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Our Language
Konrad & Kendall
fiche par ©century sex

Allongé sur mon lit en sous-vêtement j'alignais la poudre sur mon bouquin de Marketing encorné, faisant de mes doigts fins trois petit chemin blanc parfaitement construit. J'entendais déjà les basses balancer du bon vieux Dr. Dre à tue tête au rez-de chaussé et j'imaginais que la soirée qu'avait organisé mes camarades Mathers commençait à prendre vie. J'avais passé ma journée là, je n'avais pas eu la force d'aller en cours, parfois c'était simplement comme ça. Je passais des heures durant à observer ce plafond blanc en buvant du Saint Emilion et en enchaînant les blondes. Je me roulais un billet de 100 dollars que j'attrapais sur le chevet et ingurgitait une première ligne de coke avant de soupirer bruyamment et de m'essuyer le nez maladroitement. Je me laissais aller sur le côté et fermais les yeux. Il fallait que je trouve la force de sortir de cette pièce.

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kondall † Je pouvais pas attendre fallait que je la vois, j'étais en train de me défoncer la gueule à enchainer tous ces pétards, je ne savais même plus combien j'en avais fumer, mais j'avais les yeux explosés et la tête qui devait tourner dans le sens inverse. En tout cas j'avais assez de force et de conscience pour quitter la chambre d'Hendrix, ouais j'avais fumer avec lui, ça faisait du bien de le revoir, et après l'avoir quitté, je filais à l'étagé des filles, me pointer devant la porte de Kendall, ouais j'avais pas arrêter de penser à elle, j'avais la queue qui me démangeait tellement j'y pensais, putain la défonce me donnait tellement envie de baiser c'était dingue mais j'espérais qu'elle soit là, apparemment ouais, j'entendais du Dr Dre passer en musique de fond. Je toquais à sa porte, j'avais les yeux explosés et la tête qui tournait mais je m'en foutais fallait que Kendall s 'occupe de moi là.

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Konrad & Kendall
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Ça faisait des jours que je n'étais pas sortit d'ici, pour tout dire l'esprit de noël qui régnait à l’extérieur me donnait la nausée. Tout ce bonheur fictif, ce sourire que trimbalait les gens. Ça ne faisait que me rendre une fois de plus à l'évidence. J'étais seule, seule avec tout mon fric, certes mais seule tout de même. Je me passais une main dans les cheveux lasse, durant les quelques jours où j'étais resté cloîtrée là, j'avais eu envie de l'appelé pour le sentir, il avait cette influence puissante sur moi comme si avec lui le temps n'existait plus, mais je ne l'avais pas fait, tout ça me rappelais trop Julian.
Ma gorge commença à être douloureuse toute cette coke m'avait rendu malade et je me décidais à me lever pour me servir un verre d'eau. Je fis quelques pas pieds nue dans ma chambre et attrapais rapidement une serviette de bain sur le côté. Je l'enroulais autours de mon corps frêle et me conciliais à ouvrir la porte pour aller me chercher un verre d'eau et une aspirine lorsque...
« Konrad ? » une once de satisfaction pointa dans ma voix et je laissais tombé la serviette au sol de surprise.

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kondall † Je viens de quitter la chambre de Hendrix, je me suis enfumé la tête avec ce con, j'ai la tête que tourne, j'arrive presque plus à avoir une vision nette, ouais là je suis défoncé de chez défoncé et au lieu de quitter la résidence, je monte à l'étage du dessus, celui des filles, me pointer devant la porte de la chambre de Kendall. Ouais direct quand je suis sorti de la chambre d'Hendrix j'ai sentis ma queue me démanger et je pensais direct à Kendall ouais elle me faisait ressentir des démangeaisons c'était un truc barge et lorsqu'elle m'ouvrait la porte, je pouvais pas rêver mieux, elle laissait tomber sa serviette au sol et je pouvais la voir en sous-vêtements Pt'in Kendy faut qu'tu m'aide. j'entrais dans sa chambre J'suis défoncé de chez défoncé et j'ai trop mal à la queue. fallait qu'elle m'aide et la connaissant, à mon égard, elle pouvait que m'aider.

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Konrad & Kendall
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Debout à demi-nue dans l'encadrement de la porte j'observais les traits tirés de Konrad. Ses yeux cernés, sa peau ternis. Le rose me monta au joue et j'attrapais à la hâte ma serviette sur le sol pour la collé contre ma poitrine, me faisant sourire par la même occasion. Quel genre de manières je pouvais faire devant lui qui m'avait baisé tant de fois.
« Pt'in Kendy faut qu'tu m'aide » dit-il de sa voix rauque et mes membres se mirent à trembler à l'unisson. Je serrais les dents tentant de contrôler ma frénésie mais il s'avança dans la chambre.
« J'suis défoncé de chez défoncé et j'ai trop mal à la queue. » balança-t-il d'un ton salace. Je ne souris pas, inquiète de savoir qu'entre mes cuisses ses remarques me faisait déjà brûler d'envie. A quelques centimètres de moi je pouvais déjà sentir son haleine de clope et je laissais tombé la serviette instinctivement tant il s'avançait vers moi.
« Merde Konrad tu fais chier... » dis-je sans aucune volonté absorbé par ces putains de paroles. J'enroulais mes bras autours de son cou et me collait à son corps ardent.
« J'ai pas le temps.. » soufflais-je histoire de conforter ma conscience qui me criait de le repousser.

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kondall † Elle m'avait enfin ouvert et elle aurait pas pu m'ouvrir en col roulé avec le jogging dégueulasse ? Non, fallait qu'elle soit en sous-vêtements derrière sa serviette qui tombait au sol, évidemment je ne pu m'empêcher de la reluquer, de frissonner et de ressentir des frissons encore plus marqué entre mes jambes. J'entrais, lui disant que j'avais un problème, j'étais vraiment défoncé et elle seul pouvait m'aider, je la regardais prendre sa serviette, fallait qu'elle penche son cul, que je puisse l'avoir dans mon champ de vision et de presque plus me sentir. Elle se redressait, refermait la porte de sa chambre et alors que je m'approchais d'elle, elle me disait que je faisais chier mais ça ne l'empêchait pas de se coller à moi et de passer ses bras autour de mon cou, ajouter qu'elle n'avait pas le temps T'as pas le temps pour examiner ma queue ? J'te jure jai trop mal. je venais plaquer mes deux sur ses fesses, et les serrer pour qu'elle sente mon entrejambe contre la sienne.

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La pièce avait tout à coup monter en températures et nos deux corps l'un contre l'autre émanaient une chaleur suffocante. Je commençais tout juste à devenir folle comme à chaque fois qu'il était présent Il s'avança encore et encore et mes bras se resserrèrent autours de son cou agrippant doucement les cheveux qui ornait sa nuque.
« T'as pas le temps pour examiner ma queue ? J'te jure jai trop mal. » Je me mordis la lèvre. Merde ce mec était barge, je lui lançais un regard lourd de sens en rapprochais mon visage du siens.
« Je... te...déteste... » dis-je doucement, posant mes doigts fin sur la bosse de son jean. Je viens posé délicatement ma langue sur ses lèvres et détachais d'une active lenteur les boutons de son pantalon. J'avais envie de le sentir, maintenant, tout de suite.

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kondall † Je ne me sentais plus, la chaleur venait de monter en flèche depuis qu'elle s'était rapprochée de mon corps, le coller et passer ses mains derrière ma nuque. Je les sentais se resserrer pour venir dans mes cheveux, putain elle me rendait fou, elle me disait qu'elle me détestait mais je sentais une de ses mains venir frôler mon entrejambe, ce début de contact avait le don de durcir la bosse, pire lorsque sa langue passait sur mes lèvres et que ses doigts commençaient à déboutonner mon pantalon Je sais que tu m'déteste mais j'ai vraiment besoin que tu l'examine. je resserrais le contact que j'avais de mes mains sur ses fesses, j'avais envie de la prendre dans toutes les positions, l'envoyer au septième ciel et qu'elle me vide comme jamais.

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Konrad & Kendall
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Konrad empoigna mes fesses rebondit et je serrais les dents pour ne pas déjà lâcher un gémissement. Des fourmis mes parcoururent le bas ventre et je me mordais violemment la lèvre tant il agressait mon postérieur. Je me cambrais sous son étreinte en caressant la puissante érection qui avait pris place dans la paume de ma main.
« Je sais que tu m'déteste mais j'ai vraiment besoin que tu l'examine. »
Je plongeais mon regard dans le sien et empoignais fermement son sexe.
« Et moi j'ai besoin que tu ferme ta gueule Sheffield » Je souris et vint sceller mes lèvres aux siennes en me laissant aller contre son corps en émoi. Mes doigts se détachèrent de son anatomie et vinrent se balader sur son bas ventre maintenant la tension palpable. Je jouais alors avec l'élastique de son caleçon ne détachant pas mon regard du sien avant de passer ma main entre ses sous-vêtements soupirant de satisfaction contre sa peau.

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kondall † Ses fesses parfaitement rebondies, mes mains venaient se plaquer dessus, les agripper, la rapprochant ainsi encore plus de moi, j'avais envie d'elle comme jamais et à chaque fois c'était pareil, les mêmes sensations ressentis, la même dose de frissons parcourant mon corps, elle me rendait juste dingue que je pouvais rien contrôler. Je la sentais caresser cette bosse qui s'était formée derrière ces bouts de tissus, elle ne tardait pas à arrêter ses caresses contre mon jean, pour empoigner cette érection et me dire de la fermer. Elle scellait ses lèvres aux miennes quittant mon entrejambe pour passer ses mains sous mon t-shirt et les faire s'amuser avec l'élastique de mon boxer quelques instants, j'en pouvais plus et quand une de ses mains passait dans mon boxer, c'était l'extase, je la sentais frôler mon anatomie, elle la faisait encore plus grossir et durcir à force de la faire languir et je ne quittais toujours pas ses lèvres, rendant ce baiser diablement sauvage.

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