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Parfois, la vie était tellement mal faite que seulement des malheurs nous tombaient dessus. Pourtant, parfois, la vie était tellement bien faite, qu'un ange nous aidait à surmonter toutes les difficultés rencontrées. Pour moi, Thaïs O'Neall était un ange tombée du ciel. Elle m'aidait à traverser cette épreuve d'adaptation entre ma vie normale et ma vie où je devais supporter ma cécité. Je savais que je retrouverais ma vue de l'oeil gauche - j'en étais certaine, je croyais à la science et à la médecine - mais je ne savais pas exactement quand je la retrouverais, et je devais alors m'habituer avec toutes les nouvelles techniques qui m'étaient présentées. La canne, le chien guide que j'adorais, même si je n'en avais pas, éviter les obstacles, marcher normalement, apprendre le braille, tout ça... c'était du nouveau, c'était difficile, mais j'avais de la volonté et tant d'espoir de réussir qu'avec l'aide de Thaïs, cette Cabot avec qui je partageais une grande complicité, unique en plus de ça, je sentais que je pourrais arriver à presque tout, dans quelques semaines. Confiante, je l'étais. Désespérée, je ne l'étais plus. Bref, je sortais du secrétariat, où j'étais allée pour rencontrer Monsieur Dewell, qui s'occupait de ma...condition, en quelques sortes et qui avait téléphoné à l'aide à Thaïs, justement. Merci à lui, même s,il était détestable. Je sortais alors de là, et me retrouvais en plein dans le grand Hall, endroit bondé de gens. Avec l'aide de ma canne, je me promenais collée au mur, marchant doucement - je n'étais pas pressée après tout - afin de trouver un banc où m'asseoir un peu. Me reposer, prendre une pause. Et puis, je n'avais pas trop envie de sortir tout de suite dehors, non plus. Une fois assise, je soufflai un bon coup, en déposant ma canne sur mes genoux.
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Prise de tête général ce cours de neuro, Gégène ne cessait de se le dire mais il le lisait toujours, encore et encore. Recopier ses notes, c'était déjà assez fastidieux, mais si en plus il devait réfléchir à ce qu'il y était écrit, c'était encore plus chiant ! Eugene était pas le genre de gars qu'on dirait soigneux au niveau de ses études, ni même avec beaucoup d'ambitions intellectuel vu qu'il ne pensait qu'à sortir, qu'aux ragots et aux garçons. Qui aurait pu penser qu'en dessous de cette image superficielle se cachait en fait un garçon intelligent, intéressé par ce qu'il étudiait et qui avait réellement la volonté de vouloir faire parti de quelque chose de grand ? Qu'il préférerait être connu aussi bien que pour son oeuvre et ses travaux scientifiques, mais aussi pour son côté très jet-set ? Personne, car Eugene ne disait pas explicitement ce genre de choses. Pour être scientifique, il fallait être tolérant et généreux, deux qualités qu'il manquait cruellement. C'est alors qu'il se décida de quitter la bibliothèque et d'aller checker où se situera son prochain rendez-vous avec son responsable, vu qu'il était toujours en probation ici. Essayez de coucher avec votre examinateur d'exam et vous serez dans la même situation. En marchant, il ne put s'arrêter pour regarder la pauvre aveugle du coin déambuler dans le couloir. « Beh dis-donc, c'est que t'es dangereuse avec cette canne. Attends, je vais te libérer de ça, tu pourrais faire mal à quelqu'un, faudrait pas que quelqu'un d'autre perde un oeil » ricana-t-il odieusement en prenant la canne de Dixie.
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Étant assise depuis quelques instants sur ce banc en plein milieu du Grand Hall, je pensai à Monsieur Dewell, ce monsieur puant la sueur à 100 km de distance, bien que très gentil, qui m’avait présenté Thaïs, ma très bonne amie maintenant et mentor aveugle. Ça faisait drôle à dire ça, d’ailleurs. Bref, je pensais à Monsieur Dewell, et je réfléchissais. Il voulait m’aider, mais j’avais l’impression qu’il n’y comprenait rien du tout. Il avait l’air perdu et faisait des efforts dans le vide pour m’aider. Il me proposait des trucs complètement inutiles comme des thérapies. Je n’étais pas dépressive, je n’avais plus d’yeux. Du moins, plus de vue. Je ne lui en tenais pas vraiment rigueur, car ce n’était pas de sa faute, après tout, mais c’était étrange sa façon de m’aider à «traverser cette période», puisqu’il n’aidait pas vraiment, en réalité. À un certain moment, on me sortit de mes pensées. Quelqu’un me parlait. Je secouai la tête : j’avais bien entendue une voix. Masculine, qui plus est. Mais je n’avais pas reconnu qui. Et puis, je sentis le poids de ma canne disparaître de sur mes jambes. Qui était-ce? Qui me jouait un mauvais tour? Un ami? Ou quelqu’un de pas très agréable, comme Blue-Ivy? Ou…? « Qui est-ce…? Je pourrais ravoir ma canne, s’il vous plaît? Sans ma canne j’ai plus de chance de blesser quelqu’un qu’avec, alors… Rendez-la-moi. » J’avais pas du tout envie de plaisanter avec ça, vraiment…
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Il était en position de force, certes, mais il n'en était pas trop fier, pas tant que ça. Après tout, la vermine qu'il voulait enquiquiner ne voyait rien, et ne semblait même pas tilter qu'il s'agissait de lui. Fiouu, il voulait tellement qu'elle puisse le voir, qu'elle se souvienne que Gégène n'est pas ce garçon qu'on remballe méchamment, qu'il n'est pas ce mec qu'on ne prend pas au sérieux. Que Gégène, on en fait gaffe, on ne l'embête pas et surtout on ne lui tient pas tête. Et surtout, que l'on n'essaie même pas de lui tenir tête. « Genre tu vas me faire croire que la perte de tes deux immondes globes font de toi une brebis sans défense. A d'autres, je suis sûr que si je te la rends t'en manquerait pas une pour m'en foutre un coup ! » lança le jeune homme, en usant de ses habituelles mimiques de langages lorsqu'il jetait ses piques. « Tu te souviens quand je t'ai dis que la vengeance est un plat qui se mangeait froid ? Eh beh là, il est suffisamment froid. Tu peux peut-être faire croire aux autres que t'es devenu une gentile fille à la MH, mais moi tu me la feras pas. On était collé comme deux doigts de la main, on me vire, on me réintègre, et toi, tu me snobes ? T'as pas idée à quel point j'aurai pu avoir besoin d'une pote en revenant. Tout comme toi t'en aurais besoin là. Eh beh nan, ne compte pas sur moi pour te faciliter la vie, ma belle, car au final, on n'est jamais aussi bien entouré que par soi-même, comme je l'ai toujours dis » conclu-t-il en balançant la canne de la pauvre femme à ses pieds.
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Je gardais mon calme. Avant, j'aurais pété les plombs, surtout face à Gégène. Je savais que personne ne devait lui tenir tête, ni l'affronter, mais moi j'en avais pas peur. J'en avais jamais eu peur. Là, maintenant, je prenais une respiration, je gardais mon calme, il n'y avait pas de quoi s'énerver après tout, même si ses agissements étaient disons quelque peu...enfantins, selon moi. J'voyais plus rien de mes deux yeux, et lui il en profitait agréablement à son avantage. « Ce serait peut-être pas l'envie qui manque. Disons nous franchement que là, tout de suite, tu le mérites. Mais... j'me retiendrais. J'suis gentille pas vrai? », dis-je en souriant, restant pourtant bien droite sur le banc, face à lui, ou plutôt dans sa direction. Je soupirai en l'écoutant balancer ce qu'il avait sur le coeur. «Et tu crois que c'est juste de ma faute là-dedans? J'suis désolée, Eugène.» J'l'avais rarement, même très rarement appelé par son prénom, préférant plus particulièrement son surnom, mais cette situation là, je ne pouvais pas vraiment. « J'm'en suis pas rendue compte. Ça arrive des erreurs, non? Tu en fais aussi, même si tu risques de prétendre le contraire. On est jamais mieux servi que par soi-même, mais oublie pas aussi qu'on aura toujours besoin de quelqu'un. D'ailleurs, j'ai besoin que tu me passes ma canne. » Je tendis la main vers l'avant dans un sourire mélangeant un peu d'amusement et de tristesse.
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Il écouta sans vraiment prendre en considération les plaintives de son ancienne pote, après tout, qu'avait-il envie de plus à entendre ? Il voulait simplement l'emmerder, lui montrer qu'être aveugle n'était pas une raison suffisante pour esquiver ses fautes passées. « Tsss » fit-il en lui balançant sa canne à ses pieds, il n'était pas sa bonne à la fin. « Et c'est comme ça que tu te justifies ? Auprès de toutes les personnes qui peuvent t'en vouloir ? Bouhou, j'étais bête maintenant que je vois plus rien je me rends compte ? Faudra un peu plus que ça pour te racheter ma grande » pestiféra le jeune allemand, toujours dans la même optique d'en mettre plein la gueule à la jeune femme. Il fallait se méfier de l'eau qui dort, comme il disait toujours.  Là aurait pu être la fin de sa petite comédie, il aurait pu à ce moment-même tourner les talons, lui cracher dessus et ne plus revenir là-dessus. Mais quelque chose le retenait, comme s'il sentait qu'il pouvait se passer quelque chose. Voulait-elle vraiment le pardon accordé par sa Grâce Eugene ? Après tout, il pouvait peut-être tirer quelques avantages de cette situation. « Alors je t'écoute, que peux-tu m'apporter de plus que ce que je n'ai pas ? Car des mots ne suffiront pas à ce que je te sanctifie à nouveau hein ».
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L'attitude d'Eugène face à moi m'énervait royalement. Je sais que j'avais fait la conne et que j'avais perdu son respect, mais nom de dieu, qu'il grandisse un peu. Il agissait comme un véritable gamin. J'entendis un bruit sourd à mes pieds. Il m'avait balancé sa canne. Merci de la politesse, quoi. Je soupirai et me pencha pour la prendre. Lui faire des excuses semblait ne servir à rien, il était trop con pour les accepter, se croyant trop supérieur : je le connaissais bien. En se relevant, je déposai ma canne doucement de l'autre côté, à l'opposé d'Eugène. « Bon sérieux, arrête de faire le con. C'est fini, t'es une grosse merde sérieux. Ouvre les yeux, bouge ton cul, pète donc un peu tes chevilles, elles ont un peu trop gonflé. J'vois même pas pourquoi j'essaie de m'excuser. Tu veux juste plus d'attention que tu n'en mérites. » Dure, je m'en foutais. Il avait une attitude de merde avec moi, et bien que je me sois améliorée dans le contrôle de mon caractère, j'pouvais pas laisser passer ça. Je me levai donc, en prenant ma canne, et me positionnai face à lui en soupirant. Je savais où il se trouvait, mais ne discernait pas les détails de son visage. J'en voyais juste assez pour savoir où se trouvait son visage justement. Sans crier gare et sans perdre une seconde, mon poing se leva pour se rabattre fortement sur son visage, frôlant le côté de son nez, près du dessous de son oeil. En éloignant mon poing, légèrement rouge, je voyais que l'endroit où je l'avais frappé était rouge également. Bien fait. « Ça, tu l'mérites. »
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Qu'est-ce qui pouvait être plus pitoyable qu'une aveugle sans canne ? Une aveugle sans canne justement ou une aveugle qui se baisse pour prendre sa canne ? Déjà qu'elle était peu maligne, manquerait plus qu'elle tâte le sol trop longtemps avant de la trouver. Okay, martyriser une aveugle c'était moyen mais ce n'était pas comme si ce n'était pas mériter. On ne fait pas chier Eugene, point barre. Et bien qu'il pensait que ce sentiment grandissant de rédemption chez sa camarade allait mener vers les plus belles excuses jamais faites, il se prit un poing, où la moitié d'un point, c'était difficile de s'en rendre compte quand on en était victime. Drama Queen jusqu'au bout des tifs, Eugene en était apostrophé, choqué, le soufflé coupé. Venait-elle vraiment de porter la main sur elle ? Alors handicapée ou pas, elle allait le payer de suite. Il porta instantanément la main à l'endroit qui commençait à lui faire mal. Il prit son portable, activa le mode miroir et constata les dégâts. Il risquait le bleu là s'il ne se dépêchait pas à mettre de la glace ! Mais fier, il allait l'arborer, cachant la véritable histoire évidemment. Là, il fallait se venger.« A toi, sale pute » cria Eugene en se saisissant des cheveux du cyclope et en tirant vers le bas. « Tu vas me les biser mes chaussures, je te le dis moi ! » prévint-il en tirant toujours plus pour amener le visage de Dixie à ses beaux pieds. Vu de l'extérieur, la scène pouvait paraître assez surréaliste: le salaud de service qui s'en prend à une pauvre fille sans défense, la forçant à embrasser ses basques. Sûr, quelqu'un alalit intervenir tôt ou tard, et sûr, c'est lui allait encore prendre !
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