Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility#Konrad ◘ I have to talk with you


#Konrad ◘ I have to talk with you

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I have to talk with you
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Je venais de passer la soirée avec Mayra, Swan, Sam et ensuite Ricardo. J'avais bu comme un trou et pourtant là j'étais bien, je pétais la forme mais j'étais bien en colère aussi. Je ne voulais rien montrer devant Mayra car il fallait qu'elle oublie tout ça pour la soirée, même si moi dans le fond, j'y pensais pas mal. Le décompte était fait, nous étions passé en 2014 et pour cette nouvelle année, j'avais deux trois comptes à régler avec un certain Konrad pour pouvoir vivre cette nouvelle année en paix et surtout en harmonie avec moi-même. J'avais laissé Ricardo pour me rendre chez Konrad. C'était peut-être pas très recommandé de conduire dans mon état, quoique, c'était pas très recommandé de boire dans mon état mais je l'avais quand même fait donc bon.
J'arrivais en bas de son bâtiment en bonne état alors c'était le principal, je pouvais à présent aller jusqu'au bout de mon objectif, c'est-à-dire, aller le voir et lui balancer ses 4 vérités en pleine gueule. Puis si je souvenais bien de ce que Mayra m'avait dit plus tôt dans la soirée, ils s'étaient bien prit la tête tout les deux alors son moral devait être bien bas. Tant pis pour lui et tant mieux pour moi.
Apparemment, c'était la fête pour tout le monde et chacun rentrait à l'heure qu'il voulait alors je trouvais quelqu'un qui m'ouvrit la porte en bas du bâtiment assez rapidement. Je me dirigeais ensuite à la hâte jusqu'à l'appartement de Konrad. Je frappais à sa porte, hurlant, Konrad faut qu'on cause tout les deux ! Oui j'étais pas de très bonne humeur.
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liyad Je venais de rentrer, énervé plus que jamais, comment avait-elle osée foutre 5 ans de relations à la poubelle ? Comment ? J'étais à la fois en colère contre elle, contre moi-même, et j'avais mal, mal de savoir que c'était fini, je n'aurais pas penser que notre relation aussi fusionnelle pouvait aussi être autant destructrice. J'enlevais ma veste de costard que je jetais sur le canapé, ma cravate volait dans la même direction, j'enlevais les bords de ma chemise dans le pantalon pour respirer un peu mieux, j'en avais besoin je crois, j'allais à la cuisine, chercher dans le placard cette bouteille de tequila, je prenais un verre et je commençais à la vider jusqu'à que cette descente soit interrompue par une voix, celle d'AAliyah, j'avalais ma gorgée qui avait du mal à passer et je baissais la tête. Elle voulait qu'on parlent et je savais de quoi,c'est bizarre mais je sentais qu'une autre relation allait disparaitre ce soir. C'est ouvert ! lui répondais-je assez fort pour qu'elle entende, je commençais a avoir mal à la tête avec tout cet alcool que j'avais bu là-bas et ces verres enchainés, une fois que je l'avais dans mon champ de vision j'allais droit au but Ecoute on va pas tourner autour du pot, t'es venu pour me dire que tout était terminé entre nous, que ces 4 ans de relation s'est terminé, écoute va y met en moi plein la gueule, plus tu m'engueules et plus je vais boire, comme ça c'est un bon compromis non ? je voulais même pas qu'elle réponde, je me servais un autre verre de tequila, me l'enfilait d'une traite, ça commençait sérieusement à tourner là-haut.

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Il me dit alors que la porte était ouverte et je ne me fis pas prier avant d'entrer. Il buvait et ne me laissait pas en placer une. Ça me mettait hors de moi, qu'il fasse le malin comme ça. C'est moi qui parle et pas toi ! Je m'approchais de lui avant de frapper sur son verre qui tomba au sol. Quel compromis ? J'en voulais pas de son compromis à la con. Je voulais lui dire tout ce que je pensais, je ne voulais pas qu'il parle. Disons que la colère mélangée à l'alcool, c'était pas très bien sur moi, Tu t'es bien foutu d'ma gueule Konrad ! Avec tes je pense à toi, tu comptes à mes yeux et toutes ces merdes que tu m'as sorti et moi comme une conne j'ai tout gober ! Tu ne peux pas dire à une personne que votre relation est unique si tu dis la même chose ensuite à une autre personne ! J'suis pas unique j'suis juste un vagin de plus que t'as adoré te faire et j'suis juste trop conne pour ne pas l'avoir compris bien plus tôt ! Si j'avais la force de lui en coller une, je l'aurai déjà fait mais vu l'état dans lequel nous étions tout les deux, je ne préférais pas tenter le diable. Y'a pas longtemps tu disais vouloir regagner ma confiance ! Tu t'fou de moi, c'est en me baisant dans tout les sens du terme que t'essayais de la regagner en fait nan ? J'étais peut-être bien trop sensible, bien trop fragile. Merde, j'en avais les larmes aux yeux mais cette fois-ci, je ne comptais pas pleurer devant lui. Il avait assez profité de mes faiblesses comme ça. C'était bien la dernière fois que je me mettais dans de tels états pour lui. J'avais été une petite Cabot idiote et faible du début jusqu'à la fin. Peut-être finalement que cette histoire avec Konrad allait me changer. Ce qui est sûre c'est que mon comportement avec lui allait bel et bien changer.
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liyad C'était pas du tout ma soirée, déjà que je venais de perdre Mayra après une engueulade fatale qui mettait à la poubelle 5 ans de relation intense et fusionnelle, maintenant il fallait qu'Aaliyah se point à mon appartement. J'avais enchainer les verres de tequila, gueulant presque que la porte était ouverte puis une fois qu'elle venait dans le salon, je pouvais la voir, elle aussi avait bu et elle aussi était hors d'elle mais je ne lui laissais pas le temps d'en placer une, je savais pourquoi elle était là, pour me faire la morale sur ce que j'avais pu faire à elle et Mayra et une fois que j'avais finis, je remplissais mon verre mais en frappant dedans, elle me faisait tomber au sol et me fixait, elle avait réussit à capter mon attention et ses lèvres s'ouvraient pour sortir exactement ce que Mayra m'a sorti, que je leurs avais menti de a à z, que je m'étais servis d'elle, bref je m'en prenais encore plus dans la gueule et oui ça faisait mal. Écoute c'est pas la peine de me sortir tout ce que m'a déjà sorti Mayra, j'en ai ma dose là. je me retournais pour ouvrir le placard et prendre un autre verre, le remplir de nouveau Tu veux que je te dise quoi ? De toute façon tout ce que je vais dire sera que mensonge pour toi donc autant que je ferme ma gueule non ? J'sais que j'tai fais du mal, je le reconnais mais comme je l'ai dis à Mayra, tout ce que je vous ai dit c'était sincère. Mayra n'avait rien voulu entendre, préférant me sortir de sa vie, Aaliyah allait raisonner de la même manière, je la connaissais que trop bien et c'est surement pour ça que j'ai aussi mal.

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Ce qui m'énervait d'avantages dans tout ça, c'est que j'avais l'impression qu'il en avait strictement rien à foutre de ce que j'étais entrain de lui dire. Il se contentait de confirmer mes dires, sans plus. C'était vexant, rageant et je ne trouvais pas de mots plus fort que ces deux là pour dire ce que j'éprouvais face à sa réaction. Va te faire foutre Konrad ! Je ne suis pas Mayra alors j'en ai strictement à rien à battre de ce qu'elle a pu te dire ! La c'est toi et moi et non pas elle et toi ! T'as vraiment rien compris putain ! Et dire qu'à la base je suis une Cabot toute sage, clean, propre intérieurement comme extérieurement et qu'aucun mot de ce genre ne sort de ma bouche. La j'avais des envies de meurtres. J'avais envie de lui coller mon poing dans la figure, Arrête de prononcer son nom bordel ! Moi c'est Aaliyah Desiree Coalman et non pas Mayra je sais pas quoi ! On dirait que t'arrive pas à faire la différence avec nous, même physiquement, c'est dingue ça ! Je prenais le nouveau verre qu'il venait de se servir. Je voulais lui parler dans notre état actuel et pas plus éméchés que nous ne l'étions déjà. Et tu te remets pas en question nan ? Tu te demandes pas pourquoi j'ai autant de mal à te croire ? Je sais pas, tu dis que je compte pour toi, que je suis importante pour toi et tu me mets sur la touche selon tes propos pour Aphrodite pendant 4 mois, mademoiselle Coalman que je me suis fait un plaisir de baiser, je la mets sur la touche pour une autre, pas de nouvelles, rien ! Ensuite tu reviens comme une fleur, pensant que pour te faire pardonner, il fallait une nouvelle fois coucher avec moi ! Je t'envoie chier, pas de nouvelles pendant deux semaines ! Quand on se revoit tu me sors encore tout ton blabla de merde là, me disant que je t'ai manqué, que t'arrête pas de penser à notre histoire et toutes tes paroles de lover ! J'demande rien à personne et ta nana, Mayra là, me pousse, me fait tomber au sol, pourquoi ? Parce que toi, Konrad, t'as pas eu les cojones d'être sincère envers nous deux ! J'avais bel et bien des raisons de ne pas le croire car celle qui avait vraiment été malmenée dans tout ça, c'était moi. L'autre qui me fait tomber par jalousie et lui qui me mets et se tape Mayra sans aucune honte. Pauvre fille que je suis !
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liyad Je n'en avais pas rien à faire, enfin si je crois, j'avais entendu exactement les même propos avec Mayra mais elle essayait de me faire comprendre qu'elle n'était pas elle, que notre relation n'était pas la même que celle avec Mayra Toi et moi ou Mayra et moi c'est pareil, si j'ai tout compris. je divaguais, j'avais beaucoup trop bu putain et je grimaçais quand elle commençait à hausser la voix pour me faire entendre qu'elle n'était pas Mayra, que je devais arrêter de parler d'elle J'suis à un mètre de toi pas la peine de gueuler, j'ai compris pt'in. pour elle je ne semblais pas avoir compris, elle reprenait même le nouveau verre que j'avais remplis de tequila, elle ne voulait pas que je boive plus que je n'avais déjà bu, c'est vrai au final, j'étais déjà bien endommagé. Et là elle me sortait the monologue, toutes les explications, tout ce que je pouvais me reprocher et putain elle avait su me foutre une barre là, je me frottais le visage de mes deux mains avant de la regarder et d'essayer d'aligner les phrases sans bafouiller, mon état n’aidait en rien. Je ne me suis jamais foutu de ta gueule, la seule fois où j'ai déconner c'est de t'avoir foutu sur la touche mais tout ce qui s'est suit après, tout ce que j'ai fais, tout ce que je t'ai dis, ça comptait, notre relation, mes paroles, rien n'a été pour te manipulé, j'en serais incapable maintenant tu comptes beaucoup trop et je sais que tu ne veux même plus me croire mais pourtant je dis la vérité, je suis bourré je sais mais je sais encore ce que je dis et je dis que c'était pas du foutage de gueule, que je te prend pas pour une conne. J'ai dis ce que j'avais à dire, ton avis est déjà fait je sais mais voilà j'ai rien d'autre à dire, tu comptes plus que je ne le pensais pour moi et c'est que maintenant que je m'en rend compte, bizarre faut vraiment m'en foutre plein la gueule, me reprocher tout ce qu'il faut pour que je me rende compte de l'importance de certaines choses. j'avais enchainer les mots, presque pas de bafouillages, je savais que tout allait être différent maintenant soit notre relation disparaissait ou soit elle prenait un sacrée coup dans la gueule pour voir apparaitre tension, froid et j'en passe.

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Je posais mes mains sur ses épaules, le poussant sous le coup de la colère, Nan c'est pas pareil putain ! J'ai rien d'une asiat', ni d'une Mather ! Il fallait peut-être qu'il se rentre tout ça dans la tête, qu'il comprenne enfin qu'on était bel et bien différente toutes les deux et que même niveau relation, c'était pas pareil, Je gueule et alors, y'a quoi bordel ! C'est pas en me disant d'arrêter d'hurler que j'allai le faire, au contraire, ça allait me pousser à continuer et même à hauser d'avantage le son de ma voix. Puis j'écoutais son speech. J'avais tellement envie de rire. J'arrivais pas à gober une seule de ses paroles et l'alcool n'arrangeait rien à la situation. On était tout les deux en piteux état. Oh bah oui, je compte tellement pour toi que tu continues à me comparer à cette fille, à dire que tout est pareil alors que non, c'est pas pareil ! J'ai fini par accepter tout les vagins que tu te tapes mais là c'est trop ! Je me mis à parler plus calmement... sûrement parce que les larmes me montaient aux yeux. Finalement, je me dis que tu m'as bien baladée, que tu t'es bien jouée de moi et que tu comprends rien ! Finalement, tu comprends pas pourquoi je réagis comme ça et c'est ça le plus triste dans tout ça ! Dire que j'ai pleuré pour toi et devant toi ! Je sais pas pourquoi j'me fatigue à parler ! Oui, j'avais fini par me faire à l'idée qu'il fallait que je me taise, que de toute façon, ce qui est fait est fait et que je parle ou pas, ça ne changeait pas sa vision des choses, il pensait encore et toujours qu'elle et moi, c'était la même chose. Il ne manquait plus qu'il me sorte qu'elle et moi n'étions qu'une seule et même personne. La je crois que mon poing partirait tout seul en direction de son nez ou de ses dents. Je pris alors la bouteille qu'il avait en main plus tôt et j'en bus le contenu directement au goulot. Peut-être que j'allai finalement oublier la peine que j'éprouvais à cet instant et que ça allait également me permettre de passer à autre chose, même si j'en doutais fort.
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liyad Elle me poussait, selon elle, je ne ne comprenais strictement rien à la situation, lui parlant de Mayra, de cette ressemblance dans nos relations mais ce n'était absolument pas le cas, si j'étais sobre et raisonné je l'aurais compris mais là j'avais enquillé je ne sais combien de verre, j'étais bourré et je disais un peu ce que j'avais envie et ça l'énervait plus qu'autre chose. Y a que c'est chiant. et que j'avais aussi mal à la tête à force d'entendre sa voix raisonner dans ma tête et je me lançais dans mes explications, ouvrir ma gueule pour un monologue, essayer de me justifier mais à quoi bon, c'était parler pour rien dire, tout avait été dit je crois dans le regard qu'on se lançaient. Et elle recommençait ensuite à baver pour me faire comprendre que je devais avoir des remords sur ce que je lui avais fais subir, elle prenait la tequila pour boire directement au goulot, je souriais faiblement, putain qu'est-ce qu'on étaient pitoyables à regarder. Tout a été dit j'crois. Du coup tu m'jarte de ta vie c'est ça ? Je me penchais légèrement contre le comptoir pour lui choper la bouteille des main et boire à mon tour, je le sentais passer t je crois qu'on en avaient autant besoin l'un que l'autre, boire pour oublier tous nos malheurs.

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C'était chiant en effet, tout ça était incroyablement chiant. Parler dans le vent, tenter d'expliquer ce que je ressentais. C'était comme de faire la lecture à un sourd. Ouais t'es grave chiant ! Ca n'apportait rien de plus à la conversation et pourtant, il fallait que je lui dise ça, c'était comme essentiel pour moi. Je bus alors sa bouteille de tequila au goulot jusqu'à ce qu'il me la prenne et en face de même. Une fois fois terminé, il me demanda si je comptais le jarter de ma vie. Je pris la bouteille, buvant une gorgée une dernière fois puis je la jeta au loin. Au moins, personne n'allait la boire comme ça. Oui je te dégage de ma vie et au passage, j'suis enceinte ! Salut ! Dit la fille qui avait bu comme un trou toute la soirée. Je sortais de son appartement. Déjà qu'en allant chez lui, le temps dehors n'était pas terrible, là c'était bien pire. Je ne savais pas comment rentrer ou même comment retourner au bal par ce temps. Puis j'étais bien plus soûle qu'à mon arrivée, j'allai finir par me tuer, ça c'était sûr et certain. Je m'adossais donc au mur, juste à côté de sa porte. Je me recroquevillais, tentant de me calmer et surtout, de ne pas pleurer. Dans mon état, c'était vraiment dur de me retenir et pourtant, je me le devais, pour moi, il ne fallait pas que je pleure.  
Je crois que oui, notre relation était bel et bien terminée... Il n'y avait rien d'autre à ajouter. Je finis par retourner au bal, ou du moins à ce qu'il en restait.
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