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(+ Julia) Un kidnapping dans les règles.

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Harvard et ses étudiantes. Je ne me laissais pas du spectacle toujours plus affriolant qui s’offrait à moi. Bien sûr, j’aurais aimé commencer mon enseignement au printemps quand toutes les jupes et autres petits hauts sont de sortis mais j’allais devoir me contenter de l’hiver. En même temps, je n’allais pas m’en plaindre, moins j’avais de tentations sous les yeux, mieux je me portais pour ainsi dire car j’étais ni plus ni moins au régime sans sexe. Pourquoi cette connerie ? Tout simplement parce que j’étais malade d’amour pour une femme. Anna. Ma meilleure amie, celle pour qui j’avais quitté mon refuge dans le Connecticut pour rejoindre la civilisation. En parlant de rejoindre, cela faisait bien dix minutes que j’attendais dans le couloir qu’une personne chère à mon cœur ne sorte de son cours. Julia. Ma cousine, celle que je considérais comme ma petite sœur. « Eh bien, madame sait se faire désirer » lançais-je à la cantonade tandis qu’elle sortait avec un groupe d’étudiants. « Salut Ju’ ! Dis-moi que tu as le temps de prendre une bonne vieille tasse de thé avec ton cousin préféré. En même temps, tu n’as pas le choix, je t’embarque ma grande… » lui souriais-je avec chaleur non sans passer mon bras autour de ses épaules. Le thé, une véritable passion chez moi quoiqu’il en soit, passer du temps à ses côtés était également passionnant et il me tardait d’être tranquillement attablé. « La cafeteria ou mon bureau tout beau tout propre ? »

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Un kidnapping dans les règles
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Aujourd'hui, je terminais mes cours à midi alors en sortant de mon cours, je pris la direction de la Quincy House mais c'était sans compter sur mon cousin Sam qui m'attendait devant ma salle. Sam est mon cousin du côté de ma mère et quelqu'un que je considère comme un véritable grand frère, étant fille unique. Il me demanda si j'avais le temps de prendre un thé avec lui, c'est un irlandais et fan de thé mais en fait, je n'avais pas le choix mis cela ne me dérangeais pas le moins du monde car j'adorais passer du temps avec mon cousin. Il me demanda où je voulais boire le thé. Alors je lui répondit.

Avec plaisir pour le thé et je vois que tu es toujours autant fan de thé toi. Bah allons à la cafétéria comme sa on mangera un morceau, qu'en penses tu ? Sinon quoi de neuf ?

Je savais qu'il avait été muté ici en tant que professeur mais ce vieux filou ne m'en avait pas dit plus alors je comptais bien lui tirer les vers du nez. Il me prit dans ses bras et je ne repoussa pas mon cousin préféré car même si nous avons toujours vécus loin l'un de l'autre, on n'a jamais perdu le contact.
B.DAVIS sur Bazzart.





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Je sais, un irlandais épris du thé au point de le vénérer pouvait être étrange mais je n’avais jamais aimé me fondre dans un moule. J’aimais mon côté excentrique, séducteur et nonchalant. En même temps, je n’avais jamais eu une vie très paisible : père à quatorze ans, ma fille avait été élevée dans l’ignorance de notre lien de parenté. En réalité, pour elle, je n’étais que son oncle. Puis, au fil des années, je m’étais construit sur des ruines, attisant presque machinalement ma dépression latente avec des choix de vie hasardeux. Enfin, tout cela été terminé, je désirais changer, avancer, me poser. Pour preuve, je m’étais engagé dans une relation sérieuse avec une femme, je l’aidais à élever sa fille d’un an et en prime, je m’apprêtais à révéler toute la vérité à Thais. Oui, il était temps pour moi de me montrer responsable. « On ne change pas une équipe qui gagne cousine chérie… Quoi de neuf ? Plein de choses : nouvelle petite-amie, nouveau travail, mon second roman est presque terminé et en prime, je vais pouvoir t’embêter tous les jours… Que demander de mieux ? Dis-moi, toi, quoi de neuf dans ta vie ? Ton père est toujours dans son trip cupidon où il s’est calmé ? » plaisantais-je tout en la conduisant vers la cafeteria. Je ne résistais jamais à une tasse de thé mais alors à des petites douceurs à côté, c’était purement impossible, gourmand comme j’étais. « Qu’est-ce que ça fait drôle d’être dans la peau d’un enseignant ici ! »


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Cette journée s'annonçait parfaite maintenant que j'avais croisé mon cousin adoré en sortant d'un cours et à vrai dire, après des heures de droit, il me fallait un thé pour me détendre car je savais qu'en bon irlandais, ce cher Sam était un fana de thé et en sa compagnie, je ne disais jamais non alors nous nous dirigeons vers la cafétéria afin de prendre notre thé tout en mangeant un bout. Une fois assis à une table, il me confia qu'il avait une nouvelle petite amie, un nouveau boulot, un second roman bientôt bouclé et qu'il allait pouvoir m'embêter tous les jours. Puis il me demanda de mes nouvelles en commençant par vouloir savoir si mon père avait cessé de vouloir être un cupidon pour sa fille unique. Alors je lui répondit en plaisantant.

Oh mon cousin a une nouvelle amoureuse, je la connais ? Et oui, te voilà professeur à Harvard, c'est pas cool cela ? Oh ton roman avance, tu as intérêt à me faire lire la première hein ? Comment cela tu vas m'embêter, tu vas me surveiller oui plutôt hein papa ? Et ne t'en fais pas pour mon père, il a stoppé toute tentative de jouer au Cupidon avec moi, vu que je suis loin.

J'aimais le taquiner et l'appeler papa car parfois il se comportait tellement en grand frère protecteur que j'avais l'impression d'avoir mon père en face de moi. Alors je lui souria car j'étais heureuse de retrouver ce cousin que je considérais comme le grand frère que je n'avais pas.
B.DAVIS sur Bazzart.



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Ah Anna, je pourrais en parler pendant des heures tant je ne tarissais pas d’éloge pour ma petite-amie mais je trouvais cela en même temps tellement impossible. C’est vrai, il y a encore quatre ans, ma petite-amie me plantait devant l’hôtel me rendant encore plus dépressif que je ne l’étais et surtout, en me transformant en vil séducteur. Pourtant, quatre ans plus tard, une nouvelle femme arrivait à soigner mon cœur brisé et à me remettre dans le droit chemin. Il faut croire que la vie réserve des surprises. « Elle s’appelle Anna. Elle est professeur en médecine ici mais j’ignore sa spéciation mais je pense que des neurochirurgiens russes, ça ne doit pas courir les rues ici » souriais-je en haussant les épaules avant de lever les yeux en l’air. Oui, j’avais tendance à agir comme un papa poule envers Julia mais c’est surtout parce qu’elle avait le même âge que ma fille Thaïs. Elle ne pouvait pas savoir le bien et le mal qu’elle me faisait en m’appelant papa mais en bon masochiste que j’étais, je laissais courir. « Ok sinon j’irais voir tonton pour lui tirer les oreilles. Une belle jeune femme que toi, ça doit papillonner, ça doit vivre, faire des expériences et pas se marier ! Profite de ta jeunesse mais pas trop hein ! Faut sortir couvert ok ? » la taquinais-je de bon cœur en buvant un peu de mon thé. Oh cela ne cassait pas trois pattes à un canard mais c’était buvable. « En tout cas, comme pour le premier, tu seras ma première lectrice enfin avec Thaïs car tu sais que tout comme à toi, je ne sais pas lui dire non »


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Il commença à me parler de sa meilleure amie qui était en train de devenir son amoureuse, elle s'appelait Anna, professeur en médecine et russe. Ah mon cousin avait le don de se trouver de jolies filles celui là mais je lui souria avant de lui répondre.

Contente de savoir que tu es heureux en amour car après tout, il serait temps de te caser tu crois pas ? Et de prendre tes responsabilités avec Thais non ?

Ensuite, il me dit en plaisantant que mon père a plutôt intérêt à ne pas vouloir me marier de force sinon il irait lui tirer les oreilles et que je devais papillonner mais sortir couverte si je voulais profiter de ma jeunesse. Alors je lui répondit.

Oh mais je sais me défendre face à mon père et il aura même pas intérêt à me marier de force ou je change de nom tiens mais je sais que tu es capable d'aller lui tirer les oreilles à mon père. Et ne t'en fais pas, ta cousine a personne pour le moment donc pas de papillonnements en vue.

Enfin, il me fit savoir que comme pour son premier roman, je serai sa première lectricedu moins sa deuxième car il y a Thais qui a ce privilège aussi et cela me fait plaisir car je l'ai rencontrée du fait qu'elle est la petite amie de Caleb. Alors je lui répondit.

Oh génial, je sens que je vais le dévorer en une nuit celui là aussi, non pas dans le sens le manger hein mais dans le sens le lire d'un coup. Mon cousin est un excellent écrivain qui l'ignore visiblement.

Je lui souria, j'adorait le taquiner et lui aussi adorait faire de même, c'était un jeu entre nous et ce depuis longtemps.
B.DAVIS sur Bazzart.



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« Comment ça il serait temps que je me case ? Tu me trouves vieux ? J’ai aucun cheveux blanc je te ferais signe ! » râlais-je aussitôt en me passant une main dans mes cheveux justement. Oui j’étais assez obsédé par mon apparence et par mon âge mais je me soignais. C’est juste qu’approchait rapidement l’aube des quarante ans et que si on faisait le bilan de ma vie, ce n’était pas glorieux. Côté vie professionnelle rien à redire : archéologue et anthropologue reconnu par mes pairs, j’étais également un écrivain tendance puisque mon premier livre était rapidement devenu un bestseller. Non, là où le bât blesse, c’était bien du côté personnel : séducteur sur le retour, j’étais le père d’une jeune femme de vingt-quatre ans qui pensait être ma nièce. Mise à part cela, tout roulait comme sur des roulettes. « On en a parlé un millier de fois… Tu sais très bien que j’ai la  trouille que Thaïs le prenne mal et qu’elle ne veuille plus me voir. Je préfère encore être un oncle que n’être rien dans sa vie. La conversation s’orienta toutefois rapidement sur elle à mon plus grand plaisir. « Ju’ t’es au courant quand même que tu n’as pas besoin d’être casée pour papillonner. Tu n’as pas envie de vivre des aventures ? Genre relation d’une nuit etc. ? » l’encourageais-je non pas à se transformer en garce sans cœur ou en Marie couche toi là mais simplement la pousser à s’ouvrir davantage, à être moins sage. « En tout cas je croise les doigts pour qu’il te plaise… Je pense que je l’ai un peu plus travaillé que le premier mais je dois encore écrire quelques chapitres. Mon éditrice le veut pour mars.. Elle veut ma mort ! »


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Mon cousin adoré me demanda si je le trouvais vieux et comment cela qu'il serait temps qu'il se range, il est vrai qu'il n'avait aucun cheveux blancs pour le moment sur le crâne mais je savais qu'il était en train de râler car il détestait qu'on lui dise qu'il vieillisse, il voulait rester jeune mais je le comprenais. Aussi, mon cousin avait bien réussi sa vie professionnelle mais sa vie privée un peu moins, bien qu'il voulait réparer ses erreurs avec Thais sa fille et qu'il était raide dingue de sa meilleure amie, cette Anna que je ne connaissais pas encore. Alors je lui répondit.

Oh Sam, tu ne vas pas me dire que tu es jeune quand même, certes tu as 40 ans mais tu te fais vieux mon petit père, je suis désolée de te le rappeler mais tu restes toujours un beau gosse mon cousin adoré, je te rassure. Sinon la belle Anna n'aurait pas craqué pour toi même si elle est ta meilleure amie.

Puis vient le sujet de Thais, la fille biologique de mon cousin mais il se fait passer pour l'oncle de la demoiselle et il est vrai que la première fois qu'il m'en a parlé, il m'a fait jurer de n'en parler à personne, ce dont je fais, je le garde précieusement pour moi mais je crois que Thais a le droit de savoir la vérité, elle est en âge de comprendre. Alors je lui répondit.

Evidemment qu'elle va le prendre mal au début mais tu te sentiras soulagée et elle au moins connaîtra son histoire. Mais bon si tu veux rester son "oncle" à ses yeux, fais comme tu le sens mais ne viens pas pleurer après qu'elle ne t'appelle pas "papa".

Ensuite, il passa à son sujet préféré à savoir moi et ma vie sentimentale. Il me dit qu'il faut que je m'apprenne à prendre du bon temps avec plusieurs hommes enfin en relations d'une nuit car il est vrai qu'il est l'expert lui, monsieur le séducteur. Alors je lui répondit.

Oh mon cher cousin veut me faire devenir comme lui en séductrice mais tu sais que tu as raison sur un point, il faut que je m'ouvre davantage mais que veux tu personne ne veut coucher avec moi, peut-être que les mecs se renseignent sur la profession de mon père et que cela ne m'aide pas, va savoir. Mais c'est vrai que je ne suis pas comme toi, je cherche le prince charmant, bien qu'il ne va pas arriver dans une boite de chocapic hein ? Tu m'aideras Samounet à trouver l'amour toi ?

Enfin, il me dit qu'il espérait que son prochain livre me plaise, qu'il lui restait plus que quelques chapitres avant de le donner à son éditrice qui le tannait pour l'avoir pour mars. Alors je lui répondit.

Tu sais pas mon cousin ce qu'on peut faire, c'est que je passe un jour chez toi et qu'on se penche dessus tous les deux, cela t'irait ou pas ?

Je lui souria d'un grand sourire car mon cousin était ma famille, mon grand frère et chez les Delcroix, la famille est sacrée, même si ce n'est pas un Delcroix mais un cousin du côté de ma mère.
B.DAVIS sur Bazzart.



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« Hey je n’ai même pas quarante ans encore !! Je n’ai que trente-huit ans ! Note sur tes tablettes, trente-huit pas trente-neuf mais trente-huit et j’y tiens !... Tu te rattrapes en me disant que je suis un beau gosse mais quand même ! Je tiens à ce que tu respectes mes trente-huit ans… C’est important pour moi » boudais-je en marmonnant dans ma barbe car mine de rien, j’y tenais à mes deux ans avant quarante ans. Elle verrait bien quand son tour viendra si elle apprécie qu’on lui dise qu’elle a quarante ans avant l’heure. Bon c’était peut-être un caprice mais quand même, j’avais le droit à la dignité comme tout être humain. En parlant de dignité, ma fille méritait sûrement que je lui dise la vérité au sujet de notre lien parental mais dès que je me voyais prêt à le lui dire, je me dégonflais. J’ignorais qu’il me faudrait un tragique événement pour trouver le courage de m’ouvrir à elle mais pour l’heure, j’étais complétement mort de trouille. « Je sais bien que je n’ai pas à me plaindre mais tu le prendrais bien si on venait te dire que ton père n’est pas ton père ? Ce n’est pas évident et je crois que dans le fond, je sais très bien que je ne supporterai ni sa colère ni de la perdre. Thaïs est ma chair de ma chair, mon sang, c’est mon petit trésor et j’ai besoin d’elle dans ma vie comme de l’air que je respire. La perdre serait perdre à nouveau sa mère mais aussi un bout de mon âme » soupirais-je mortellement sérieux pour une fois. J’avais aimé Malory même si je n’étais qu’un gosse à l’époque. Nous avions même prévu de nous enfuir loin de nos familles pour élever notre fille mais le destin en avait voulu autrement et elle était morte en mettant au monde Thaïs. D’ailleurs le prénom qu’elle portait était le second prénom de sa mère. J’avais fait des pieds et des mains pour pouvoir le lui donner et je n’en étais pas mécontent. En tous les cas, le sujet suivant me redonna toute la légèreté que j’avais perdue. Il n’y avait rien de mieux qu’emmerder sa cousine préférée au sujet de sa vie privée et surtout sentimentale. « Attends, tu ne serais pas ma cousine, je te draguerai. Tu es belle, tu as un corps superbe et en prime, tu as ce qu’on appelle de l’intelligence entre les deux oreilles. Les mecs sont aveugles ou très cons voire les deux si aucune n’ose te draguer mais tu parles de prince charmant, tu entends quoi par-là ? Mets pas la barre trop haute, on est tous des connards égoïstes alors t’attends pas à un miracle non plus » rigolais-je avant de reprendre « mais je peux t’aider à trouver la perle rare s’il le faut ! Il te faudrait peut-être un petit relooking ! » songeais-je avant d’hausser les épaules. « Attends, tu es en train de me dire que tu as envie de jouer les correctrices pour moi ?! » lui demandais-je un peu d’espoir au fond de la voix car je détestais me relire trop souvent et à la fin, je n’avais pas suffisamment de recul pour repérer les fautes.





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Mon cousin adoré me fit remarquer qu'il n'avait pas encore quarante ans mais qu'il n'avait encore que trente huit et qu'il y tenait et que je me rattrapais en lui disant que c'était un beau gosse mais je le pensais, le tout en boudant. Alors je lui répondit en plaisantant.

Oh sa va, tu n'as pas bientôt fini de bouder, si on peut plus rire sur ton âge, où va le monde ? Et d'abord que tu es 38 ou 40 ans, cela ne change rien pour moi car tu resteras toujours mon cousin adoré et à l'avenir, je ne dirai plus que tu es vieux à quarante ans, tu as fini de bouder maintenant, espèce de grand enfant va ?

Il me parla de Thais, qu'il ne voulait pas la perdre une seconde fois car ce serait perdre sa mère une seconde fois également et que je ne comprenais pas ce que c'était alors je lui répondit.

Mais bien sur que je comprends que cela doit être dur et je pense que je réagirai assez violemment si j'apprenais que mes parents m'ont menti sur mes origines et que l'homme qui m'a élevée n'est pas mon père alors ne me dis pas que je te comprends pas c'est faux, je t'ai toujours soutenu non ? Alors ne t'en fais pas, tu la perdras pas mais elle est assez grande pour comprendre, même si au début elle aura du mal à l'accepter, elle te pardonnera car on peut pas te bouder longtemps. Qui pourrait en vouloir à mon beau gosse de cousin hein ? Et puis je suis là moi, ta cousine sera toujours là comme tu sais être là pour moi comme pour Thais.

Ensuite, il me fit remarquer que si je n'étais pas sa cousine, il y aurait longtemps qu'il m'aurait draguée car j'étais belle, un corps superbe et une intelligence à toute épreuve. Mais surtout que les mecs étaient aveugles mais ce dont Sam ne savait pas, c'est que sa cousine adorée avait eu en France des flirts dans le passé donc tout n'était pas perdu. Malgré tout, il n'hésita pas à me proposer de me faire subir un relooking, comme si j'en avais besoin. Alors je lui répondit.

Oh mais je te rassure, ta cousine a déjà connu des petits flirts par le passé mais je n'ai pas encore trouvé le bon mais je ne désespère pas au point de penser à un relooking. D'ailleurs depuis quand tu penses à sa pour moi toi ? Tu dis que je suis belle et la minute d'après, tu me parles de relooking, dans ce cas on le fais à deux tu vas voir.

Enfin, je venais de lui proposer de relire son manuscrit avant qu'il ne l'envoie à son éditrice et je sentais qu'il n'allait pas dire non mais il fut surpris de ma proposition alors je lui répondit en plaisantant.

Non, je veux relire juste pour le plaisir, bah bien sur que je veux jouer la correctrice gros malin. Bon c'est oui ou c'est non ?

Je le pris dans mes bras car après tout, ce qu'il l'attendait avec son âge qui s’avançait à grands pas, l'annonce de sa paternité à sa fille qui pense qu'il est son oncle, notre relooking et ma relecture de son manuscrit, il allait avoir du pain sur la planche mon cousin adoré puis je lui fis un grand sourire.
B.DAVIS sur Bazzart.



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