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Théo & Prue
« C'est souvent plus difficile de renoncer à ce qui blesse qu'à ce qui rend heureux » ⊹ Un doux murmure, des caresses dévorantes de passions, ses lèvres si douce, mais terriblement dure. Aussi foncé que la couleur de l’océan, aussi profond que les ténèbres emplis de sombres secrets. Sentant son être vibré avec le mien. Un sursaut. L’espace d’un instant, ses bras entouraient mon être. Un battement de cils et tout était finit. Je me réveillais dans une chambre plongée dans l’obscurité matinale. L’ombre des meubles me paraissaient grotesque et si imposant. Les lourds rideaux étaient tirés. Cachant ainsi, la vue qu’offraient les baies vitrées. Je détestais dormir dans le noir, mais la personne à mes côté, avait voulu les tirés. Une boule s’emparait de mon corps, j’avais la sensation d’étouffer. Il fallait que je sorte de là au plus vite.
Doucement, je me glissais hors des draps luxueux. Provocant un léger bruissement. En silence, je pénétrais dans la salle de bain pour enfiler une robe de chambre en soie noire que j’avais emmené avec moi. Ainsi, je cachais ma petite nuisette prune. Mon reflet dans le miroir était pale, mes joues étaient légèrement rougis, sans doute à cause de mon rêve. Oui, mon rêve. Ses lèvres sur les miennes et l’odeur de sa peau. Je clignais des yeux comme pour me réveiller et me faire arrêter de penser. Attachant mes cheveux en chignon décoiffée, je jetais un dernier coup d’œil à un reflet si las. Sans difficulté, je réussissais à m’extirper de la chambre. Les couloirs étaient déserts et aucun bruit ne filtrait à travers les portes. Je n’avais aucune idée de l’heure, je savais juste qu’il était tôt. D’un pas souple, j’arrivais jusqu’au bout de l’étage. Je fus submergé par la vue chatoyante de la cité. Dans cette pénombre tachetée de bleu, on pouvait apercevoir les lumières des enseignes. Lieux puant le luxe et le pêché. La décadence régnant en maître dans cette ville.
Gracieusement, je m’approchais de l’une des baies vitrées. Je ne prêtais aucune attention aux fauteuils et aux canapés. Seul la vue, m’attirait me donnant la sensation d’observé le monde d’en haut. Une fois de plus, mon songe gagnait mes pensées comme une sangsue qu’on ne pouvait supprimer. Un battement de cœur, un soubresaut douloureux et délicieux à la fois. Jamais, je n’aurais pensé le revoir. Pourtant, par un mauvais calcul, il c’était retrouvé face à moi. Brillant dans toute sa splendeur et son ingéniosité. Me rappelant d’un seul regard, à quel point une nuit avait pu me changer. Je m’étais prise à mon propre piège, brisant une de mes principales règles. J’avais succombé à sa beauté et à cette prestance qui était inconnu aux hommes de mon âge. Il avait laissé son empreinte sur ma peau comme un fer chaud. Combien de temps encore, allais-je tenir ? Combien de temps encore, allais-je faire semblant de ne rien ressentir ? Combien… ?
Brisant le silence, un bruissement attirait mon attention. Les vitres me renvoyaient le reflet d’un garçon que j’avais connu au ski. Un homme avec qui j’avais eu un bref rapprochement. J’avais la sensation d’être percé à jour. Comme s’il avait vu quelque chose que j’aurais aimé qu’il ne voie. Je me retournais doucement tout en essayant de faire bonne figure. Il avait une drôle de tête comme s’il n’avait pas dormie de la nuit et qu’il avait cédé aux décadences nocturnes de Las Vegas. « Théo, toujours en train de faire la fête »
Doucement, je me glissais hors des draps luxueux. Provocant un léger bruissement. En silence, je pénétrais dans la salle de bain pour enfiler une robe de chambre en soie noire que j’avais emmené avec moi. Ainsi, je cachais ma petite nuisette prune. Mon reflet dans le miroir était pale, mes joues étaient légèrement rougis, sans doute à cause de mon rêve. Oui, mon rêve. Ses lèvres sur les miennes et l’odeur de sa peau. Je clignais des yeux comme pour me réveiller et me faire arrêter de penser. Attachant mes cheveux en chignon décoiffée, je jetais un dernier coup d’œil à un reflet si las. Sans difficulté, je réussissais à m’extirper de la chambre. Les couloirs étaient déserts et aucun bruit ne filtrait à travers les portes. Je n’avais aucune idée de l’heure, je savais juste qu’il était tôt. D’un pas souple, j’arrivais jusqu’au bout de l’étage. Je fus submergé par la vue chatoyante de la cité. Dans cette pénombre tachetée de bleu, on pouvait apercevoir les lumières des enseignes. Lieux puant le luxe et le pêché. La décadence régnant en maître dans cette ville.
Gracieusement, je m’approchais de l’une des baies vitrées. Je ne prêtais aucune attention aux fauteuils et aux canapés. Seul la vue, m’attirait me donnant la sensation d’observé le monde d’en haut. Une fois de plus, mon songe gagnait mes pensées comme une sangsue qu’on ne pouvait supprimer. Un battement de cœur, un soubresaut douloureux et délicieux à la fois. Jamais, je n’aurais pensé le revoir. Pourtant, par un mauvais calcul, il c’était retrouvé face à moi. Brillant dans toute sa splendeur et son ingéniosité. Me rappelant d’un seul regard, à quel point une nuit avait pu me changer. Je m’étais prise à mon propre piège, brisant une de mes principales règles. J’avais succombé à sa beauté et à cette prestance qui était inconnu aux hommes de mon âge. Il avait laissé son empreinte sur ma peau comme un fer chaud. Combien de temps encore, allais-je tenir ? Combien de temps encore, allais-je faire semblant de ne rien ressentir ? Combien… ?
Brisant le silence, un bruissement attirait mon attention. Les vitres me renvoyaient le reflet d’un garçon que j’avais connu au ski. Un homme avec qui j’avais eu un bref rapprochement. J’avais la sensation d’être percé à jour. Comme s’il avait vu quelque chose que j’aurais aimé qu’il ne voie. Je me retournais doucement tout en essayant de faire bonne figure. Il avait une drôle de tête comme s’il n’avait pas dormie de la nuit et qu’il avait cédé aux décadences nocturnes de Las Vegas. « Théo, toujours en train de faire la fête »
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