Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDimitri ► « L’amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons. L’amour est une bataille, l’amour est une guerre, l’amour grandit. »
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Dimitri ► « L’amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons. L’amour est une bataille, l’amour est une guerre, l’amour grandit. »

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Dimitri J-F Hemingaway

Réservé

Je m’étais enfilé plusieurs verres d’alcool assise face à Dimitri, ma main posée sur la tienne je ne me sentais plus. Nous commandions encore un verre chacun avant de décider de partir, il voulait dormir chez moi, sur le canapé avait-il promis, je quittai la table bras dessus-bras dessous. Il monta dans la voiture, je fis de même et pris la direction du campus, après de longue minutes de trajet et dans la crainte de me faire arrêter par les forces de police je passa le portail de fer forgé noir, il n’y avait personne à la cabine de vérification des pas, il était clair qu’à une heure du matin, tout le monde était au lit ; ou presque. Sauf Dimitri et moi, je garai la voiture avec difficulté sur le parking du campus, avant de descendre pour prendre la direction de mon studio universitaire, nous montions les escaliers en titubants, soul comme des pots ; Je glissa la clef dans la serrure en rigolant aux âneries de mon cousin que je n’avais pas vu depuis plusieurs mois, cela faisait même un an, j’avais passée du temps avec lui durant mon enfance.. Mais j’avais changé, et il n’y avait pas que la tête qui avait changé, mais la manière d’agir, de parler et encore d’autres choses encore. Je poussai la porte marron faisant entré le jeune-homme en premier, puis j’entrai à mon tour verrouillant la porte ; sans savoir pourquoi il me plaqua contre le mur commençant à me déshabiller, je le fixais droit ans les yeux totalement ivre je ne me rendais pas compte de ce que nous faisions. Je le dénuda à mon tour, nos corps collés l’un contre l’autre nous faisons l’amour toute la nuit, alors que dans le cercle familial cela est totalement interdit.


Je me réveillai au petit matin, je n’eus pas le temps de mettre mes pieds dans mes chaussons couleurs rosés que je filai immédiatement au toilette, j’avais une nausée horrible et je ne savais pas ce qui m’arrivais, tout du moins pour l’instant. Je m’habillai à toute allure, descendis de mon studio et fila à la pharmacie, je demandai un test de grossesse car j’avais tous les symptômes, je n’avais même pas pris le temps de prendre quelques choses à manger, je m’achetai aussi une barre de céréale j’avais l’impression que j’allais tombée. Je mangeai la barre de céréale, rentra chez moi et dans la salle de bain j’étais nerveuse, je priais à moitié espérant que ce dernier ne soit pas positif, mais quand la sonnerie retentie, je fondis en larme. Je savais déjà qui était le père, j’enlevai jean ainsi que le haut que j’avais mis pour me mettre en robe à motif liberty, je n’avais pas envie de cacher cette grossesse à Dimitri qui était venu me voir et était finalement resté à Harvard car il s’y plaisait. Je chaussai mes ballerines beiges, retournant encore une fois au toilette, je n’avais pas prévue d’avoir un enfant si tôt, j’avais soudainement une triste mine, j’avais peur de l’avenir et je ne savais pas vraiment quoi faire si ce n’est de le prévenir. J’essaya tant bien que mal dans le miroir de ma salle de bain de me faire sourire, mais sans succès, chaque tentative était un échec, Je plaçai mes papiers ainsi que mon Iphone dans mon sac ainsi qu’une plaquette d’aspirine si jamais j’avais diverses douleurs et je sortie du studio, il y a maintenant plusieurs semaines à quelques heures près j’étais là avec Dimitri soule autant que lui à la mauvaise haleine. Je me souvenais juste d’une chose : m’être réveillée à ces coter avec un sentiment de bienêtre, de chaleur. Pourquoi est-ce que faire l’amour entre cousins, cousines, frères et sœurs était interdit ? Sans doute à cause des liens du sang, du déséquilibre potentiel, j’avais à moitié honte, mais je lui avais offert ma virginité ce soir-là, il m’avait embrassé avec fougue passion sans lâcher ces lèvres des miennes, et j’aimais ça, beaucoup même. Je descendis donc les escaliers à vive allure je me dirigea vers la fontaine dans l’espérance de croiser Dimitri, intérieurement j’avais peur de lui annoncer.. Et s’il ne voulait pas de cet enfant ? Comment aillait-il réagir en tant que mon cousin ? Et si j’avais transmis une maladie ? Et si du jour au lendemain à cause d’une grosse pression, ma Leucémie revenait subitement ? Et si je ne pouvais pas tout simplement assurer ? J’avais peur, peur de lui avouer même si je ressentais quelques choses de bizarre qui nous unissait. Seulement je ne savais pas ce qu’il ressentait. Et si c’était aussi un signe du destin ? Peut-être que cette « aventure » agirait sur mon destin ? Peut-être me récompenserait-elle des épreuves que j’avais endurée ? Je ne réalisais pas encore que je portais en moi un petit.. Un enfant, je n’avais pas de sensation, je ne ressentais rien, j’avais juste une peur, craintive. Je remuais sans cesse les plis de ma robe nerveuse marchant toujours dans l’espace de verdure à la recherche du jeune-homme. Comme dans les films, ou les deux héros s’embrassent sous les feux des projecteurs comme à Broadway.. J’aimerais tellement vivre comme ces héros.. Mes cheveux blonds tombaient sur mes épaules, mes yeux marrons brillaient, le soleil tapait décidément fort aujourd’hui. Les couples marchaient, parlaient, s’embrassés, j’avais l’impression d’être un peu la seule à exister dans ce monde de fou. Dans ce monde de technologie, ou tout passe avant l’amour, mais j’étais décider à ne pas vivre dans le multimédia, Je poussa un soupire, je m’asseyais sur un banc, espérant toujours le voir passé posant ma main sur mon ventre ou dedans.. Poussait sans doute une fleur de l’union de deux Hemingaway ayant tous les deux des liens du sang.
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«L'amour ne se contrôle pas»

Flash Back
Son sourire l'exaltait, sa tête étourdie. Elle était si joyeuse quand elle était bourrée que cela en devenait même mignon. Pourtant, il ne cessait de boire comme elle. Sentir l'ivresse qui montait pour ne plus savoir à quoi il pensait, ni ce qu'il faisait. Il lui proposa de s'incruster chez elle, il ne savait pas vraiment pourquoi. Sans doute pour éviter qu'elle croise un méchant loup dans ses petites ruelles affamés de désirs. Non il désirait être son loup ce soir... Il n'avouera jamais qu'il ait eu peur en compagnie de sa cousine au violent, mais ils étaient bien arrivés et surtout en bonne santé ! Quel miracle. En plus avec tout le chahut qu'il faisait, il avait eu peur de réveiller quelqu'un. Mais la bonne étoile était bien avec eux ce soir-là. Il entra dans la maison, que la bête en lui affamé de désir ne se sentait plus. Il avait trop envie d'elle, et la plaqua sur le mur sans lui laisser le temps de réagir. En quelques secondes, elle était déjà toute nue. Il lui resserra l'étreinte et lui fit l'amour comme il n'avait jamais fait à quelqu'un. Sauf qu'il sentit qu'elle avait eu mal, mais après le plaisir est bien venu après. Il a du la préparer. Il s'enfichait des règles et ne prenait pas encore conscience des conséquences.
Fin du Flash back

Dimitri avait parlé a Lud récemment. Il avait eu l'erreur de lui faire une déclaration au journal de l'école. Il avait peur que cela lui avait eu des percutions sur elle. Et si l'école l'apprenait, peut-être qu'il les renverrait. Mais il ne voulait pas de tout cela, il voulait simplement aimer librement. Il repassa encore à cette soirée. Il ne doutait surement pas que sa cousine lui avait offert sa virginité. Il n'en retient que de vagues souvenirs mais surtout un agréable moment. Sa chaleur lui manquait, son souffle contre son corps. Depuis, il en avait envie que d'elle et personne d'autre. Mais c'était assez étrange ? Après tout c'était son sang, sa famille. Que dirait sa mère ou son père ? Il aimerait tellement que sa vie soit un manga ou film. La tout est permis, tout est jouable. On peut jouer un rôle sans que personne nous dise qu'on a guère le droit. Mais la vie n'était pas un clip, ni un bout de papier. Non il était simplement un simple pantin incapable de contrôler ses émotions car après tout l'erreur est humaine. Et lui il en est une énorme. Depuis la fameux conversation électronique, il n'était plus maître de lui-même. Il n'adressait la parole à personne et de plus tout le monde fuyait maintenant. A chaque fois qu'il voyait un couple, il l'enviait. Ces êtes qui peuvent s'exprimer sans peur d'être jugé. Il aurait tellement aimé avoir un amour pareil. L'amour était trop interdit. Mais l'interdit n'est pas une limite pour l'homme, c'est justement encore plus excitant, plus exaltant.
Quelque chose le perturba dans ses pensés, sans savoir où il se trouvait, il reconnaît une ombre familière. Une ombre qu'il appréciait. Il leva alors son visage et vit Ludwycka de dos assise sur un banc. La jeune femme ne l'avait pas encore vu. Elle était magnifique avec sa robe. Mais le geste de ses mains indiqué qu'elle n'était pas forcément bien. Alors il avait ressentit ce pressentiment. Après tout sa cousine n'a jamais su mentir même par message. Mais il avait préféré feindre, en face elle ne pourra pas lui mentir. Alors il s'assoit juste à côté d'elle, en ne la regardant ps. C'était la première fois depuis la soirée, qu'il lui faisait face. Il se sentait assez nerveux mais ne lui montrait pas. Il laissait planait un silence, il ne savait par quoi commencer. Un peut-être bonjour ? Même pas. Il avait trop honte. Mais une chose était certaine, il ne reculerait devant rien...

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Dimitri J-F Hemingaway

Réservé

J’avais aimé cette nuit passée avec Dimitri, la chaleur de son corps, son souffle, ses soupires, sa manière de parler et d’agir. Oui j’avais adoré, j’étais folle lorsqu’il m’avait plaqué contre le mur du salon et qu’il m’avait fait l’amour jusqu’au petit matin, toute la nuit, et en plus je lui avais offert ma virginité. Assise sur un banc, je me tripotais els doigts nerveusement revoyant l’écriture « tes de grossesse positif » sur le cadran numérique, je n’avais même pas pris conscience que j’avais d’autres gens autour de moi, j’avais peur de l’avenir mais j’ »tais folle amoureuse de lui, d’ailleurs je lui avais annoncée et fait une déclaration par texto et cela faisait quelques jours que je ne l’avais pas croisé dans le campus, me fuyait-il ? Après quelques minutes de réflexion, cette hypothèse était écartée, il vint s’asseoir à coter de moi, je posai ma main sur mon genoux l’autre sur le tien déposant un baiser sur ses lèvres aussi rapide que personne ne m’a vue, juste lui. J’avais plongé mes yeux marrons dans les tiens, je lui esquissai un sourire enlevant ma main de son genoux, je tremblais de tout mon corps, j’avais peur de lui avouer. Et si cette nouvelle mettait en péril notre relation ? Je ne voulais pas le perdre, c’est comme Pénélope sans Ulysse, Yseult sans Tristan, Blanche-neige sans les sept Nains, Juliette sans Roméo, Valentine sans Roméo et enfin Ludwycka sans Dimitri.. C’était ma façon de lui dire bonjour, je cherchai dans ma tête à formuler une phrase si possible potable pour lui annoncer ma grossesse, je ne savais pas à combien de semaines j’en étais, si je pouvais avorter ou non mais j’avais un raisonnement. J’avais déjà assez souffert dans ma vie d’enfant et je voulais éviter d’enlever la vie à un bout de choux qui ne méritais pas ça, je ne voulais pas non plus le faire souffrir à cause d’une situation potentiellement compliquée. La première étape ? Déjà lui avouée, puis ensuite ? J’allais sans doute m’effondrera dans ces bras ou sur le banc si jamais il prenait subitement la fuite sous le choc mais ce n’était pas son genre, je pris mon courage à deux mains balançant mes cheveux blonds à la limite du doré en arrière regardant mes pieds, je n’avais pas actuellement le courage d’affronter son regard mais je luttai ; je posa ma paume de main brulante sur la tienne gelée.
◖ Ludwycka A-S. Hemingaway▬« Bonjours Dimitri...,j'avais quelques choses d’important à lui dire, ce n’était pas une mince à faire, je voulais a tout pris lui avouer. J'ai quelque chose d'important à te dire.. Ce n'est pas facile, mais je veux juste une chose.. Que tu me promettes sincèrement de dire ce que tu penses.., je commençais à trembler de plus en plus, j'avais limite les larmes aux yeux mais je n'avais pas envie d’engager la discutions sans sa promesse. Je pris sa main timidement je la posa sur mon ventre, fermant les yeux.. Une chose que je ne voulais pas qu'il me demande me vint à l'esprit ce qui me rendit encore plus nerveuse, j'avais peur qu'il me demande de choisir entre lui ou le bébé que je portais, je ne saurais quoi répondre. Mais je ne lui avait dis que quelques mots.. Mon cousin était le père de l’enfant que je portais malgré les liens du sang, il allait avoir les mêmes grands-parents, côté paternel, mais je n’avais pas peur du regard des autres, j’étais sans doute égoïste en pensant ça. J'avais lu et acheter le journal de l'université, j'aimais bien ce qu'il avait écrit, et surtout les mots employés, je ne m'étais jamais senti aussi bien avec un homme qu'avec lui à vrai dire c'était ma première relation amoureuse car je savais que je pouvais avoir sa confiance. Je suis enceinte, de T.O.I, j'avais bien mis un accent sur le toi, j'avais peur, je fondis en larme devant lui pour.. La première fois.»
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«L'amour ne se contrôle pas»

Il l'a regardé tendrement. Il ne comprenait pas pourquoi il ressentait ce genre de sentiments, mais maintenant il devait y faire face. Il allait lui dire, mais il n'arrivait pas. Pourtant il savait que c'était mal d'avoir des pensées malsaines envers elle. Mais il ne pouvait s'en empêcher. Elle était si attirante, si belle, si merveilleuse. Il entendit un faiblement de parole. « Bonjours Dimitri... J'ai quelque chose d'important à te dire.. Ce n'est pas facile, mais je veux juste une chose.. Que tu me promettes sincèrement de dire ce que tu penses.., elle mit sa main sur son ventre, au début Dimitri ne comprenait la signification. Il avait déjà compris par message qu'elle n'allait pas bien. Il la connaissait depuis toute petite, c'est quelque chose qu'il arrivait à ressentir. Mais il avait joué au sourd pour éviter de la gêner, de l'embêtement. Il caressa son ventre, il aimait bien. Il était chaud, et une pensée obscène lui traversa l'esprit. Mais il reprit ses esprits. Il ne voulait pas réveiller la bête qui était en lui, ce n'était ni le lieu, ni le moment. Pourtant un frisson le parcourut, il avait un très mauvais pressentiment. Il ne se doutait pas encore, mais la nuit qu'il avait passé avec elle, allait être fatale. D'ailleurs, il se souvient encore la sensation de ses lèvres chaudes, de ses mains autour de sa taille, de son corps entré en elle. C'était la soirée la plus belle de toute sa vie. Il n'avait jamais ressentit cette sensation pour une femme. Même s'il n'en souvenait peut-être plus au début, les sensations sensoriels, lui avait rappelé. Le toucher, la voie, ses yeux. Le corps de Lud' était ancrée en lui. Mais il lui avait donné bien plus que cela : son cœur. Oui depuis ce soir-là, il pensait à elle, les autres femmes ne lui donnaient plus ce désir intense. Il n'avait pas compris sur le moment, car il n'avait pas pour habitude de ressentir ce genre de choses. Pourtant, il sait que si leurs familles le savaient, il s'amuserait à les détruire. A leur montrer qu'ils ne sont pas fait pour être ensemble. Tout cela parce qu'ils avaient un lien important en commun : le sang. Même si pour lui, cela voulait dire que cela renforçait cette situation, ils ne penseraient certainement pas de la même manière. Mais il continue bêtement d'y croire. Je suis enceinte, de T.O.I » Dimitri recula sa main directement. Il cru d'abord à une blague mais la façon de voir les larmes sortirent de sa cousine, lui démontrer que non. Il la voyait fébrile, si faible à ce moment-là. Il ne l'avait jamais vu pleurer et ne penserait pas que cela aurait à cause de sa. Alors la vie, lui donnait un brutale à la réalité. La nuit qu'ils avaient passé était une punition. Ils étaient bien trop jeune, bien trop immature, et si tout le monde le savait, qu'est ce que deviendrait Lud' ? Il s'en voulait énormément. Il aurai dut résister. Ce qui lui apporte le plus c'est son bonheur, et il s'est très bien que ce n'est certainement pas avec elle. Pourtant une petite voix lui cria en lui c'est ta chance. Au début, il ne comprit pas. Mais ces mots se formulaient. Il avait un moyen de mettre les choses au clair. De plus, il ne voulait pas se séparer d'elle. Il s'était vraiment trop attachée à elle. Alors il l'a prit dans ses bras, la serra fort contre elle et put décrocher quelques mots. « Ne pleure pas, si ce n'est de joie. Je vais être franc comme tu me l'a demandé. D'accord je suis terrifié à cette idée mais n'est-ce pas une chance pour nous ? Si on s'organise bien, on est pas obligé de dire que c'est moi le père à notre famille, mais on peut très bien dire que tu es tombée enceinte, le père ne veut pas de cette enfant et que je me suis proposé pour l'adopter et être le père légal. On pourra sortir, personne ne sait vraiment nos liens familiaux. Devant notre famille, on fera juste semblant, mais on pourra dire qu'on s'aime, que c'est mon bébé sans qu'il en comprenne le sens non ? Arrête de pleurer, j'aime trop ton sourire... » Ces mots étaient venu comme cela sont vraiment avoir réfléchi. Il ne savait pas si Lud' accepterait mais une chose est certaine : personne ne les séparera.

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Dimitri J-F Hemingaway
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Rapidement je sentis les larmes montées, je sentais bien que je n’allais plus tenir longtemps, je lui annonçai que j’étais enceinte de lui. C’était quelque chose de dur à avouer d’autant plus lorsque le père est notre cousin, mes yeux se fermèrent laissant place à des gouttes d’eaux salissant mon visage pâle d’habitude si joyeux, épanouis. Ce n’était pas moi, ce n’était plus moi, jamais je n’eus autant de mal-être, Dimitri avait posé sa main quelques minutes sur mon ventre chaud sans se douter qu’un fœtus se développait, je sentais une présence. Je fondis donc en larme avant qu’il ne me prenne dans ces bras me consolant, je n’avais pas prévu une telle réaction, j’ étais étonnée qui aurait cru qu’un cousin accepte d’être le père de sa cousine ? Mais c’était Dimitri, il était diffèrent c’était le cousin idéale dont tout le monde rêve, mais c’était mon cousin. Il avait peut-être fait une ou deux bêtise mais rien de grave, cela faisait tout son charme, il avait tout pour séduire : son physique, son caractère mais aussi son amour qu’il pouvait apporter. Quand il me prit dans ces bras, je me sentis en sécurité comme dans une bulle ou personne ne pouvait nous séparé.
◖ Dimitri J-F Hemingaway▬« Ne pleure pas, si ce n'est de joie. Je vais être franc comme tu me l'a demandé. D'accord je suis terrifié à cette idée mais n'est-ce pas une chance pour nous ? Si on s'organise bien, on est pas obligé de dire que c'est moi le père à notre famille, mais on peut très bien dire que tu es tombée enceinte, le père ne veut pas de cette enfant et que je me suis proposé pour l'adopter et être le père légal. On pourra sortir, personne ne sait vraiment nos liens familiaux. Devant notre famille, on fera juste semblant, mais on pourra dire qu'on s'aime, que c'est mon bébé sans qu'il en comprenne le sens non ? Arrête de pleurer, j'aime trop ton sourire... »
◖ Ludwycka A-S. Hemingaway▬« Lorsqu’il me rassura m’expliquant qu’il avait un plan pour faire passer l’enfant que je porte d’un autre homme, j’essuyai mes larmes d’un rapide coup de poignet sur mon visage pâle. La famille de maintenant n’est plus ce qu’elle était, il avait un projet pour mentir au reste de la famille Hemingaway, il avait sorti ça spontanément, même moi je n’y avais pas pensé. Sa réponse positive m’encouragerait sans doute pour la vie future qui nous attendait, je restai blottie dans ces bras sentant son souffle chaud dans ma nuque comme la nuit que nous avions passé ensemble. Il aimait mon sourire et moi j’aimais le tien, j’aimais tout chez lui depuis cette nuit passée ensemble; posant ma main sur mon ventre je m’imaginais déjà dans la salle d’accouchement bien que cela soit rapide. Par sa réponse, je comprenais donc qu’il acceptait de garder l’enfant que je portais, je lui esquissai un sourire ravie. Mes larmes de tristesses se transformèrent en larmes de joie, posant ma main sur sa joue je lui susurrai quelques mots doux à l’oreille. Dimitri.. Je t'aime, merci de comprendre ce que je ressens, merci à toi d'être la pour moi., son idée était superbe, il avait une intelligence sans doute supérieur à la moyenne, une qualité de plus. Ça veux dire qu'on le garde ..?Un sourire d'espérance se traça sur mon visage, toujours la main posée sur mon ventre, j'espérais, toujours. J'avais toujours espérée guérir et j'avais eu raison, j'avais espérée avec de longs cheveux et j'ai eu raison, j'avais envie de réussir bien que je sois consciente quel rôle joue un père et quel rôle joue une mère. J'avais envie de partager ma vie avec l'homme qui était en face de moi, bien que la famille se trouvant en Suède ne soit sans doute pas d'accord, il n'allait pas nous empêcher de vivre notre vie ici; mon caractère s'était forgé après toutes ces années de souffrances. Dimitri, merci d'être là.. Merci pour cette nuit, pour ta sincérité et pour tes douces paroles qui ravissent mon coeur. Appart nos noms, personnes ne peux savoir que l'on est de la même famille, l'on trouvera bien une excuse., pour la première fois en "public" je déposa un baiser sur les lèvres sans hésitation; c'était ma manière à moi de lui dire merci, pour sa compréhension. Je ne connais pas d'homme qui aurait agit comme lui et encore moins dans le cercle familial. Je rêvais d'une organisation à la limite du parfait, d'une petite fille, d'un foyer ensemble.»

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Louve & Chaton Dimitri ► « L’amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons. L’amour est une bataille, l’amour est une guerre, l’amour grandit. » 2109348208

«L'amour ne se contrôle pas»

« Dimitri.. Je t'aime, merci de comprendre ce que je ressens, merci à toi d'être la pour moi., Ça veux dire qu'on le garde ..? Dimitri, merci d'être là.. Merci pour cette nuit, pour ta sincérité et pour tes douces paroles qui ravissent mon cœur. Appart nos noms, personnes ne peux savoir que l'on est de la même famille, l'on trouvera bien une excuse. » Ses lèvres rejoignirent les siennes. C'était la première fois qu'ils s'embrassaient en public et Dimitri appréciait ce moment. Après tout personne ne sait qu'ils sont de le même famille. Et cela existait qu'il y es deux personnes ayant le même nom dans l'enceinte de l'école. Il souriait donc et lui prit ses lèvres, mit ses mains autour de son cou et l'embrassa avec fougue. Il n'en avait eu tellement envie depuis cette soirée. Elle était ancrée en elle, il ne l'avait jamais quitté. Cette personne si fébrile qui est devenu si forte. C'était un exemple pour lui, un modèle. Elle représentait la force et elle était sa force. Lorsqu'il avait un problème, c'était elle qui venait toujours en aide et lui aussi faisait pareil si la situation était inversée. C'est la seule femme avec qui il avait ressenti un tel plaisir. Il aimait de tout son âme, de tout son être. Il ne voulait pas qu'un autre homme prenait son cœur. Non, car c'était la femme de sa vie. Ses yeux bleus magnifiques, ses cheveux dorés, ce corps avec de jolies formes. Elle était parfaite. C'était une personne gentille, agréable. Il avait eu la chance d'être son cousin et avec un peu de chance l'enfant n'aura pas de séquelle. Il n'en saura rien que ses parents forment la même famille pour éviter sa déception. Il ne voulait pas. « Ne t'inquiète pas, si quelqu'un me pose des questions sur ce sujet, je lui répondrais que c'est une magnifique coïncidence car après tu es la femme de ma vie et rien ne pourra me séparer de toi. Rien. D'ailleurs j'ai quelque chose à te demander... peut-être que c'est l'effet d'excitation, l'effet d'être heureux avec toi... Mais comme notre famille est loin, ils ne pourront sans douter et cela confirmera mieux nos noms de familles.... Il hésitait beaucoup mais il ne voulait pas passer cette chance. Il savait que c'était elle, une intuition lui criait fortement. Il avait envie de la voir tous les jours à coté d'elle pour le reste de sa vie. Tous ces hypocrites, ces faux visages, ses déceptions, sa richesse, son éducation, son génie lui amenait à elle. Une personne sincère gentille et pas du tout fausse. Elle est franche et honnête. Elle mérite le meilleure. Ce n'était peut-être pas lui, mais il avait tant d'amour à lui donner qu'il essayerait d'être à la hauteur. Elle en valait la peine qu'on se batte, qu'on l'aime, qu'on la chérisse, qu'on l'accepte tel qu'elle est. C'était la seule personne avec qui, il n'avait pas ce regard froid, avec qui il voulait bien discuter. Oui elle était bien la seule. D'habitude quand il faisait l'amour, le lendemain il ne souvenait ni de la personne, ni de son prénom. Mais elle c'est un souvenir gravée dans son esprit. C'est pourquoi gardée au fond de sa poche, il avait toujours cette bague. Celle qui l'avait vu un jour dans une jolie bijouterie. Il n'avait pas réfléchi, il s'était juste dit, qu'un jour si il y avait une personne qui arriverait à pénétrer dans sa carapace, cela serait la femme de sa vie. Il se mit donc à genoux devant cette endroit remplie de mondes, prit sa main, mit la bague à son doigt et lui demanda en la regardant droit dans les yeux. Ludwicka Hemingaway voudrais-tu m'épouser ? » Il était sérieux. Il était sur que c'était elle, et que cela sera toujours elle...

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Dimitri J-F Hemingaway
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Je déposai timidement mes lèvres sur les tiennes posant ma main sur sa joue, surprise il décolla els tiennes quelques instants pour ensuite les reprendre. Un baiser fougueux, j’avais l’impression d’être au centre du monde, rien qu’avec lui ; dans ma bulle. A la fin du baiser, j’ouvris les yeux, émerveillée par sa beauté, sa sincérité, l’amour qu’il apportait et surtout la confiance. Je posai ma main sur sa main le regardant logement dans les yeux, il n’y avait pas besoins de parler avec Dimitri pour se comprendre, nous nous connaissons par cœur –j’te connais par cœur en long en largueur petit cousin-. Lui esquissant un sourire, je repensais encore à la nuit passée ensemble il y a quelques semaines, je repensais à la chaleur de son corps contre le mien, ses baisers mais aussi ses douces caresses sur ma peau qui frissonnait.
◖ Dimitri J-F Hemingaway▬« Ne t'inquiète pas, si quelqu'un me pose des questions sur ce sujet, je lui répondrais que c'est une magnifique coïncidence car après tu es la femme de ma vie et rien ne pourra me séparer de toi. Rien. D'ailleurs j'ai quelque chose à te demander.. Ne t'inquiète pas, si quelqu'un me pose des questions sur ce sujet, je lui répondrais que c'est une magnifique coïncidence car après tu es la femme de ma vie et rien ne pourra me séparer de toi. Rien. D'ailleurs j'ai quelque chose à te demander.. »
◖ Ludwycka A-S. Hemingaway▬« Oui, que l'on dise la même chose Dimitri.., je caressa sa cuisse avec des gestes légers et tendre. Mon cœur battait à la chamade mais je savais que je pouvais avoir confiance en lui, je passai ma main libre dans mes cheveux Blonds qui se placèrent parfaitement sur mes épaules. Quand il m’annonça sa demande pour m’épousé, je souris nerveusement ; il était là devant moi à genoux comme un Prince devant sa Princesse. Mais lui c’était MON Prince et moi j’étais SA Princesse, oui j’avais cru au compte de fée et aux miracles. Je posai ma main sur sa joue remontant jusqu’à ces cheveux, je commença à rougir. Dimitri Jared-Flynn Hemingaway.., ma main tremblait sur sa joue. Moi Ludwycka Apple-Sielle Hemingaway, je te veux comme époux pour le meilleur mais aussi pour le pire -évidement j'espérais plus de meilleur que de pire !-, il plaça une bague sur mon doigt sortie d'une petite boite rouge, je voyais donc que ce n'était pas une bague. Je me penchai vers lui et déposa un baiser sur ses lèvres, je sentais une sensation incroyable de bien être, de confiance en moi. Je ne m’étais jamais imaginé être en couple avec un membre de ma famille ou même de l’épousé, mais j’étais folle amoureuse de lui, j’avais gardé mes sentiments bien fourré au fond de moi, au plus profond. Quelques larmes coulèrent sur mes joues blanches, mais qu’importe c’était des larmes de joie et d’émotion. Regardant la bague placée par Dimitri sur mon annulaire gauche, je remarquai qu’elle était ornée de diamant brut, émue les larmes coulaient toujours. Merci mon Amour., pour lui dire merci, je lui fis encore un baiser même si ce baiser ne pouvait pas le remercier autant que je le voulais. Je te promets de te faire un magnifique bébé, avec autant de qualité que toi., oui j’étais sincère. Heureuse auprès de lui, épanouie mais surtout en sécurité. Plongeant mes Prunelles marron dans ces yeux. Je t’aime, mais pas en tant que cousin.. En tant que futur mari, en tant qu’amoureux.. Moi aussi j'ai quelque chose à te dire.... Voudrais-tu venir habiter dans mon duplex à deux étages, avec moi? »

HJ : Ma Louve, -avec un grand L- elle est super ta réponse Dimitri ► « L’amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons. L’amour est une bataille, l’amour est une guerre, l’amour grandit. » 2474380249
©️ Mise en page par Honney-Floop.
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Louve & Chaton Dimitri ► « L’amour ne commence ni ne finit comme nous le croyons. L’amour est une bataille, l’amour est une guerre, l’amour grandit. » 2109348208

«L'amour ne se contrôle pas»

Sa main sur sa joue le fit frissonnait. Ses émotions étaient si fortes. Elle rougissait et ne put esquiver un petit sourire. « Moi Ludwycka Apple-Sielle Hemingaway, je te veux comme époux pour le meilleur mais aussi pour le pire -évidement j'espérais plus de meilleur que de pire !-, il mit la bague sur son doigt. Il était si heureux de ce choix impulsif. Elle était souriante, joyeuse. Les larmes d'inquiétudes avaient disparus. « Le meilleure sera toujours présent à tes côtés... il pensait sincèrement ses paroles, il la désirait, il la voulait toute entière. C'était sa future femme, la future mère de son enfant. Avec elle, il pouvait sourire sans relâche et cela fait tellement du bien. Il avait tellement passé des soirées à réfléchir sur leurs situations, sur leurs relations, sur leurs avenirs... Mais il n'était pas arrivé à imaginer l'option de s'éloigner d'elle, c'était trop dur. Un amour en lui est apparu. Comme un coup de foudre qui l'avait frappé en plein cœur. Elle avait réussi à toucher son âme, au plus profond de lui-même. Il connaissait une façon d'aimer autre qu'il avait connu. Il avait tellement été déçu par les femmes, qu'il ne s'était plus approché d'elle mise à part pour coucher et ne pas s'attacher à elle. Mais depuis tout petit, il n'avait pu défaire ce lien qui les unissaient. Par ce lien de sang, mais par cette complicité. Il ne s'entendait pas forcément bien avec les personnes de son entourage que ce cela soit famille ou amis. Il avait eut du mal pour éviter le chagrin. Mais elle, dès qu'il avait posé les yeux sur elle, sur cette gamine qui se battait pour quelques années de vies en plus, pour pouvoir grandir et avoir une famille unie l'avait émerveillé. Il s'était promis de la protéger et de l'aider moralement pour sa maladie. A chaque fois qu'elle était à l'hôpital, il passait ses journées avec elle pour la divertir, pour lui faire penser à autre chose. Elle était d'une douceur naturelle mais avec une férocité à soulever des montages. Merci mon Amour., elle lui offrit un baiser et le prolongea, Je te promets de te faire un magnifique bébé, avec autant de qualité que toi., il souriait. Mais il sera magnifique, car il aura la force de sa mère et sa beauté angélique, il pensait tout ce qu'il disait. Avec elle, il n'avait pas besoin de mettre ce masque, il était naturel, sans mettre de barrière. Il savait qu'elle était la personne qu'il l'attendait, la personne qui serait mieux que quiconque le rendre heureux. Il l'avait sut dès la première fois qu'il avait vu à l'hôpital, mais c'était des soupçons d'enfants enfoui en lui qui s'était éveillé le soir de cette nuit fantastique et depuis cette certitude s'était installée en lui. C'est pour cela qui ne pensait à elle sans arrêt...Je t’aime, mais pas en tant que cousin.. En tant que futur mari, en tant qu’amoureux.. Moi aussi j'ai quelque chose à te dire.... Voudrais-tu venir habiter dans mon duplex à deux étages, avec moi? » Il était si content de voir des larmes de joies, il ne put s'empêcher lui aussi d'en sortir quelques unes. Cela surprenait, il n'avait jamais ressentit une aussi forte émotion que celui-ci. Il la prit dans ses bras, l'embrassa pour lui répondre. Mais mon amour c'était évident que je viens m'incruster chez toi, car je veux voir ton visage à chaque minute de ma journée. » Il l'aimait et c'était véridique. Il la porta dans ses bras comme dans les séries américaines. Si maintenant il n'était qu'un pantin que le destin s'amusait avec lui, en ce moment même, il était maître de lui même pour prendre sa vie en main, la femme qui l'aime et devenir enfin acteur de son propre corps.

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