Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityDRALEKS. ✰ dreams about our summer nights. (hot)
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DRALEKS. ✰ dreams about our summer nights. (hot)

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DREAMS ABOUT OUR SUMMER NIGHTS.


La fin de Décembre se approchait. Une dizaine de jours et l'on passerait à la nouvelle année. Dans mon appartement, je pianotais encore sur mon clavier ; écrivant un texte de plusieurs pages afin de compléter mon dossier de journal. A la fin de l'année, le master serait acquis. Nostalgie qui nous tient. Je sauvegarde, regarde l'heure et me rends compte qu'il se fait tard. Le sommeil ne vient pas et je pourrais encore rester à regarder les derniers épisodes d'une série venant de se terminer. Cependant, j'ai une autre idée en tête. Je m'empare de mon portable, envoyant alors un SMS à mon amant. Pas de salutations, ni de formules de politesses, juste une demande : "J'ai envie de sentir ta peau en sueur contre la mienne ce soir, maintenant." En l'attendant, je me prépare un café. Draco, ce n'est pas rien. C'est quelqu'un. Il aurait pu rejoindre la catégorie du Sans Lendemain et à sa façon, il s'était distingué. Son physique, son caractère. Avec des hauts et des bas.Il me fait de l'effet, il arrive à m'intriguer, à m'exciter. Buvant mon café à multiples gorgées, je vérifie le nécessaire dans ma table de chevet. Et tout y est. Je souris à l'idée que certains me croient pur, chaste, comme un être innocent. L'allure d'un parfait gentleman aux idées obsolètes. On frappe à la porte fortement et je me mets alors à me précipiter dans l'appartement pour ne pas le faire attendre. Le taquinant, je lui dis avec malice : “J'allais mourir sous l'impatience.” Mon accent polonais ressurgit et je ne tarde pas à l'entrainer dans l'appartement, refermant la porte afin de déposer mes lèvres sur les siennes.
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Cela faisait déjà un très long moment que je n'avais rien fait avec un homme. Ne nous méprenons pas, j'aime toujours autant le corps excitant de la femme, seulement j'arrivai à une période ou l'envie corporelle masculine se faisait plus ressentir. Quoi donc de mieux que de sextoter mon seul et unique amant, Aleksander ? C'était un Winthrop, aux allures BCBG , et évidemment incroyablement sexy. Il avait des allures de nerd, d'intello de classe, et cela ne rendait que d'autant plus excitant. Après m'avoir confirmé sa disponibilité, je ne manquai pas de temps de m'habiller, et de me jeter derechef dans un taxi, jusqu'à son luxueux appartement. Je m'étais habillé plutôt léger, le temps était certes hivernal, mais la température, une fois arrivé chez lui allait être chaude. Je n'avais mis qu'une chemise, un pantalon, ainsi qu'au dessus tout, une fourrure. Je toquais par la suite contre sa porte, et il finit par m'ouvrir en m’accueillant bien chaleureusement « Hmm, la mort risque de se présenter d'une autre manière » lui répondis-je avant de l'attraper directement par l'épaule, et en me débarrassant de ma fourrure par la même occasion. Je l'embrassais fougueusement, puis léchai le contour de ses lèvres avant de prononcer « Tu m'as manqué ». Je repris possession de sa langue, en jouant avec elle, tout en faufilant mes mains par dessous sa chemise.
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Ses paroles me font sourire. Il sait jouer avec ça. Un bref humour subtil. Je le regarde enlever sa fourrure, dévoilant ainsi une belle chemise, lui allant à la perfection. Mes lèvres communiaient en harmonie avec celles du jeune Eliot, m'obligeant à gouter à sa langue. Ses mains se glissèrent sous ma chemise, commençant à caresser mon torse musclé. L'excitation montait et mes mains s'attaquèrent à la chemise de Draco, lui déboutonnant sensuellement chaque bouton, un à un. Lentement. Ouvert, mon regard se déposait sur le torse du jeune Conwell, faisant à nouveau grimper l'excitation que j'avais pour lui. L'ivresse, la folie, le désir s'introduisant dans mon esprit, emprisonnant mes pensées raisonnables. Je l'oblige alors à se défaire de sa chemise afin qu'elle tombe à terre. Cependant, mes mains n'en n'ont pas fini et après que j'eusse déboutonner son pantalon, elles se collent à son dos, le caressant avec sensualité. “C'est dur.” Phrase à sens équivoque, pouvant faire penser à de l’obscénité. Et pourtant, je dénomme tout ce qu'il y a autour : “C'est dur de ne pas se jeter sur toi afin de précipiter les choses, c'est dur de ne pas être violent, contrôlé par le désir. Mais j'aime profiter de ces moments avec toi.” Je lui souris et je me rapproche de son visage, l'embrassant de nouveau. Les caresses, les baisers me conduisent jusqu'au bord du lit.
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Ses mains baladeuses s'activaient sur ma chemise, en même temps que les miennes attaquaient la sienne, en se faufilant par dessous son vêtement, et caressant la moindre parcelle de peau. Elles remontèrent ensuite à son cou, ou j'y passais mes bras autour, en l'embrassant toujours aussi passionnellement. Ses jeux de mots, me firent comme d'habitude sourire, ce qu'il y avait de bien à fréquenter un intello, c'est qu'il parvenait toujours à vous faire rire, et même dans ce genre de situation. « Et bien on peux faire les dos ». Il finit par déboutonner entièrement ma chemise, laissant celle-ci tomber au sol, puis je nous fit pivoter, l’entraînant vers le bord du lit afin de l'y jeter complètement. « J'aime quand tu es violent » déclarai-je avant de le rejoindre dans le lit, et de m'allonger contre lui, mes lèvres retrouvant leur jumelles. Je pris également soin de déboutonner sa chemise, afin de lui en débarrasser. Son torse tracé et taillé à la perfection ne faisait que redoubler mon excitation. Ma langue passa de ses lèvres, à son cou, pour finalement aller se retrouver sur ses tétons. Je jouais alors avec l'un d'entre eux, le léchant, le mordillant  de manière passionnée. Un avant goût de ce que je lui réservais plus en bas. « Alors t'as prévu quoi pour les fêtes ? » lui demandai-je tout en continuant de savourer ses tétons, l'un après l'autre. Ce n'est pas parce que nous nous apprêtions à faire l'amour que nous ne pouvions pas parler en même temps, c'était même assez amusant.
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Par un simple mouvement de Draco, on pivota et je me laissais alors tomber sur le lit. Confortable, moelleux. Le nécessaire pour passer une nuit torride ? Seules les paroles crues du jeune Eliot parvenaient à m'exciter, à faire grimper ce désir que j'avais pour lui. Il me déboutonne ma chemise, l'extirpant de mes bras afin de la jeter à terre. Nous voilà, torses nus, lui et moi, complètement excités. Me laissant faire, je fixai Draco de l’œil, sentant ses baisers sur mon cou avant de descendre sur mes tétons. Je ne peux pas m'empêcher de lâcher un soupir, satisfait de la situation. La tendresse envahit mon corps et j'en demande plus. Un gémissement sort à nouveau de ma bouche. Je reconnais que Draco possédait la technique afin de basculer un homme dans les vices sexuels. Relevant la tête, il me pose une question à laquelle je réponds immédiatement : “Rien. L'envie de rentrer en Pologne, seul, n'est pas présent. Donc, je resterai dans le coin et puis, il y a le bal.” Je n'ai pas de famille qui m'attend. Retourner en Europe pour les racines ? Je pouvais patienter encore, cela ne me dérangeait guère. “Et toi, tu as prévu quelque chose ?” Draco devait se douter que s'il souhaitait passer du temps en ma compagnie, il serait toujours le bienvenu. Cependant, j'oubliais que lui aussi avait une famille. Les rapports étaient-ils tendus avec son père aussi ? Je n'en connaissais pas les détails et je n'étais pas du genre à m'immiscer dans la vie des gens. Dans mes conquêtes, je trouve toujours étrange de parler durant une partie de jambes en l'air, cependant, avec Draco, cela se faisait naturellement et sans gène. L'envie d'aller plus loin me saisissait.
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Je prenais un réel plaisir à jouer avec ses tétons, j'étais assez habile de ma langue en fait, jouer avec indéfiniment. Le remontai ensuite au creux de ses pectoraux, afin de lécher cette fois ci son cou, et d'y déposer ma marque, des petits suçons. Il allait entièrement m'appartenir pour la soirée et autant fallait-il qu'il le sache. Je marquai ensuite une pause, me retrouvant à seulement quelques centimètres de son visage «Tu sais ou me trouver si jamais tu as besoin d'un peu de compagnie, j'ai toujours du temps libre pour toi. Ainsi que pour ton... » je caressai alors légèrement son entrejambe par dessus son pantalon. Je lui souris, puis continuai «Rien pour le moment, mon père veux que j'aille le rejoindre en France...mais je cogite encore. » Je retournai alors à ses lèvres, que je me mis à mordiller délicieusement. Ma main descendit jusqu'à sa ceinture, ou de mon habileté, je pus l'enlever d'une seule main afin de pouvoir ouvrir amplement sa braguette. La surface était tout aussi dur que la mienne, de mon autre main je vint tâter la bosse apparente, sous son pantalon. « Je t'ai déjà dis que ton accent était terriblement sexy ? » répliquai-je en lui embrassant le cou. Il me tardait de descendre plus en bas.
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Draco, avec sa réponse, me réconforte dans l'idée que je pourrais passer ces quelques jours de fin d'année en sa compagnie. Les aventures sans lendemain peuvent s'avérer intéressantes parfois, mais, en cette période, je préférais m'attacher à de valeurs sûres auxquelles Draco s'y tenait. Ses caresses sur mon entrejambe stimulait mon envie, mon désir pour lui. Faire l'amour, baiser. Qu'importe. Avoir son corps contre le mien me rendait ivre. J'apprenais qu'il hésitait à rejoindre la France pour être auprès de son père. La famille, c'est important en général. Ne parlant point, j'accueillis avec plaisir ses lèvres dévorantes. Un petit sourire s'échappa lorsque je sentis ses mains baladeuses détacher ma ceinture afin de descendre ma braguette. L'accès à mon caleçon était alors facile. Mon désir grandissant déformait pleinement alors mon sous-vêtement. “Seulement mon accent ?” ironisai-je, en lui arrachant un baiser. Cet accent, c'était toute une histoire. Ma première année à Harvard avait été difficile, puisque presque personne ne me comprenait. Et puis, j'ai du affiner, le rendre perceptible. Et voilà, six ans plus tard, toujours présent avec un côté glamour. D'une envie sentimentale, je mettais ma main dans ses cheveux, le caressant en lui déclarant : “Ton torse est sexy, ton visage est sexy, ce que tu as en bas aussi.” Allongé, la tête relevé, je le laissais toujours mener la danse. Je prenais habituellement le contrôle de la situation, mais avec lui, je le laissais faire. Ses baisers dans mon cou provoquait des petits gémissements. Et dans un soupir, je prononçais alors avec supplice : “Arrêtes de me torturer, s'il te plait ...
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