EUGÉNIE DE BOISSIEU ► siri tollerod

C'est le quinze mars 1991 à Paris, capitale française, que les membres de la famille de Boissieu-Déan de Luigné m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Eugénie Miabella. Je suis en pleine instance de divorce (oui, déjà) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis entièrement hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale très aisée, la haute bourgeoisie si vous préférez. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de droit depuis cinq ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot ou les Cabot.

Eugénie M. de Boissieu

Looks alot like the beautiful Siri Tollerod

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle night rain mais c'est toujours mieux de m'appeler Cassandra et j'ai dix-sept ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à un top-site si mes souvenirs sont bons. Le forum est toujours aussi animé, aussi attirant, aussi beau et chaleureux alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise la superbe Siri Tollerod comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par century sex. Je fais environ 200 à 400 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par Xaver FA Von Hohenzollern la bogossitude en personne.

Mot de la fin ? ▲

(il est trop mignon ce smiley EUGÉNIE DE BOISSIEU ► siri tollerod 2157042859

)
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE.
Par chance, je n'avais pas encore posé le pied à Harvard lorsque cet attentat a eu lieu. Mais j'ai entendu parler de ce malheureux événement jusqu'en France. Les images n'étaient pas belles à voir d'ailleurs. J'ai appris la nouvelle par les journaux télévisés. Je me souviens que j'étais confortablement assise sur mon canapé, une tasse de thé à la menthe bouillante entre les mains, alors que l'on diffusait les images d'étudiants pleurant de peur et de panique. Personnellement, à ce moment-là, j'avais l'esprit plus que tranquille. Aucune panique, aucune peur, aucune souffrance. Ah si. Ma tasse de thé me brûlait les doigts.

CONFRÉRIE ELIOT.
Les raisons pour lesquelles je veux intégrer la maison Eliot sont très simples. Primo, si vous ne le savez pas encore, je vais vous l'apprendre : vous avez devant vous l'arrière petite fille de Charles de Gaulle, héros de la seconde guerre mondiale et président français. De ce fait, dés ma naissance, j'ai été plongée dans un monde noble et bourgeois où l'argent ne manque à personne. Deuzio, dans la description de la confrérie, il est noté ceci : « il ne faut donc pas s’étonner à trouver des étudiants snobs, égoïstes et hautains ». C'est exactement moi. Et enfin tercio, Xaver fait parti des Eliot. Et il est inconcevable que je ne sois pas dans la même confrérie que lui. C'est une raison plus personnelle mais qu'importe. Vous l'aurez compris, ma place est chez les bleus.

CONFRÉRIE CABOT.
Je préférerais largement être admise chez les Eliot mais si j'échoue, j'irais chez les Cabot. Après tout, on dit qu'elle n'accueille que des perfections féminines. C'est parfait pour moi. Et puis je suis une petite princesse, je l'avoue, c'est souvent pour ça que certaines personnes ont du mal à m'apprécier. Mais personne ne pourra rien y faire, la vie est ainsi faite. En tout cas, la confrérie Cabot pourrait bien me convenir, en espérant qu'il n'y ait pas trop de crêpages de chignon.

(Invité)

CHAPTER NUMBER ONE, CHILDHOOD ❖ Lorsqu'un nouveau né vient au monde, il ne choisit ni sa famille ni le monde social dans lequel il grandira. Le destin s'en charge à sa place. Et je dois avouer que le destin a bien fait les choses en ce qui me concerne. Dés ma naissance, à Paris, je fus plongée dans un monde où personne ne manque de rien et où la luxure est reine. La haute bourgeoisie française, une noblesse accessible à peu de gens mais dont les de Boissieu-Déan de Luigné font parti depuis des générations. Mais Charles de Gaulle a donné encore plus d'estime à ma famille puisqu'il n'est autre que mon arrière grand-père. J'étais impressionnée quand j'étais gamine. Encore plus quand je le voyais dans les bouquins d'histoire à l'école. Aujourd'hui, notre famille est pleine aux as. Et c'est ainsi que j'ai toujours vécu. Avec mes deux frères, nous étions pourris gâtés par mes parents. Il nous suffisait presque de claquer des doigts pour avoir tout ce qu'on voulait. Mes parents possédaient trois châteaux à travers le pays, des gouvernantes étaient à notre disposition, on était invités à des dîners mondains avec toute sorte de personnalité, on nous apprenait les bonnes manières et on nous emmenait à l'école en berline de luxe. La belle vie. Mon enfance s'est déroulée ainsi, dans ce monde où tout est inestimable. Où la richesse prône.

CHAPTER NUMBER TWO, XAVER ❖ Xaver Franz-Alexander Von Hohenzollern. Deux années de ma vie. Nous avions seize ans tous les deux lorsque nous nous sommes rencontrés à ce gala. Une soirée mondaine qui se déroulait à Paris et pour laquelle la famille royale d'Allemagne avait fait le déplacement. Je me rappelle encore de Xaver ce soir-là. Je le revois ajuster son noeud papillon devant un immense miroir. Et je me rappelle surtout du premier regard qu'il m'adressa. C'est celui-ci qui, si je n'avais pas été assise, m'aurait fait tomber à la renverse. Notre histoire dura deux ans. Sentimentalement, ce furent les plus belles années de ma vie. J'étais terriblement amoureuse. Je n'avais encore jamais été éprise d'un homme à ce point. Nous nous envoyions des lettres jusqu'à tomber en pénurie de papier et d'encre. J'aurais tout fait pour Xaver, absolument tout. Il était devenu ce que j'avais de plus important dans ma vie. J'étais heureuse, amoureuse et épanouie mais à l'approche de nos dix-huit ans, je commençais à prendre peur de l'engagement. J'avais l'intuition qu'une probable demande en mariage se préparait. J'avais la trouille de devoir laisser ma famille pour partir vivre en Allemagne, de décevoir mon entourage, j'ignorais ce que la vie dans une famille royale était et je ne voulais pas me lancer dans l'inconnu. J'eu alors l'erreur de laisser entrer un autre homme dans ma vie, Julian, un homme d'affaires français aux origines latines qui vivait à Paris. J'étais toujours amoureuse de Xaver. Profondément amoureuse. Mais après quelques mois de fréquentation et mes dix-huit ans tout juste passés, Julian me demanda en mariage. Tout était plus simple avec Julian. Il habitait Paris, nous pouvions nous voir tout le temps, je n'avais pas à traverser l'Europe pour le retrouver. Et j'étais attachée à lui. Alors j'ai dis oui. La plus grosse erreur de ma vie. Quelques jours après, ma dernière lettre à l'adresse de la famille royale était postée. Une lettre accompagnée de toutes celles que Xaver m'avait envoyé pendant nos deux années de relation. Malgré mes sentiments encore bien ancrés, je devais mettre un terme définitif à toute relation avec Xaver. Je ne voulais plus recevoir aucune lettre de sa part. J'allais me marier avec un autre. Je le disais : la plus grosse erreur de ma vie.

CHAPTER NUMBER THREE, REGRETS ❖ Presque quatre ans se sont écoulés et j'ai demandé le divorce. Xaver est toujours présent. Je m'étais mise à rêver de lui, de plus en plus. Je pensais tellement à lui que j'en avais des migraines. Je l'ai toujours aimé. Le divorce en cours, j'ai décidé de quitter la France, mon dossier ayant été accepté à Harvard. Et qui disait Harvard disait Xaver. J'espérais le retrouver, je priais pour qu'il m'aime toujours, pour qu'il puisse me pardonner. J'étais prête à n'importe quoi pour qu'il m'accepte à nouveau. Je suis arrivée à l'université d'Harvard en milieu d'année. Et à peine avais-je repris les études que j'avais osé aller voir Xaver. Ca avait été un choc d'ailleurs. Un gros choc émotionnel. Nous nous sommes disputés, je n'ai pas dormi pendant une semaine. Une catastrophe psychologique. Mais j'étais - et je suis - déterminée à le récupérer. C'est pourquoi j'ai passé tout l'été suivant à ses côtés alors qu'il guérissait d'un cancer. Mais alors que je pensais revenir doucement vers lui, il est parti. Il est parti se marier avec Candice. Ma vie était foutue. Là, je comprenais vraiment ce qu'il avait ressentit quand je l'avais abandonné. Un trou dans la poitrine. Un énorme trou. C'était abominable.

Je vis toujours ma petite vie de bourgeoise parisienne, sauf que maintenant, je la vis à Cambridge. Je suis sur le point de commencer une nouvelle année à Harvard, mon divorce devrait être bientôt prononcé. Mes études devraient se dérouler correctement ... et je compte me réapproprier Xaver. Il me manque, terriblement, tout le temps, sans répits. Je pense lui manquer aussi. Après tout, il me disait souvent que j'étais l'amour de sa vie. Le chapitre numéro quatre s'écriera bientôt, croyez-moi.

The End

(Invité)

La Eugénie de Xaver ? hanwii

Welc !

(Invité)

La eugénie il était temps de la voir arriver celle là :sifle:

même si j'ai plus candice par principe milena t'aimera pas :sifle:

Bienvenuuue EUGÉNIE DE BOISSIEU ► siri tollerod 1001568715