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Louka Colin De Marzo fiche; C'est le 18 aout 1991 à Venise, que la famille De Marzo m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Louka Colin. Je suis fiancé depuis ma naissance et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé de poursuive des études à Harvard en arts plastiques, je suis maintenant en troisième année. Et pour terminer, je fais partie des quincy house. |
Études Louka a toujours rêvé d'étudier les arts plastiques. Il est très doué avec un crayon entre les mains et a toujours considéré le dessin comme un échappatoire à la vie qu'il mène. Il a donc pris cette option en arrivant à Harvard. Pourquoi cette école ? Simplement parce que ses parents y ont été et que c'est ici qu'ils se sont rencontrés avant de retourner en Italie. Sur le campus, il passe plutôt inaperçu. Souvent dans un coin, à dessiner. | Caractère Louka a toujours été quelqu'un de réservé, de timide. Il n'ose jamais vraiment se mettre en avant, ni d'aller vers les autres. Il reste constamment dans son coin, ne cherche jamais les emmerdes. C'est quelqu'un de très attentionné, de très doux et affectif, qui aime être câliné et câliner les gens. Il est du genre hyper protecteur et n'a pas peur de faire milles et une choses pour une personne qu'il protège ou qu'il aime, tout simplement. Il est très bien élevé, dis toujours "bonjour", "au revoir", demande même limite si il peut s’asseoir quand il arrive chez quelqu'un. Il aime sourire et voir les gens sourires. Il est très jaloux et s'éloigne de la personne qui provoque cette jalousie. Il est plutôt du genre à considérer que ses amis ont une très grande importance dans sa vie. |
Everyone Has Their Own Story
« Tu es fiancé Louka ! Tu n'as pas le droit d'aller voir ailleurs ! Tu as une future femme, elle t'attend et toi, tu vas voir ailleurs ! » Je suis là, assis sur mon lit à me faire sermonner. Je n'ose pas regarder mon père qui, avec son italien parfait m'engueule pour un seul regard posé sur le corps d'une autre, d'un autre. Ce n'était qu'un regard, sage, pur et innocent, qui ne se voulait pas plus que ça. Mais non. C'était déjà trop pour mon paternel qui s'improvisait sur-protecteur. Sa main me heurte, violemment. Il me frappe, encore. Des perles de larmes se forment au coin de mes yeux et encore une fois sa voix roque d'italien raisonne. « Pleurer c'est pour les faibles ! » Alors il la relève. Cette main prête à me frapper est tendue devant moi. Je ferme les yeux, serre mes paupières. Ca ne sera pas fort si je pense à autre chose. Mais rien ne se fait. La poigne féminine de ma mère saisit le poignet de mon paternel qui réprime un cri. Ne jamais frapper une femme. La première chose qu'il m'a apprise. Ils se sont alors éloignés, ma mère me jetant un regard compatissant. Je la regarde, et souris en me frottant ma joue endolorie. Je me mord la lèvre alors que ma porte se ferme et que j'attrape mon calepin à dessin, posé juste à côté de mon lit. J'attrape un crayon et je me met à griffonner. Pas de forme au début puis petit à petit, on distingue une silhouette féminine. Ma future femme que j'idéalise peut-être. Je la regarde. Elle est belle, elle serait belle. Je la gomme avec frénésie. Je ne dois pas l'imaginée, ne doit pas l'idéalisée. Une parfaite inconnue qui, du jour au lendemain, deviendra ma femme par les liens sacrés du mariage. Mes parents avaient choisi de me fiancer à ma naissance, par simple crainte de ne pas me voir marié, plus tard. Ils ne sont pas au courant. Pas au courant que je suis bi, que je n'aime pas simplement les femmes. C'est là, sans que je ne puisse en changer. Un mec me plait, énormément, et je ne peux rien faire pour l'oublier. Si ils le savaient, ils me tueraient. Ils m'en voudraient. Et cette femme qui m'était promise se sentirait frustrée et gênée. Je soupirais, m'enroulant en boule sur mon lit. Je voulais juste oublier ce qu'il venait de se passer. Oublier que je leur faisais honte, sans rien faire. Je faisais honte à mon père. « Fils. » Je sursaute et me retourne pour découvrir mon père, là; devant moi, me surplombant de plusieurs centimètres. Je me relève et balance mon calepin plus loin. Je le fixe, cherchant à savoir ce qu'il veut me dire. Ma mère arrive et passe son bras autour de ses hanches. Ma mère est anglaise et elle a toujours eu du mal à me parler italien, alors elle m'a appris l'anglais, tous les jours avant que je m'endorme. Je la regarde un instant et elle me sourit et ses mots aux consonances anglaises sortent de sa bouche. « Ton père et moi avons décidé que tu allais partir pour Harvard, demain. C'est surement mieux pour toi, que tu te tiennes loin d'ici, le temps de tes études. Tu reviendras mon ange, quand tu auras finis ce que tu as à faire là bas. Et à ton retour, tu te marieras. » Les larmes coulèrent. Ma mère me tomba dans les bras et moi, je restais là, bouche baie. Je la serrais contre moi, en silence, sans savoir quoi dire. Et le lendemain, j'étais dans l'avion, en direction d'Harvard, en laissant ma vie derrière moi. Ma vie, mon cocon, la famille, mon Italie. C'est donc à Harvard que je suis arrivé, avec mon accent italien, ma timidité et tout le reste.
the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM -PAMPLEMOU'ss - Pauline o/ ↬ ÂGE - 14 ans. ↬ PAYS/RÉGIONS - Midi-Pyrénées; France. ↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Partenariat. ↬ TES IMPRESSIONS - Gosh qu'il est canon **. ↬ CRÉDIT(S) - Tumblr && Rosendale ↬ AVATAR - Jake Cooper ♥ ↬ SCÉNARIO OU PI? - PI. ↬ LE MOT DE LA FIN - Oyeeeah 8D. |
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