KYRON JETT RYDER ► Dudley O’Shaughnessy

C'est le 14/01/1990 à Harlem, que les membres de la famille Ryder m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Kyron Jett. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale pauvre. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d'art musical depuis 5 ans ans et travaille en parallèle de mes études en tant que livreur de pizza . Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Students.

Kyron Jett Ryder

Looks alot like Dudley O'Shaughnessy

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Soreal et j'ai 20 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à top-site. Super alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Dudley O'Shaughnessy comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par angel dust. Je fais environ 400 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Chicken
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

APRÈS LA BOMBE
J'étais pas présent à l'université ce jour là, et je ne le regrette vraiment pas. Car la plupart de mes cours, sont localisés dans le bâtiment ou les dégâts ont été les plus mortels quoi. Une chance, que j'ai été retenu au boulot ce jour là. J'suis aussi vraiment heureux de ne pas avoir perdu de proches à moi, j'pense que j'en aurais toujours été dévasté. Je connais des gens qui ont tout perdu à cause de cette foutue bombe, et franchement j'ai mal pour eux.

MATHER HOUSE
J'me vois définitivement en tant que Mather . J'aime l'ambiance qui y règne, les fêtes, les rigolades, l'alcool, la drogue, ouai je l’avoue j'aime tous ça, ya un blème ? J'pars du principe qu'on vit qu'une seule fois, alors faut en profiter au maximum, de plus on ne sait pas ce que nous réserve le futur. Si ça s'trouve, demain en voulant livrer une pizza, j'vais faire un accident et j'vais mourir hein. Ce serait horrible, non pas à cause de la mort en elle même, mais parce que j'aurais pas profité à fond de chaque instants de mon existence. C'est comme ça que j'vois les choses, j'veux m'amuser, être heureux et pour l'instant, ya que les amis, les fêtes et l'alcool qui me le rend.

STUDENTS
La question s'oppose même pas, j'me vois dans aucune autre confrérie que les Mathers. Certes, la Lowell house correspondrai aussi à mon profil, car j'suis un artiste et tout, mais sérieux quoi vous avez vu les gens de cette maison ? Ils sont à fond dans leur délires, vivent que de leur art et tout, j'sai pas ils devraient péter un coup ! Moi certes, j'aime aussi l'art, jsuis un passionné de musique, seulement j'pourrais pas en vivre 24heures sur 24. Du coup, j'me vois dans nulle autre maison.

(Invité)

J'aurais bien aimé commencer par vous parler de mon enfance, seulement je n'en ai pas vraiment eut. Tout ce que je sais de ma mère biologique, est qu'elle m'a eut...d'un viol. Elle a choisi de me garder, et de me faire naître, mais pas de me connaître. C'est une contradiction que honnêtement je n'ai jamais compris...seulement je n'aurais jamais les réponses à mes questions, étant donné que je ne sais plus rien d'autre sur elle...

J'ai donc été adopté à l'age de 8 ans, après avoir été baladé dans de nombreuses familles d’accueils. Je n'ai jamais regretté d'avoir été par la suite adopté, car bien que mon éducation ne fut pas exemplaire, j'ai toujours su dans le fond que mes parents adoptifs m'aimaient comme leur propre fils. Les premières années fut les meilleurs, nous n'avions pas beaucoup d'argent, car ma mère était serveuse dans un bar, et mon père garagiste, mais on se suffisait. Tout était parfait, jusqu'au jour ou ma mère tomba malade d'un cancer de la peau. Ce fut un choc terrible qui perturba l'harmonie de la famille, et malgré tous les efforts de mon père pour financer sa chimiothérapie, le cancer finit par l'emporter. Je me souviens être allé dans le lit de ma mère ce jour là, c'était mon anniversaire et je voulais qu'elle me le souhaite, comme tous les ans. Je l’appelai, la poussait délicatement, afin de l'a réveiller, de lui faire ouvrir les yeux, mais en vain. Je me souviens avoir appelé une ambulance, puis avoir été prit dans les bras par ce pompier qui me dit qu'elle était partie finalement au ciel. J'en fus dévasté, j'avais 12 ans, et c'était la toute première fois que j'étais confronté à la mort, je pense même que j'en suis toujours traumatisé. Mon père lui, ne le supporta pas. C'est durant cette période que je pris conscience qu'il avait aimé ma mère plus que moi même, puisqu'il ne m'accordait plus aucune importance. Il passait ses journées à la maison, consolant sa tristesse par l'alcool. Il fut d'ailleurs renvoyé de son travail pour cela, et à 14 ans je du me trouver un travail, afin de payer les factures. Les rôles avait changé, j'étais devenu le père, et lui le fils. Il volait par moment l'argent que je rapportais afin de s'acheter de l'alcool, ainsi que de la drogue, de ce fait il n'était pas surprenant que nous n'ayons pas d'électricité durant des mois. Du coup, je squattais chez des amis, tandis que mon père lui restait à la maison, et attendait ses prochaines hallucinations. La drogue lui faisait en fait croire que maman était toujours présente, qu'elle s'occupait toujours de lui. Un jour, elle lui demanda de le rejoindre, j'étais dans ma chambre ce jour là, en train d'essayer d'apprendre mes cours avec une torche en main. Tout ce dont je me souviens, fut d'entendre un « J'arrive chérie », puis un bruit d'arme à feu. Dès que j'arrivai dans sa chambre, je le trouvai affalé au sol, une marée de sang se propageant petit à petit sous son corps. Oui, il s'était suicidé. Les choses allèrent par la suite assez vite, je fus hébergé dans une nouvelle accueil, et fut émancipé à l'age de 18 ans. L'age ou grâce a mes très bon résultats, je fus admit à Harvard, et pu rencontrer des gens formidables, comme une nouvelle famille pour moi.

Tous ces décès, ces pertes, ces traumatismes dans ma vie, m'ont fait comprendre que la vie pouvait être courte. Qu'il faut profiter des meilleurs choses, avant qu'elles ne prennent fin, comme ce fut le cas de ma mère. Qu'il ne sert à rien de se lamenter, et de détruire sa vie, comme ce fut le cas de mon père. J'ai été trop de fois confronté à la mort, pour ne pas réaliser l'importance de la vie. La vie est une chance, alors je compte bien l'a saisir.

The End

(Invité)