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TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen

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C'est le vingt-quatre octobre 1992 à Naples, en Italie, que les membres de la famille Rossi m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Tino Vincenzo, communément surnommé Vince.  Je suis enchaîné à monsieur le célibat et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis tout à fait dévoué à ces demoiselles et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale relativement pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de danse depuis depuis maintenant bien trois ans et travaille en parallèle de mes études j'enchaîne les petits emplois histoire de pouvoir me faire de la thune, du genre danseur de rue, livreur de pizza, serveur dans un bar à tacos, je touche aussi aux combats de rue. Et pour terminer, je voudrais intégrer les mather ou les student, je me vois absolument pas dans aucun autre groupe, je correspond définitivement pas.
Tino-vincenzo "vince" rossi

   
Looks alot like Tobias Sorensen

   
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle pas et j'ai 15 ans très exactement. Je suis française de pure souche, quoique je soupçonne un peu de sang divin et j'ai connu le forum grâce à bazzart probablement.  À vrai dire, j'trouve qu'au niveau de la conjoncture économique et sociale il est pas mal alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise tobby sorensen comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par AEROPLANE. Je fais environ quatre millions de mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ?love.
   Je souhaite
   
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
    participer à la roulette RP (?)
APRÈS LA BOMBE

   « Je pense que ce jour restera probablement gravé dans ma mémoire pour l'éternité. Le bruit d'explosion, les vitres qui se brisaient, les hurlement, j'entends encore cette multitude de sons résonner dans ma tête, s'échouer violemment contre les parois de mon crâne. Je sens encore cette répugnante odeur de souffre, de fumée qui me bloque la gorge lorsque j'y repense. Et cet affreux sentiment qui m'enserrait le coeur, cette peur qui me comprimait la poitrine en voyant les blessures et les murs qui s'effondraient. Je me souviens qu'avant que la bombe n'explose, j'étais assis dans les couloirs, totalement absorbé par mes pensées, et une subite détonation m'a vrillé les oreilles. J'ai senti un éclat de verre venir s'enfoncer dans ma joue, joue désormais barrée d'une trace indélébile, souvenir funeste de cette journée apocalyptique. »

   
MATHER
   À vrai dire, le seul et unique groupe qui me correspond sous toutes les coutures c'est celui-ci. J'ai beau m'être renseigné sur les autres et leur nature, celui-ci m'est apparu comme une évidence. J'ai une âme de mather, et je ne pense pas que je puisse retrouver ce sentiment d'appartenance que j'aurais dans aucun autre groupe. Je ne suis que débauche, ivresse et je vis pour les sensations fortes. Les personnes que je fréquentent sont généralement du même acabit que les membres de cette sonorité, ce qui me porte à croire que c'est ici qui je me sentirais le mieux. Et je peux affirmer, et ce de manière indéniable, que ce lien particulier qui les lie tous m'attire tout particulièrement. J'avais déjà songé à réjoindre cette maison dès mon arrivée à l'université, mais je m'étais mis en tête de ne pas trop dévier de mon domaine d'étude, et de continuer à travailler sérieusement. À présent, je pense que mes préoccupations ont changée.

   STUDENTS
   Il s'agit d'un choix de dépit, étant donné que comme expliqué précédemment, aucune autre maison ne semble convenir à ma personne. Je sais bien que le choix des Lowell devrait s'imposer de lui-même, mais je me sens plus athlète qu'artiste pour ainsi dire. La mentalité de l'artiste n'est juste pas la mienne, mon but n'est pas non plus de m'enfermer dans une case simplement parce que le domaine d'étude que j'ai choisi est la danse. De plus, je ne me sentirais certainement pas chez moi avec les Lowell, d'où mon choix de groupe.
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Everytime I close my eyes,
it's like a dark paradise.

Une lumière pourpre filtrait de par les lattes de la fenêtres, plongeant la pièce dans une ambiance figée, précieuse. Un grincement significatif vint briser le silence engourdissant du moment, suivi d'un bruit de semelle venant faire gémir le plancher de la petite chambre. Enjambant avec une difficulté peu dissimulée la multitude de vêtements éparpillée au sol, l'homme se dirigea précautionneusement en direction du matelas opprimé dans un coin de la salle plongée dans la pénombre de la nuit. Les contours d'une forme assoupie se dessinaient sous l'épaisse couette molletonneuse qui recouvrait le lit de fortune. D'un geste mesuré, il déposa sa main sur l'édredon maculé. « Réveille-toi gamin », siffla l'homme en remuant nonchalamment la couette qui recouvrait le corps de l'enfant encore partiellement assoupi. Conscient que sa voix n'avait pas suffie à tirer le bambin de ses songes, il tira brusquement sur le duvet de manière à totalement le découvrir. Un geignement plaintif s'extirpa alors des minces lèvres de l'enfant, luttant pour garder les pupilles closes. « Réveille toi je t'ai dit ! » Un sursaut secoua alors le corps du jeune homme, observant avec difficulté son interlocuteur. « Papa ? Qu'est-ce qui se passe ? » La réponse ne se fit cependant pas prier, et elle claqua, acide, détruisant le petit monde de l'enfant par la même occasion : « L'Italie c'est terminé pour nous, on se tire Tino. »

*
Le petit habitacle rutilant avalait les kilomètres à une vitesse vertigineuse, offrant à ses passagers la vision d'une Toscane encore assoupie. Les rayons blanchâtres du soleil fraîchement levé accentuait les cernes violacées qui soulignaient les regards ternes des voyageurs, témoignant de la brève nuit dont ils avaient tous bénéficié. Suite à la déclaration soudaine de son père, Tino avait enfourné de manière brouillonne les quelques affaires et vêtements qu'il avait dans un sac, tentant d'emporter dans sa valise le maximum de souvenirs de son ancienne vie, allant même jusqu'à glisser un fragment de carrelage entre deux tee-shirts. La seule réponse qu'il avait put lui offrir fut un sourire mutin, figé par la stupéfaction. « On se tire, Tino. », cette phrase tournait en boucle dans son esprit, accaparant ses pensées tourmentée. Le jeune homme était conscient de la position financière précaire dans laquelle se trouvait la famille, mais il n'aurait jamais pensé qu'ils en arriveraient à de telles extrémités. À vrai dire, il ignorait encore la réelle nature de leur départ, il n'avait pas osé troubler le silence engourdissant qui enveloppait l'habitacle. Le front appuyé contre la vitre, il observait paisiblement le paysage qui défilait à vive allure, s'appliquant à graver ces images gravées dans sa tête, s'attardant de temps en temps sur un arbre, une vache où encore sur un reflet de l'astre solaire s'étirant à la surface d'une étendue d'eau. « Où est-ce qu'on va ? », s'autorisa-t-il à dire, mordu par une soudaine curiosité. Cela faisait bien une heure qu'ils étaient tous opprimés dans le petit espace capitonné de leur voiture, et il avait bien imaginé une cinquantaine de destination différente, et l'inquiétude secouait à présent violemment sa cage thoracique. Il jugeait qu'il méritait au moins de connaître le lieu où il allait à présent reconstruire l'ensemble de sa vie. « Tu parles trop, tu m'empêche de me concentrer », susurra hargneusement son paternel, serrant le volant nerveusement entre ses phalanges devenues écarlates. Un soupir de déception s'encombra dans la trachée de l'enfant, conscient des retombées qu'il aurait. Cependant, une main douce vint effleurer sa joue, et il reconnut immédiatement la paume réconfortante de sa mère, plantant son regard brun dans le sien. « Les États-Unis, mon chéri. »



No more counting dollars,
we'll be counting stars.

La pièce était entravée d'une multitude de cartons tous plus volumineux les uns que les autres, remplis de fragments de leur ancienne vie. Installé à une chaise bancale, Tino observait le paysage qui s'offrait à ses yeux ébahis derrière la vitre qui lui faisait face. Les buildings de Boston semblait s'étirer jusqu'à aller caresser l'étendue cotonneuse des nuages. Cette ville représentait à ses yeux un nombre inestimable d'espoirs et une envie sourde de découverte faisait palpiter ses tempes. Depuis que ses semelles avaient frôlée l'asphalte de cette ville, il n'avait rêvé que de s'enfoncer dans la foule de la capitale et d'en explorer les moindres ruelles. La ville semblait hurler son nom lorsqu'il passait ces longues heures, planté devant la fenêtre à laisser son esprit s'envoler et aller frôler les grattes-ciels. Cependant, il savait pertinemment qu'il n'aurait cette opportunité que dans longtemps, conscient que les cartons qui enchevêtraient le modeste appartement qui était à présent leur ne se déballeraient pas tout seul, mais il éprouvait une forte réticence à l'idée de se replonger dans ses objets lourds de sens. Rien que ses vêtements étaient imbibés de l'odeur particulière de sa ville natale, de la fumée qui s'échappait des toits en hiver, du thé que lui préparait sa mère après une journée de rude travail, où encore le parfum des champs. Tout ces souvenirs enserraient son coeur d'un sentiment de nostalgie puissante, et son esprit était secoué d'images de son ancienne vie. Pourtant, dès qu'il se campait devant cette grande fenêtre, il ne pouvait que se sentir reconnaissant envers son père. Il savait qu'ici, tout ne serait pas acquis, loin de là, mais il avait lu dans les livres que le meilleur endroit pour réaliser ses rêves était les États-Unis. Réprimant un soupir, il se leva de sa chaise et attrapa un carton au hasard en l'encerclant de ses frêles bras et le serra contre son coeur, inspirant longuement et se dirigea d'un pas décidé en direction de la chambre qu'il partageait à présent avec ses parents et son frère.

*
« Rossi ? » Le jeune home releva brusquement la tête, tiré de ses calculs complexes par le ton rauque de l'enseignant qui se tenait campé près de son bureau. Sa main sinueuse agrippée à sa hanche enveloppé d'un large tablier bariolé d'une multitude de tâches colorées, il jaugeait avec un sourcil froncé le jeune garçon qui avait recouvert sa feuille de cours de chiffres et lettres gribouillés au crayon à papier. Sans lui offrir aucune explication, l'enseignant déposa avec empressement une feuille sur le bureau de l'italien, continuant de l'observer avec une mine renfrognée, attendant qu'il s'explique. « C'est un 18, où est le mal ? », questionna Tino en soutenant avec mal le regard du vieil homme qui se tenait crispé face à lui. « Le mal, c'est que tu n'aurais jamais put obtenir ce résultat sans avoir triché. » Un ricanement fendit le silence pesant qui avait succédé la déclaration acide, suivit d'un aboiement priant l'insolent d'y mettre fin. Le jeune italien retint un gémissement indigné, serrant les poings. « J'ai travaillé monsieur, très dur. » Depuis son arrivée aux États-Unis, il avait sacrifié la majorité de son temps libre à s'accoutumer à l'anglais qu'il maîtrisait déjà convenablement, et à étudier plus que de raisonnable. Cette remarque teinta ses pupilles d'une fureur brûlante. Il se rendait compte que les efforts surhumains qu'il avait fourni pour obtenir de bons résultats n'étaient pas pris au sérieux. « Nous verrons cela, bien que j'ai du mal à y croire. » Et il tourna les talons, poursuivant la distribution de copies non-sans oublier de gratifier chacun d'une remarque.




All this bad blood here, won't you let it dry?

Un poing s'abattit violemment contre sa mâchoire. L'impact fut suivit d'un craquement sinistre et une douleur fulgurant lui enflamma le visage. Il tituba légèrement, éraflant copieusement la semelle de ses chaussures contre le sol sale de la ruelle, s'engonçant dans les flaques troubles qui suintaient entre les dalles qui composaient le sol. Ignorant le coup, il se redressa vivement et empoigna vivement son adversaire par le col de son tee-shirt avant d'enfoncer brutalement son poing dans son abdomen. Un grognement de douleur s'échappa de la mâchoire serrée de l'autre homme et il recula en tentant de s'extirper de l'emprise de Tino, sans grand succès. Il tira d'un coup sec sur l'encolure du haut de l'homme et écrasa douloureusement son front contre celui de son adversaire, qui cette fois bascula et vint s'écraser au sol. « T'en veux encore où ça te suffit ? », cracha Tino en le fixant avec un regard glacé. L'autre s'empressa de secouer la tête, paniqué. Satisfait de sa réponse, l'italien pivota sur lui même et jaugea l'homme adossé au mur qui observait la violente altercation depuis son commencement, imité par une dizaine de spectateurs qui semblaient se délecter du funeste spectacle. Le jeune homme était répugné par ces hommes, bien trop amusés à son goût. Cela faisait bien plusieurs fois qu'il se livrait à ce genre de combat de rue financés, et malgré les nausées qui lui agitaient le coeur dès qu'il dissimulait ces sourires amusés sur les lèvres de ses spectateurs, il ne pouvait s'en passer. C'était devenu un passe-temps lorsqu'il avait le temps entre deux révisions, et plus que tout un moyen rentable d'obtenir de l'argent, chose dont il manquait cruellement en ce moment. Bien évidemment, il avait une multitude d'autres moyens d'en obtenir, notamment en obtenant un simple poste de livreur où encore en se livrant à des shows journaliers de danse de rue, mais il ne crachait résolument pas sur le moindre billet. Surtout depuis qu'il avait parvenu à rejoindre les prestigieux rangs de l'université d'Harvard, atteignant par la même occasion son principal but depuis qu'il avait quitté son Italie natale. S'avançant alors vers son employeur, il planta son regard sombre dans le sien. « Je peux avoir ma thune maintenant ? »
The End
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Bienvenue chez les dingues mon beau Tino TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 4205929361 TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 73120010
Bonne chance pour ta fiche et réserve moi un lien  :love: 
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BIENVENUE OFFICIELLEMENT TOI TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 3850463188 TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 4205929361
réserves moi un lien TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 3997999705
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche!  TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 1001568715 
Le prénom+ le vava+ les origines = Lien de folie avec Maëë!

 TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 2474380249 :jawdrop: :love2: 
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Conjoncture économique et sociale TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 1881463262 Sociale c'vrai, économique, ça aurait été cooool, malheureusement y en a pas TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 1881463262
Binvenue ! TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 185272391
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Bienvenue :feldt:
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merci bien à vous tous les sexys, vous êtes des amours, et j'promets de vous garder des liens de fou à tous  TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 1001568715 
ah merde, j'suis déçue d'un coup  TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 1616978029 va falloir tout miser sur l'social! TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 152426858
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Welcome to youuu !! TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 3850463188 TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 2727399354
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Bienvenue parmi nous TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 3400909363
Bonne chance pour ta fiche and have fun TINO-V. ROSSI ► tobias sorensen 185272391
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