Samuel Reid est né le 6 mai 1991, à Denver. Ses parents sont aussi américains que le burger, et fiers. Samuel est le fils unique de la famille au grand désespoir de ses parents qui auraient aimé lui offrir quelqu'un avec qui s'amuser à la maison. Son père est ouvrier dans une entreprise de conception de voiture japonaise localisée aux États-Unis. Sa mère est assistante maternelle. La famille gagne de quoi vivre. Samuel a toujours été bon élève à l'école, cela est dû à la bonne éducation que lui ont inculqué ses parents. Il était toujours dans la tête de classe, et fier. Cependant avec le temps, son niveau baisse, pas qu'il devenait idiot, mais que sa mentalité changeait. Ses parents lui ont toujours appris les valeurs de la vie. Loyauté, respect et honneur son ses mots d'ordre. Il y pense systématiquement avant d'agir. Il faut ajouter que Samuel est né à Denver mais a passé 9 ans de sa vie et enfance au Japon, suite à une mutation de son père. Samuel a beaucoup de caractéristiques et qualités bien à lui. Tout d'abord, Samuel a toujours été quelqu'un de poli envers les personnes plus âgées que lui, il est un garçon respectueux. Il hérite de cette qualité par son père, qui a beaucoup souffert dans son enfance mais jamais abdiqué. Ensuite, il est très ponctuel. Il déteste les retards, il trouve ça... aberrant que quelqu'un puisse arriver en retard alors qu'il y a à la base une horaire fixée. La ponctualité est chez lui très importante, il n'aimerait pas qu'on arrive en retard lorsque lui est présent, il fait alors le nécessaire pour être toujours à l'heure. Autre qualité importante; Samuel est simple. Il ne cherche pas le luxe, son enfance y est pour quelque chose. Il déteste les richards qui pètent plus haut que leur cul. Il fait toujours dans la simplicité en pensant aux autres. Cette simplicité résulte sur son état d'esprit. Il est toujours là pour ses amis. De plus, il a un don. En effet, il s'exprime très bien, et pour cause il rêve d'être journaliste. Il a toujours travaillé ses prises de parole et son éloquence de sorte à ce qu'on est toujours envie de l'écouter. Pour finir, Samuel est quelqu'un de sociable. Il aime parler avec les gens, mais à ses risques et périls. Toute personne a ses qualités, et comme toute personne, Sam' a ses défauts. En effet, le jeune homme a ses passions et désirs, ils constituent un jeu dangereux. Il a toujours aimer avoir des relations d'un soir avec des filles. En outre, il a un fort penchant pour la boisson. Boisson + Filles = soirée. Samuel est toujours là pour faire la java jusqu'à pas d'heure. Il aime profiter de la vie. Malgré cela, il s'est toujours interdit de consommer de la drogue. En effet, avec ses perspectives professionnelles, il s'est aguerri et a apprit à dire stop, et à se maîtriser. Nous pouvons ajouter que Samuel prend soin de lui, et il aime ça. Il arrive toujours à trouver le temps pour faire des séries de musculation afin d'attirer la gente féminine. Il aime bien la mode, s'habiller tout en restant sobre et ne faisant pas dans le bling-bling. C'est bien là qu'on reconnaît ceux qui ne sont pas issus de milieux riches. Parlons maintenant de ses hobbies. Samuel est passionné par le sport, l'actualité et le voyage. Depuis qu'il est petit il a l'habitude de se regarder les matches du foot US, hockey ou encore des aller supporter les Nuggets de Denver, franchise de la ville en NBA. Tout cela lui est transmis par son père. L'actualité c'est son centre. Il aime tout savoir, il est curieux et touche à tout. Il est passionné par le métier de journaliste donc ça aide. Et enfin, il a toujours aimer le voyage. C'est d'ailleurs une des raisons qui le pousse à devenir journaliste. Il a notamment fait un tour du monde afin d'observer les différentes sociétés, cultures et modes de vie.
L'histoire est volontairement écrite sous forme d'autobiographie soit à la 1ère personne du singulier.
J'avais à peine 5 ans, c'était en 1996. Mon père venait d'être muter au Japon avec son travail. On n'allait pas le laisser seul en terre inconnue. Maman et moi l'avions alors suivi jusqu'au petit village où j'ai grandi durant 9 ans. Je m'en rappelle comme si c'était hier. On était arrivé dans un quartier pourri. On ne connaissait personne, personne ne nous connaissait. On était entouré de japonais, on ne pouvait donc pas communiquer avec nos voisins. La maison était.. bizarre. Quand j'y repense, j'en souris, mais je l'ai un peu mal vécu. J'avais que 5 ans que je n'avais personne à qui parler si ce n'est mes parents. L'école était loin et de mauvaise qualité, on assurait mon éducation avec les moyens de bord. Papa travaillait dur, il était toujours fatigué après le travail. Maman, elle, passait ses journées à pleurer ses copines.. Moi, je savais pas quoi faire alors je sortais me balader dans le quartier chaque jour pour regarder.. Quand j'y pense, j'aimais déjà m'informer de ce qui était différent de chez moi. Grâce à mes sorties, et au temps, le quartier m'avait adopté. En même temps, pendant 9 ans fallait bien que ça arrive. Un jour, lorsque j'avais 6 ans quand je m'étais balader plus loin dans le quartier que d'habitude, j'avais rencontrer une fille d'à peu près mon âge. Elle me ressemblait, ses parents aussi. Chaque jour je passais devant sa maison et la voyait. Elle était américaine, et j'ai compris qu'on pouvait communiquer. Je décida de faire le premier pas, un beau jour de printemps je me suis rendu devant chez elle. Elle était là et me fixait Salut, tu t'appelles comment? fut ma première phrase envers elle. On a alors fait connaissance et depuis ce jour là jusqu'à son départ, on jouait toujours ensemble, on passait notre temps à rigoler, se taquiner.. On se souciait du monde tant qu'on était ensemble. Tout est aller tellement vite en ce qui concerne son départ.. Ça m'a marqué et j'en ai souffert. Du jour au lendemain, plus rien.. Maman, je vais chez Feldt! criais-je fou de joie. D'accord mon chéri, fais attention me répondit-elle. Je me rendis chez Feldt, plus personne. La maison était anéantie, il n'en restait que l'ossature. On m'informa que la maison avait prit feu, emportant les parents de Feldt avec l'intérieur. On m'avait également dit qu'elle allait bien et qu'elle était rentrée au pays. Aujourd'hui je sais qu'on ne m'a pas menti. Mais à l'époque, c'était écroulé à mes yeux, je n'avais plus personne à qui parler, avec qui jouer et rigoler. Je l'ai très mal vécu. Je suis rester au Japon jusqu'à mes 14 ans et la faillite de l'entrepôt. Mon père a donc été renvoyé au pays pour reprendre sa place. Nous l'avons une nouvelle fois suivi. Ce nouveau départ ne pouvait être que bénéfique pour moi.
De retour à Denver et sa banlieue pour mes 14 ans. Je retrouvais mes voisins, ma maison, mes amis etc.. J'étais bien évidemment content de retourner chez moi, mais ma tête était encore au Japon suite à l'incident avec Feldt. Je pensais souvent à elle. Elle représentait tout pour moi. Je le considérais comme son frère et je la considérais comme ma sœur. Pour éviter de trop y penser, je devais mon trouver un passe temps. J'ai trouver l'enquête, et le journalisme. Je me suis lancé dans l'écriture d'un journal de bord où j'écrivais des choses sur l'actualité. Parallèlement, j'avais entamer l'écriture dans un cahier de ce que j'avais vécu au Japon. C'était tout pour moi. C'est à ce moment là que j'ai su que je trouvais ma voie. Afin de pouvoir devenir journaliste, j'ai bosser dur afin d'obtenir mes diplômes qui m'autorisaient à rentrer dans le supérieur. Avec l'aide de la famille, des voisins et un peu de la banque, j'ai eu l'autorisation de mes parents afin de rentrer à Harvard. Cette rentrée faisait de moi, l'un des plus heureux du monde. Cette nouvelle me fit oublier beaucoup de choses qui ont fait un temps mon malheur. Cette rentrée me réservera bien de surprises, et de bonnes.
Je sortais de deux heures de sociologie, disant au revoir à mes camarades de classe je me dirigeais vers ma chambre. Soudain je vis un visage qui l'était familier. Il s'agissait de Feldt. Je n'en croyais pas mes yeux, je me précipita vers elle comme un détraqué, je crois que je lui ai même fait peur. FEEEEELDT! criais-je. Tout le monde me regardait de travers mais je m'en foutais. J'avais les larmes aux yeux mais je le masquais. Je la pris dans mes bras, soulagé de la savoir en bonne santé. Elle était comme désarticulée, elle ne bougeait pas. Pour marquer les retrouvailles, j'avais décider de l'inviter au restaurant. Tout au long du dîner on ne cessa de prendre des nouvelles l'un de l'autres, tout en se remémorant le Japon et ses aventures. Tu sais, tu devrais venir avec moi et mes amis demain, on a une fête me proposa-t-elle. J'ai dis oui sans hésitation. Le lendemain à la soirées j'ai fais de superbes rencontres. Alex, Hendrix et Briony étaient les amis de Feldt. Avec Alex, le courant est tout de suite bien passé. Après la soirée, on s'est vu et revu, jusqu'à ce qu'aujourd'hui, on soit comme des frères. On se considère d'ailleurs comme des frères. Toujours fourrés ensemble. En ce qui concerne Hendrix, c'est le même délire qu'Alex. On est très proches l'un de l'autre, il me considère comme son grand frère, moi comme le petit frère que je dois protéger. Avec Alex et Hendrix on forme un beau trio de malades toujours là pour amuser la galerie. Même si ce n'est plus trop le cas ces derniers temps. Pour finir, Briony. Briony c'est.. la cerise sur le gâteau. La petite têtue qui renverse tout sur son passage. J'ai tissé des liens importants avec elle. J'ai été la base de sa relation avec Hendrix, et jusqu'à ce qu'on ait été séparé un an, elle m'a toujours écouté, mais les temps ont bien changé.
En effet, on formait à nous cinq, un groupe soudé, mais mon départ en 2012 pour faire un tour du monde afin d'étudier les différences sociales dans le monde, marqua une ère compliquée pour groupe. La liste des événements est longue et je ne l'apprendrai qu'à mon retour.. Mon tour du monde je l'ai fais pour le plaisir de faire du journalisme, soit observer, étudier et rédiger. J'allais faire au maximum deux pays par continent. Ce tour a duré un an. J'ai été au Chili, Brésil pour ce qui est de l'Amsud, j'ai fais la Tunisie en Afrique, la France et la Grèce pour l'Europe et enfin la Chine et l'Inde en Asie. C'est d'ailleurs en Inde que je suis resté le plus longtemps suite à un problème de papiers. Le déroulement était au top, tout allait bien, j'avais la bande régulièrement sur Skype, ils m'expliquaient que tout allait bien chez eux. Cependant, lorsque j'étais en Inde j'appris qu'Harvard a subi l'explosion d'une bombe une semaine auparavant or j'ai eu les amis le soir même et ils m'ont dis qu'ils allaient bien. J'ai compris qu'on ne me disait pas tout. Je leur fis la remarque et ils ont su me convaincre qu'ils avaient fait ça pour ne pas m'inquiéter. Avec du recul, je sais que j'aurai fais pareil. Les soirs s'enchaînent et mon retour approche, et je remarque une étrange valse.. Sur Skype, Drix, Alex, Briony et Feldt ne viennent plus en même temps comme avant, ils sont toujours seul ou par deux. Je compris que tout n'allait pas bien au sein du groupe contrairement à ce qu'ils me disent. Et j'avais hélas bien raison. Mon retour ne fut pas celui que j'imaginais. Je suis revenu de mon tour du monde et on m'expliqua que la bande était en plein bordel. Ça allait dans tous les sens. Ça m'en donnait des maux de tête à n'en plus finir.
Aujourd'hui je suis de retour à Harvard, tout allait bien avant mon départ, je vais faire tout mon possible afin que la troupe retroue son équilibre. Je sais que j'aurai un rôle clef car je suis le plus neutre.