You, little coward PV Calvin

Le moins que l'on puisse dire, c'est que ma vie est pas mal mouvementée ces temps-ci. Je m'y étais préparée bien entendu, sachant très bien qu'accueillir un enfant dans ma vie entrainerait des responsabilités. Bien entendu, je ne les fuyai pas, au contraire, Quincy est l'une des plus belles choses qui me soit arrivé dans ma vie. Ce n'est pas facile tous les jours car je devais être à dix milles endroits à la fois, mais en contrepartie, j'avais toute cette joie et ce bonheur qui m'envahissaient lorsque mon regard croisait celui de mon fils. Rien que ça compensait les problèmes que je devais gérer en plus même si j'avais laissé tombé l'ponge avec Read, j'avais trop de rancoeur bien entendu. Le fait de ne plus l'avoir à mes côtés - quand bien même je ne pouvais me résoudre à ne pas me soucier de lui - me laissait plus de temps pour remonter le moral à Milena. La voir si dépitée, m'avait fait l'effet d'une douche froide. Elle n'était pourtant pas du genre à se laisser abattre mais là au vu de la situation, cela pouvait se comprendre. Beaucoup trop attachée à elle, j'étais prête à tout tenter afin de la revoir sourire à nouveau comme elle sait si bien le faire. Vu que je passais à Harvard pour récupérer des cours en retard - car oui pour le moment je me concentre sur mon fils et ne reprenrais les cours qu'en janvier - j'en avais profiter pour me renseigner si Calvin était présent lui aussi, dans le but de faire face au coeur des problèmes de ma meilleure amie. On m'avait signifié qu'il finissait de donner ses cours à dix huit heures et je comptais bien l'attendre. Dans ma voiture, je voyais le temps tourné jusqu'à ce que monsieur se présente enfin sur le parking. Sortant de l'habitacle, j'arrivais à sa hauteur en quelques foulées seulement." Je peux vous parler c'est important. " Ce n'est pas parce qu'il est prof, que je n'allais pas être franche avec lui, la famille passe avant tout. Je ne savais nullement s'il se doutait de quoi je voulais lui parler, bien que cela paraisse logique, mais j'étais bien décidée à entendre sa vision des choses peu importe le temps qu'il faudra.

La journée avait été un véritable supplice. Je donnais des cours depuis ce matin et la seule heure de repos que j’avais eu, je l’avais passé au téléphone avec des futurs clients. Néanmoins, je devais reconnaître que j’avais de la chance que tout ce passe bien du côté professionnel. On ne pouvait pas en dire autant de ma vie privé. C’était un vrai chao. Milena avait mis au monde une petite fille qui n’était pas la mienne. J’avais très mal pris la nouvelle. Je ne pouvais pas concevoir le fait qu’elle est eue un enfant avec un autre. Après plusieurs négociations, j’avais fini par apprendre qui était le père. Une vraie ordure. Je ne supportais pas ce mec. Rien que de les imaginer ensemble, ça me donnais envie de lui dégommer la figure. Depuis, notre rencontre à l’hôpital, nous n’étions plus ensemble. La perdre était l’une des choses les plus durs. Aucune fille n’avait autant compté qu’elle. Être dans cet état-là, était tout nouveau pour moi. Je n’avais jamais ressentie ça. D’ailleurs, aucune fille ne m’avait rendu aussi vulnérable. C’est pourquoi, je n’arrivais pas à gérer ce sentiment nouveau. Résultat, je masquais cette souffrance par la colère et dans ces cas-là, j’étais tout sauf conciliant. J’avais été grognon durant tous mes cours et cela ne facilitait pas le contact avec les étudiants. Heureusement, la fin de ma journée avait sonnée. Il était temps pour moi de rentrer et de me plonger dans les tonnes de copies qui attendaient d’être corrigé. J’allais ouvrir la portière de ma Audi R8 lorsqu’une jeune femme venait m’interrompre. " Je peux vous parler c'est important. " Manquait plus qu’elle pour rendre ma journée cauchemardesque ! C’était la meilleure amie de Neva et j’avais compris qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de se mêler de ce qui ne la regardait pas. Comme la fois, où elle était au courant pour moi et Milena, alors qu’on avait dit de n’en parler à personne. « Je suis désolé, mais je n’ai pas le temps. » J’ouvrais a portière et mettais ma sacoche sur le second siège.

Milena va me détester c'est certain d'avoir osé aller voir Calvin mais bon je suis libre de mes actes et puis tant que j'empire pas la situation, je fais rien de mal. Et puis je ne pouvais pas décemment laisser ma belle soeur et meilleure amie se morfondre au fond de son lit alors qu'elle avait une fille à élever. Fille au centre du problème, tout ça parce qu'elle était "illégitime" bien que Milena n'y était grandement pour rien. Déjà que j'avais un peu de mal avec Calvin, sa réaction quant à la blonde me donnait encore moins envie d'apprnedre à le connaître plus mais il comptait pour Milena, et ça je pouvais décemment le comprendre. Je m'apprêtais donc à jouer les Cupidons pas certaine que ça marche parce que bon je me doutais très bien rien qu'au physique du professeur qu'il est pas un tendre et que le faire changer d'avis serait bien plus compliqué que d'apprendre à mes chats de se brosser les dents. On verra bien ce que ça donne. Puis s'il s'imagine que je suis toujours la fille qui ne fait jamais de mal à personne, il se trompe, je défend mes intérêts coute que coute. Je venais à peine de l'aborder que je voyais dans son regard de l'exaspération." Je suis désolé, mais je n’ai pas le temps. " Il se fout de moi ? Non parce que je parie que je suis une femme plus occupée que lui. D'ailleurs je devrais plutôt profiter de mon fils à ce moment mais non j'avais décidé de me soucier de Milena ce qui m'avait mené jusqu'à lui." On trouve toujours le temps quand on veut. Mais je suppose donc que vous soucier de Milena ne vous importe déjà plus. Ca veut dire bien des choses cela. " Je parler d'un ton calme et non agressif sinon je savais que la conversation ne durerait pas. J'allais donc prendre sur moi, espérant qu'il n'allait pas se cacher dans sa voiture de luxe tel un lâche qui ne cherche même pas à comprendre.

" On trouve toujours le temps quand on veut. Mais je suppose donc que vous soucier de Milena ne vous importe déjà plus. Ca veut dire bien des choses cela. " On allait vraiment avoir cette discussion ? Je n’avais vraiment pas la tête à ça. Pourquoi parler de Milena ? Il n’y avait plus rien à dire et surtout ça ne la regardait pas. Même si c’était sa meilleure amie. Je soufflais, exaspéré par cette situation. Je me redressais pour lui faire face. Ses yeux contredisaient ses paroles polies. Je savais qu’elle avait envie de me fusiller à cet instant. « Ecoutez, je n’ai pas envie d’avoir cette discussion avec vous. De plus, ça ne vous regarde pas et cela même si vous êtes son ami. » Je m’efforçais de rester courtois avec elle, mais j’avais bien envie de lui dire d’aller se faire voir. Comme si je n’étais pas assez mal avec cette histoire, il fallait en plus qu’elle s’en mêle. Pourquoi est-ce que toutes les filles étaient comme ça ? Ce n’était même plus de la solidarité à ce stade-là. C’était mettre son nez dans ce qui ne leur regardait pas et planter sa mauvaise graine en amplifiant les choses. Nevada restait cloitré devant moi avec le torse presque bombé comme une espèce de gendarme. Elle n’avait pas l’air de vouloir partir d’ici. Si je montais dans ma voiture et que je la laissais en plan, je risquais d’aggraver les choses. Aussi, je n’avais pas d’autre choix que de rester. « Vous ne voulez pas bouger hein. Je crois que vous n’êtes pas en mesure de comprendre ce qui se passe réellement. Peut-être qu’elle en souffre, mais ce n’est pas mieux de mon côté. La trahison c’est mauvais pour un couple. » Oui, car je prenais cela pour de la trahison. J’avais voulu la demander en mariage. Dieu merci, je ne lui avais encore rien dit. Finalement, je m’étais évité une très grosse connerie. Qu’elle reste avec cet Alexander. Pour moi, elle foutait son avenir en l’air. Je savais que ce n’était pas de sa faute, mais si elle n’avait pas couché avec cet imbécile, rien de tout cela ne serait arrivé.

Pour l'instant, je tentais de garder mon calme même si je savais que cela n'allait pas durer longtemps. Je savais de Milena que Calvin n'était pas quelqu'un de facile, qu'on peut faire changer d'avis en l'espace de quelques secondes seulement. Sauf que je suis quelqu'un de très têtue aussi même si ça ne se remarque pas au premier coup d'oeil." Ecoutez, je n’ai pas envie d’avoir cette discussion avec vous. De plus, ça ne vous regarde pas et cela même si vous êtes son ami. " Bien entendu que je m'attendais à ce comportement, personne n'aime parler de ses problèmes de coeur encore moins à une personne qu'on ne connaît pas réellement sauf que là je n'allais pas lâcher le morceau malgré tout ce qu'il pourrait dire." Elle est ma famille avant tout et je pense que si tu connais cette notion, tu n'aimerais pas forcément voir un de tes proches complétement démuni. " S'il pense que j'aurais pu être impressionnée par lui, il se trompe totalement, jamais ça ne sera le cas, je ne me laisse pas marcher sur les pieds et quand j'ai quelque chose à dire ben je le dis." Vous ne voulez pas bouger hein. Je crois que vous n’êtes pas en mesure de comprendre ce qui se passe réellement. Peut-être qu’elle en souffre, mais ce n’est pas mieux de mon côté. La trahison c’est mauvais pour un couple. " Je lève les yeux au ciel, il a raison sur le fait que je ne vais pas bouger mais pour la suite, mon dieu j'aurais préféré ne pas entendre cela, je crois qu'il est pas du tout conscient de ce qu'il vient de dire." Effectivement je compte bien rester et cette envie c'est renforcé au vu de votre façon de pensée. Elle ne vous a pas trahi, elle n'a jamais demandé à devenir mère du jour au lendemain. Je peux vous l'assurer étant donné que je lui ai parlé de cela quelques semaines avant qu'elle apprenne cette grossesse. Et puis vous dites que la trahison est mauvais mais l'abandon c'est encore pire si vous voulez mon avie et c'est exactement ce que vous êtes en train de faire. " Il n'avait tout simpelment pas le droit de l'abandonner au moment où elle avait le plus besoin de lui pour gérer cette situation qui l'avait prise de court, ce coup du destin dont elle se serait bien passé." Enfin bon je savez dès le début que vous n'étiez pas digne d'elle, j'en ai aujourd'hui la preive. "

" Elle est ma famille avant tout et je pense que si tu connais cette notion, tu n'aimerais pas forcément voir un de tes proches complétement démuni. " Je me retenais de lever les yeux au ciel. Je ne voulais même pas répondre. De toute façon, ce n’était pas la peine, elle enchainait déjà. " Effectivement je compte bien rester et cette envie c'est renforcé au vu de votre façon de pensée. Elle ne vous a pas trahi, elle n'a jamais demandé à devenir mère du jour au lendemain. Je peux vous l'assurer étant donné que je lui ai parlé de cela quelques semaines avant qu'elle apprenne cette grossesse. Et puis vous dites que la trahison est mauvais mais l'abandon c'est encore pire si vous voulez mon avie et c'est exactement ce que vous êtes en train de faire. " Bien sûr que non, elle ne l’avait pas demandé, mais elle avait trouvé le moyen de coucher avec ce petit con. Je ne l’abandonnais pas d’ailleurs, elle n’était pas seule. « L’abandon ? Vous y allez fort quand même. D’ailleurs, je me contre fiche de votre avis. Elle n’est pas toute seule, il y a le père de son enfant. Elle peut très bien se passer de moi. » J’en avais sérieusement marre de cette leçon de morale. Ça commençait à me saouler sérieusement. " Enfin bon je savez dès le début que vous n'étiez pas digne d'elle, j'en ai aujourd'hui la preive. " Ma main se crispait sur la portière de ma porte. Elle ne me pensait pas être digne d’elle ? Mes pulsions colériques commençaient à refaire surface et je faisais un maximum pour me contrôler. « Tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu ne sais pas ce qu’il y a entre nous et pourtant tu oses porter ton jugement. Je ne crois pas que Milena aimerait entendre ça de ta bouche. » Le tutoiement était de rigueur. Je mettais les politesses à la poubelle. Je lui avais parlé les dents serrées tandis que je sentais la colère monter.

Je sais que Milena m'a demandé de pas aller voir Calvin mais je ne pouvais pas rester à rien faire en la voyant au bord du gouffre de jour en jour. Non je ne pouvais décemment pas attendre, j'étais obligé de savoir le fond de la pensée de Calvin. Je sais très bien que c'est pas avec mon intervention qu'il va revenir dans les bras de Milena mais je tiens vraiment à ce qu'il comprenne que le comportement qu'il a eu est complètement idiot. Il aurait du réfléchir avant de prendre une telle décision que de laisser ma meilleure amie dans le noir le plus total." L’abandon ? Vous y allez fort quand même. D’ailleurs, je me contre fiche de votre avis. Elle n’est pas toute seule, il y a le père de son enfant. Elle peut très bien se passer de moi... Tu ne sais pas de quoi tu parles. Tu ne sais pas ce qu’il y a entre nous et pourtant tu oses porter ton jugement. Je ne crois pas que Milena aimerait entendre ça de ta bouche." Il osait vraiment dire qu'il ne l'avait pas laissé. Il se fiche de moi, vraiment. Je croisais les bras contre ma poitrine, complétement horrifiée par ses paroles. Comment peut-il penser que parce que le père de sa fille est avec elle qu'elle va bien." Pour votre gouverne, elle refuse de voir quiconque et ça c'est à cause de vous. Elle a plus goût à la vie parce que vous n'êtes pas à ses côtés. Milena sait très bien ce que je pense de vous. Je ne vous déteste pas enfin du moins avant. Tout ce que je veux c'est son bien et elle était heureuse avec vous quand bien même ce n'est pas une relation saine dirons nous. Mais là vous voir lui faire du mal, ça passe pas. Je comprends pas que vous preniez si mal le fait qu'elle est eu des aventures quand elle vous connaissait même pas. D'accord ça a eu de lourdes conséquences mais vous pouvez pas lui reprocher de vivre sa vie, sa jeunesse. Vous êtes peut être ensemble mais ce n'est pas non plus votre propriété. Elle s'en veut déjà assez d'être la mère de l'enfant d'un autre, et ce que vous avez osé lui faire, ne l'aide pas du tout. " Autant lui dire tout ce que je pensais de lui, ses quatre vérités de but en blanc, même s'il s'en contrefiche." Si je vous dit tout ça aujourd'hui, que je viens vous voir, c'est parce que j'ai peur pour elle et que je sais pertinnement que sans vous, jamais elle n'ira mieux. "

" Pour votre gouverne, elle refuse de voir quiconque et ça c'est à cause de vous. Elle a plus goût à la vie parce que vous n'êtes pas à ses côtés. Milena sait très bien ce que je pense de vous. Je ne vous déteste pas enfin du moins avant. Tout ce que je veux c'est son bien et elle était heureuse avec vous quand bien même ce n'est pas une relation saine dirons nous. Mais là vous voir lui faire du mal, ça passe pas. Je comprends pas que vous preniez si mal le fait qu'elle est eu des aventures quand elle vous connaissait même pas. D'accord ça a eu de lourdes conséquences mais vous pouvez pas lui reprocher de vivre sa vie, sa jeunesse. Vous êtes peut être ensemble mais ce n'est pas non plus votre propriété. Elle s'en veut déjà assez d'être la mère de l'enfant d'un autre, et ce que vous avez osé lui faire, ne l'aide pas du tout. Si je vous dit tout ça aujourd'hui, que je viens vous voir, c'est parce que j'ai peur pour elle et que je sais pertinnement que sans vous, jamais elle n'ira mieux. " C’était le discours que j’avais jamais entendu. Même un vendeur ne parlait pas autant. Si ça continuait comme ça, j’allais avoir une migraine. Comme si je lui reprochais de vivre sa jeunesse. Elle n’avait rien compris. Le pire dans l’histoire, c’est qu’Alexander soit le père. Je détestais ce mec et ça depuis pas mal de temps. Ce n’était pas à cause de sa maison, mais sa tête ne me revenait pas. De plus, je le trouvais très mal élevé et prétentieux. « Je n’ai jamais dit qu’elle était ma propriété. Peu importe que vous pensiez que notre relation n’était pas saine. Vous n’êtes rien à mes yeux et cela me suffit à penser que votre jugement à peu d’importance. Ce que vous ne comprenez pas, c’est que le père est un drogué. » Ce n’était pas difficile de clamer certaines informations. D’ailleurs, mon annonce avait l’air de l’avoir un peu déstabilisé. « Hé oui, je sais pas mal de chose. Maintenant, je vais mettre les choses au clair, je n’ai jamais eu la prétention de dire que Milena était ma propriété. S’il y a bien un homme qui l’aime sur terre, c’est bien moi. Vous ne comprenez pas ce que je peux ressentir ou pourquoi, je ne veux plus la voir. Dite moi, madame Kennedy. Comment réagiriez-vous, si votre mari, avait mis une femme enceinte qui vous insupporte ? »Je ne pense pas que cela lui ferait plaisir. « Maintenant, si vous voulez bien me laisser. »

J'essayais de retrouver un peu mon calme dans mes mots même si j'avoue l'avoir bombarder de diverses informations mais autant mettre les choses au clair et dire ce que je n'appréciez pas chez lui autant dans son comportement d'ordinaire mais surtout dans sa façon d'agir face aux récents évènements." Je n’ai jamais dit qu’elle était ma propriété. Peu importe que vous pensiez que notre relation n’était pas saine. Vous n’êtes rien à mes yeux et cela me suffit à penser que votre jugement à peu d’importance. Ce que vous ne comprenez pas, c’est que le père est un drogué. " Okay je suis rien à ses yeux alors qu'il y a peu on était quand même de la même famille du fait de mon mariage avec le frère de Milena. Bon déjà il se trompe un peu beaucoup mais ce n'est pas un sujet sur lequel je veux m'attarder. Je retanais juste sa dernière phrase, visiblement il avait une dent contre Alexander. Bon après tout on peut pas aimer tout le monde mais de là à le considérer comme drogué, c'est un peu poussé car il ne m'a jamais apparu comme ça le peu de fois où je l'ai vu. Certainement la rivalité Eliot/Mather qui le faisait dire cela, à croire que ça ne s'arrêtera jamais. Il essayait de dévier le sujet en me demandant d'imaginer si cela m'était arrivé à moi, chose complétement absurbe car ce n'est pas du tout la même chose." Non on a pas finit. Je vous ferai remarquer que si je m'étais trouvé dans votre cas, il se serait agi là de tromperie sauf que là en ce qui vous concerne il n'y a pas eu tromperie mais accident qui a des répercussions dans le présent. Alors oui j'admet que c'est pas plaisant que cela ait eu lieu mais vous n'y pouvez rien car à l'époque vous ne connaissiez certainement pas Milena. Ce que je vois en tout cas c'est que vous la blamez de tous les torts car vous n'aimez pas le père, n'est ce pas plutôt lui que vous devriez détester et non elle. Et pour le coup votre attitude est vraiment puéril. " S'il reste encore buté alors là je demande à mourir car j'ai jamais vu un mec aussi buté qui ne sait pas faire la part des choses.