FELIOS ♡ rencontre avec la famille royale (italie)

L'Italie, tu ne sais pas pourquoi mais tu n'avais pas vraiment ete prete pour faire face a la famille d'Elios. Seulement tu savais tres bien qu'il etait temps d'y aller, qu'Elios allait devoir faire face a ses parents et que tu n'etais clairement pas la bienvenue. Un diner avait ete organisé pour le retour du prince et tu l'avais accompagné. Seulement, t'avais beau avoir eu une bonne education et tu connaissais plus ou moins l'etiquette, mais t'avais ete submergé par tout, et plusieurs fois, t'avais du demander l'aide d'Elios pour savoir ce que tu devais faire. Ca t'avait clairement valu beaucoup de remarques desagreables de la part des parents d'Elios. Tu n'avais rien dis, tu baissais a chaque fois le regard, honteuse. Ils avaient raisons de toute facon. Tu ne venais pas de la meme classe et t'avais clairement rien avoir dans leur monde. Tu t'etais poliment excusée apres le diner, pretextant etre encore fatiguée par le long voyage. En verite, t'avais juste en partir de cette piece. Tu avais rejoinds votre chambre a toi et Elios. Les jumeaux dormaient paisiblement dans leur lit, surement encore plus fatigués par le voyage que toi. Seulement, t'avais claque la porte sous la colere et les avaient reveillé. Merde, c'etait vraiment pas le moment, ou peut-etre qu'ils arriveraient a te calmer avec leurs petits sourires et bouilles en or. T'esperais qu'au moins les parents d'Elios allaient les accepter eux. Tu les pris alors dans tes bras et vint les poser sur le lit, les rejoignant. Ils te regardaient avec des gros yeux, mais s'amusaient quand meme avec ta main. Ca te remontait un peu le moral de les voir si joyeux. Soudain la porte s'ouvrit. Tu te tournais pour voir Elios entrer. "Excuses moi Feldt…" Tu ne dis rien, retournant ton attention sur les enfants. Il se posa alors pres de la fenetre, l'air pensif. Finalement apres quelqu'un temps, tu decidais de rompre le silence. "C'est pas de ta faute. J'savais deja que j'etais pas faite pour ton monde…" Mais ca ne t'avait pas empeche de tomber eprudement amoureux de lui et que maintenant, vivre sans lui, ca serait impossible.

Ca n'avait pas été du tout une partie de plaisir. Pas du tout. En fait personne pensais à moi, je me prenais tout en pleine gueule. Mes parents, en passant même par la femme que j'aimais. La totale. Et pourtant je ne leur en voulais pas car je savais qu'il serait dur de tous les concilier ensemble. Il faudrait du temps, mais le temps qu'il faudra. Durant le dîner, très grand dîner ouvert pour mon retour, je m'attendais déjà aux multiples pièges posés par la cour, tout cela pour Feldt. Tout cela pour une roturière dont on voulait tester les limites. Ca me désolait et m'avait fatigué. C'est pourquoi, j'étais monté peu après Feldt dans la chambre, après avoir dit au revoir aux invités et renvoyé un homme bourré en taxi. Elle était près des jumeaux qui commençaient à être agités. Mes mains vinrent s'accouder à la fenêtre tandis que je m'excusais auprès de Feldt. Mais celle-ci semblait ne pas vouloir parler, du moins pas maintenant. Elle finit par rompre le silence. "C'est pas de ta faute. J'savais deja que j'etais pas faite pour ton monde…" Je soupirais en venant près d'elle. "S'il te plait arrêtes de dire ça mon amour.. C'est pas vrai. C'est juste qu'ils doivent savoir faire des efforts. Ca viendra je te le promets." J'essayais de la rassurer mais de me rassurer moi aussi.. Après tout, j'étais même pas sûr du temps que ça prendrait. "En tout cas je m'excuse de leur part. Ils ont été répugnant ce soir.." Je venais l'embrasser sur la joue, suivi de mes deux petits anges.

T'avais vraiment cru qu'ils allaient t'accepter les bras ouverts? Qu'ils feront un effort pour Elios? Non, tu etais bien tombée en pleine face la. Tu n'en revenais pas que des parents pouvaient avoir aussi si peu de respect pour autrui et n'avaient aucune gene a les rabaisser. SI il y avait bien une raison pourquoi tu detestais les eliots, c'etait pour cela. Certes, Elios t'avait montre qu'il existait d'autres genre d'eliots mais au fond, c'etait tout la meme chose non? Tu ne voulais pas y penser. Elios t'avait montre et ouvert les yeux sur un tout autre type d'eliot et tu preferais penser a eux. Tu ne voulais plus penser a cette soiree, mais c'etait dure. Cette humiliation, cette honte, ca faisait mal. Tu etais une personne fiere, tres fiere, mais pour la premiere fois, tu te sentais vraiment comme une moins que rien et meme Elios n'arriverait pas a faire cet avis. Tu regardais les jumeaux, les laissant jouer avec tes doigts. "S'il te plait arrêtes de dire ça mon amour.. C'est pas vrai. C'est juste qu'ils doivent savoir faire des efforts. Ca viendra je te le promets." Il vient alors s'asseoir a cote de toi sur le lit. Tu le regardais ne disant rien. "En tout cas je m'excuse de leur part. Ils ont été répugnant ce soir.." Il vient alors t'embrasser sur la joue puis les jumeaux. Tu restais toujours silencieuse. Tu etais en colere, contre toi-meme, contre eux, contre le monde entier pour le coup. "Elios c'est vrai. Tes parents ne m'ont fait qu'ouvrir les yeux. J'suis une roturiere, une orpheline qui ne sait absolument rien de votre mode de vie et j'appartiendrai jamais a ton monde. J'y ai pas ma place. Qui aurait envie d'une ex-stripteaseuse en tant que reine? Qui aurait envie d'une reine sans parents? Personne, arrete de te voiler la face. On a joué avec le feu et on vient de se bruler violemment" Dire tout ca, ca faisait mal. Tu pouvais sentir les larmes couler le long de tes joues alors que tu essayais de ne pas faire parraitre ta tristesse.

Évidement que je culpabilisais terriblement. Mes parents étaient odieux avec Feldt et cette dernière me montrait maintenant sa désinvolture qui était toute fois excusable aujourd'hui. Serrant les dents mais toujours avec douceur je tentais de la calmer. ere, contre toi-meme, contre eux, contre le monde entier pour le coup. "Elios c'est vrai. Tes parents ne m'ont fait qu'ouvrir les yeux. J'suis une roturiere, une orpheline qui ne sait absolument rien de votre mode de vie et j'appartiendrai jamais a ton monde. J'y ai pas ma place. Qui aurait envie d'une ex-stripteaseuse en tant que reine? Qui aurait envie d'une reine sans parents? Personne, arrete de te voiler la face. On a joué avec le feu et on vient de se bruler violemment" Je fronçais les sourcils à chaque paroles qu'elle avait prononcé. Certes elle n'avait pas tord, nous nous étions même rencontrés dans des circonstances peu saines et pas trop catholiques, mais outre ce fait, ce n'est pas parce qu'elle fut strip teaseuse qu'il fallait la juger ainsi. Ca me mettait hors de moi, autant mes parents, autant elle ! "Feldt y en a assez maintenant ! Arretes de te rabaisser ! Et ne pleures pas tu as compris ? Y a pas de monde spécifique arrêtes de dire tous le temps ça. Si tu le veux tu le peux ! Ca m'énerve tellement que tu dises ça.." Je baissais les yeux vers les jumeaux qui commençaient déjà se rendormir. Je ne pensais qu'à une chose moi, le bonheur de toute ma famille et j'avais l'impression de n'être qu'un con dans l'histoire.

Essayer de garder ton calme alors que t'etais hors de toi, que tu te sentais tellement ridicule, c'etait quasiment impossible. Tu voulais pas montrer a Elios que toute cette histoire t'avais affecté. Seulement, c'etait impossible. Devant lui, tu baissais ta garde, ta carapace disparaissait pour laisser place a cette jeune fille fragile. "Feldt y en a assez maintenant ! Arretes de te rabaisser ! Et ne pleures pas tu as compris ? Y a pas de monde spécifique arrêtes de dire tous le temps ça. Si tu le veux tu le peux ! Ca m'énerve tellement que tu dises ça.." Le pire dans cette histoire, c'est que tu avais vraiment envie d'etre a cote de lui, de l'avoir dans ta vie a jamais, de devenir vieille avec lui, d'apprendre son pays, sa vie. T'en avais tellement envie, mais ce soir, t'avais vu la triste verite. Tu te relevais, pour etre a hauteur avec Elios, les yeux humides. "Je me rabaisses pas, c'est juste la verite. Tes parents l'ont que trop bien fait comprendre. Tout ca, les galas, les jolies robes, c'est pas moi Elios. C'est juste pas moi…" Tu laissais les larmes couler, commencant a essayer d'ouvrir ta robe. Seulement, tu essayais avec force et ca marchait pas ce qui t'enervait encore plus. "Pourquoi ca marche pas? Pourquoi ca veut pas…?" Finis-tu par dire en pleurs avec la voix tremblante. T'avais mal, tellement mal. Cette soiree, ca avait ete un desastre et une chose etait sure que t'allais vraiment pas reussir a oublier ca d'aussi vite.

"Je me rabaisses pas, c'est juste la verite. Tes parents l'ont que trop bien fait comprendre. Tout ca, les galas, les jolies robes, c'est pas moi Elios. C'est juste pas moi…" Elle commençait à n'aller pas bien, je n'aimais pas ça car ça me faisait du mal également. Je fixais les jumeaux, pensif. " C'est à toi de choisir.. C'est ton choix. Jamais je te forcerais à rester avec moi si tu ne veux pas de cette vie là. Mais.. c'est peut être égoïste mais je ne peux pas renoncer à tout ça moi car.. c'est dans mon sang depuis des millénaires, tu comprends ?" Elle était vêtue d'une très belle robe, spécialement choisie pour l'évènement et elle commençait à trembler face à tous ces sentiments qui se mélangeaient. . "Pourquoi ca marche pas? Pourquoi ca veut pas…?" Sa voix dérapa en fin de phrase, elle tremblait, les yeux pleins de larmes. Je me levais du lit et me plaçais derrière elle. Puis doucement je caressais ses épaules, dégageais ses cheveux, et descendais sa fermeture de robe. Je déposais un baiser sur son épaule droite. "Ne pleures pas.. Ne stresses pas. Je t'aime. Les autres choses importent peu."

T'en avais marre, juste marre. Pourquoi les parents d'Elios avaient eu besoin d'etre aussi odieux avec toi? T'avais rien fait de mal, t'avais ete des plus polies et t'avais meme essayé de parler un peu italien, le peu que tu connaissais. Personne ne pouvait pas dire que t'avais pas fait d'effort avec ta magnifique robe de chez Valentino. Une luxure que t'etais offerte pour l'occassion malgre le prix exorbitant. T'avais tout fait pour faire bonne figure, pour montrer que ton passe houleux et tes erreurs, tu etais une personne respectable. Mais cela n'avait servit a rien. Tu aurais aimé qu'Elios soit juste une personne normale, juste un simple fils de riche et pas le future roi d'Italie. " C'est à toi de choisir.. C'est ton choix. Jamais je te forcerais à rester avec moi si tu ne veux pas de cette vie là. Mais.. c'est peut être égoïste mais je ne peux pas renoncer à tout ça moi car.. c'est dans mon sang depuis des millénaires, tu comprends ?" Et il te le faisait que trop bien comprendre. Il ne pouvait pas te forcer, mais toi non plus tu ne pouvais pas le forcer. Tu te levais simplement essayant en vain de defaire cette robe. Elios se levait alors, venant se placer derriere toi. Tu continuais de tirer avec force sur la tirette, mais elle etait toujours coincé. Soudain, tu sentais les main d'Elios sur tes epaules. Ton coeur rattait un battement. Tu ne savais pas ce qui venait de se passer, puis sa main vient rencontrer la tienne. Tu deglutis le laissant faire, reussissant a descendre la tirette. Tu fermais les yeux alors que tu sentais ses levres sur ta peau nue. Il avait cet effet sur toi. "Ne pleures pas.. Ne stresses pas. Je t'aime. Les autres choses importent peu." Un peu sous le choc, tu laissais ta robe tombée a tes pieds, laissant ton corps nue a decouvert. Les jumeaux ne faisaient pas un bruit. Ils s'etaient endormis sur le lit, mais bon c'etait peut-etre pas une bonne idée, qu'ils y restent. Tu te mordis la levre, mais ne dis rien. T'avais encore des frissons qui parcourait ton corps apres ce contact avec le prince italien.

Nous tournions en rond de toute façon. Qu'est-ce que je pouvais faire de plus ? Mes parents ne l'acceptaient pas, Feldt subissait. C'était ici ma vraie maison, mais je me sentais tellement mal à l'aise maintenant. Je la voyais se lever et essayer vainement d'enlever sa robe. Doucement je venais derrière elle, déposant mes mains sur ses épaules puis descendre sa braguette de robe vers le bas. Celle ci tomba entièrement à terre, longeant son corps de tous son long. Je déposais un baiser sur son épaule nue et lui chuchotais une phrase rassurante. Elle était en sous vêtements face à moi dorénavant et j'appréciais énormément de voir ses courbes. Je la regardais de haut en bas et la retournais face à moi pour venir l'embrasser passionnément, déposant mes mains sur sa taille pour la coller à mon corps également. Je l'embrassais avec tellement de passion, lui transmettant tout l'amour que j'avais pour elle. "Tu es si belle.." susurrais-je entre deux baisers.

Oublier, c'etait une chose que tu essayais de faire depuis presque toujours. Tu essayais d'oublier la peine de tes parents. Tu essayais d'oublier la mort de tes parents, le feu, Wyatt, l'orphelinat, et maintenant tu te devais d'oublier cette soirée avec les parents d'Elios. Tu avais essayé de garder ta concentration sur les jumeaux qui etaient vraiment tout pour toi. Seulement, une fois qu'Elios etait rentrée dans la chambre, t'avais a nouveau perdu le controle et t'avais flanché. Tu voulais te montrer forte face a lui, mais au fond, devant lui, c'etait presque impossible. Tu restais la devant lui, simplement vetue de ta culotte avec les jumeaux juste a cote. Ouais pas la situation ideale. Elios te retournais alors pour que tu lui fasses face. Tu le regardais dans les yeux avant qu'il ne prenne possession de tes levres. Tu perdais controle. Ses mains sur ta taille, tu pouvais sentir ta peau bruler sous son contact. "Tu es si belle.." Tu souris en l'entendant. Tout en continuant de l'embrasser. Tu le tirais pour atteindre la porte qui se trouvait a cote du lit, porte qui venait vers ta chambre. Ouais tu comprenais pas vraiment le but, mais c'etait tres utile dans ce genre de moment. Tu refermais la porte silencieusement, te tournant vers Elios. "Fais moi oublier." Lui chuchotais-tu a l'oreille. T'avais besoin de son contact, de lui, et meme si ce mode de vie ne t'allait pas, Elios avait ce pouvoir, cette entreinte sur toi que tu ne pouvais pas lacher de si vite.