LIMMY ❥ i need to see you.

Aujourd'hui n'était pas ma journée. Je m'étais réveillée avec une humeur bredouillante, incapable de me remettre de la nuit que je venais de passer. J'avais mal dormi, mon passé s'était ressassé pendant mon sommeil, me rappelant des choses que je ne préférais pas me rappeler. Ce n'était pas la première fois que je passais de mauvaises nuits ainsi. Ca durait depuis plusieurs jours et il n'y avait aucun remède pour éviter tout ça. Sauf que cette fois, s'en était assez. J'avais reçu un appel dernièrement de ma tante, la soeur de ma mère. Elle voulait juste me prévenir qu'elle venait de rentrer à l'hôpital, elle avait fait un coma du à sa consommation excessive de l'alcool. J'aurai préféré ne rien savoir. A vrai dire, ça ne changeait rien pour moi qu'elle soit à l'hôpital. Ou du moins, c'est ce que je préférai me dire. Rester indifférente face à elle était ma seule arme, pour tenir, mais je sentais que j'avais du mal à contrôler mes émotions. J'avais passé l'après-midi à me poser des questions. Ma tête n'en pouvait plus et allait finir par exploser. J'étais à deux doigts de devenir folle et péter les plombs. J'avais clairement le cafard et rester enfermée de cette manière n'allait surement pas m'aider. Ce qu'il me fallait c'était de la compagnie, quelqu'un à qui je pouvais parler, qui allait très vite me remonter le moral. Et il ne me fallu qu'une petite seconde pour trouver cette personne. Jimmy a toujours été le meilleur dans ce rôle. Il a toujours les mots pour me rendre le sourire, toujours les gestes pour me réconforter. C'est alors en m'emparant de mon portable que je lui envoya ce texto: "J'espère que tu es chez toi, parce que j'arrive à l'instant. J'ai besoin de te voir." Je n'attendais même pas sa réponse que je quitta mon domicile après m'être refait une petite beauté rapidement. Je savais que Jimmy allait être chez lui, ou du moins je l'espérais. Arrivée devant sa villa, je frappa à sa grande porte attendant que son majordome vienne m'ouvrir. Il avait l'habitude me voir débarquer à l'improviste, autant que Jimmy. C'était devenu une habitude.

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Jimmy n'avait pas quitté sa villa de la journée. Une grosse flemme de sa part, probablement. Il n'avait pas cours, alors il pouvait se permettre de trainer un peu. Il passa le plus clair de son temps à jouer au poker en ligne, et il ramassa d'ailleurs pas mal d'argent, même s'il n'en avait pas forcément besoin. En ce moment, la vie de Jim n'était pas forcément très intéressante. En fait, le seul truc intéressant c'était ses relations avec les autres étudiants d'Harvard. Parce qu'il y avait plusieurs relations qui étaient quand même assez inédites. Le jeune homme était un bourreau des coeurs, et il ne s'en cachait pas. L'une de ses principales s'appelait Lilly. Elle croyait qu'il était l'homme idéal, qu'il était toujours là pour écouter ses problèmes et pour la réconforter car c'était un homme en or. Simplement ce qu'il attendait d'elle derrière n'était absolument pas inoffensif. C'est simple, elle avait un corps de rêve et le canadien aimait en avoir la possession. Les heures passées au lit avec elle rattrapait largement les heures perdues à l'écouter. Il savait que c'était véritablement un connard d'agir comme ça avec elle, surtout qu'elle ne le méritait probablement pas. Mais à vrai dire, à part lui révéler ses véritables intensions, il ne faisait rien de mal. Tout le monde était gagnant dans cette histoire. Et quand on parle du loup, Jimmy entendit quelqu'un sonner. Il vit alors Lilly dans la caméra de surveillance et ne pu s'empêcher d'avoir un sourire. Son majordome l'a fit entrer et l'accompagna jusqu'au salon où Jimmy était posé sur son fauteuil. "Salut toi"

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Je détestais cette journée où mon moral était au plus bas. Le cafard, y a rien de plus chiant. Ca faisait déjà deux, trois jours que j'étais restée enfermée chez moi sans même mettre une fois le pied dehors ou même avoir contact avec quelqu'un autres que les roses. Cette fois, fallait que je bouge, que je me change les idées. Jimmy semblait être le meilleur recours. J'aimais sa compagnie par dessus tout. Arrivée devant son immense villa, j'attendais que l'on vienne m'ouvrir. Je ne venais pas spécialement pour lui parler de mes petits problèmes, pas cette fois. Au contraire, je voulais penser à autre chose et passer un peu de temps avec lui -comme a si bien l'habitude de faire. Il avait toujours le mot pour me rendre le sourire, et aujourd'hui j'avais besoin de ça. Son majordome était venu m'ouvrir, je lui avais adresser un sourire pour lui souhaiter un bonjour avant que ce dernier ne me mène jusqu'à Jimmy. Il était assis, confortablement dans son fauteuil et semblait content de me voir. « Salut toi! » Un sourire se dessina sur mes lèvres avant de m'avancer vers lui de mon allure féminine et de le prendre dans mes bras pour le saluer. « J'espère que je ne te dérange pas? » demandais-je pour me rassurer alors que je prenais place à ses côtés. J'étais un peu venue à l'improviste en ne le prévenant qu'à la dernière minute, je ne voulais surtout pas déranger son emploi du temps s'il avait quelque chose de prévu. « J'avais envie de te voir. »

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Franchement, cette journée était nulle. Il aurait mieux fait de rester au lit toute la journée. Au moins il serait bien peinard sur son oreiller, sous sa couette et aurait pu penser à tout et à rien. Mais bon, il n'était pas du genre à rien faire. Du coup, il s'était quand même déplacé du lit à son canapé. Sauvé par le gong, comme on dit, la sonnette raisonna dans toute la maison. C'est avec plaisir que Jim avait reconnu le visage de son visiteur. Ted, son majordome, l'amenant puis s'éloignant faire.. ce qu'il avait à faire, Jimmy se leva pour accueillir la belle blonde. "J'espère que je ne te dérange pas?" Il la serra dans ses bras un instant, sentant son odeur qui le faisait frémir de désir. Il a relâcha puis lui offrit son plus beau sourire. "Tu ne me déranges jamais". Bon, bien sûr que si ça lui arrivait. Mais il n'allait pas lui dire quand même, il tenait bien trop à ce petit cul pour le laisser filer. "J'avais envie de te voir". Jim sourit avant de lui tendre le bras vers le canapé pour l'inviter à s'y installer. Il prit d'ailleurs place à ses côtés. "En quel honneur ? Juste comme ça ?" Lui aussi ça lui faisait plaisir de la voir. Il la regardait de bas en haut, s'attardant sur les parties les plus intéressantes comme ses seins, ses lèvres et ses yeux. Elle était toujours aussi parfaite, belle et bien goalée, il avait quand même de la chance de pouvoir profiter de ce corps. Il ne savait pas ce qu'allait être la suite de ces événements, mais il en avait quand même déjà une petite idée

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J'étais contente de voir Jimmy. A chaque fois que je le voyais, je ne pouvais me répéter que j'avais là devant moi l'un des plus beaux mâles du campus. Je ne pouvais me le cacher, il avait du charme et avait le don de me séduire en un rien de temps. Chose rare quand on sait que je ne suis pas facile à avoir. « Tu ne me déranges jamais » Cette parole me fit d'avantage sourire. Je venais souvent lui rendre visite à l'improviste. Ça prenait comme ça, l'envie de le voir, de lui parler, de vider mon sac, ou même de me faire plaisir. Je venais de m'installer sur son canapé, notre accolade de bonjour une fois terminée. « En quel honneur ? Juste comme ça ? » Je haussa les épaules. A vrai dire, je ne savais pas vraiment pourquoi j'étais là à part l'envie de le voir. Je ne voulais pas l'ennuyer avec mes problèmes aujourd'hui. Il avait souvent eu une oreille attentive à mes petits tracas, il méritait que je le laisse tranquille avec mes histoires par moment. « Juste comme ça. Je n'avais rien à faire aujourd'hui, alors autant utiliser son temps d'une manière utile. » lui lançais, presque d'un regard amusé. Je préférais nier la vraie raison pour laquelle j'étais venue. Quoi qu'il en soit, je savais désormais que ma journée était assurée en sa compagnie. Que j'allais passer un bon moment, quelque soit la manière, hum. « Alors, comment ça se fait que tu es chez toi? » J'étais étonnée de le voir enfermé, lui qui préférait sortir dès qu'il en avait l'occasion.

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Jimmy laissa la jeune femme s'installer. Il était content de sa visite. Lui qui pensait qu'il allait passer sa journée devant la télévision, il allait finalement la passer à faire quelque chose de beaucoup plus intéressant, mais également de bien plus physique, il faut l'avouer. "Juste comme ça. Je n'avais rien à faire aujourd'hui, alors autant utiliser son temps d'une manière utile". Jimmy lui sourit. Ca lui faisait plaisir. Bien qu'il savait déjà l'emprise qu'il avait sur cette jeune femme. C'est simple, elle lui mangeait dans la main. Elle n'était absolument pas du genre à coucher à droite et à gauche. Et pourtant, il avait réussit à faire d'elle son véritable jouet sexuel. Il fallait dire qu'elle avait un corps de déesse et qu'il ne pouvait s'en priver. Du coup, il faisait probablement beaucoup de jaloux. "Ca tombe bien, parce que je connais une façon magnifique de joindre l'utile à l'agréable". Lui dit-il en posant sa main sur son genou. "Alors, comment ça se fait que tu es chez toi ?" Jim haussa les épaules. "Je n'avais rien de particulier à faire". Avoua le canadien avant de monter doucement sa main pour lui caresser doucement la cuisse

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« Ca tombe bien, parce que je connais une façon magnifique de joindre l'utile à l'agréable » Je voyais parfaitement où il voulait en venir, et son plan me convenait parfaitement. Il posa alors une main sur mon genou. « Ah bon? De quelle façon? » Dis-je d'une voix faussement innocente et amusée. Je rentrais dans son jeu, faisant mine de ne pas avoir compris. Je ne pouvais plus jouer la fille réservée qui ne s'offre pas à n'importe qui avec lui. Ça se terminait toujours de la même manière que s'en était presque devenue une routine. Il écoutait mes problèmes, et en change je lui offrais mon corps. Je lui devais bien ça moi qui devait lui cassait les oreilles à me confier à lui. J'étais naïve, trop pour me refuser à lui. J'agissais différemment avec Jimmy alors qu'à mon habitude je faisais languir les hommes de désir et souvent même je le tournais le dos les laissant sur leur faim. J'aimais séduire mais aussi détruire tout espoir qu'ils avaient de me toucher. « Je n'avais rien de particulier à faire » Rien à faire disait-il. Un peu comme moi à vrai dire. Une journée monotone qui allait très vite prendre une tournure plus joyeuse. « Je suis arrivée au bon moment alors. » lui soufflais-je d'un sourire alors que sa main remontait doucement vers ma cuisse la caressant par la suite.

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C'est vrai que leur relation était tout de même très particulière. En fait, c'est comme s'il lui prêtait son oreille pour écouter ses problèmes et qu'il l'a conseillait, quand il le pouvait. Et qu'en échange de ça, elle lui donnait tout simplement son corps. Bon, ce n'est pas comme si elle faisait ça contre son gré. Après tout, ça se voyait qu'elle appréciait ces moments autant que lui. La preuve, elle en redemandait souvent. Cette relation n'était donc pas forcément très saine, mais qu'importe, tant que ça leur allait à tous les deux. "Ah bon? De quelle façon?" Jimmy sourit tout en s'approchant encore un peu plus d'elle. Il savait qu'elle n'était pas du genre facile, qu'elle ne se donnait pas à n'importe quel mec. Du coup, ça le rendait encore plus spécial, et il adorait ça. c'est vrai que c'était toujours plus plaisant de se savoir être l'un des seuls à pouvoir profiter de ce corps plutôt que de passer sur un corps qui en avait déjà vu des centaines d'autres. "Je suis arrivée au bon moment alors". Jimmy haussa les épaules avec un petit sourire dessiné sur ses lèvres. "Je crois qu'on peut effectivement dire ça, oui". Il s'approcha encore un peu d'elle pour finalement venir déposer ses lèvres sur les siennes. Il passa sa main dans son dos et dégrafa déjà son soutien-gorge d'une main à travers son haut

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Je le sentais se rapprocher de moi, dangereusement. Ce n'était surement pas pour pouvoir mieux discuter avec moi qu'il s'était rapproché et avait déposé une main sur ma cuisse. Les signes ne trompaient pas, je n'étais pas dupe, et lui encore moins. Je ne comptais pas le repousser bien au contraire. Je ne demandais que ça. J'aimais cette tentation entre nous. J'étais devenue vulnérable face à ça, incapable de sortir mes armes du "ne m'approche pas". La tentation était beaucoup trop forte pour y résister. « Je crois qu'on peut effectivement dire ça, oui. » Je n'avais pas eu le choix que de ne rien dire de plus. Je sentais ses lèvres que je connaissais si bien se déposer sur les miennes. Je ne pouvais que prolonger le baiser qu'il venait de m'offrir. D'une main, il me dégrafa le soutien-gorge par dessus la blouse. Une question d'habitude. Il n'avait aucune difficulté pour ce genre de chose. Une de mes mains venaient se déposer au niveau de sa nuque alors que l'autre glissait le long de ce dos. Nous étions définitivement parti pour une partie que l'on jouait souvent ensemble. Une habitude qui se faisait tout naturellement, qui ne demandait pas de réticence envers l'autre et qui était sans limite. C'est ça que j'aimais par dessus tout avec lui. Nous ne perdions jamais notre temps mais faisions justement tout pour en gagner. Une partie plaisir, il n'y a rien de mieux.

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