussir le concours de l'école du Louvre mais au final à cause de ses parents, elle n'a jamais pu y aller. Quand je lui dis que j'étais ici avec un programme d'échange et que cela faisait bien d'avoir été à Harvard dans son CV, je souria car il était important pour moi en tant que future avocate. Alors je lui répondit.

Oh que oui, dans mon domaine d'études et mon futur métier, il est essentiel d'avoir de bonnes références ou tout simplement des références solides. Mais aussi parce qu'une amie d'université qui avait été en échange avec la Sorbonne m'a parlé d'Harvard et j'ai eu envie de changement d'air. Même si tu sais que j'adore Paris.D'ailleurs, les prochaines vacances, on se les fait à Paris hein comme par le passé ?

Puis je lui posa des questions sur ses amours, question qu'elle aimait éviter par dessus tout mais elle me répondit que c'était le néant pour elle et qu'elle était serveuse ici et qu'elle devait travailler. Elle me fit savoir qu'elle revenait de suite pour servir des clients. Puis quelques minutes plus la revoilà et en me demandant des nouvelles de mes amours. Alors je lui répondit.

Oh tu es célibataire aussi, bienvenue au club alors. Tu sais, j'ai eu une relation il y a un an qui a duré 2 mois, c'était un Américain de passage à Paris qui est parti aussi vite qu'il est apparu, ce fut ma dernière relation. Mais je peux compter sur des meilleurs amis ou de la famille qui ne me lâcheront pas, tu te souviens de mon cousin Samuel ? Bah il est professeur ici à Harvard depuis peu.

Je la pris dans mes bras car elle m'avait trop manquée depuis toutes ces années.

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« Oh mais c'est vrai, tu as donc réussi à aller à la Sorbonne ! C'est tellement génial pour toi ! Mais dis moi, si tu es là dans le cadre d'un échange, ça veut dire que tu ne vas rester qu'un an ? Et comment ne pas adorer Paris, c'est la plus belle ville du monde ! J'aimerais tellement y retourner, je n'y suis pas allée depuis notre déménagement... »

Et oui, mes parents avaient trouvé bien plus intelligent de ne pas me ramener sur Paris, même pendant les vacances, de peur que je ne fasse une fugue, ou encore que je leur fasse une scène à l'heure de traverser l'Atlantique une nouvelle fois... Alors quand elle me proposa d'y aller pour les prochaines vacances, je ne sus que répondre ! Je fus d'abord submergée d'une vague de joie, mon visage s'irradiant littéralement, avant de penser aux conséquences. Si je retournais à Paris, je ne savais pas si je serais capable de revenir après. Et puis, comment résister à l'envie d'aller voir Siméon après toutes ces années ? Je ne savais plus quoi lui répondre.

« Écoute, ça me ferait vraiment très plaisir, mais je ne sais pas si j'arriverais à gérer l'émotion, et encore moins si j'arriverais à quitter Paris une deuxième fois. J'ai peur que ça ne me fasse plus de mal que de bien pour être honnête... »

Elle me raconta ses aventures avec un américain. Cela m'étonnait qu'elle soit restée sans relation pendant un an. Dans mes souvenirs, elle ne restait jamais bien longtemps sans un homme à son bras...

« Et ben alors, maintenant que tu es aux USA, tu n'as pas cherché à le retrouver, ce bel Américain ? »

Puis elle me parla de son cousin Samuel. Cela remontait à trop longtemps. Il me disait vaguement quelque chose, mais je ne m'en souvenais pas assez pour me rappeler à quoi il ressemblait. Sans que je ne m'y attende, elle me serra dans ses bras. Je fus d'abord surprise, avant de lui rendre son étreinte. Cela faisait des lustres qu'on ne m'avait pas fait de câlins comme elle était en train de le faire. J'avais l'impression de retomber en enfance, lorsque nous étions encore si proche l'une de l'autre.

« C'est fou c'que tu m'as manqué. Maintenant qu'on s'est retrouvé, il va falloir que l'on se voit beaucoup plus souvent ! Excuse moi, mais il faut que je retourne travailler, sinon mon patron va me tuer. Si j'ai cinq minutes, je reviens te voir, mais si jamais, ne m'attends pas. Tiens, je te laisse mon numéro. Ça m'a vraiment fait plaisir de te revoir ! »

Je lui écrivis mon numéro sur une serviette avant de m'éloigner pour reprendre mon service.
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Je vis Norah inquiète à l'idée que je sois en échange car il est vrai qu'un échange va s'arrêter un jour mais je me sens déjà ici après quelques mois que je ne comptes plus repartir en France pour y vivre alors je lui répondit.

Oh mais je te rassure, je compte bel et bien rester ici après la fin de mon échange dans un an, je me sens déjà bien ici après quelques mois et en plus, j'ai retrouvé des amis d'enfance donc je ne compte pas abandonner tous mes amis surtout pas toi.

Puis quand je lui proposa un voyage pendant les vacances à Paris, elle me remercia de ma proposition mais qu'elle ne sentirait pas capable de gérer l'émotion à l'idée de quitter Paris un seconde fois mais ce ne serait que pour les vacances et ce sera dur aussi pour moi. Alors je lui répondit.

Tu sais, même si j'ai choisi de quitter Paris pour Harvard, notre pays natal en commun me manque chaque jour qui passe, surtout quand je revois des personnes connues là bas. Donc au pire, on pleurera comme des madeleines toutes les deux, je ne compte plus te lâcher maintenant que je t'ai retrouvé. D'ailleurs, tu loges où sur la campus ?

Ensuite, je lui parla de mon bel américain connu sur Paris, mon unique relation sérieuse qui a duré 2 mois, une exception avec moi. Elle me demanda qu'est ce que j'attendais pour le retrouver et elle avait totalement raison, je devais le retrouver car je l'aimais encore et j'avais mal digéré notre rupture. Alors je lui répondit.

Comme toujours, tu me connais par coeur et tu as raison, je vais le rechercher pour m'expliquer sur notre rupture et qui sait peut-être il y aurait quelques chose de nouveau entre nous ?

Enfin, je lui parla de mon cousin Sam dont elle ne rappela que peu car elle avait du le voir en tout peut-être que deux fois. Mais elle m'informa qu'elle devait retourner bosser et qu'elle était super ravie de m'avoir retrouvée, ce qui fut le cas pour moi aussi. Elle me laissa son numéro au cas où elle ne pouvait pas revenir me voir. Alors je lui répondit.

Bien sur ma biche qu'on va se revoir, d'ailleurs, on se revoit très vite hein et tu peux me phone pour tout et rien d'accord. Tiens je te laisse aussi mon numéro. A plus bichette.

J'étais trop heureuse de ma soirée avant ma soirée au ski que la pris dans mes bras en lui tendant un papier avec mon numéro avant de la laisser retourner travailler et je termina mon verre avant de me rentrer à la maison des Quincy.

B.DAVIS sur Bazzart.





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