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[flashback] TYPHÈNE & DEXTER ♕ la première fissure faite à mon coeur

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Je blâmais tout sur le destin. C’était ce qu’il y avait de plus simple. S’oublier soi-même pour croire en des forces plus autoritaires, croire en quelque chose qu’on peut manipuler à notre avantage. C’est donc ainsi que je me le dédramatisais, que j’avais d’abord expliquer notre rencontre, puis pardonné ce point final que j’allais bientôt imposer à notre si courte histoire. C’était pourtant bien quelque chose, mon coeur en jurait sa peine, j’avais peine à survivre à l’adieu qui me brûlait les lèvres, ma jalousie me piquant ma joie de vivre. Je l’avais vu pourtant, vu de mes yeux, et je ne pouvais croire qu’elle osait. Elle savait, elle jouait. Elle avait été mienne dès l’instant où nos lèvres s’étaient rencontrées.

J’étais à New York pour affaires et jouissances. Quelques rencontres avec des coachs des Lions de Columbia University et quelques get-together avec des amis américains que je possédais. La ville en lumières et en surprises séduit mon coeur et l’ouvrit à la possibilité de l’être davantage. Je devais rester deux semaines puis regagner mon Canada natal, et m’oublier dans mon quotidien comme je l’avais fait jusqu’alors. L’année 2012 s’annonçait terne et sans nuance jusqu’à ce que je rencontre ma raison de perdre la tête. Typhène. Un prénom si unique pour une femme assez colorée pour me faire craquer, me faire goûter à ma part d’amour.  Je l’ai tout de suis adoré, les conversations coulant sans effort, ma mâchoire blessée par la force de mes sourires qu’elle provoquait.

Toc, toc. Mon coeur s’emballe, mon visage se forge une dureté qu’elle ne m’a pas encore connu. Je me précipite vers la porte, le plus vite je l’aurai dit, le mieux je me porterai. J’ai si mal. «Tu es là.» Soufflais-je en entrevoyant ses yeux turquoises. Je la laissai pénétrai dans ma chambre d'hôtel, là où j’avais pu provoquer ses lèvres dans tous les recoins. Cette fois je pris soin de ne pas la toucher. Trop de souvenirs que s’en est douloureux. Je lui avais envoyé un message pour qu’elle me rejoigne ici, je voulais lui dire un dernier mot avant de m’envoler, mes bagages étaient déjà pliés et intentionnellement cachés sous le lit. «Ça m’étonne de te voir si tôt éveillé, hier c’était...» Mes dents s’échouèrent sur ma lèvre, repensant à son corps collé à celui d’un autre que moi. Pourquoi ne pas m’avoir demandé à moi de danser? C’est à n’y rien comprendre... je ne le vaux pas sans doute, rien de nouveau. «Tu te souviens de tout?» Demandais-je dans l’espoir qu’elle me dise que ce n’était rien d’intentionnelle, qu’elle n’aimait que moi et moi seul, oh ce que je donnerais pour qu’elle sache lire dans mes pensées, ce que je donnerais pour ne l’avoir jamais rencontré...
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Je ne doutais pratiquement jamais de moi, de mon jugement. Je n'étais pas imbu de moi même non, disons que je prenais des décisions assez réfléchie la plupart du temps, ou je n'en prenais pas du tout. Pourtant, j'avais des doutes depuis quelques temps. Cette sensation, si étrange, qui me fais me demander et si j'avais eu tord... ? Et si je m'étais précipité trop vite dans ses bras ? Et si j'avais fais une erreur en le provocant ? Et si il allait me le faire payer ? Je savais, ô grand combien j'étais amoureuse de lui. Je n'ose imaginer se qu'aurait été ses vacances si je ne l'avais pas connu, si nous ne nous étions tout simplement pas rencontré. Je me serais surement amusé, des histoires d'un soir avec des hommes dont je n'aurais aucun souvenir dans plusieurs mois. Ce n'est pas vraiment moi, je ne suis pas comme ça, mais pour m'amuser, pour faire comme les autres et pour me vider la tête, je l'aurais sans doute fais. Oui, même si ça m'aurait apporté certains regrets. Mais les choses ne se sont pas passé comme ça, il était là, Dexter. Il avait su trouver les mots pour me séduire, me faire fondre. Dès notre premier baiser, j'ai su; J'ai su je craquerais, ou du moins, qu'il me ferais craquer. Nous n'avions pas cesser depuis lors de nous retrouver, à n'importe quel endroit et n'importe quel moment, tout était égal tant que nous le faisions ensemble. C'était l'idée que je me faisais d'une relation, une vraie relation, une relation durable. Même si nous nous étions rencontré en vacance, ça ne voulais pas tout dire. Je sentais que nous étions menez à plus, après tout, j'étais belle et bien amoureuse. Tu es là. Oui, j'étais là, comme il me l'avait demandé. Je ne savais pas comment agir. Hier, je l'avais surement blessé. Notre si belle histoire avait commencé à flanché, par simple jalousie. Qu'on se comprenne, un homme jaloux, c'est sexy, mais possessif bien sûr que non. Je ne suis pas un vulgaire objet qu'on possède. Je suis une femme, quelqu'un avec un cerveau et un code de conduite. Jamais je n'irais voir ailleurs, jamais je ne le tromperais. Il devrait avoir confiance en moi, mais il ne semblait pas. Je me demandais bien pourquoi, qu'avais-je fais pour qu'il se méfie autant de moi ? Étais-ce ma façon de m'habiller, de me tenir ? Je ne suis pas spécialement provocante, j'étais une fille comme une autre. Alors quoi ? Où voulais-tu que je sois ? Plus ça passait, et plus j'en avais gros sur le cœur. Ça m’agaçais, ça me perturbais, je ne pouvais plus faire avec. Alors hier soir, je l'ai cherché, je l'ai provoqué. Je voulais à tout prix qu'il comprenne que je n'étais pas à lui, qu'il devait me laisser et que je pouvais très bien avoir d'autres hommes si je le voulais. Oui, quand on y repense , c'était stupide. Une bien belle façon d'essayer de lui dire de me faire confiance, mais et après quoi ? Ce n'était que quelques danses, quelques fous rires partager avec d'autres hommes, je ne l'avais pas tromper. Je rentrais dans sa chambre d'hôtel après ses mots, mots qui m'avait échappé et que je regrettais presque aussitôt. Ca ne faisait que jeté un autre froid. Je croyais savoir ce qu'il voulait me dire, il voulait me faire des reproches c'est certains, mais je n'étais pas prête à les entendre. J'avais mal à la tête, et la gorge en feu il fallait que je boive un peu d'eau. Ça m’étonne de te voir si tôt éveillé, hier c’était... Il ne finit pas ça phrase, ce que je comprenais. J'avais bu, danser et je m'étais amuser, un peu trop d'ailleurs et sans lui. Je n'avais pas été la parfaite petite amie, et j'en subissais toutes les conséquences à présent, quel soit sur notre couple ou sur mon état de santé actuel. Tu te souviens de tout? J'esquissais un sourire, passant une main sur mon front et fermant les yeux. Ça dépends, je me rappelle d'un début, mais la fin est un peu flou. Dans tout les cas, je savais ce que j'avais fais et je n'allais pas m'en excuser. J'avais peut-être eu tord dans la manière de faire les choses, mais le but était quand même de les lui faire comprendre, et je pense qu'il a compris. Je me rapprochais de Dexter et le regardant dans les yeux en disant simplement : Est-ce qu'on va avoir notre première dispute ? Je l'aimais, et je tenais à lui. Je nous savais capable de surmonter ce petit incident, ce n'était rien. J'avais cherché à le rendre jaloux, il n'a pas apprécier et on s'engueule, c'est tout. Alors pourquoi ai-je l'impression d'être sur le banc des sur le bancs des accusés ?
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Elle était belle. De cette manière poignante qui ne laisse personne indifférent. C’était ma bénédiction, mais surtout le plus grand risque que j’avais encouru jusqu’alors. Elle était tellement convaincante dans sa manière de sourire à mes propos, pendant les premiers jours je m’étais sentis digne de partager son temps. Puis, tout c’est effondré. Sa beauté était la même ce matin, mon souffle c’est perdu à l’approche de son parfum, comme toujours. «Où voulais-tu que je sois ?» Sa voix, même, restait sulfureuse et douce à mon oreille encore amoureuse. Je voudrais que tu ne quittes jamais mon côté, c’est invivable sans toi. Je lui offris pour toute réponse un hochement d’épaule nonchalant, l’expression vide de sentiments courtois. Je ne perdis cependant pas de temps pour enchaîner avec mes questions, je voulais me débarrasser de cette tâche comme on arrachait un pansement, d’un coup sec et rapide. Elle clos les yeux avant de répondre, cherchant dans ces souvenirs comme s’ils étaient lointains. «Ça dépends, je me rappelle d'un début, mais la fin est un peu flou.» Je me souvenais de tout et c’était parfaitement douloureux. Ça avait blessé là où ça pince le plus, là où ça ne peut réellement pas n’être que temporaire. Je secouai la tête, je n’avais pas été en mesure de fermer l’oeil de la nuit, à me demander si elle était seule dans son lit, à qui elle avait penser avant de fermer ses yeux. «Tu as le moindre regret?» Soufflais-je en l’affrontant toujours du regard. Je ne voulais pas lui laisser l’occasion de me mentir, si elle osait, je le saurais. Je tenaillais ses traits à la recherche de mes réponses, surtout en m’accrochant à l’espoir de voir cet amour au fond de ses yeux. «Est-ce qu'on va avoir notre première dispute ?» J’hésitai avant de répondre. Elle c’était rapproché sans que je ne le souhaite. Son parfum était intoxiquant, remplis de souvenirs, de saveurs, de désirs salaces. «Non, pas de dispute.» Et j’étais sincère, il n’y avait pas matière à discuter, mon choix était fait. Et pourtant, je n’arrivais pas à trouver les mots pour lui dire adieu, peut-être ferais-je mieux de simplement prendre ma valise et lui tourner le dos. Mon message serait assez clair pour être entendu, mais je lui devais au moins quelques mots, quelques peines. «Typhène, s’il te plaît, s’il y a un temps où il serait nécessaire que tu sois honnête c’est maintenant... tu m’aimes?» Je la regardais tristement, ce tremblement sensible dans la voix. Moi je t’aime, moi je te veux... moi je me donne. Je plongeai le bout de mes doigts dans mes poches, cherchant réconfort là où j’arrivais à le saisir.
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Je voyais, je savais, que tout se que j'avais fais aurais des conséquence. J'étais dans l'espoir qu'on évite ne dispute, parce que je l'aimais, mais je savais pertinemment que j''avais joué avec son coeur hier soir. Je ne suis pas comme les autres femmes,, et pourtant à cet instant je le voudrais. Je voudrais être capable de n'en avoir rien à fiche de sa jalousie, et d'en être même plutôt flatté, mais je ne peux pas. J'aime ma liberté, m'amuser et oui je l'admets, flirter un peu. Je ne le tromperais jamais, non jamais, tout ce que je fais est innocent. Je suis totalement amoureuse de Dexter, c'est lui que je veux et personne d'autre. C'est simple, pour moi, il n'as tout simplement pas à se comporter comme ça. Pourquoi n'as-t-il pas confiance en moi ? « Tu as le moindre regret? » Etais-ce vraiment une question, ou l'affirmait-il ? J'avais un doute. Je plissais les yeux, pas vraiment sûr de savoir quoi répondre à ça et surtout, si je voulais vraiment y répondre. J'avais l'impression de lui avoir pris un membre, d'avoir laisser un de ses proches mourir sans avoir bouger le petit doigt. Je laissais échappé un soupire, un son qui exprimait ma surprise comme ma fatigue. Oui, j'étais fatigué de tout ça. Pour le dire franchement : Ça me soûlait. « Comment ça ? Ce que j'ai fais étais si horrible à tes yeux ? » Je me retiens, d'hausser le ton. Tout ceci était trop bête, trop futile, du moins pour moi. Je ne voulais pas de dispute, je voulais juste que tout se passe pour le mieux... « Non, pas de dispute. » J'étais soulagé de l'entendre dire, je n'aimais pas les disputes, pas avec lui. Je n'en voulais pas dans notre relation qui semblait si parfaite il y a quelques heures encore quand on y pense... « Typhène, s’il te plaît, s’il y a un temps où il serait nécessaire que tu sois honnête c’est maintenant... tu m’aimes? » Je soupirais, se regard, il me donnait l'impression d'être au pied du mur, comme si quoi que je dise j'allais lui briser le coeur... Comme si, comme si il allait me quitter. Cette pensée me fais peur, et semble si peu probable, pas pour si peu, pas pour ça. Je me contente de pouffer nerveusement, je ne sais pourquoi, c'est sans doute la seule chose qui me semblait approprier. Pourtant une fois sortie, ça ne l'étais plus. « Pourquoi cette question ? » Après quelques secondes, je finis par hocher la tête pour confirmer ses dires, sa question avait disparu de mon esprit pendant un instant. « Bien sûr, bien sûr que je t'aime. C'est évident. » Tellement évident, au point que le fais qu'il ai pu me poser la question me faisait un peu mal. Je pensais qu'il savait, que j'étais tombé amoureuse et que j'étais dingue, complètement attaché à lui. « Dex... Qu'est-ce qu'il se passe ? Ce n'est pas si dramatique, pourquoi tu fais cette tête ? »

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Si on m’avait dit il y a une semaine que moi et Typhène étions au bord du précipice, que sept jours plus tard j’aurais une envie de séparation aux bords des lèvres, j’en aurais rit. Rigoler de confiance et d’amour, j’étais convaincu que nous étions parfaitement assortis, convaincu d’être tomber sur une perle rare qu’on ne laisse jamais partir, qu’on ne se lasse jamais de faire sourire. On était bien ensemble, beaux, amoureux. Pourquoi fallait-il y mettre un terme? Parce que j’avais cette irritable manie de ne pas vouloir partager, particulièrement dans le domaine du coeur. Je n’avais pas la confiance de fer que l’on me préjugeait posséder, celles qui osaient s’approcher voyaient vite fondre mon mystère. J’avais osé me dénuder devant la brune et maintenant je regrettais ma vulnérabilité amèrement. Je voyais bien dans ces yeux qu’elle ne jugeait pas ma peine légitime et c’était bien ça le problème. Ce faire rire au visage qu’en on osait montrer sa blessure, c’était douloureux, à la limite du supportable. « Comment ça ? Ce que j'ai fais étais si horrible à tes yeux ? » Elle levait les yeux au ciel, me provoquant autant qu’elle le pouvait. Rien que je ne dirais ne pourrait l’atteindre, j’en mourrais de honte. «Ça m’a fait mal. Ça te réjouis de l’apprendre n’est-ce pas?» Je m’avançai vers elle, tentai pas l’idée de la plaquer contre ce mur et de ne plus jamais la laisser m’échapper. Lui imposer ma présence pour qu’elle m’entende enfin. Elle était à moi, seulement à moi! Je lui demandai si elle m’aimait. Sa réponse se fit attendre un peu trop longtemps, assez d’éternités pour que je m'essouffle. Elle pouffa, retenir un rire, mon visage se crispa de douleur. « Pourquoi cette question ? » J’écarquillai les yeux, une autre réponse aurait dû prévaloir à celle-ci. Mon coeur manqua un battement, j’étais prêt à fondre en larme. Comment avais-je pu me tromper à ce point sur son compte? Je n’avais même plus la force de lui répondre, j’aurais pu me contenter de ces mots pour adieux, je ne souhaitais que m’enfuir. « Bien sûr, bien sûr que je t'aime. C'est évident. » Je secouai la tête, il était déjà trop tard. «Tu m’aimes mal.»  Soufflais-je, les yeux mouillés de larmes. Je n’en laissai aucune s’échapper, je n’allais pas lui donner cette satisfaction. « Dex... Qu'est-ce qu'il se passe ? Ce n'est pas si dramatique, pourquoi tu fais cette tête ? » Ajouta-t-elle pour enfoncer le couteau d’autant plus profondément. Pas si dramatique? Je plongeai les mains dans mes cheveux, prêt à m’arracher le visage, expirant ma colère qui s’accumulait dans mes poumons. «C’est toi et moi Typhène, pourquoi ne peux-tu pas t’en contenter?!» D’un mouvement je la rejoins, posant mes mains sur ses épaules pour la faire reculer jusqu’au mur. Je posai mes paumes de chaque côté d’elle, l’emprisonnement de ma présence. «Je ne te laisserai pas partir avant d’avoir obtenu une réponse.» Dis-je le regard noir, l’envie de lui faire peur omniprésente. 

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J'étais mal à l'aise, je ne sais pourquoi précisément. Étais-ce à cause de son air si déçu et anéanti, ou alors ses paroles qui m'allait droit au coeur et qui me déchirait de l'intérieur. J'aurais voulu être une petite souris et me cacher, pour que personne ne m’attrape. J'avais envie de m'éloigner, de lui laisser le temps de réfléchir. Je crois qu'il avait besoin de vider son sac, mais j'avais peur de l'entendre. «Ça m’a fait mal. Ça te réjouis de l’apprendre n’est-ce pas?» Je suis blessé, blessé qu'il puisse le croire. Blessé qu'il puisse penser une seconde que ça puisse me rendre heureuse de lui avoir fais du mal. « Pas du tout, au contraire. Ca me rends extrêmement triste. » J’espérais qu'il me croie, vraiment. Je l'aimais tendrement, follement, comme je n'avais encore jamais aimé personne. Une partie de moi n'avais qu'une envie : me jeter à l'eau, me donner complètement à lui et suivre ses exigences, mais je ne suis pas comme ça. Je ne pouvais pas me plier à se qu'il voulait et m'oublier, oublier qui j'étais. Je ne suis pas une traînée, je n'ai jamais aimé être vraiment entouré, mais hier je me suis lâcher et regarder se que ça donne. Je voulais juste lui montrer, lui montrer que je n'étais pas "sa" chose. «Tu m’aimes mal.» Comment ça ? J'étais soudainement remplie de question, et j'étais surtout sans réponse. Il ne prenait pas l'occasion de s'exprimer, de me dire se qu'il lui arrivait. Je ne savais rien sur son état. Je savais qu'il était en colère, mais pas à quel point. Je ne savais pas comment me défendre. «C’est toi et moi Typhène, pourquoi ne peux-tu pas t’en contenter?!» Je me laissais faire, anxieuse. Je le laisser m'attirer contre se mur sans rien dire et je me sentais encore plus mal, j'étais soudainement inquiète, peut-être même que j'avais peur. «Je ne te laisserai pas partir avant d’avoir obtenu une réponse.» Je fixais son regard, blessé qu'il puisse me regarder comme ça. Non, je ne voulais pas qu'il me regarde comme ça. « Qu'est-ce que tu cherche à faire ? Tu veux me faire peur ? Me blesser ? » Je lui jetais un regard plein d’incompréhension, qui se transforma en colère. « Et bien c'est réussi ! » J'avais envie de me dégager mais je ne pouvais pas. Il m'entourait, il était juste en face de moi, je ne pouvais pas faire autrement. Je devais rester sous son emprise. « Qu'est-ce que tu attends de moi ? »

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J’étais réellement stupéfait par sa manière de toujours jouer l’innocence. Comme s’il était possible qu’elle ne soit pas coupable, la preuve l’incriminait d’avance, je l’avais vécu en direct. Vue de mes yeux déjà las de la regarder. Je voulais m’enfuir d’ici au plus vite! Je lui demandai si ça lui faisait plaisir de me faire du mal, elle répondit presqu’aussitôt. « Pas du tout, au contraire. Ça me rends extrêmement triste. » Je ne pouvais que la croire sincère, je la connaissais assez pour reconnaître le vrai du faux. Elle avait une étrange manière de me prouver que mon bonheur occupait sa priorité en tout cas. «Quant à moi, c’est tout ce que tu mérites, ainsi nous sommes quittes.» C’était sans doute cruel, mais tant mieux. Ma tristesse et ma colère m’amenèrent à devenir presque violent. Je m’approchai d’elle, la planquant au mur pour m’assurer qu’elle ne pourrait pas me fuir physiquement, mais aussi du regard. « Qu'est-ce que tu cherche à faire ? Tu veux me faire peur ? Me blesser ? » Peut-être un peu de tout. Lui faire goûter un peu de sa propre médecine, voir si elle aime avoir mal inutilement. « Et bien c'est réussi ! » Elle évitait complètement ma question légitime. Je voulais savoir ce qui clochait chez moi, ce que je n’avais pas en assez grande quantité pour la combler, pour la retenir rien qu’à moi. J’étais sincère, je voulais réellement obtenir réponse. « Qu'est-ce que tu attends de moi ? » J’arquai un sourcils. Apparemment, la peur arrivait à lui faire tout oublier. «Je n’attend plus rien Typhène, tu as gagnée. Je te rend ta précieuse liberté… maintenant au moins tu sais qu’elle ne vient pas gratuitement.» Elle m’avait perdu dans sa quête. Je n’avais pas l’affront de croire que j’étais ce qu’il y avait de mieux, qu’en me quittant elle laissait passer une chance à un homme d’une rare quasi perfection… c’était ce ‘’nous’’ plutôt qu’elle devrait apprendre à oublier. Il était beau et unique, il était à inattendu dans les circonstances qui nous avait réunis. J’étais canadien et elle américaine et nous nous étions trouvés malgré tout, c’était l’oeuvre du destin et maintenant nous avions l’idiotie de tout mettre à la poubelle. Je me reculai enfin, la laissant bouger à son aise. Je me précipitai vers le lit, plongeai sous le matelas pour en retirer ma valise déjà prête. Signe que j’avais réellement tout prémédité. «Je te quittes.» Si ce n’était pas déjà bien claire, elle ne pouvait plus y échapper maintenant. «Un dernier mot avant que je ne m’en ailles?» Je bombai le torse, prêt à tout recevoir, mais pas à flancher. Rien ne pourrait me retenir maintenant, il me fallait fuir avant de m’écrouler.  

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« Quant à moi, c’est tout ce que tu mérites, ainsi nous sommes quittes. » Je n'arrivais pas à croire qu'il puisse me parler comme ça, à moi. Je croyais qu'il m'aimait, qu'il tenait à moi et je ne pensais pas qu'il pouvait vraiment s'emporter pour si peu. Est-ce que j'avais si mal fait les choses ? Il avait réussi à me faire douter de moi, il est fort, vraiment fort. « Arrête de faire dans le drama, ça ne te vas pas du tout ! » dis-je, agacée, blessée et frustrée. J'en avais marre de l'entendre dire que j'avais merdé, que je l'avais blessé, que j'avais fais si, que j'avais fais ça. Je voulais qu'il comprenne qu'il fallait être deux pour faire une dispute, et qu'il avait autant à se reprocher que moi, mais il ne vouait rien entendre. « Je n’attend plus rien Typhène, tu as gagnée. Je te rend ta précieuse liberté… maintenant au moins tu sais qu’elle ne vient pas gratuitement. » Quoi ? « Je te quittes. » J'en reste bouche bée. Il me quittais, comme ça, pour si peu, sans même un peu plus d'explication ? Je sentais que des larmes montaient à mes yeux, j'avais envie de pleurer, de m'effondrer. Je l'aimais, je l'aimais tellement. Comment pouvait-il me quitter ? Comment pouvait-il douter de mon amour ? Comment pouvait-il me faire ça, me faire ça à moi ? « Un dernier mot avant que je ne m’en ailles? » Je sens la colère monter en moi, mélanger à toute cette tristesse, culpabilité, mais surtout la colère. Tellement de colère à cet instant.. « Comment ose-tu ? Comment peut tu me faire ça ? » Je devenais folle, les larmes coulait sur mon visage et je me jetais sur lui, frappant mes points à plusieurs reprises sur son torse. Des flashs de notre vie ensemble me vienne, des flash heureux de moi la tête poser sur son torse avec l'impression que c'était l'homme de ma vie... Tout semblait si lointain, mais tellement si proche. « Et toi, dis moi toi est-ce que tu m'aimes ? Est-ce que tu m'as jamais aimé ?! » Je le hais. Je l'aime, mais je le hais. Je lui en veux tellement, mais tellement...

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« Arrête de faire dans le drama, ça ne te vas pas du tout ! » Cette remarque ne fis que m’agacer davantage, j’en serrai les dents avec violence, retenant mes poings de s’écraser contre le mur avec fracas. J’en avais assez d’être pris pour un imbécile, elle n’avait aucun droit de se moquer ainsi, de me regarder de haut ainsi. Je n’avais pourtant pas charrier sur les exigences, je voulais qu’elle me soit fidèle c’était tout. Je me contentai de la regarder sévèrement, choisissant plutôt d’écourter cette discussion à son minimum déjà qu’elle était fort difficile à supporter ainsi. En lui annonçant que je la quittais, c’est tout son visage qui contamina le mien. C’était de la tristesse que je pouvais nommer dans ses yeux, c’était de la colère aussi, quelques larmes qui ne tombèrent pas encore, mais qui menaçaient mon haut le coeur. « Comment ose-tu ? Comment peut tu me faire ça ? » Elles s’écoulèrent enfin, une à une, frappa le sol avec élégance et franchise, quel cruel spectacle! Elle se jeta sur moi, frappant là où j’avais le plus mal, au niveau du coeur. Ses mains s’écrasaient encore et encore contre ma peau, en un bruit sourd. Je la laissai faire, impuissant à mon tours de trouver moyen de me défendre. «Toi comment osais-tu? Ne crois-tu pas que je t’ai vu avec cet homme hier soir? Vous étiez si… merde, à quoi pensais-tu? Certainement pas à moi.» Ces images étaient gravés dans ma tête et je ne trouverais sans doute jamais la force de les chasser. Elles mes hanteraient, c’était ainsi, c’est tout. « Et toi, dis moi toi est-ce que tu m'aimes ? Est-ce que tu m'as jamais aimé ?! » Cette question me choqua, me poussa hors de mon être alors que j’étais déjà bien ailleurs. Je fis un pas vers l’arrière pour mettre fait au flot de ses coups, posant mes mains tremblantes contre mon torse maintenant en feu, grimaçant un peu en touchant ma peau sensible. «Je t’aimerais toujours, mais tu n’es pas la femme qu’il me faut… tu me fais trop mal.» Je ne parlais évidemment pas que physiquement. J’étais trop fragile pour tolérer ces écarts de conduites, même si ce n’était que pour le plaisir du risque, même si elle ne me trompait techniquement pas, c’était trop pour moi. «Je suppose… que tu me refuserais un ultime baiser?» Je relevai les yeux piteusement sur son visage, j’en mourrais d’envie, mais je ne ferais évidemment rien sans son consentement.  

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