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▲ Une rencontre imprévue. Feat Dixie.

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Si vous pouviez le dire avec des mots, il n'y aurait aucune raison de le peindre.

C'était un matin comme tant d'autre, du moins à première vue. Charlie n'avait pas cours et avait dans l'optique de se promener en ville afin d'acheter une ou deux cartouches de cigarette puisque sa réserve n'était presque plus existante. Malheureusement pour lui, avant de passer au magasin, il devait impérativement passer par la case de l'université dans le but de récupérer quelques affaires dans son casier. De simple affaire qui devait tout de même l'aider dans son projet en Histoire, la matière qu'il affectionnait particulièrement. Se levant de son lit avec une amertume, celle de ne pas pouvoir y rester, Charlie se rendit dans sa salle de bain pour y prendre une douche. Après de longue minutes sous cet eau chaude et chaleureuse, il en sortit avec le même engouement que celui de son lit. N'étant pas très réveillé, il faisait tout avec calme et lenteur, même quand il se rendit compte que son chaton « Snoopy » avait renversé une fois encore sa litière. Soupirant, il regarda l'animal marcher fièrement dans l'appartement, sans se soucier de son opinion sur la question. Puis, il finit par se changer, toujours avec élégance en prenant un pantalon bleu marine, ainsi qu'un polo rayé de la même couleur que le bas, mais avec des bandes aussi, grises. De belles chaussures dans les pieds, un brin de toilette et le jeune homme était enfin prêt à sortir en pensant au retour nettoyer ce qu'avait bien pu faire son nouveau animal de compagnie. Acheté en animalerie depuis seulement deux semaines, Charlie se sentait bien seul dans son appartement et c'était pour cette raison qu'il l'avait acheté. Se retrouvant dehors, le jeune Français n'avait qu'a faire quelques pas pour rejoindre l'université en question, il n'avait pas encore tout à fait intégré son clan des Winthrop, et donc ne vivait pas encore la-bas. Une fois dans la bâtiment, il se rendit à son casier, réservé aux étudiants en quatrième années pour prendre quelques livres qu'il garda dans ses mains. S'il avait su, il aurait sans doute prit son sac, mais bon, pensant ne pas y rester, il haussa les épaules en refermant la petite porte en métal. Se retournant vers là, où il était venue, le jeune Wilcox entreprenait le même chemin jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'il avait certainement loupé un virage. N'étant là que depuis quatre mois, Charlie arrivait encore à se perdre et de plus à montrer son côté maladroit. Fronçant les sourcils, il entreprit plusieurs chemins s'en arriver à trouver le bon. C'était tout bonnement stupide de ce perdre alors qu'il était sensé connaître les lieux par cœur et il en était conscient. C'est alors qu'il entendit une voix clair et totalement subjuguante venant d'une des portes en face de lui. Il devait sans aucun doute se trouver dans la partie des clubs, ce qui voulait dire qu'il était complètement à l'opposé de la sortie. Passant devant les portes qui laissait apparaître l'intérieur des salles avec un petit hublot, il tomba sur la jeune femme qui chantait de sa voix cristalline et triste. Charlie en était presque impressionné, puis il finit par passer son chemin en empruntant un couloir étroit qui menait dehors. Pour son plus grand plaisir, il venait d'arriver à sortir, mais où, ça c'était une bonne question. Tout ce qu'il voyait c'était un large espace de verre dur avec quelques arbres, pour un coin tranquille, s'en était un. Tournant sa tête sur le côté, il écarquilla les yeux en voyant une belle brune assise devant un tableau, pinceau en main. S'il ne se trompait pas, c'était bel et bien la jeune femme rencontré dans une boîte pour strip teaseuses. Alors qu'il avançait sans s'en rendre compte vers elle, son pied buta dans un pot de fleur qui se brisa sur le bout de sol en pierre. « Merde.. »

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Dixie & Charlie.


Doux matin d’hiver, il ne faisait pas assez froid pour que ça décourage Dixie de sortir aujourd’hui. Avec sa canne qu’elle maîtrisait quand même plutôt bien maintenant, quoiqu’éprouvant quelques difficultés encore, on aurait presque pu dire qu’elle affrontait la vie comme elle venait. Et c’était vrai. Aujourd’hui encore, justement, l’envie de dessiner était bien présente dans la tête de Dixie et c’est assez tôt qu’elle se réveilla pour prendre son petit-déjeuner, se douche, flâner un peu en écoutant la télévision – sans pouvoir regarder, quoi -, et faire quelques autres trucs utiles ou inutiles, ça n’avait pas tant d’importances. Depuis qu’elle était aveugle, Dixie avait appris le sens du mot «ordre et ménage» et tenait sa chambre propre et en ordre comme personne d’autre. C’était plus simple de retrouver ses trucs ainsi, surtout quand on ne pouvait voir de nos propres yeux où ils étaient situés. Elle trouva donc facilement sa tablette à croquis, déjà remplie de dessins et œuvres d’art de toutes sortes et se sortit de sa chambre pour aller en direction de la Salle d’Arts Plastiques. L’un de ses endroits favoris. Le seul où elle pouvait réellement réfléchir tout en faisant ce qu’elle aimait plus que tout. Personne ne serait là aujourd’hui, excepté peut-être le professeur, ou quelques élèves souhaitant s’avancer dans un quelconque projet ou laisser libre cours à leur imagination comme le ferait la jolie Mather. Une fois sur place, après une quinzaine de minutes de marche – elle marchait lentement, profitant de la bonne température extérieure -, elle arriva à destination et entra dans la classe. Heureusement, elle avait déjà une idée en tête de ce qu’elle voulait déposer sur sa toile, au pinceau aujourd’hui. Dixie s’installa alors à sa table de travail, près d’un pot de fleur qui lui servait aussi de porte-crayons. Bah quoi? Fallait bien trouver une utilité à certaines choses aussi… Une dizaine de crayons de toutes sortes déposés à l’intérieur, allant de la teinte de la mine la plus pâle à la teinte la plus foncée, ainsi que des pinceaux, sa toile devant elle, sa tablette de croquis sur la table juste à côté, et la peinture juste devant elle. Pour reconnaître les couleurs, elle avait les propres siennes, et les avait identifiées d’un autocollant bombé différent. Ainsi, elle pouvait les reconnaître grâce à la forme de l’autocollant. C’est après cette quinzaine de minutes de bonne préparation qu’elle commença à mettre son imagination en marche et qu’elle peinture. Doucement, mais sûrement. Elle voulait que ce soit réussit. Il pouvait paraître impossible de dessiner ou de peindre en étant aveugle, mais à ce qu’on lui disait, elle dessinait encore mieux qu’avant, sans vraiment savoir comment elle y parvenait. Soudainement, après quelques heures de travail, elle entendit des bruits de pas dans la salle d’arts. Probablement un autre élève qui avait envie de s’adonner à sa passion. Mais ensuite vint un sourd craquement qui venait du sol. Elle reconnut le son d’une tasse ou d’un pot qu’on casse, tout près d’elle. La déduction fut simple. « Mmh.. Qui est l’inconnu qui a osé briser le pot d’fleur que j’ai fait moi-même? N’aie pas peur, j’te mangerai pas. » dit-elle en souriant, en reprenant son œuvre au pinceau. Elle était plutôt avancée, sans trop non plus : cela faisait bien deux ou trois heures environ qu’elle travaillait sur sa toile ; elle ne comptait plus vraiment le temps lorsqu’elle s’adonnait à sa passion la plus grande.
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Si vous pouviez le dire avec des mots, il n'y aurait aucune raison de le peindre.

Charlie, ne comprenait pas dans un premier temps sa question, il est vrai que normalement, elle avait juste à tourner sa tête pour l'apercevoir, comme une personne normal. Mais en se rappelant ce soir-là, la jeune femme avait eu un handicape, et c'était bien celui de la vue. Elle ne lui avait pas particulièrement expliqué, mais Charlie n'était pas dupe. Voir quelqu'un avec une canne en la postant devant soit afin de se rendre compte des objets qui s'en doute l'entourait, ce ne pouvait pas être quelqu'un d'autre qu'un aveugle. D'ailleurs, à ce moment-là, plusieurs questions subsistait dans son esprit, mais par politesse il se taisait. Revenant peu à peu à ses esprits, ses yeux se posèrent sur l'objet brisé en mille morceau où certains morceaux semblait colorés. Charlie se sentait alors immédiatement mal à l'aise. Lui qui pensait que c'était une simple bricole qui ne servait à rien, ou du moins juste de décoration, il se rendait compte qu'il s'était bel et bien trompé. Se raclant la gorge, il esquissa un fin sourire gêné face à la belle brune qui, malgré son geste, lui offrait elle aussi un jolie visage. « C'est moi.. Je suis désolé, je l'avais pas vu et .. » Il se tut un moment en regardant ses magnifique yeux vert qu'il regrettait qu'il ne puisse pas voir. Il se contenta de s'accroupir et de ramasser les quelques débris pour les poser sur une table voisine sans se couper. Mais connaissant la maladresse du beau brun, un morceau d'argile lui atterrit dans le doigt, mais il ne fit aucun bruit afin de l'inquiéter. En général, il s'en serait foutue de ce pot, mais elle était aveugle, et cela le gênait véritablement de la laisser avec ce genre de chose à ramasser. Une fois qu'il avait tout ramasser, il laissa le bout de son doigt légèrement blessé atterrir dans sa bouche. Quoi de plus cicatrisant que la salive ? Heureusement qu'elle ne le voyait pas ça, sinon, ça aurait été mythique. Relevant ses yeux vers elle, il tandis son autre main vers elle, en attrapant sa main afin qu'elle sache où il se trouvait. C'était tellement pas lui, de ne pas savoir se comporter devant une aussi belle femme ou bien de montrer une certaine timidité. Mais son handicape, lui créait déjà une forme de barrière. Bien que ce soit stupide en sois. « Salut. Je ne sais pas si tu me reconnais. Je suis l'homme qui ta aidé l'autre soir.. Et pour ton pot, je pourrai t'en racheter un autre, si tu le souhaites.» Avait-il dit, en pestant quelques secondes après sur sa blessure qui l'avait tout de même entaillé le doigt, bien évidemment, pas profondément. Charlie ne savait pas s'il avait fait bien en se présentant, mais il lui serra la main doucement, pour la retirer, toujours avec douceur. Peut être qu'il en faisait trop, c'est d'ailleurs une des questions qu'il se posait, mais il ne savait tout bonnement pas quoi penser. Elle était magnifique. Sans handicape, il aurait sans aucun problème essayé de la dragué depuis longtemps mais là, il était comme bloqué face à elle.

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« C'est moi.. Je suis désolé, je l'avais pas vu et .. » Dixie avait de nouveau arrêté ce qu’elle était en train de faire. Elle déposa avec précaution son pinceau sur le bureau qui se trouvait à côté d’elle, à sa gauche, alors que le jeune homme semblait être à sa droite. Elle ne pouvait s’empêcher de sourire, surtout en l’écoutant attentivement, presqu’avec un peu trop de malice, chercher ses mots pour tenter de s’excuser. « Hey, arrête. C’est pas bien grave. » C’est en réfléchissant quelques instants à cette voix qu’elle semblait connaître, un peu du moins, qu’elle comprit qu’elle avait déjà rencontré ce jeune homme auparavant. Et pas n’importe où. Dans une soirée où elle avait dansé pour une audience bondée de garçons. Ce n’était pas quelque chose de nouveau pour elle, mais normalement, elle ne se retrouvait pas face à face avec un «client», si elle pouvait surnommer les gens qui venaient apprécier le spectacle de son corps en train de se dénuder comme ça. Malgré qu’elle soit habituée aux regards qui se posaient sur elle lorsqu’elle était stripteaseuse autrefois, elle ne put s’empêcher de rougir quelque peu. Pour contrer cette gêne, elle se leva doucement de sa table de travail, et attrapa sa canne au passage. Elle garda le silence et fit une quinzaine de pas, pour atteindre une étagère. Elle se leva sur la pointe des pieds en agrippant un pot au passage, et revint vers le jeune homme. Charlie, si elle se souvenait bien de son prénom. Oui, c’était Charlie qu’il s’appelait. Elle le tendit vers lui, comme pour le lui montrer. « Tu vois, y’a des dizaines de pots comme celui-là. C’est pas un drame. » Elle le déposa juste à côté de son pinceau, puis s’approcha du jeune homme en fronçant les sourcils. Elle sentit une main masculine frôler ses côtes, et elle l’attrapa doucement au passage pour déterminer son emplacement. Elle retint sa respiration pour écouter quelques instants, après qu’il se soit présenté. « Je sais qui tu es. Merci encore, pour ça, d’ailleurs. Je penserais pas te revoir ici… Passe-moi ta main. Non pas celle-là, l’autre. Celle où tu t’es blessé. » Y’avait qu’elle, et Thaïs, son amie aveugle, qui arrivait à ça. Un détail inutile pour quelqu’un qui avait tous ses sens, mais pour quelqu’un qui n’avait plus ses yeux, la respiration saccadée par le fait qu’il avait mis son doigt dans sa bouche indiquait qu’il s’était blessé. Du moins, c’était la seule explication plausible. Dixie ne croyait pas qu’il suce son pouce encore à l’université. Elle attrapa alors sa main et sourit. « Comment tu t’es fait ça? Pas besoin de me racheter quoique ce soit, ça va aller. T’as besoin d’un pansement? » La jolie Mather ne s’empêcha pas de relever ses yeux clairs vers lui. Dans l’espoir de voir quelque chose, des traits, des yeux, une bouche, des pommettes, peu importe… Mais elle n’y arrivait pas. Elle resta dans cette position quelques instants, puis soupira très faiblement, mélangeant mélancolie, tristesse et désespoir. « Quelque chose en particulier t’amenait ici, au fait? » demanda-t-elle sans lâcher sa main meurtrie.
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Charlie était impressionné. Il ne pensait pas que les mal voyants pouvaient aussi bien se débrouiller. Il la regardait donc se lever en voyant les autres pots. C'est à cet instant, qu'il se trouva ridicule. Mais complètement ridicule. Il l'a prenait presque comme une personne qui ne pouvait rien faire alors qu'il était clair, que même sans sa vue, elle se débrouillait divinement bien. Soupirant quelques peu, il essayait de capter ses yeux vert mousse pour par la suite dire quelques mots. « Ah ouais.. J'avais pas vu.. » Alors que la jeune femme avait prit sa main, il sentit la chaleur de la sienne ainsi que sa douceur. A ses paroles, il s'exécuta sans vraiment rechigner. A vrai dire, cela le dépassait. Comment pouvait elle savoir ? Et surtout comment faisait-elle tout simplement. Charlie, lui, sans ses yeux, il ne savait pas du tout, comment il y arriverait. Pour lui c'est un sens très important. Les yeux sont les fenêtres de l'âme, non ? Si ce sens nous abandonne, comment faire pour décrire les gens ou bien les paysages qui nous entours ? D'ailleurs, bien que les questions se bousculaient dans sa tête, il n'osait pas lui les poser jusqu'à ce qu'il s'y mette. Parlant avec douceur. « Dixie, c'est ça.. ? Je retiens mal les prénoms en général, c'est pourquoi je suis si hésitant. Comment.. s'est arrivé ? » Disait-il en se servant de sa main libre pour la poser près de ses yeux en plongeant son regard dans le sien. Elle ne pouvait voir les siens, mais lui le pouvait et pour le moment, c'est ce qui l'importait. Réfléchissant après quelques secondes à ses dires, Charlie hésitait une nouvelle fois, peut être avait-il été trop curieux. « Enfin, si tu ne veux pas, je comprendrai. » Comment, cela se faisait-il ? Il était tellement hésitant, alors qu'en général, il était très sur de lui. Il lui arrivait de draguer toutes types de femme mais la, il ne pouvait pas. C'était presque désagréable. Si seulement elle pouvait voir. Le voir. Remarquant son sourire sur son visage, Charlie ne put s'empêcher de faire de même en la détaillant avec lenteur. « Comment ta su pour mon doigt ? T'es devin ? Et je me le suis fais.. tout à l'heure avant de venir, ne t'inquiète pas pour ça. C'est pas glamour mais la salive est parait-il le meilleur moyen de cicatrisation. » Disait-il en ne plaisantant qu'à moitié. « Tu peins ? Je peux voir ? » Demanda-t-il, avant qu'elle ne le regarde fixement pour finalement soupirer et enlever son si jolie sourire. Il n'osait pas lui demander ce qu'il n'allait pas, parce que visiblement, il en avait une petite idée. « Pas vraiment, disons que.. » Doutant à lui dire qu'il s'était perdu Charlie finit par sourire en inventant une excuse bidon. Il n'avait pas pour habitude, d'aimer, se rendre ridicule. Surtout devant une aussi jolie femme. « Je cherche un club dans lequel je pourrai m'inscrire. Et j'ai eu un coup de cœur pour celui-ci. Mais vu ce que vous faites, j'ai pas.. vraiment ma place. » Disait-il en laissant vagabonder ses yeux partout dans la pièce. Charlie était plus quelqu'un de sportif, bien qu'il soit très créatif, mais la peinture, n'était définitivement pas pour lui.  


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« Pourtant, t’as encore tes yeux pour voir, toi. », dit la jolie Mather dans un semblant de soupir triste. C’est pas parce qu’elle se débrouillait maintenant plutôt bien que l’usage de ses yeux ne lui manquait pas. Ça la rendait triste de se rappeler la nuit de son accident, et plus encore de se souvenir les quelques jours suivants, où on lui annonçait qu’elle était devenue aveugle. Un faible rire lui échappa des lèvres alors que la jeune femme avait prit la main du jeune homme dans la sienne pour finalement se rendre compte qu’il était légèrement blessé au doigt. Le jeune homme semblait hésitant, mal à l’aise, comme si sa seule envie actuelle avait été de fuir. Elle devrait s’y habituer à ce malaise qu’elle-même créait de par sa nouvelle condition. Elle ne devait en rien le prendre mal. Encore moins lorsqu’on lui posait la question que ce jeune homme s’appelant Charlie venait de lui poser : comment c’était arrivé? Question de curiosité tout à fait normale, pourtant. « Oui c’est ça. Tu te souviens bien, t’es pas si mal! Oh… euhm…» Elle sourit légèrement en sentant des doigts se poser délicatement, avec un léger tremblement qu’elle ressentait, près de ses yeux. Elle secoua la tête. « J’me trouvais dans un restaurant, peu de temps avant la reprise des cours ici. Je m’occupais de la fermeture pour le propriétaire, un bon ami à moi. Il devait aller voir son…son dealer. Bref, j’suis restée là, gentiment, pour l’aider, et en attendant mon taxi, j’ai vu que la cuisine avait pris en feu. J’serais bien sortie, mais je ne sais qui m’avait enfermée là en barrant l’accès à la porte… J’pouvais pas l’ouvrir. Et puis j’me suis sauvée vers les toilettes, mais le feu s’y était propagée et y’a eu une explosion, tout près, même trop près de moi… Voilà comment j’me suis fait ça. » L’émotion lui montait à la gorge, elle se recula légèrement en lâchant sa main. S’éloigner un peu, quoi. Elle se sentait observée, alors elle regarda ailleurs, vers sa toile, quelques instants, puis reporta son regard en direction du jeune homme. Elle rigola un peu finalement à sa question. « Peut-être, qui sait? Non en fait, c’est juste que j’ai perdu un sens important, alors je dois en développer d’autres. L’ouïe, le toucher, l’odorat, et même d’autres sens fins que personne n’a réellement. D’ailleurs, mes nouveaux sens me disent de ne pas te croire. Mais bon, si tu préfères, je ne te ferai pas passer d’interrogatoire. On est pas au commissariat. » dit-elle, en suivant ses paroles d’un clin d’œil. À sa question, elle hocha la tête, étonnée, et s’approcha de sa toile presque terminée en lui indiquant de s’approcher. « J’dessine depuis que je suis toute petite. J’ai toujours traîné ma tablette à dessins un peu partout. L’art, ça libère. Ça me permet d’oublier ce qui va mal dans ma vie, de mettre sur papier ce qui me rend joyeuse, de partager autrement… Tu aimes? » Elle passa doucement l’un de ses doigts sur le rebord de la toile. Depuis que son frère était mort, c’est là qu’elle s’était décidée à tout confier grâce à l’art… Puis Dixie demanda au jeune homme la raison pourquoi il avait abouti ici, dans la salle d’arts plastiques. Elle haussa un sourcil à son explication un peu tirée par les cheveux : enfin, pas vraiment, mais le fait qu’il était hésitant la faisait hésiter elle-même. Elle se décida à «jouer le jeu». « Pourtant, si tu as eu un coup de cœur, c’est que tu es fait pour rester ici. Attends-moi ici quelques minutes. Je reviens. » Elle lui accorda un sourire, puis disparut quelques minutes pour réapparaître peu après, avec une toilette vierge dans la main. Et un pansement dans l’autre. Elle déposa la toile sur sa table de travail en enlevant celle sur laquelle elle avait travaillé aujourd’hui, et prit un pinceau en invitant Charlie. « Peint-moi quelque chose. Et met ça sur ton doigt. » dit la Mather, un magnifique sourire aux lèvres, et le regard brillant.

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Elle n'avait pas tord sur ce point-là. Il pouvait voir, lui. Mais c'était assez étrange. En général, c'était seulement quand on perdait le sens en question, qu'on se rendait vraiment compte de son importance. Charlie plaignait la jeune femme. Non, ce n'était pas de la pitié, simplement une sensation étrange qui le poussait à s'attacher à celle-ci. Elle avait l'air si faible et sans défense ce jour-là, qu'il ressentait ce besoin de la protéger, de la prendre sous son aile, tout en s'interdisant de la voir autrement. S'il l'a voyait ne serais-ce que quelques minutes autrement, Charlie ne se sentait pas à l'aise. Elle était aveugle et c'était sûrement une chose qui l’arrêtait dans son élan. Bien qu'elle soit magnifique et que ce ne soit pas de sa faute. Le jeune Wilcox était un séducteur, il ressentait ce besoin qu'on le désir et surtout qu'on le voie. Cela pouvait être difficile à comprendre, mais s'il pouvait la voir, elle le devait elle aussi. C'était la première fois qu'il se confrontait à ce genre de sentiment, si contradictoire. Outre que la vue, il ne lui restait plus que le toucher, pour lui montrer ce qu'il était réellement. Le fait qu'elle soit aveugle, le poussait aussi, à montrer une autre facette de lui-même, celle enfouie sous cette carapace si dur et rigide qu'il s'était construit au fil des années. Charlie devait se dévoiler, puisque son apparence ne pouvait marcher sur elle.  « Je suis désolé pour toi.. J'aurai pas du t'en parler, ça du être éprouvant pour toi. J'suis con. » Il s'en voulait. Comment avait-il pu lui demander de raconter la période la plus affreuse de toute sa vie. Le jeune Wilcox avait sentit l'émotion de la jeune femme qui aurait pu se prévoir avec un peu de bon sens. Il était tellement maladroit face à elle qu'il ne pu s'empêcher de s'approcher d'elle pour la prendre dans ses bras. La serrant tout contre lui, il sentait sa peau chaude et douce, son souffle et enfin le soyeux de ses longs cheveux bruns qui venait lui chatouiller le visage. Charlie embrassa furtivement le creux de son cou en s'excusant une fois de plus dans un murmure. Il s'en voulait tellement, qu'il mordillait sa lèvre inférieur avec nervosité. Frottant avec douceur son dos, il finit par se reculer en la regardant d'une manière différente, plus affectueux. A cet instant, il se demandait qui avait bien pu fermer la porte afin qu'elle ne sorte pas. Rendre quelqu'un aveugle, c'était en générale, pas le hobbie de tout le monde. A sa réponse suivante, Charlie fronça les sourcils. Comment pouvait elle savoir qu'il mentait ? Etait-il si lisible que cela ? Se raclant la gorge, il haussa les épaules en essayant de passer outre ce passage. « Que personne n'a réellement ? Je peux t'affirmer que tes sens sont brouillés. Ça doit être ma présence. » Plaisanta-t-il en posant de nouveau son regard dans le lien. Dixie, ne le regardait pas de la même manière, mais ça lui allait pour le moment. A sa demande, Charlie s'approcha d'elle pour se retrouver devant son tableau. Scrutant les moindres détailles, il trouvai cela très bien réalisé, et encore plus par quelqu'un qui ne pouvait voir. « Il faut vraiment que tu me donne des cours. C'est vraiment splendide. Tu es vraiment impressionnante. » Ce devait être un don chez elle, depuis son enfance, et bien qu'elle est perdu un sens important pour cette matière, lui, il était resté. Ce n'était que de simple chose, mais petit à petit, Charlie l'a trouvait attachante. La première qu'il s'était rencontré, il avait essayé de la consoler après qu'on ai tenté de la violer, clairement. Si ce jour-là, il n'avait pas été là, il se demandait comment cette histoire aurait finit. « J'attends. » Affirma-t-il en l'attendant bien sagement dans la pièce. En attendant son retour, il contemplait sa toile avec curiosité. Quand elle revint avec une toile dans la main, le jeune homme perdit tout à coup toute assurance. Et ses mots n'arrangèrent rien, puisqu'il ne savait en vérité en aucun cas peindre. Charlie prit le pinceau en fronçant les sourcils, parfois, il était content qu'elle ne puisse pas voir ses faits et gestes, sinon, elle aurait tout de suite sentit qu'il mentait. Il prit dans un même temps le sparadrap qu'il lui promis de mettre après sa peinture. Inspirant à grande bouffée, il trempa l'objet dans la peinture rouge en essayant de faire quelque chose. Malheureusement, ça n'avait rien d'apparence humaine ou bien même terrestre son truc. « J'aime beaucoup l'art abstrait.. » Finit-il par dire en grimaçant, en voyant une toile rouge, mais aussi bleu et jaune, couleurs qu'il avait ajouté un peu plus tôt. C'était une vrai catastrophe ce tableau. Il pensait d'ailleurs qu'il devrait être brûlé pour être aussi laid. A cette pensé il se mit à sourire en secouant la tête furtivement. « Je crois que je préfère ton œuvre. La mienne pour te dire ressemble à.. » Il tourna légèrement la tête en grimaçant. « .. rien.. ? »

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C’était bizarre, la sensation que la jeune femme éprouvait en cet instant. Un sentiment étrange qu’elle ressentait par rapport à ce garçon, inconnu. Elle qui, pourtant était toujours très sûre d’elle, perdait un peu de sa confiance en présence du jeune homme, quoi qu’elle tentait bien évidemment de faire disparaître cet aspect qu’elle démontrait en ce moment : une faiblesse, quoi. De plus, elle ressentait comme le malaise qu’éprouvait le garçon, de son côté. Un malaise tout à fait normal qui blessait pourtant un peu la Mather. C’était cependant impoli de lui en faire part : elle ne le connaissait pas, après tout. Il y avait une sorte de gêne dissimulée entre les deux jeunes gens, tous les deux la vivaient pour des raisons qui n’étaient pas les mêmes ni chez l’un, ni chez l’autre. Du côté de Charlie, c’était évident : il était mal à l’aise par rapport à sa cécité. Et il semblait dur pour lui d’en parler avec elle, bien que ce soit elle, la principale concernée. À ses paroles, Dixie ne put s’empêcher d’hausser les épaules bêtement et de sourire un peu. « T’as pas à être désolé. Y’a pas de quoi s’apitoyer sur mon sort. J’ai eu du mal à traverser l’épreuve, le deuil de mes yeux, mais ça va, je t’assure. », dit-elle comme pour le rassurer lui plutôt qu’elle-même. Il est vrai qu’elle avait remarqué que bien des gens étaient plus doux et gentils avec elle en la sachant aveugle, ce qui était tout de même assez ironique, quoiqu’agréable et mignon. Elle était loin de se douter de ce qu’allait faire le jeune homme par la suite. Il s’approcha d’elle et la prit dans ses bras, geste qui lui donna un frisson puisqu’elle ne s’y attendait pas du tout. En premier lieu, elle sourit. Puis, elle fut parcourue d’un deuxième puissant frisson en sentant son souffle, puis finalement ses lèvres se poser presque trop délicatement dans le creux de son coup avant de se retirer et de s’éloigner. Chose qui la déstabilisa, il faut dire. « Je… si c’est façon de t’excuser, alors soit méchant autant que tu veux avec moi…», lança-t-elle en rigolant, tentant d’effacer le rouge qui s’était collé à ses joues. La jeune femme pivota la tête un bref instant afin de chercher de nouveau le jeune homme du regard, sans pourtant arriver à très bien le voir. Elle voyait les formes, rien de plus. Pas les détails… Elle devait apprendre à faire confiance ainsi, et la confiance était pourtant quelque chose de très dur à accéder et à céder. « Brouillés? J’en doute fort. Tu es si sûr de toi pour dire cela? Qui me dit que tu es si exceptionnel que tu en as l’air? » La jeune femme avait dit ça en feignant l’indifférence, arborant tout de même un léger sourire en coin. Son sourire s’accentuant suite au compliment que le jeune homme venait de lui faire par rapport à sa toile. Elle lui demanda de rester là alors qu’elle partait dans une direction opposée, allant dans une salle de la classe d’arts plastiques pour dénicher une toile vierge. Elle revint avec celle-ci en main et la posa afin de laisser le jeune homme peindre. Lorsqu’il commença à peindre, elle croisa ses bras sur sa poitrine en alternant entre la silhouette du garçon et le tableau qu’il avait devant lui. Elle se mordait la lèvre inférieure en écoutant le bruit de sa respiration, de celle de Charlie et des coups de pinceaux donnés avec un peu trop de vigueur et de force sur la toile. Une fois qu’il commenta son œuvre, elle ne put s’empêcher de rigoler et de se moquer gentiment. Dixie s’approcha alors très doucement de la toile et glissa un doigt sur celle-ci, sans gâcher ce qui avait été peint dessus. Elle réfléchit un instant et revint vers le garçon, sans perdre son sourire. « Pour un débutant, c’est pas si mal. » Elle savait bien à présent que sa présence ici n’était pas due à son intérêt pour les arts plastiques. Il avait dû se perdre, ou remarquer une présence féminine – autrement dit sa présence – et avoir envie de jouer de ses charmes sur elle, ou peu importe la raison. Il n’était pas un artiste dans ce domaine, mais elle ne baissa pas les bras pour autant. Elle prit le bras du garçon d’une main douce, en posant ses doigts sur son coude pour le détendre un peu. « Tes coups de pinceau étaient trop tendus. Tu y allais avec trop de force. Il suffit de relaxer un peu. Respire, expire, et puis respire de nouveau… » Elle souriait, et semblait heureuse. Son autre main attrapa celle du jeune homme, celle qui tenait le pinceau. Une fois de plus, elle tenta de relaxer ses doigts refermés sur le pinceau. Elle murmura d’une voix basse : « Desserre les doigts. Laisse-toi guider. Fais-toi confiance. » Avec Charlie qui tenait le pinceau et Dixie qui tenait la main de Charlie, elle le guida afin de déposer son pinceau sur sa toile et de faire quelques légers va-et-vient de rouge de haut en bas du tableau. Par la suite, elle lui fit faire quelques courbes et sourit. « Compare ces coups de pinceaux à ceux de tout à l’heure. Tu ne remarques-tu pas la douceur dans ceux-ci? T’es pas si mal, même si après tout, t’es un peu menteur.», rigola-t-elle, en faisant référence à la raison de sa présence ici.
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un doux vent de sentiment.
Dixie & Charlie.


14 février. Une date mémorablement importante. Du moins, pour les couples et futurs couples. Dixie n’avait jamais eu l’occasion de passer cette journée en de bonne compagnie, autrefois. Elle s’était toujours caché la vérité à elle-même : être seule à la St-Valentin était toujours un peu triste et déprimant. N’ayant jamais vraiment eu de chance en amour, elle n’avait pu que passer les années précédentes à manger des chocolats, collée à un ours en peluche devant des films romantiques. Cliché, mais vrai. Bien que cela lui ait toujours fait l’effet d’un pincement au cœur, la Mather trouvait que la St-Valentin était tout de même une «fête» assez inutile. Pourquoi? Parce que si un couple était amoureux, celui-ci devait prouver son amour tous les jours. Pas seulement un jour spécifique. Et c’était bien ce qui la dégoûtait de ce jour de l’amour.
Bref, depuis quelques temps, la St-Valentin avait le don de l’intriguer. Tout simplement parce qu’elle et Charlie, ce garçon qu’elle avait rencontré par hasard lors d’une soirée où elle se serait presque fait violer sans son aide, puis qu’elle avait rencontré de nouveau alors qu’elle était dans la salle d’arts plastiques, se parlaient depuis quelques temps par SMS, et par téléphone, et qu’il l’avait invitée à venir passer la soirée chez lui. Surtout qu’il lui avait bien recommandé de mettre un costume de bain. Quoi? Pourquoi? Que lui réservait-il? Elle avait peut-être une toute petite idée, puisqu’ils se draguaient quand même assez ouvertement par SMS et qu’ils avaient un peu insisté sur le fait qu’elle devrait lui réserver, un de ces jours, une place dans son bain. Eh bien ce soir, c’est peut-être elle qui aurait une place privilégiée dans le sien, qui sait? Elle enfila donc un maillot de bain, plutôt un bikini, blanc avec quelques motifs, et quand même assez sexy d’ailleurs. Bah quoi? Elle voulait réussir à attirer son attention, à le rendre un peu dingue quoi… Une fille s’essaye toujours, n’est-ce pas? ([url=http://img.pandawhale.com/66818-Nina-Agdal-dat-gap-hot-bikini-HCj3.jpeg]ici[/i]) Ce qui l’enrageait le plus, c’est qu’elle, elle ne pouvait pas le voir. Et depuis qu’elle l’avait rencontré, c’est comme si le fait de ne plus rien voir autre que seulement des formes l’enrageait toujours de plus en plus. Une rage intérieure qu’elle tentait de dissimuler le plus possible.
Assez stressée tout de même, elle tentait de se calmer en pensant à ce qu’il avait bien pu préparer. Elle, dans son cas, avait pensé à certaines choses à lui offrir. Mais elle avait un peu peur de sa réaction. Peur de sa réaction parce qu’elle, la belle Mather, était aveugle et malgré tout l’intérêt que le jeune homme pouvait lui porter, elle sentait la légère résistance qu’il éprouvait face à elle. Elle comprenait, mais ça la blessait un peu, d’un autre côté. Bref, elle avait quand même pensé à certaines choses pour la soirée, qu’elle ne manquerait pas de mettre à exécution selon le contexte de la soirée. C’est sur ces pensées et cette légère appréhension qu’elle arriva devant la porte de sa chambre à la Winthrop House, vêtue de son maillot de bain, celui-ci dissimulé sous un long manteau qu’elle n’enlèverait pas tant que lui il ne le lui demanderait pas. Elle toqua deux coups, puis attendit, en déposant, à côté de sa porte, dans le couloir, la canne qui lui servait de guide. Elle préférait ne pas entrer avec. Ses joues étaient devenues rouges sans qu’elle ne s’en rende compte, puis entendit la porte devant elle s’ouvrir, après ce qui lui semblait être une éternité. Dixie sentit la présence du jeune homme devant elle. Après un instant, elle fit quelques pas afin de pénétrer à l’intérieur de sa chambre. Sans un mot, elle pivota la tête de gauche à droite, bien qu’elle ne puisse rien voir. Elle sourit de plus belle en se rendant compte – oui, elle en était capable – de l’ambiance qui régnait autour d’elle. D’eux. Dans un murmure, elle souffla : « Ça sent… ça sent le romantisme. » Elle pivota de nouveau sa tête vers Charlie, et la pencha légèrement sur le côté en l’observant sans vraiment le voir. Ce qu’elle aurait aimé le voir en cet instant… et voir la chambre, aussi, qui sentait étrangement bon. « Ça va bien ce soir, beau gosse…? » Elle aimait bien l’appeler ainsi. De un parce que c’était pour le taquiner. Et de deux, parce qu’elle avait la certitude que c’était vrai.
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