MORGAN S. WARNER ► Alex Turner

C'est le 21 juin 1990 à Londres, que les membres de la famille Warner m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Morgan, Shane. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de Musique en majeur, et arts visuels en mineur depuis six ans . Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Winthrop.

Morgan S. Warner

Looks alot like Alex Turner

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Cewien, mais enfaite, plutôt Cy' et j'ai l'âge de Jesus, moins 11 ans. Je suis de la planète Naboo et j'ai connu le forum grâce au chat du voisin. Je t'ai demandé ton 06, tu m'as dit que t'avais plutôt un 07 alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Alex Turner comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Arctic Love et Tumblr. Je fais environ 200 à 800 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ La GMF, c'est la vie.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
J'étais encore à Princeton à ce moment là. Nous avons été informé de l'attentat assez rapidement et avons été évacué parce qu'un petit malin s'était amusé à faire emplir une rumeur que le campus allait être attaqué aussi. J'ai jamais été froussard, la mort, j'irai valser avec un jour aussi. Carpe Diem.

MATHER.
Pourquoi les Mathers ? Je suis un fêtard infatigable. Je sors tous les soirs dans les lieux les plus branchés du coin, et descends verres sur verres. J'adore m'amuser, et organiser des soirées avec des centaines des personnes. Le matin ? C'est vraiment pas pour moi. J'ai la gueule de bois, la bouche pâteuse, et j'me souviens rarement de la jolie blonde à poile dans mon lit.

WINTHROP.
Je suis un homme à femmes. Personne ne pourra le nier. Je n'ai pas forcément était doté du physique d'Apollon, mais on dit souvent de moi que je dégage un charisme certain qui en fait fondre plus d'une. Je cultive un look assez travaillé et prend soin de moi en faisant énormément de sports sur mon temps libre. Quand j'suis pas trop amoché par la soirée de la veille.

(Invité)

On a pas le temps, le temps pour ça, le temps pour lui, le temps pour nous. On est bien trop pressé. Pressé par tout. Le travail, surtout le travail. Ça sera n'importe quoi. On joue nos carrières, nos vies, la belle maison sur le côte ouest, avec piscine à débordement. Pourtant c'est trop tard, trop tard pour faire marche arrière et puis ça serait mal vu. T'en voulais un au fond. Tu me voulais au fond ? Alors pourquoi j'ai toujours l'impression que tu passes ton temps a détester tout ce que je fais, Maman ?

Warner. Ca vous dit surement quelque chose. John Warner précisément. Mon père. Cet homme, je l'admire plus que tout au monde. Ce mec, c'est juste un dieu vivant du rock. Depuis les années 80 il enchaine les tournées à succès et parfois, il m'emmène avec lui. La musique. Notre échappatoire. Pour éviter de passer les repas attablé avec cette furie. Mon père m'a apprit à jouer de la guitare alors que j'savais à peine articuler supercalifragilisticexpialidocious. Oui, je sais l'articuler. Mary Poppins a dominer mon enfance. Ma mère faisait une fixette sur Julie Andrews, allez savoir pourquoi. J'arrive plus à voir les pingouins en peinture depuis mes sept ans. J'suis même effrayés par ces bêtes là. Traumatisme d'enfance.

Mes parents se sont séparés quand j'avais seize ans. Mon père était volage, ma mère était malheureuse. Mon père n'était qu'un "gros con de drogué". Ma mère était hystérique. Elle la toujours été. Ça doit venir de là, le fait qu'elle soit bonne actrice sur les plateaux de cinéma. J'ai eu le choix. Passer le reste de ma minorité avec une folle à lier ou m'envoler pour L.A. avec mon père. Le choix fut plus qu'évident pour tout le monde. On a envoyé Maman à l'hôpital, on a fait les valises, et on s'est tiré de ce pays où il fait toujours gris.

Los Angeles. Le pied total. J'ai commencé à rester aux soirées de John. J'y ai découvert l'alcool et les choses plus ou moins légales. J'y ai découvert les filles, et les garçons. Au fond, je suis devenu un "gros con de drogué" moi aussi, et j'adorais ça, faire la fête. J'voulais suivre les traces de mon père. Vivre de la Musique, et boire tous les soirs. Ça marche pas comme ça apparemment. J'ai beau avoir le père le plus cool du monde, j'avais obligation de faire des études. Sinon j'avais plus le droit de jouer sur ses guitares, des putain de modèles uniques Gibson, son sponsor. J'ai donc eu mon bac, avec mention, et ai fait mes cinq premières années d'études à Princeton, où j'ai passé le plus clair de mon temps à faire la fête. Et comme Warner avait encore trop d'argent à dépenser, il m'offra Harvard pour mes 23 ans, au fond, il en avait marre que je traîne en caleçon chez lui tous les week-end à vider son bar.

The End

(Invité)