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Don't forget me Ҩ Aerin&Hadès (-18)

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Aerin Ҩ Hadès
« La vaste nuit allume ses étoiles...»  

Six mois que je suis sorti de prison, six mois que je me fais totalement discret, et plus encore, six moi que je ne l'ai pas vu...
Je ne sais pas comment je fais. Elle a toujours eu le don de me calmer, et maintenant qu'elle me connaît si bien... Enfin c'était le cas il y a trois ans, mais bon, je n'ai pas tant changer que ça... Bref, maintenant qu'elle me connaît si bien, c'est impossible de ne pas prendre mon pied avec elle.
Si longtemps que je ne l'ai pas vu, et pourtant je me souviens de chaque partie de son corps. Son visage parfait, ses lèvres fines et en même temps tentatrices. Son regard d'un bleu hypnotique pouvant tantôt être aussi froid que la mer de Bretagne, tantôt aussi chaud que l’ébullition d'un volcan... Je peux me souvenir de la cambrure de son dos, de ses hanches sous la pression de mes doigts... Et ses fesses... Bon sang ce que j'ai pu reluquer ses fesses.
Quand je l'ai connu, on aurait clairement pu me traiter de pédophile, même si elle était âgée de seize ans, cela restait totalement illégal... On aurait pu aussi me traiter de violeur aussi, car après une petite conversation ensemble, elle a confirmé qu'elle n'était pas au courant de ce qui se faisait dans notre bar à Jaime et moi.
Je lui ai ainsi volé sa première fois ainsi qu'un certain soupçon d'innocence. Si je regrette ? Absolument pas... C'est comme si je l'avais façonné et Dieu sait si la dernière fois que je l'ai vu j'étais fier d'elle. Tentatrice, belle, arrogante à souhait tout en étant parfaitement docile... C'est assurément une créature très dangereuse que j'aime maîtriser... Mais cela fait bien trop longtemps que je ne l'ai pas ainsi prise, que je ne l'ai pas vu tout simplement. Je me demande si Jaime lui a dit que j'étais sortie... Elle a certainement dû l'entendre à la télévision, je reste quelqu'un d'assez convoité médiatiquement et je hais ça, mais c'est ainsi lorsqu'on est PDG.
M'en a-t-elle voulu ? M'en veut-elle encore de ne toujours pas être venu la voir ?
Je ne sais pourquoi, mais je ne me sentais pas de la voir. Je sais quelle pouvoir mystique elle a sur moi, cette façon de réussir à me faire dire ce qui trotte dans ma tête. Et parfois cela me fait peur. Je ne sais pas comment, mais elle a cette façon de me rendre encore plus vulnérable.
J'ai voulu ainsi reprendre ma vie en main sans que quiconque puisse ainsi entrer dans mon esprit, sans qu'on ne trouble mon besoin de contrôle et surtout, sans qu'on me trouble moi...
Et même si je ne l'ai pas revu, elle a ainsi réussit à faire toutes ses choses... Qu'est ce que cela aurait été si j'avais été en sa présence dès ma sortie ?... Ou peut être ai-je tords et que cela se serait beaucoup mieux passé... Enfin les choses sont faites maintenant, et je ne suis pas du genre à regretter. Même si ces années en prison ont été un immense regret, jamais je ne l'avouerais...

J'arrive finalement dans notre bar plutôt serein. Je n'ai rien à craindre. J'arrive en terrain connu. Ceci est mon bar ainsi que celui de Jaime, et j'ai une confiance totale en lui.
Dès qu'il me voit il me sourit et vient me prendre dans ses bras. Mon corps se crispe doucement, mais je tolère ce genre de mouvement. C'est Jaime, il sait que je hais ça, mais il a besoin de ce genre de petite reconnaissance. Je vais m'asseoir finalement au bar et il retourne derrière croisant les bras contre le comptoir.
- Alors que viens-tu faire ici ?
- As-t-on avis, je souffle plein d'orgueil.
Il me sourit mais je vois dans son regard que quelque chose cloche.
- Je t'offre le whisky.
- Parce que tu crois que je comptais payer ?
Un rire sarcastique échappe à Jaime qui se retourne pour me préparer ça. J'en profite pour regarder à droite à gauche. Je remarque rapidement les nouvelles recrues, jeunes, encore insouciantes... Mmmh cela ne devrait pas tarder à se corser pour elle.
Je vois aussi des anciennes connaissances qui, lorsqu'elles croisent mon regard me font de léger signe de main avec un sourire aguicheur.
Je remarque leur nouvelle tenu, ornementée d'un peu de rouge... Je vois toutes sortes de choses mais je ne la vois pas elle.
- Où est Aerin ?
Mon ton est froid, appelant à une réponse claire, nette, et surtout rapide.
Je remarque sans aucun soucis le dos de Jaime se crisper. Mon regard se durcit.
- Ah ah ! Tu sais cette petite, à croire que traîner avec toi la rends plus forte et audacieuse.
Cela ne réponds pas à ma question.
Il pose le verre finalement devant moi et je le bois d'une traite. Cela brûle ma gorge et me donne un peu plus de force, surtout à ma voix.
- Où... est... AERIN ?!
Son visage se durcit et je remarque même une pointe de peur dans ses yeux... Pourquoi... Il lui est arrivée quelque chose ? Je me sens un peu blêmir alors que Jaime se passe une main sur le visage.
- Suis moi...
Je me lève sans cérémonie et passe derrière lui. On monte à l'étage et on peut entendre par ci par là le cris de certaines filles ou encore la voix des hommes qui se montrent obscènes. Certains manquent vraiment de classe. Finalement on arrive devant une porte et je la regarde avec rage...
Je reconnaîtrais cette voix n'importe où.
A quoi je m'attendais franchement. Elle ne m'a pas attendu pendant trois ans, et bien sûr qu'elle continue de faire son boulot... Jaime croise les bras et attends qu'elle ait finit. Moi j'écoute ma respiration restant parfaitement neutre alors qu'en moi je bout... Mon regard se durcit un peu plus alors que je sais qu'elle vient de jouir... Ce que je sais surtout, c'est qu'elle vient de simuler, et un nouveau sourire orgueilleux naît sur mes lèvres.
Lorsqu'elle sortira de cette chambre, je sais que Jaime va lui dire de venir avec moi...
Enfin elle redeviendra mienne, et maintenant je suis en colère.
Elle mérite clairement une punition...
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Je regardai la neige tomber sur la ville. Ces moments là auraient dû faire monter ma joie à son extrême. Ça sentait les fêtes, les cadeaux, la famille et les amis. Mais je n’avais rien de tout ceci et, de plus, je travaillai chaque soir pour Jaime. J’avais signé ce contrat car j’avais confiance en lui et j’étais bien payée. De surcroît, les pourboires se trouvaient être plutôt alléchants. C’est assez efficace lorsque l’on consomme. On paie en liquide et nous sommes tranquilles. D’ailleurs, c’est aussi comme cela que mon patron me paie. Au black. Du moins pour mes heures de prostitution. Il savait que si je me faisais chopper, j’irais direct en prison et, bien entendu, je ne voulais pas. J’avais quand même une vie à construire. Des études à finir. Un futur à envisager.
Je tirais une dernière fois sur ma cigarette avant de l’écraser dans le cendrier. Il fallait que je me mette en route sinon, j’allais être en retard. Connaissant Jaime depuis longtemps, j’avais le droit à quelques extras en arrivant sur mon lieu de travail comme une douche à disposition et c’était ce qui m’allait parfaitement. En effet, les journées de cours sont rudes à tenir surtout lorsque je travaille la soirée précédente. Alors, pour m’oxygéner un peu, je cours. Une petite vingtaine de minutes mais c’est toujours ça de gagné. La fraîcheur de Cambridge m’accueillit à bras ouverts tandis que je prenais vite un rythme de croisière. Mes foulées se faisaient régulières et ma respiration moins saccadée. J’avais attaché mes cheveux blonds en une queue de cheval relevée histoire de les garder le plus propre possible. J’inspirai à pleins poumons cet air nouvellement acquis et me mis même à sourire. Étrangement, je me sentais bien en Amérique. J’avais le pouvoir de devenir une autre. De tout recommencer et, surtout, de tout oublier. Le passé se trouvait derrière moi. Ou presque.

« Bonsoir Jaime ! » Dis-je en poussant la porte du bar. « Bonsoir Aerin. Je vois que tu as été courir. Tu sais où aller pour te préparer. » Je lui souris puis me suis dirigée vers son appartement, prenant une douche amplement méritée. Je sortis différents gels douche de mon sac et commença à savonner mon corps d’une façon assez méthodique. Je devais faire peau neuve pour les clients. D’ailleurs, lorsque je devenais cette fille de la nuit, j’avais l’impression de jouer un rôle. De ne plus être la douce et gentille Aerin que l’on pouvait connaître mais bien la droguée et fêtarde que j’étais à mes seize ans. Une fois les impuretés du sport gommé, j’encerclai mes yeux bleus d’eye liner histoire de les faire ressortir et colorais mes lèvres d’un joli rouge bien voyant. Je revêtis un corset rouge et noir avec un slim noir déchiré aux genoux pour finir par des escarpins rouges. La tenue spéciale fête sortie tout droit de l’imagination de notre cher Jaime.
« Tu as déjà un client ma belle. » Je levais les yeux au ciel mais me retins bien de le faire devant l’homme qui se tenait devant moi. La trentaine passée, il avait déjà une bonne calvitie et de la bedaine en trop. A mon avis, il venait là juste pour tirer un coup, les femmes de la ville le trouvant trop repoussant. « Personne d’autre n’est libre ? J’attends Monsieur … Monsieur … » Oui bon, mon mensonge se voyait à plein nez et Jaime ne fut pas dupe une seule seconde. Son sourire en disait large sur la situation dans laquelle il venait de me fourrer. « Hé bien, Vanessa est toujours libre. Ce cher Monsieur a insisté pour t’avoir. » Je soupirai et invitai l’homme à me précéder dans les escaliers. Me retournant, je plaçai mon pouce sur ma gorge en signe d’égorgement. Le message était clair mais mon cher patron me répondit par une révérence. J’haussai les épaules et me dirigeai donc avec l’homme nouvellement arrivé dans mon lieu des plaisirs comme j’aimais à l’appeler. « Alors poupée, j’espère que tu seras à la hauteur ! » Je jetais un regard évocateur à ce mec qui se croyait si sur de lui avant de lui indiquer le lit d’un mouvement de tête. « Allonge toi et tu verras ! » Bien entendu, je du diriger toute la manœuvre de A à Z. J’essayai tant bien que mal de lui faire plaisir et, vu les grimaces sur son visage, mon objectif se trouvait atteint. Quant à moi, je m’occupais du mien comme je pouvais, cherchant à tirer profit de cet homme. Mais l’évidence s’imposa vite et je me suis sentie obligée de simuler. Ceux me connaissant vraiment savaient que je jouais la comédie mais les personnes comme celui qui se trouvait au-dessous de moi étaient dupes. Fort heureusement d’ailleurs !
Une bonne heure plus tard, je me retrouvai rhabillée et attendait patiemment qu’il en fasse de même. « On ne ment pas à ton sujet. Je reviendrai ! » Me confessa-t-il tout en me tendant une bonne liasse de billets. Bon, pour cette somme, je pouvais mettre mon dégoût de côté. Je le suivis dans le couloir et me jetai sur Jaime sans prêter attention aux alentours. « T’as de la chance qu’il paie bien. Tu me revaudras ça ! » Mais il n’était plus aussi joyeux que tout à l’heure et se contenta de me répondre d’un sourire crispé. « Aerin, ton prochain client t’attend. » J’ouvris grand les yeux en croisant les bras sur ma poitrine. « Tu pourrais me laisser un peu plus de temps quand même. Je me sens salie par ta faute. » Je suivis néanmoins son regard pour découvrir Hadès. Les billets tombèrent au sol et ma bouche s’ouvrit sans qu’aucun mot n’en sorte. Brutalement intimidée, je reculai vers la porte de la chambre, rassurée de pouvoir m’adosser quelque part. « Je vous laisse. » J’observai Jaime et eut envie de lui tendre la main pour qu’il me prenne avec lui. Qu’il me réveille pour que je ne souffre d’avantage. Mais, au lieu de ça, je tendais la main vers cet homme qui a hanté mes pensées comme pour le toucher. Cependant, ça m’était interdit alors mon bras revint lentement à sa place. Tremblante, je ramassai les billets puis retournais dans le lieu précédemment occupé. « Je … Entre. Enfin tu sais quoi faire. » Me sentant faible, le lit se trouva bienvenue et je laissai enfin mes jambes céder sous mon poids. « Alors tu es de retour ? » Je ne le quittai pas des yeux, détaillant chaque centimètre carré de sa peau. C’était bien lui. Mon Dieu. Tremblante, je cachais mes mains entre mes cuisses pour ne pas trahir ma nervosité. « Qu’est-ce qui t’amène ici ? » Dis-moi que ce n’est pas pour tes affaires. Je ne le supporterai pas.

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Aerin Ҩ Hadès
« La vaste nuit allume ses étoiles...»  

Lorsque je vois l'homme sortir de la chambre, je n'ai qu'une envie, lui casser la gueule. Un regard de Jaime me permets de me contenir... Je ne doit pas faire ça dans notre bar... Ce serait malvenu et un nouveau scandale sous mon nom n'est vraiment pas le bienvenu alors que je me remets parfaitement à flot.
Pourtant, en serrant le poing, je souris en fantasmant sur mes poings se fracassant sur sa tête trop ronde... J'imagine le sang couler encore et encore alors qu'il me supplie d'arrêter. Et comme je suis le seule à décider de quand j'arrête, je continuerais plus fort jusqu'à ce qu'il en crève.
Il me lance un sourire avec un hochement de tête entendu, me signifiant de façon claire "Tu vas voir, tu vas prendre ton pied..." Je fais un pas en avant et Jaime me fait de gros yeux. Je cesse en soupirant.
Savoir que ses gros doigts boudinés ont touché son corps me dégoûte et je prie pour qu'il ait mis une capote... Et pour qu'il n'ai pas eu l'audace de fourrer sa chose dans la bouche d'Aerin...
Et alors que ce gros dégueulasse disparaît de notre vu, je la vois sortir, elle semble furibond, ses cheveux blonds sont délicieusement emmêlés. Elle se jette sur Jaime et j'en oublie le gros dégueulasse pour me concentrer sur elle.
- T'as de la chance qu'il paie bien. Tu me revaudras ça !
Encore un mince sourire qui étire mes lèvres... Il la dégoutte autant qu'il m'a dégoutté en un regard. J'aurais dû lui casser la gueule. Peut être qu'en retrouvant son nom dans le répertoire je pourrais le retrouver, me faire un dossier sur lui et trouver de quoi le faire chanter pour ne plus qu'il l'approche. Oui je vais faire ça en rentrant. Faire un dossier sur ce gros dégueulasse et tout faire pour qu'il ne la touche plus jamais, et qu'il n'ose plus jamais jouir en elle...
- Aerin, ton prochain client t'attends.
- Tu pourrais me laisser un peu plus de temps quand même. Je me sens salie par ta faute.
Je serre un peu plus les poings. Ce qu'elle vient de dire ne fait que confirmer mon prochain rendez vous dans mon agenda... Johnson reprends du service dès ce soir.
Mais avant ça, je tente de me préparer mentalement à son regard sur moi. Je ne veux pas qu'elle me voit frissonner, déglutir ou encore me retrouver ainsi démuni face à elle. Jamais.
Son regard plonge dans le mien, les billets tombent et je suis heureux de réussir à me montrer presque indifférent. Mais au fond de moi, c'est totalement le contraire. Je suis soufflé...
Bon sang, elle est si différente que dans mon souvenir. C'est dans ce genre d'instant que je me rends compte à quel point ma mémoire m'a fait défaut.
Je pensais parfaitement me souvenir d'elle, je pensais connaître chaque recoin de son corps... Mais me voilà comme un con devant une jeune fille...
Je dis n'importe quoi, j'ai quitté une adolescente il y a trois ans, je me retrouve avec une jeune femme maintenant. Ses joues sont moins rondes, ses lèvres un peu plus pulpeuses, et ses yeux plus hypnotiques que jamais.
Je n'arrive pas à détourner mon regard, pas même lorsque Jaime prends la parole.
- Je vous laisse.
Oui... Oui laisse nous, nous avons des tas de choses à nous dire et à faire. Ses pas se font de plus en plus discret jusqu'à disparaître totalement. Nous ne sommes plus que tout les deux.
Je vois sa main se lever comme pour me toucher, comme surtout pour vérifier qu'elle n'est pas en train de rêver. Je me crispe doucement, mon dos se tends et je ne la lâche pas du regard. Je n'arrive pas à lui dire d'arrêter, et pourtant je sens au fond de moi ce dégoût revenir au galop...
Non... Non ne me touche pas...
Comme si elle arrivait à lire dans mes pensées sa main retombe inerte. Un soupir de soulagement peut se faire entendre. Je ne voudrais pas qu'elle le prenne mal, mais je lui en suis vraiment reconnaissante.
Je ne la lâche pas du regard alors qu'elle se baisse. Encore une fois elle se penche et m'offre ses fesses à mon regard pervers. Bon sang... La relever, la plaquer contre le mur et la prendre sans préavis, voilà ce que j'ai envie de faire. Mais à la place, je reste totalement immobile, la laissant ramasser ce qu'elle a gagné avec ce sale dégueulasse.
Elle finit par retourner dans la chambre et je plisse le nez.
Non... Pas ici...
- Je... Entre. Enfin tu sais quoi faire.
Je la vois comme se jeter sur le lit, les jambes sans doutes tremblantes. Et je déteste me dire qu'elle est ainsi à cause de la partie de jambe en l'air.
- Alors tu es de retour ?
- Il semblerait.
Sympathique, je suis glacial, comme si je venais seulement de la rencontrer et que je voulais mettre fin à la discutions pour passer aux choses sérieuses.
Elle finit par cacher ses yeux entre ses mains... Non...
Non montre moi ton beau visage.
- Qu'est -e qui t'amène ici ?
Je ne réponds rien, faisant un pas en avant, puis un autre, et un dernier. Me voilà en face d'elle. Je pose ma main sous son menton, la forçant à me regarder.
- Tu sais parfaitement pourquoi je suis là...
Oui elle doit le savoir, pour elle... Mais pas seulement pour la baise, je suis vraiment là pour elle, s'en rend-elle seulement compte...
- Viens, je refuse de toucher à ce foutu lit, je souffle avec haine.
Sans la prévenir, j'agrippe son bras, me penche, prends une impulsion et la mets par dessus mon épaule. Je la prends un peu comme un sac à patate, ce qu'elle est loin d'être au contraire, elle est légère comme une plume, mais je ne suis pas du genre à la porter comme une princesse... Vraiment pas de ce genre là.
Je vais vers la porte au fond à droite, les clients ne le savent pas mais c'est dans cet endroit que l'on a mit une salle de bain pour les privilégier afin qu'elles puissent se rafraîchir. Et c'est clairement ce que je vais offrir à Aerin.
Je la repose finalement, fermant la porte derrière moi. Le cliquetis annonçant que je nous enferme à clé résonne. Elle ne peut ainsi plus m'échapper.
- Tu voulais ne pas te sentir salis. Déshabilles toi.
Un ordre clair et net.
Pendant ce temps, je retire ma veste que je pose contre la chaise et je déserre ma cravate. Oui je compte bien la laver et retirer toutes traces de ce sale pervers. Je ne veux que moi, que mes marques montrant qu'elle est à moi et moi seul.
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Est-ce que j’étais en train de rêver ? Encore une fois ? J’en avas fortement l’impression. Hadès ne pouvait pas se trouver là, devant moi. Trois ans nous on séparé et depuis toujours, j’essayais de me convaincre qu’il m’avait oubliée. Que je pouvais avancer sans lui. Me refaire un nom loin de toute mon adolescence mais, apparemment, je m’étais trompée. Et ce beau brun ténébreux était revenu. Il n’avait pas changé si ce n’est peut-être qu’il avait les cheveux plus longs et un peu plus de muscles qui tendaient légèrement sa chemise. Sans plus réfléchir, je me mordis la lèvre, désireuse de le toucher. C’est d’ailleurs pour cette raison que je tendis la main – mais aussi pour voir s’il était ben réel – en oubliant momentanément qu’il refusait d’être touché. Quelques instants, mon geste se trouva suspendu dans les airs et seuls quelques centimètres séparaient nos deux épidermes. Puis tout me revint en mémoire et ma main se figea pour redescendre bien vite. Son soupir de soulagement ne fit qu’accroître mon sentiment d’être bien en face de celui que j’ai attendu pendant toutes ces années. Billets en main, nous sommes entrés dans la chambre et je me retrouvai assise sur le lit, les jambes coupées. Malgré le dégoût que m’inspirait cet objet, il était néanmoins bienvenu. Stressée et dérangée par cette apparition soudaine, je ne savais plus quoi dire et quoi faire. Mes pensées s’emmêlaient sans jamais réussir à en extraire une meilleure que les autres. C’est d’ailleurs pour cette raison que j’enchaînai presque mes questions et me cachais le visage, me sentant honteuse d’être aussi directe. Parfois, être droit avec Hadès n’était pas la meilleure solution pour être bien traitée. Sa première réponse fut froide et complètement dénuée de sentiments. Cette dernière m’arracha un frisson qui se répandit dans toute mon échine et réveilla une bonne chair de poule. Il semblerait bien que l’homme ai rafraîchi l’atmosphère rien qu’en parlant. Mais je n’en avais que faire.  Sa voix m’avait tellement manquée. Rauque et si contenue. Je déglutis, un tremblement commençant peu à peu à gagner mon corps. Je sens l’émotion arriver. Contiens-toi Aerin. Ce n’est qu’Hadès. Non ce n’est pas qu’Hadès. C’est l’homme qui m’a pris ma première fois, qui m’a fait goûter à la drogue et dont je suis tombée éperdument amoureuse. C’est le mec qui m’a manqué durant ces trois dernières années et qui a laissé un immense vide dans mon cœur. J’entends ses pas. Il se rapproche. Je ne peux pas le voir mais je peux le sentir. Il y a toujours eu cette connexion entre nous. Ne le laisse pas te voir dans cet état. « Tu sais parfaitement pourquoi je suis là... » Ses doigts sur ma peau, son regard rivé au mien. Ses beaux yeux bleus/gris. Je les avais presque oubliés. Comment ai-je pu ?  « Viens, je refuse de toucher à ce foutu lit, » J’hausse les sourcils mais n’ai pas le temps de réagir que, déjà, je me retrouve sur son épaule jetée comme un vulgaire objet. Je tape sur son dos pour la forme. « Lâche-moi maniaque du contrôle ! » Le rire qui accompagne ces mots ne me fais cependant pas passé pour une fille autoritaire. Au fond, je suis heureuse de le retrouver, de sentir  nouveau son parfum et de voir qu’il est resté le même. Sauf que, qui dit rester le même, dit aller voir d’autres filles et rester un passe-temps pour lui. Une petite pute de plus dans sa liste. J’ai à peine le temps de dire ouf et de m’apitoyer sur mon sort que je sens déjà le sol sous mes pieds. En regardant autour de moi, je remarque la salle de bain attitrée aux filles les plus anciennes. Un léger sourire étire mes lèvres tandis que le verrou de la porte résonne dans la pièce. « Tu voulais ne pas te sentir salis. Déshabilles toi. » Je déglutis et commence à délasser mon corset. C’est un ordre et si je n’obéis pas, j’ai peur de ce qu’il serait capable de me faire. Alors le vêtement tombe doucement au sol suivit de mon pantalon. J’allais enlever mes sous-vêtements lorsque ma vue commence à se brouiller, noyant ma vision dans une dimension floue où tout objet est déformé. Sa présence dans mon dos me rend plus forte. Je veux savoir. Je ne veux pas être esclave d’un homme qui cache autant de secrets. « Tu n’as pas la tête d’un mec sorti il y a peu de prison. Où étais-tu ? » Le visage strié de larmes, je lui fais face et pointe un doigt accusateur vers lui sans pour autant le toucher. Par la même occasion, il peut dévorer mon corps devenu beaucoup plus svelte et élancé. Ma hanche est marquée d’un tatouage représentant une date. Celle où j’ai eu affaire à lui pour la première fois. C’est peut-être complètement idiot mas ça montre le contrôle qu’il exerce sur moi. « Je pensais ne plus jamais te revoir. » En quelques minutes, j’ai réussi à me contredire. A lui monter que j’avais jeté l’éponge sur mon passé mais, qu’au fond de mon être, je continuais d’espérer son retour. Mes yeux bleus l’ont scruté un bon moment avant que je ne me détourne pour aller ouvrir les robinets de la douche. Je devais reprendre un peu le dessus sur mes émotions. Hagarde, je passais les mains sur mon visage pour revenir à nouveau en face de lui le temps que l’eau ne chauffe. « Montre-moi que tu es toujours aussi habile pour débarrasser les filles du superflu. » Je n’attendais qu’une chose. Qu’il me délivre des mes derniers morceaux de tissus pour le sentir contre moi. Allez Hadès, touche-moi.

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Je déteste la voir sur ce lit merde. Même si elle est là pour se reposer car je vois assez facilement que ses jambes trembles, je hais la voir sur ce lit parce qu'il y a à peine dix minutes, c'est avec lui qu'elle était... Cette espèce de sale porc, en train de faire semblant de jouir alors qu'il jouissait en elle... Il faut vraiment que je lui demande s'il portait un préservatif... Pitié que ce soit le cas, sinon je ferait carrément brûler son lit, et elle, je lui ferais nettoyer son intimité avec de l’arsenic s'il le faut !
Mais avant même que je ne puisse lui demander elle enchaîne les questions et je la regarde alors qu'elle se cache. Il est vrai qu'habituellement, je n'aime pas qu'on me pose des questions, mais c'est Aerin, sans le savoir elle a le droit à ce genre de petite fantaisie. Je réponds froidement, ne changeant pas de mes anciennes habitudes. La prison ne m'a nullement changer, au contraire. Je crois que je suis plus colérique qu'avant, je me hais toujours un peu plus mais dans le fond je suis resté le même connard.
Et lorsqu'elle me demande pourquoi je suis là, je me sens frissonner... C'est pourtant si évident la raison de ma présence, peut être trop justement. Mais lui faire comprendre ça n'est vraiment pas dans mes priorité. Ce que je veux par dessus tout c'est qu'elle dégage de ce putain de lit dégueulasse... Je déteste voir les draps défait, tout comme ses cheveux par la même occasion.
En un rien de temps elle se retrouve sur mon épaule en train de se débattre. Alors qu'elle me frappe le dos, je me crispe doucement, mais un sourire joueur apparaît sur mes lèvres...
Elle a des droits qu'elle même ignore...
- Lâche-moi maniaque du contrôle !
Sans que je puisse le contrôler, un rire sarcastique m'échappe alors qu'elle aussi rigole. Elle est sérieuse là ! Mais son rire donne beaucoup moins de crédibilité à son discours. Pour la faire taire, je donne une tape ferme sur ses fesses. C'est moi qui contrôle oui, et pas le contraire.
Une fois dans la salle de bain, je la repose par terre, nous enferme et lui ordonne de se déshabiller.
Elle commence par son corsage sans hésitation. J'hoche la tête, heureux de voir qu'elle sait toujours se montrer docile. J'en profite pour retirer ma veste et déserrer ma ceinture sans défaire le nœud. Non, il va me servir.
Je me tourne vers elle alors qu'elle est en sous vêtements. Je commence à défaire les premiers boutons de ma chemise lorsque je vois les larmes couler sur ses joues...
Quoi... Non non non!
- Tu n’as pas la tête d’un mec sorti il y a peu de prison. Où étais-tu ?
Il fallait bien qu'elle pose la question bien sûr... Elle sait que j'ai été en prison, et elle sait que j'en suis sortie et pas dans la journée...
- J'ai une entreprise à gérer... Il fallait que je remette en place tout ce bordel. Maniaque du contrôle tu te souviens, je souffle sérieusement.
Son doigt et proche de moi, accusateur et me désignant d'une façon que je n'aime pas, mais j'apprécie le fait qu'elle ne me touche pas.
Mon regard divague, allant sur sa poitrine un peu plus généreuse qu'avant, ses hanches plus marquée et ses jambes plus fines. Mes sourcils se fronces lorsque je remarque du noir... Un tatouage, sérieusement ?
D'ici je n'arrive pas à voir exactement ce que c'est, un nom ? Des chiffres... Je pense que j'aurais tout le temps de lui demander, et plus encore d'admirer cette fantaisie.
- Je pensais ne plus jamais te revoir.
Sa voix me ramène à la réalité et je repose mon regard droit dans le sien.
- Ne dis pas n'importe quoi... Je suis toujours revenu...
Je m'approche de nouveau d'elle, posant une main sous son menton afin de la forcer à lever le regard, je souffle un peu plus bas :
- Toujours...
Elle finit par se détourner à mon plus grand regret pour aller ouvrir la douche.
Alors qu'elle tente de se redonner une contenance, j'en profite pour finir de déboutonner ma chemise. Je retire les boutons de manchette et elle finit par rejoindre ma veste. Je glisse mes pieds hors de mes chaussures, fait glisser mes chaussette. Je fais glisser mon pantalon que je plie pour mettre sur la chaise et finalement, mon boxer rejoint le tout. Me voilà totalement nu devant elle, mais je n'ai aucune gène.
Je me tourne de nouveau pour la regarder alors qu'elle me fait de nouveau face, changeant une nouvelle fois d'humeur.
- Montre-moi que tu es toujours aussi habile pour débarrasser les filles du superflu.
Il faudra pas me le dire deux fois. Dans un grognement sourd, je prends la cravate entre mes mains et m'approche d'elle. J'entre dans la douche l'eau coulant doucement sur nos deux corps.
Sans lui demander son avis, je prends ses poignets et les fais glisser dans le nœud de cravate que je serre afin de la ligoter.
- Je veux que tu me fasses face.
Je souris en levant les bras, les siens avec. Je m'approche de la porte de douche, ne la fermant pas totalement et je l'attache les bras en l'air.
- Cela vous permettra d'être docile Mademoiselle Frozen.
Me laissant ainsi tout le loisir de la toucher sans aucune protestation de ses mains, je glisse ma main dans sa nuque, faisant descendre tendrement mes doigts jusqu'à la naissance de sa poitrine je souris alors que je me penche pour regarder de plus près son tatouage.
- Alors comme ça on a voulu se marquer à vie une date aussi importante...
Je la regarde droit dans les yeux... Oui, je me souviens de cette date, et la voir tatouer sur son corps m'excite encore plus... Mais avant...
- On va retirer le superflu...
Je glisse ma main contre son intimité, faisant de léger va et viens comme la nettoyer de sa crasse et soudain ma question me reviens en tête.
- Dis moi qu'il portait un préservatif ?
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I don't make love, I fuck hard !

Je ne peux retenir ces larmes qui libèrent ma trop grande douleur d’avoir été séparée de lui. Bien sûr, dans cette eau salée, ne se trouve pas que de la tristesse. Il y a de la joie aussi. Celle de le voir là, en face de moi. Mes jolis rêves sont devenus réalité. C’est presque trop beau pour y croire. Je veux le toucher. Ses cheveux soyeux, ses muscles si bien dessinés et sa zone interdite. Son torse. Autant j’arrive parfois à atteindre ses bras ou son visage mais ses pectoraux et ses abdos – si bien sculptés – restent inaccessibles à mon contact. Je ne sais pas pourquoi il a aussi peur et je n’insiste pas. Tout le monde a des cicatrices, de vilains souvenirs et s’il doit m’en parler, il le fera en temps voulu. En attendant, je ne peux m’empêcher de saliver devant le haut de son corps qui se dévoile à moi. La base de son cou et le haut de son buste est un spectacle vraiment très attrayant pour mes yeux. Tellement que j’en oublie ma dernière question et que mes larmes se tarissent petit à petit. Quel effet Monsieur Stark ! « J'ai une entreprise à gérer... Il fallait que je remette en place tout ce bordel. Maniaque du contrôle tu te souviens, » Je sursaute, brutalement tirée de mes rêveries. J’étais restée bloquée comme une statue et mon bras se met alors à rejoindre mon corps. Maniaque du contrôle. Maniaque du sexe aussi. Il sait ce qu’il doit faire pour m’avoir rien qu’à lui. Je lève les yeux au ciel mais ne peut m’empêcher de laisse un petit sourire éclairer mon visage. Il a remarqué mon tatouage. Saura-t-il au moins deviner ce qu’il signifie pour moi ? C’est une bonne question à laquelle je ne peux malheureusement pas répondre. Hadès est si compliqué à cerner que ça en devient rageant. Il peut être froid et distant comme charmeur et incroyablement attentif. Le chaud et le froid. Le rouge et le bleu. Cinquante nuances. Des milliers de combinaisons. Un labyrinthe. Il le prouve d’ailleurs en s’approchant. Doucement tel un félin. Ses yeux m’hypnotisent et mes membres inférieurs refusent de bouger. Danger. Ça semble clignoter au néon dans mon esprit et des alarmes retentissent dans mes oreilles. Tu joues avec le feu chérie. Oui mais j’aime ça. Sa première affirmation me semble lointaine, brouillée comme si je me trouvais sous l’eau, tous les sons étouffés. Il aspire mes sens et mon énergie. C’est ça l’effet Stark. Il refait ce geste que j’aime tant. Ses doigts sous mon menton. « Toujours... » Mes joues se teintent de rouge. J’ai tout saisi cette fois. Il est à moi pour quelques temps. Pas exclusivement mais je détiens le monopole sur toutes ces garces qui veulent s’enticher de lui. Embrasse-moi. Non, pas tout de suite. Je dois revenir à la raison et, pour cela, il n’y a qu’un seul moyen ; me détourner. L’eau coule sur mon bras et chauffe petit à petit jusqu’à ce qu’une légère vapeur s’installe dans la pièce où nous nous trouvons. J’inspire cette vapeur et me redonne une contenance avant de me retourner. Et là, c’est le drame. Je me retiens aux parois de la douche. Il est si … Magnifique. Et encore, ce mot n’est pas assez fort. Mes yeux s’imprègnent de chaque détail de son corps. Mes dents viennent à l’encontre de ma lèvre inférieure quand je passe sur son membre si viril. Je ne vais pas me mentir, j’ai toujours envie de lui. Ça ne changera pas. D’où cet ordre qui sort de mes lèvres sans que je ne puisse le retenir. Oups … Monsieur n’aime pas quand les ordres fusent. Punition ? Non, son grognement m’en dit long sur son état d’esprit et je ne peux retenir un hoquet lorsque la cravate se trouve entre ses mains. Je vais prendre cher et j’en tremble d’excitation. Mes yeux se mettent à briller et je me laisse faire docilement, savourant le tissu qui caresse la peau si fine de mes poignets. « Je veux que tu me fasses face. » Un rire rauque m’échappe et je penche la tête en arrière, lui montrant ma soumission totale. C’est fou comme je m’amuse. « Tout ce que tu voudras. » Je souris en me passant ensuite la langue sur les lèvres, essayant d’attiser sa flamme. Puis mes bras se retrouvent bloqués. Ça tire sur mes épaules et les muscles de mon dos mais qu’importe. Je sais que mon esprit pensera à autre chose dans les minutes suivantes. « Cela vous permettra d'être docile Mademoiselle Frozen. » Mon souffle s’accélère tandis qu’il me caresse et je ne peux m’empêcher de me tortiller. Je veux le toucher. « Vous satisfaire est notre priorité Monsieur Stark. » Des mots dits dans un souffle. Mes yeux se ferment déjà. J’avais oublié toutes les sensations qu’il pouvait me procurer. « Alors comme ça on a voulu se marquer à vie une date aussi importante... » Son regard est à nouveau fixé au mien. Les yeux mi-clos, je ne peux que sourire d’une manière évasive. « Je vois que notre passé n’a pas été effacé de ta mémoire. » Je ronronne et jubile intérieurement. Je fais encore partie de ses souvenirs. YOUPI ! « On va retirer le superflu... » Sa main habile sait quoi faire et je sens mon corps se liquéfier sous ce contact si agréable. Quelques gémissements m’échappent tandis que je m’abandonne complètement, la cravate me retenant comme il se doit. Je suis la proie, il est le chasseur. « Dis-moi qu'il portait un préservatif ? » Un frisson m’échappe. Pas de désir mais de dégoûts. La même lettre au commencement mais pas le même sens. Sans le vouloir, je me crispe et rouvre subitement les yeux. Mais mon esprit se trouve encore embrumé. Je ne sais plus où j’en suis, ce que j’ai fait avant. J’en oublierai presque mon identité. « Je … Je ne sais plus. » Je fronce les sourcils, tentant de refaire jaillir les souvenirs. « Sûrement. C’était moi au-dessus. Il n’était bon à rien ce vieux croûton. J’ai du faire ce qu’il fallait. » Mais je tends déjà mon corps vers lui, tentant de balayer cette question. Le sexe est la seule chose qui puisse le détourner de ce moment-là. « Je t’offre plus que lui. » Sourire. « Je suis à toi Hadès. Ton jouet. Ta soumise. » Regard aguicheur.

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Aerin Ҩ Hadès
« La vaste nuit allume ses étoiles...»  

La voir ainsi, aussi vulnérable me rappelle de bon souvenir. J'adore voir son corps nu à ma merci, ses bras tendu tentant de bouger en vain car pour ce qui est des nœuds, je suis étonnement doué.
Oui j'adore la voir ainsi, à ma merci et ce n'est qu'en la voyant ainsi que je me rends compte à quel point elle m'a manqué. Elle a le don de me rendre totalement dingue. Jaloux, possessif, froid, con... Mais elle me rends aussi vulnérable. Je ne comprends pas comment elle fait, mais je parle en sa présence, je dis des choses que je ne dis à personne d'autre. Je ne suis pas sûr qu'elle réalise que ce que je lui dit est... Intime ou si elle pense que ce n'est que le baratin habituel que j'offre aux autres filles.
Je suis un beau parleur, le peu que je dis ne sont que des phrases purement réfléchit, choisit avec soin pour telle ou telle fille. Et cela marche toujours car il y a un truc, une sorte de charisme ou pire encore, ce mystère autour de moi qui les attirent. Je ne vais pas m'en plaindre, mais parfois, ça me dégoûte à quel point il est facile de les avoir.
Mais je ne comprends pas pourquoi je reviens toujours à elle alors qu'au fond je sais que je peut toutes les avoirs. Ce n'est pas de l'égocentrisme, juste une réalité.
Et je lui confirme ce qui trotte dans ma tête, avançant vers elle en lui disant que je reviendrais toujours vers elle. Elle rougit, je souris, c'est aussi simple que cela. Il est encore une fois si facile de faire plaisir à une femme, mais elle n'est pas n'importe qui, et mes paroles sont pour une fois pleine de sens.
L'eau glisse rapidement sur nos corps, elle est rapidement attachée et on en revient au tout début, ce moment ou j'aime la voir aussi vulnérable. C'est ainsi, elle est à moi et cela semble lui plaire. Ce n'est plus ce dégoût pour l'autre pervers qui se lit sur ses yeux, qui glisse sur sa bouche ou encore caresse son corps. Mais c'est moi, c'est bien moi tout entier qui prends place peu à peu et ces paroles ne font que me confirmer mes pensées.
- Vous satisfaire est notre priorité Monsieur Stark.
Je souris m'approchant d'elle.
- Tu as bien retenu la leçon.
Et finalement, je m'attarde sur son corps de femme, plus ferme, plus sensuel, et cette marque à vie sur sa peau. La date de notre rencontre... Peut être la date du début de son enfer mais vu le plaisir malsain qu'elle à gesticuler en cet instant, je me dis que ce ne peut être si négatif pour elle.
-  Je vois que notre passé n’a pas été effacé de ta mémoire.
Comment oublier. J'ai une très bonne mémoire des chiffres, des dates aussi, encore plus lorsque celle-ci.
- Tu préférerais que j'oublie, je murmure doucement, impatient de connaître sa réponse...
Mais ce n'est pas le plus important pour l'instant. Plus je la regarde, plus je suis excité et cela commence à se voir. Elle veut que je retire le superflu, que je retire surtout ce que ce sale porc à pu lui faire, parfait... Je vais commencer en glissant mes doigts partout sur son corps. Elle se tortille encore et je claque doucement sa peau.
- Restes tranquille...
Et soudain, alors que je m'approche de son intimité, je me mets à paniquer en pensant à un détail en particulier... Le préservatif... Je veux en être sûr, je veux être certain que ce dégueulasse ne la pas souillé jusque là.
- Je … Je ne sais plus. Sûrement. C’était moi au-dessus. Il n’était bon à rien ce vieux croûton. J’ai du faire ce qu’il fallait.
Ce n'est pas vraiment ce que je voulais entendre. Moi ce que je veux ce sont des certitudes. Il n'y a aucune place pour des à priori, des "et si" ou encore des peut être. déjà mon corps vers lui, tentant de balayer cette question.
- J'aurais préféré qu'il ne te touche pas...
Putain je viens de dire ça ?! Je détourne la tête pour ne pas montrer ma défaillance en cet instant. Ma mâchoire se crispe et je la regarde de nouveau en colère.
- Je t’offre plus que lui. Je suis à toi Hadès. Ton jouet. Ta soumise.
Je frissonne lorsque j'entends son nom glisser dans sa bouche, avec sa voix un peu plus grave et sexy. Et voilà qu'elle trouve les mots pour me rendre plus calme. C'est peut-être dégueulasse, les autres trouverait ça insultant et choquant le fait qu'elle me dise qu'elle est mon objet, mais c'est ce dont j'ai besoin.
- Oui, tu es à moi.
Et je plonge sur ses lèvres, l'embrassant avec fougue et colère. Je les presses contre les miennes, savourant son goût sucré. J’entrouvre ses lèvres, glissant ma langue contre la sienne. J'en profite aussi pour mordre sa lèvre inférieure en grognant.
Je rapproche mon corps d'elle, heureuse qu'elle n'ait pas ses mains pour me toucher, je ne l'aurais clairement pas supporté. Ma main glisse sur sa hanche cherchant à la maintenir pour ne pas trop qu'elle gigote, et afin de pouvoir retirer le superflu, et ajouter une touche de moi, je glisse ma main contre son intimité, faisant de léger va et viens et souriant intérieurement.
- Je sens à quel point je t'ai manqué, je souffle contre ses lèvres.
Car elle est mouillée, et ce n'est clairement pas la douche qui fait ça.
fiche par century sex.
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Aerin Ҩ Hadès
« La vaste nuit allume ses étoiles...»  

Je ne me suis jamais sentis aussi vivant qu'en cet instant...
Cela faisait des années que mon cœur avait comme cessé de battre... Au final, avait-il déjà battu avant que je ne la rencontre ? Je n'en suis pas certain. Elle a réussit à activer ce qui me semblait improbable.
Et quand je suis allé en prison, je me suis retrouvé de nouveau comme un pantin. Je me suis encore renfermé sur moi même, c'est à peine si j'ai parlé lors de mon séjour en prison.
Elle gesticule alors que je suis hors de porté pour elle. Pour certain cela ressemblerait à du sadisme, pour d'autre, à de la torture tout simplement, pour moi, cette façon d'agir avec elle, c'est une forme d'amour...
Et elle ne se rends peut être pas compte de la façon dont elle est privilégié par rapport aux autres filles. Ou peut être que si... Elle se joue peut être de moi sans même que je m'en rende compte. Mais je crois que je m'en moque. La voir ainsi me fait oublier tout le reste. Elle est à moi, rien qu'à moi et le tatouage qu'elle a sur elle ne fait que marquer un peu plus mon territoire d'une certaine manière.
- Parfois je me demande juste ce que ma vie serait si cette date n’avait pas existée.
Elle ne réponds pas, et je crois qu final que je m'attendais à cela. Elle est très doué pour me faire languir d'une certaine manière, et si je suis mystérieux, elle sait parfaitement que ce qu'elle fait là à souvent le don de me faire réagir... Pourtant là je décide de me taire, car dans le fond ce n'est pas le tatouage que je veux voir. J'aurais tout le temps de le regarder lorsqu'elle aura hurlé mon nom encore et encore et qu'on sera allongé je ne sais où pour reprendre notre souffle... Là elle ne m'échappera pas et j'aurais ma réponse... Même si je pense savoir laquelle elle seras, je veux l'entendre de sa bouche.
Je veux entendre quelque chose de plaisant maintenant et oublié le fait que seulement quelques minutes plus tôt elle simulait avec un homme affreux... Quand je repense à sa façon de me regarder et de me souligner le fait qu'Aerin était un bon coup... Bon sang je ne le sais que trop, et je me plais à me dire que je suis celui qui l'a éduqué. C'est donc de ma faute si elle a couché avec cet homme... Mais j'ai parlé de pensées plaisantes non ?
Et voilà que je rumine au lieu de profiter pleinement de cette superbe femme qui est à ma merci tout simplement.
Mais malgré ça, je crois que mon regard me trahis. A peine le croise-t-elle qu'elle me lance avec une certaine haine un courage presque désastreux.
- Et combien d’autres filles ont droit à ton sexe hein ?
Mais je ne peux m'empêcher de sourire face à cet affront.
- C'est que ma petite chatte aurait prit du poil de la bête.
Je m'approche doucement d'elle, réfléchissant posément avant de répondre.
- Et pour satisfaire ta curiosité, je ne fais pas le compte de ce genre de chose... Jalouse ?
Mon sourire ne m'a pas quitté, et j'ai déjà hâte de savoir ce qu'elle va répondre à ça. Ce que je sais, ce que je sens surtout c'est qu'elle ne va pas aimer cette réponse.
Et enfin, après ce petit jeu de chat et de la souris, nos lèvres se retrouvent.
Je ne me suis jamais sentis aussi vivant qu'en cet instant...
Oui je l'ai déjà dit, mais là, ce simple contact réactive en moi des sensations que je pensais totalement disparu. Au final nous avons tous des lèvres, mais même les yeux fermés je reconnaîtrait les siennes entre mille. Et lorsqu'elle gémit, je sens au fond de moi ses fourmillements distinct. Bon sans elle veut me rendre dingue déjà... Je tente de me montrer distant, de ne pas trop monter l'effet qu'elle me fait. C'est idiot vous pouvez penser, mais c'est ainsi que j'agis. Je laisse tout de même mon corps prendre le dessus, mes mains se baladant sur son corps et allant jusqu'à son intimité.
Je sens tout de suite que je lui ai manqué et cela me fait sourire contre ses lèvres.
- C’est si bon …
Je la regarde droit dans les yeux satisfait.
- Tu lui as dit ça à l'autre aussi tout à l'heure ?
Pas du sadisme, de la simple curiosité... Même si je sais là qu'elle est sincère, je peux le voir avec son langage corporel.
Bon c'est peut-être un peu de sadisme et que je cherche à la titiller un peu...
Je rapproche mon corps, collant mon torse à sa poitrine adorant sentir la sensation de sa chair sur la mienne. Un gémissement m'échappe sans que je le veuille... Bon sang c'est donc ça.
- Je vais m'occuper de toi !
Je finis par prendre ses cuisse entre mes mains et la soulever pour que ses jambes entourent ma taille.
Sans plus attendre, j'entre en elle et commence mes vas et viens.
Oui je n'ai pas su être patient là, mais cela fait deux ans... Si c'est pas de la patience au final, je me demande ce que c'est !!!
Et maintenant que je me sens complet, nos corps ne faisant plus qu'un je ne veux plus la lâcher, non je ne la lâcherais jamais !
Je suis un chasseur, et elle est la... Que dis-je, ma meilleure proie.
fiche par century sex.

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