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Rowan arpentait lentement les couloirs, portant une boîte en carton d’une taille assez grande, qu’il tenait difficilement, faisant saillir tous les muscles de ses bras. À son dos, une guitare placée dans une house noire sur laquelle était dessinée des contours tribaux représentant des flammes, avec plusieurs têtes de démons en couleurs montrant plusieurs sentiments différents tels que la peur ou l’admiration. Enfin, plus bas était écrit le nom de son ancien groupe avec une police complètement différente du style du dessin, qui faisait ressortir l’écriture « Devils Angels Kids ». Entre les dents, il tenait du mieux que possible deux paires de baguettes, n’ayant plus de place disponible.
Il croisa le regard de plusieurs élèves, qu’il étudia longuement. Ils étaient tous dans cette prestigieuse école, et en regardant dans les yeux de chacun, il voyait un talent que chacun utilisait pour être le meilleur. Aurait-il pu rivaliser à l’époque s’il avait été élève lui aussi ? Il ne le savait pas, mais n’y pensa plus. Son passé, il l’assumait, et l’a assumé plusieurs fois devant plusieurs médias dans le passé. Un enfant de la rue qui devenait célèbre, était un exploit et les journalistes voyaient en lui un filon d’or lors de son apogée musical.
Il semblerait que les élèves ne l’ont pas encore reconnu, et cela le rassurait. Il voulait être le plus anonyme paisible, et vivre loin des foules hystériques un moment. Il avait commencé les cours il n’y a pas très longtemps et pourtant tout cela se passait bien. Rien ne sortait de l’ordinaire, il semblait vivre une vie paisible, lui qui était habitué aux foules.
Pourtant, en regardant de plus près, il semblait que ces élèves ressemblaient à des personnes qu’il avait déjà vues. Dans une ou deux interviews sur l’école dans un documentaire ou quoi que ce soit du genre.
Qu’ils profitent de la vie avant tout, pensa-t-il en regardant les élèves qui semblaient être tous de la bourgeoisie ou alors, tentait de suivre le style imposé malgré leurs faibles revenus.
Il s’arrêta net en plein milieu du couloir.
- Et merd… , Puis se ravisa en s’apercevant qu’il était toujours sous les regards des élèves.
« Je suis vraiment con, ma parole. Si je pose le carton par terre pour ouvrir la porte, je vais me bloquer le dos à coup sûr ou me faire un truc pas beau... Et j’ai juste oublié ce détail… Je demanderai à un élève dans le couloir au pire ».
Il sourit à ses propres pensées et se remit en route, en riant de bon cœur sur sa propre bêtise sous les regards de quelques élèves étonnées...
Il croisa le regard de plusieurs élèves, qu’il étudia longuement. Ils étaient tous dans cette prestigieuse école, et en regardant dans les yeux de chacun, il voyait un talent que chacun utilisait pour être le meilleur. Aurait-il pu rivaliser à l’époque s’il avait été élève lui aussi ? Il ne le savait pas, mais n’y pensa plus. Son passé, il l’assumait, et l’a assumé plusieurs fois devant plusieurs médias dans le passé. Un enfant de la rue qui devenait célèbre, était un exploit et les journalistes voyaient en lui un filon d’or lors de son apogée musical.
Il semblerait que les élèves ne l’ont pas encore reconnu, et cela le rassurait. Il voulait être le plus anonyme paisible, et vivre loin des foules hystériques un moment. Il avait commencé les cours il n’y a pas très longtemps et pourtant tout cela se passait bien. Rien ne sortait de l’ordinaire, il semblait vivre une vie paisible, lui qui était habitué aux foules.
Pourtant, en regardant de plus près, il semblait que ces élèves ressemblaient à des personnes qu’il avait déjà vues. Dans une ou deux interviews sur l’école dans un documentaire ou quoi que ce soit du genre.
Qu’ils profitent de la vie avant tout, pensa-t-il en regardant les élèves qui semblaient être tous de la bourgeoisie ou alors, tentait de suivre le style imposé malgré leurs faibles revenus.
Il s’arrêta net en plein milieu du couloir.
- Et merd… , Puis se ravisa en s’apercevant qu’il était toujours sous les regards des élèves.
« Je suis vraiment con, ma parole. Si je pose le carton par terre pour ouvrir la porte, je vais me bloquer le dos à coup sûr ou me faire un truc pas beau... Et j’ai juste oublié ce détail… Je demanderai à un élève dans le couloir au pire ».
Il sourit à ses propres pensées et se remit en route, en riant de bon cœur sur sa propre bêtise sous les regards de quelques élèves étonnées...
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